Les Scientistes conçoivent une souris avec deux mères
Mercredi, le 21 avril, 2004 Posté: 1:03 PM EDT (170c GMT)
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NEW YORK (AP) -- Les hommes, votre genre vient juste de prendre un coup dans le royaume de l'animal. Les scientists rapportent qu'ils ont créé des souris en utilisant deux mères génétiques -- et pas de père.
Ça c'est une première pour tout animal. Mais ne recherchez pas pour un tel service à la clinique de fertilité du coin. Les experts disent que la procédure de la souris ne peut pas être fait chez le monde pour des raisons techniques et d'éthiques.
En fait, l'une des mamans était une nouveau-née mutante, dont l'ADN avait été altérée pour lefaire agire comme si c'était un mâle qui contribuait à un embryon.
Le travaille illumine la question à savoir le pourquoi les souris et le monde ont normalement ce besoin de l'ADN d'un père pour se reproduire. Il y auraient des experts qui disent aussi que ça détiendrait des implication pour utiliser des cellules-tiges humaine pour traiter des maladies.
La réussite est rapportée dans la publication de jeudi du journal Nature par Tomohiro Kono du Tokyo University of Agriculture du Japon, avec des collègues là et en Korée. Ils ont dit avoir produit deux souris, l'un d'entre-elle qui a grandie à maturité et a donné naissance. Kono dit que cette souris, appelée "Kaguya" d'après un caractère d'un compte de fée Japonais, semble être en parfaite santé.
Kono, dans un couriel, dit que la procédure peut être utile avec des animaux pour l'agriculture et de utilités scientifiques. Lorsque demander s'il voyait des raisons quelles qu'elles soient pour produire des bébés humains de cette façon, il écarta la question comme une "insensée."
Il y auraient de lézards et plusieurs autres animaux qui se reproduisent avec seulement des gènes maternelles, mais les mamifaires ne sont pas comme celà. Des expériences en laboratoires sur des souris ont produites
des embryons et des fétus, mais aucunes naissances réussites.
De tels développements sont assez pour produire des cellules-tiges, pourtant. Il y auraient des recherchistes qui souhaiteraient qu'en stimullant des oeufs non-fertilisés d'humains à se développer en ce qu'ils appellent "des notes de cheminement", qu'ils pourraient cultiver des cellules-tiges sans détruire des embyons ordinnaires. Les recherchistes espèrent que les cellules-tiges peuvent être utilisées pour traiter une variété de maladies.
Kent Vrana, un recherchiste au Pennsylvania State University qui est entrain d'édutider l'approche de l'oeuf non-fertilisé, dit que l'étude de Nature est encourageant pour cette technologie. Si une souris normal, et fertile peut être produite san l'ADN d'un père, dit-il, celà donne l'espoire que les cellules-tiges du processus similaire serait autant normalé.
Le travail de Tokyo pourvoit de la preuve nouvelle pour l'expliquation standard pour le barrage routier en développement. Les scientistes disent qu'il y auraient des gènes de mamifères hérités du père se comportent différemment dans l'embryon que s'ils venaient de la mère, et ce patron d'activité paternel est bel et bien pour le développement normal.
IL y aurait relativement peu de gènes qui agissent de cet façon, il l'on dit d'eux qu'ils sont "imprimés." Dans certains cas, ces gènes sont actifs seulement s'ils héritent du père, pas de la mère, et dans d'autres cas, c'est en sens inverse.
Pour l'étude décrite dans 'Nature', les recherchistes ont détourné le besoin pour l'ADN dérivé-du-mâle en se tournant vers une souris mutante. Les souris femèles manquaient un gros morceau d'ADN, et comme résultat, deux de leurs gènes se comporteront dans un embryon comme s'ils provenaient d'un mâle.
De plus, les scientistes ont pris cet ADN mutée des cellules des oeufs des nouveaux-nées, parce qu'à un aussi jeune âge l'ADN n'a pas encore prise le patron d'imprimage complèt de la "femelle" tel que vu dans les oeufs matures.
L'ADN fut combinée avec des gènes de souris femelles ordinaires pour faire des oeufs reconstruits. Seulement deux des 457 de ces mêmes oeufs ont produits des souris vivantes.
Marisa Bartolomei, qui étudie l'imprimage à l'University of Pennsylvania School of Mdedicine, dit qu'elle était "stupéfaite" que manipuler seulement les deux gènes enlevait le barrage routier pour produir des souris vivantes.
En fait, l'analyse démontra qu'un étalge de gènes imprimés ont de façon quelconque prisent le niveaux normals d'activité, comme s'il y avait été une fertilisation standard. Les recherchistes ont dit qu'ils ne savent pas comme que ça ce s'aurait produit.
Gerald Schatten, un recherchiste en cellule-tige à l'Unversity of Pittsburgh School of Medicine, dit que le travail soulignerait que les scientistes doivent complètement comprendre l'imprimage dans les cellules-tiges embryonic des humains. Si non, de telles cellules pourraient peut-être se comporter adnormallement lorsqu'utiliser dans le traitement de maladies comme la diabète ou bien le Parkinson, dit-il.