Je comprend pas comment on peut douter de l’existence de ce genre de camp? Il y a des témoins, des survivants qui ont vu l'horreur des camps d’extermination ou de concentration. Pourquoi ces gens mentiraient, comment rassemblait autant de faux témoignage? J'ai moi-même rencontré, dans le cadre scolaire, un de ces survivant, tatoué comme tout les prisonniers.
M'enfin, autant aller apprendre l'histoire de la seconde guerre mondial chez les coréen du nord, ils ont aussi une histoire bien différente de tout le monde...
“Quel fléau que la richesse unie à l'ignorance !”
Re: “Quel fléau que la richesse unie à l'ignorance !”
Ecrit le 03 mars16, 11:37- malikveron.
Re: “Quel fléau que la richesse unie à l'ignorance !”
Ecrit le 04 mars16, 09:16Ce n'est pas l'existence des camps de concentrations qui sont remit en doute par les historien musulmans ( je pense à ceux d'Iran notamment) mais les chambres à gaz.Ikarus a écrit :Je comprend pas comment on peut douter de l’existence de ce genre de camp?
Fourberie juives ou sionistes qui complotent et qui œuvre pour les intérêts d'Israël selon eux en gros.Ikarus a écrit :Il y a des témoins, des survivants qui ont vu l'horreur des camps d’extermination ou de concentration.
Pour "un musulman":Ikarus a écrit :Pourquoi ces gens mentiraient?
Car un juif n'est qu'un sale singe abject:
Pour Hitler ce sera parce que la race juive est fourbe du fait de sa dégénérescence raciale et il parait logique qu'on ne peut pas avoir confiance dans la parole d'un fourbe.Coran sourate 2 verste 65 a écrit :65. Vous avez certainement connu ceux des vôtres qui transgressèrent le Sabbat. Et bien Nous leur dîmes : "Soyez des singes abjects! "
Après je passe directement au chapitre 11:
Mein Kampf a écrit : 11 : Le peuple et ta race
Certaines vérités courent tellement les rues que, précisément pour cela, le vulgaire ne les voit pas, ou du moins ne les reconnaît pas. Il passe le plus souvent devant elles sans les voir, ainsi qu'il reste aveugle devant des vérités aveuglantes, et qu'il est extrêmement surpris quand quelqu'un vient soudain à découvrir ce que tous devraient pourtant savoir. Il y a tout autour de nous, par centaines de milliers, des problèmes aussi simples à résoudre que l'œuf de Christophe Colomb, mais ce sont précisément les hommes du genre de Colomb qu'on rencontre assez rarement. C'est ainsi que tous les hommes, sans exception, se promènent dans le jardin de la nature, se figurent tout connaître et savoir, et se comportent comme des aveugles à peu d'exceptions près vis-à-vis de l'un des principes les plus saillants de son action : celui de l'existence de caractères organiques distinguant les espèces entre lesquelles se répartissent tous les êtres vivant sur cette terre.
Re: “Quel fléau que la richesse unie à l'ignorance !”
Ecrit le 04 mars16, 11:37J'aime bien. On critique Hitler, mais on prend même pas le temps de relever les conneries raciste et stupide qu'on peut lire ici.
- malikveron.
Re: “Quel fléau que la richesse unie à l'ignorance !”
Ecrit le 04 mars16, 12:08J'ai cité le coran pourtant, tu oserais insinué que le coran dit des conneries racistes?Ikarus a écrit :J'aime bien. On critique Hitler, mais on prend même pas le temps de relever les conneries raciste et stupide qu'on peut lire ici.
Pour Hitler il est raciste et par son livre je vais essayé de le démontrer mais bon en réalité je ne vais rien démontrer car j'avais oublié que tout est une question d'interprétation donc citons et on verra bien.
Mein Kampf a écrit : L'observation la plus superficielle suffit à montrer comment les formes innombrables que prend la volonté de vivre de la nature sont soumises à une loi fondamentale et quasi inviolable que leur impose le processus étroitement limité de la reproduction et de la multiplication. Tout animal ne s'accouple qu'avec un congénère de la même espèce : la mésange avec la mésange, le pinson avec le pinson, la cigogne avec la cigogne, le campagnol avec le campagnol, la souris avec la souris, le loup avec la louve, etc. Seules, des circonstances extraordinaires peuvent amener des dérogations à ce principe ; en première ligne, la contrainte imposée par la captivité ou bien quelque obstacle s'opposant à l'accouplement d'individus appartenant à la même espèce. Mais alors la nature met tous les moyens en œuvre pour lutter contre ces dérogations, et sa protestation se manifeste de la façon la plus claire, soit par le fait qu'elle refuse aux espèces abâtardies la faculté de se reproduire à leur tour, ou bien elle limite étroitement la fécondité des descendants ; dans la plupart des cas, elle les prive de la faculté de résister aux maladies ou aux attaques des ennemis. Cela n'est que trop naturel :
Tout croisement de deux êtres d'inégale valeur donne comme produit un moyen-terme entre la valeur des deux parents. C'est-à-dire que le rejeton est situé plus haut dans l'échelle des êtres que celui des parents appartenant à une race inférieure, mais reste en dessous de celui qui fait partie d'une race supérieure. Par suite, il succombera, plus tard, dans le combat qu'il aura à soutenir contre cette race supérieure. Un tel accouplement est en contradiction avec la volonté de la nature qui tend à élever le niveau des êtres. Ce but ne peut être atteint par l'union d'individus de valeur différente, mais seulement par la victoire complète et définitive de ceux qui représentent la plus haute valeur. Le rôle du plus fort est de dominer et non point de se fondre avec le plus faible, en sacrifiant ainsi sa propre grandeur. Seul, le faible de naissance peut trouver cette loi cruelle ; mais c'est qu'il n'est qu'un homme faible et borné ; car, si cette loi ne devait pas l'emporter, l'évolution de tous les êtres organisés serait inconcevable. La conséquence de cette tendance générale de la nature à rechercher et à maintenir la pureté de la race est non seulement la distinction nettement établie entre les races particulières dans leurs signes extérieurs, mais encore la similitude des caractères spécifiques de chacune d'elles. Le renard est toujours un renard, l'oie une oie, le tigre un tigre, etc., et les différences qu'on peut noter entre les individus appartenant à une même race, proviennent uniquement de la somme d'énergie, de vigueur, d'intelligence, d'adresse, de capacité de résistance dont ils sont inégalement doués. Mais on ne trouvera jamais un renard qu'une disposition naturelle porterait à se comporter philanthropiquement à l'égard des oies, de même qu'il n'existe pas de chat qui se sente une inclination cordiale pour les souris. Par suite, la lutte qui met aux prises les races les unes avec les autres a moins pour causes une antipathie foncière que bien plutôt la faim et l'amour. Dans les deux cas, la nature est un témoin impassible et même satisfait. La lutte pour le pain quotidien amène la défaite de tout être faible ou maladif, ou doué de moins de courage, tandis que le combat que livre le mâle pour conquérir la femelle n'accorde le droit d'engendrer qu'à l'individu le plus sain, ou du moins lui fournit la possibilité de le faire. Mais le combat est toujours le moyen de développer la santé et la force de résistance de l'espèce et, par suite, la condition préalable de ses progrès.
Si le processus était autre, le progrès ultérieur s'arrêterait et il y aurait plutôt régression. En effet, comme les moins bons l'emporteraient toujours en nombre sur les meilleurs, si tous les individus avaient la même possibilité de survivre et de se reproduire, les moins bons se reproduiraient si rapidement que les meilleurs seraient finalement refoulés à l'arrière-plan. Il faut donc qu'une mesure corrective intervienne en faveur des meilleurs. La nature y pourvoit en soumettant les faibles à des conditions d'existence rigoureuses qui limitent leur nombre ; elle ne permet qu'à des survivants choisis de se reproduire ; elle opère alors une nouvelle et rigoureuse sélection en prenant pour critérium la force et la santé. Si elle ne souhaite pas que les individus faibles s'accouplent avec les forts, elle veut encore moins qu'une race supérieure se mélange avec une inférieure, car, dans ce cas, la tâche qu'elle a entreprise depuis des milliers de siècles pour faire progresser l'humanité serait rendue vaine d'un seul coup. La connaissance que nous avons de l'histoire fournit d'innombrables preuves de cette loi. L'histoire établit avec une effroyable évidence que, lorsque l'Aryen a mélangé son sang avec celui de peuples inférieurs, le résultat de ce métissage a été la ruine du peuple civilisateur.
Re: “Quel fléau que la richesse unie à l'ignorance !”
Ecrit le 04 mars16, 16:58Je ne l'insinue pas. je le dit, comme le Coran est machiste, réducteur de liberté et destructeur d'initiative, au même titre que la bible.J'ai cité le coran pourtant, tu oserais insinué que le coran dit des conneries racistes?
- malikveron.
Re: “Quel fléau que la richesse unie à l'ignorance !”
Ecrit le 05 mars16, 08:38Si j'ai bien compris tu avoues que le coran dit des conneries racistes, qu'il est machiste, qu'il est réducteur de liberté et destructeur d'initiative.Ikarus a écrit :Je ne l'insinue pas. je le dit
C'est bien on avance maintenant reste à savoir si pour toi le racisme, le machisme, la réduction de liberté et la destruction d'initiative est en somme quelque chose de bien ou de mal.
Donc ce paragraphe me conforte que j'ai raison selon les propos même de Hitler à savoir:Mein Kampf a écrit :L'Amérique du Nord, dont la population est composée, en énorme majorité, d'éléments germaniques, qui ne se sont que très peu mêlés avec des peuples inférieurs appartenant à des races de couleur, présente une autre humanité et une tout autre civilisation que l'Amérique du Centre et du Sud, dans laquelle les immigrés, en majorité d'origine latine, se sont parfois fortement mélangés avec es autochtones. Ce seul exemple permet déjà de reconnaître clairement l'effet produit par le mélange des races. Le Germain, resté de race pure et sans mélange, est devenu le maître du continent américain ; il le restera tant qu'il ne sacrifiera pas, lui aussi, à une contamination incestueuse.
En résumé, le résultat de tout croisement de races est toujours le suivant:
a) Abaissement du niveau de la race supérieure.
b) Régression physique et intellectuelle et, par suite, apparition d'une sorte de consomption dont les
progrès sont lents mais inévitables.
Amener un tel processus n'est pas autre chose que pécher contre la volonté de l'Eternel, notre Créateur.
Mais cet acte reçoit la sanction méritée par le péché. En tentant de se révolter contre la logique inflexible de la nature, l'homme entre en conflit avec les principes auxquels il doit d'exister en tant qu'homme. C'est ainsi qu'en agissant contre le vœu de la nature il prépare sa propre ruine.
Ici intervient, il est vrai, l'objection spécifiquement judaïque aussi comique que niaise, du pacifiste moderne : « L'homme doit précisément vaincre la nature ! »
Des millions d'hommes ressassent sans réfléchir cette absurdité d'origine juive et finissent par s'imaginer
qu'ils incarnent une sorte de victoire sur la nature ; mais ils n'apportent comme argument qu'une idée
vaine et, en outre, si absurde qu'on n'en peut pas tirer, à vrai dire, une conception du monde.
En, réalité l'homme n'a encore vaincu la nature sur aucun point ; il a tout au plus saisi et cherché à
soulever quelque petit coin de l'énorme, du gigantesque voile dont elle recouvre ses mystères et secrets
éternels ; il n'a jamais rien inventé, mais seulement découvert tout ce qu'il sait ; il ne domine pas la
nature, il est seulement parvenu, grâce à la connaissance de quelques lois et mystères naturels isolés, à
devenir le maître des êtres vivants auxquels manque cette connaissance : abstraction faite de tout cela,
une idée ne peut l'emporter sur les conditions mises à l'existence et à l'avenir de l'humanité, car l'idée
elle-même ne dépend que de l'homme. Sans hommes, pas d'idées humaines dans ce monde ; donc
l'idée, comme telle, a toujours pour condition la présence des hommes et, par suite, l'existence des lois
qui sont la condition primordiale de cette présence.
Bien plus ! Certaines idées sont liées à l'existence de certains hommes. Cela est surtout vrai pour les
concepts qui ont leurs racines non pas dans une vérité scientifique et concrète, mais dans le monde du
sentiment, ou qui, pour employer une définition très claire et très belle en usage actuellement, reflètent une « expérience intime ». Toutes ces idées, qui n'ont rien à faire avec la froide logique prise en soi, mais représentent de pures manifestations du sentiment, des conceptions morales, sont liées à l'existence des hommes, dont l'imagination et la faculté créatrice les a fait naître. Mais alors la conservation des races et des hommes qui les ont conçues est la condition nécessaire pour la permanence de ces idées. Par exemple, celui qui souhaite sincèrement le triomphe de l'idée pacifiste ici-bas devrait tout mettre en œuvre pour que le monde soit conquis par les Allemands ; car, dans le cas contraire, il se pourrait que le dernier pacifiste meure avec le dernier Allemand, puisque le reste du monde s'est moins laissé prendre au piège de cette absurdité contraire à la nature et à la raison que ne l'a malheureusement fait notre propre peuple. On devrait donc bon gré mal gré se décider résolument à faire la guerre pour arriver au règne du pacifisme. C'était là le vrai plan de Wilson, le Sauveur venu d'Amérique, ou, du moins, c'est ce que croyaient nos rêveurs allemands, et ainsi le but fut atteint.
- que Adolf Hitler est racialiste en plus d'être raciste.
- qu'il n'est pas Athée mais Déiste (en fait comme il a étudier la science, il n'a pas pu réelement devenir chrétien à cause des contradictions entre la science et la Bible).
- qu'il est antisémite (même si ce n'est pas encore convaincant il commence à répendre l'idée que l'origine du mal vient du juif en raison de sa race).
Bien sûr "les musulmans" disent que Adolf Hitler est un juif et d'après un historien non musulman le grand-Père d'Adolf Hitler (Yohan Hitler) serait juif. Donc bref avec la loi de "l'idéologie la bien pensante" :-un juif ne peut pas être raciste contre un juif ou qu'un xénophobe ne peut pas avoir peur d'un étranger si il est lui même un étranger (Hitler est Autrichien à la base avec des origines étrangères). Bref je comprend que vous croyez en des choses fausses et que vous êtes aveuglé à ce point.
Re: “Quel fléau que la richesse unie à l'ignorance !”
Ecrit le 05 mars16, 12:28Ah mais qu'on se trompe pas. Je pense juste que les religion sont d'avantage défini par leur croyant que par leur croyance. Et c'est en ça que l'Islam n'est pas la pire des religions.
- malikveron.
Re: “Quel fléau que la richesse unie à l'ignorance !”
Ecrit le 05 mars16, 15:14Donc qu'on ne se trompe pas. Notamment les trois religions ont des textes violents qui permettent à un croyant qui soit juif, chrétien ou un musulman selon son interprétation des textes d'être aussi criminel et violent que les autres. En fait cela dépend d'avantage du contexte, de l'époque, du lieu et de l'individu croyant. D'ailleurs l'histoire des croisades le montre ou disons que dans cette sorte de compétition criminel et de violence le Chrétien et le Musulman n'ont pas réussi à ce départager, match nul en gros.Ikarus a écrit :Ah mais qu'on se trompe pas. Je pense juste que les religion sont d'avantage défini par leur croyant que par leur croyance. Et c'est en ça que l'Islam n'est pas la pire des religions.
Maintenant moi je pense que l'islam est une religion pire que les deux autres mais ce n'est pas pour les même raisons.
Pour moi:
Si je fais un concours des textes ils semblent que ç'est la religion juif qui est la pire avec le talmud. Mais la dangerosité d'une religion c'est avant tout son nombre de croyant. Pour adhérer à la religion juive il faut être de mère juive donc au final il y aura jamais assez de croyant pour que cette religion soit puissante d'autant plus qu'Adolf Hitler en a éliminé 6 millions, et que "les musulmans" continuent son combat (car eux il est dit dans un hadith que le jour du jugement dernier arrivera quand les musulmans auront tué tous les juifs). De plus un juif ne sera pas forcément un juif en terme de croyance.
Le Christianisme est donc déjà plus dangereux car Jésus a fait une nouvelle alliance, en effet il n'est pas venu apporter la paix mais l'épée qui tranchera ceux qui n'aiment pas Dieu et s'en écarterons de ceux qui aiment Dieu et le suivront. Ceux qui suivront Dieu sont appelés à être les nouveaux enfant d'Israël, une alliance fait par l'amour du christ.
N'importe qui peut s'il le veut devenir chrétien pour ça il doit se faire baptiser au nom du Père, du Fils, du Saint Esprit et de reconnaître la divinité du Christ.
Ces textes sont beaucoup moins violent et les valeurs de Jésus restent paix et amour. Jésus a purifié la loi par la foi, la lapidation est aboli et la polygamie aussi on est obligé de se marier par amour et par les liens de l'amour de ne faire qu'un avec sa compagne (de s'aimer éternellement) jusqu'à la mort.
L'islam est plus dangereuse car il est encore plus facile de se convertir à l'islam. La polygamie est autorisé (comme le coran est à l'origine d'une invention juive il croit que 7 est le chiffre de dieu) et notamment ils sont encouragé à faire 7 enfants. Donc le nombre de croyant sera vite élevé...
Ensuite contrairement au christianisme elle est plus simple et il y a un projet politique avec des lois (moyenâgeuse ) de Allah ect... sans compté que dans le christianisme Dieu est amour et le Bien, mais pas le Diable qui est la crainte du croyant.
Alors que dans l'islam Allah n'est pas amour et pas forcément le bien et il est celui qui châtie. Le croyant ne craint pas Iblis qui n'est qu'un djinn (une créature insignifiante agissant pour le compte de Allah) mais par contre il craint Allah. (Allah est lui même l'épouvantail qui hante le croyant...)
Maintenant l'idéologie de la pensante dit que toutes les religions se valent, sont toutes qu'amour, paix, pacifisme, non raciste, tolérante et amenant que du bonheur. Quels sont des livres spirituels ect...
Moi je dis arnaque!
Je comprend que les croyants font ceux qu'ils veulent de ces textes en fonction de leur personne mais le problème de fond c'est que ces textes ont une raison d'exister et un pourquoi ils ont était crée.
Et c'est ce que j'essaye de montrer avec Mein Kampf car si Hitler est mort, son idéologie aurait pût ne pas mourir.
On aurait eu des croyant qui interprètent Mein Kampf comme ils veulent et par l'endoctrinement de "l'idéologie de la bien pensante" vous penserez que le Nazisme est une religion de tolérance, de paix, d'amour, pacifique, de non violence, absolument pas raciste amenant qu'au bonheur ect... Et le problème de la violence engendré au nom du Führer ce ne sera jamais Mein Kampf mais l'interprétation de certain croyant dit fondamentaliste, intégrité ect...de ces textes. Bref même bêtise qu'avec l'islam.
Pour moi:
Les livres sacrées des 3 religions abrahamiques sont des idéologies écrites en des temps de guerre pour la guerre. Ces livres ont une intelligence et elles mélangent aussi de l'histoire et du spirituel mais elles n'ont pas étaient écrites dans un but d'ordre spirituel à la base.
- malikveron.
Re: “Quel fléau que la richesse unie à l'ignorance !”
Ecrit le 07 mars16, 02:57150
Sa conception de paix et de pacifisme est la même que celle de l'islam en plus évolué.
Hitler résume très par sa conception de paix et de pacifisme la conception de paix et pacifisme de l'islam.Mein Kampf a écrit :En fait, l'idée pacifiste et humanitaire peut être excellente à partir du moment où l'homme supérieur aura conquis et soumis le monde sur une assez grande étendue pour être le seul maître de cette terre. Cette idée ne pourra pas avoir d'effet nuisible que dans la mesure où son application pratique deviendra difficile, et finalement, impossible. Donc, tout d'abord combat puis, peut-être, pacifisme. Sinon l'humanité à dépassé l'apogée de son évolution et le terme n'est pas la domination d'une idée morale quelconque, mais la barbarie et ensuite le chaos. Ce que je viens de dire peut faire rire certains lecteurs, mais notre planète a déjà parcouru l'éther pendant des millions d'années sans qu'il y eût des hommes et il se peut qu'elle poursuive un jour sa course dans les mêmes conditions, si les hommes oublient qu'ils arriveront à un niveau supérieur d'existence non pas en écoutant ce que professent quelques idéologues atteints de démence, mais en apprenant à connaître et en observant rigoureusement les lois d'airain de la nature. Tout ce que nous admirons aujourd'hui sur cette terre - science et art, technique et inventions - est le produit de l'activité créatrice de peuples peu nombreux et peut-être, primitivement, d'une seule race. C'est d'eux que dépend la permanence de toute la civilisation. S'ils succombent, ce qui fait la beauté de cette terre descendra avec eux dans la tombe.
Sa conception de paix et de pacifisme est la même que celle de l'islam en plus évolué.
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