En Genèse XI-6 à 9, c'est dans la ville de Babel que furent confondue le langage de toute la terre : et le seigneur les a dispersés ensuite dans toutes les parties du monde.
La langue primitive, dite langue adamique, est précisée en Genèse XI-6 :
Bible catholique de la Liturgie 2013 : "Et le Seigneur dit : " Ils sont un seul peuple, ils ont tous la même langue : s’ils commencent ainsi, rien ne les empêchera désormais de faire tout ce qu’ils décideront."
TMN 1974 : "Puis Jéhovah dit : “ Voyez ! Ils sont un seul peuple, et il y a une seule langue pour eux tous, et c’est là ce qu’ils commencent à faire. Eh bien, rien désormais ne sera irréalisable pour eux, de ce qu’ils peuvent projeter de faire."
Bible catholique de Jérusalem 2005 : "Et Yahvé dit: "Voici que tous font un seul peuple et parlent une seule langue, et tel est le début de leurs entreprises!Maintenant, aucun dessein ne sera irréalisable pour eux."
Bible catholique Crampon : "Et Jéhovah dit: "Ils sont un seul peuple et ils ont pour eux tous une même langue; et cet ouvrage est le commencement de leurs entreprises; maintenant rien ne les empêchera d'accomplir leurs projets."
Nous avons retrouvé des ruines archéologiques sur Babel, et dès lors, les langues étant vivantes, puis conservées mortes tandis que leur vie se transfère dans de nouvelles langues moderne, ne resterait-il pas une trace de cette langue adamique désormais ? Ou bien aurions-nous perdu tout le patrimoine originel ?
"La langue primitive est-elle disparue au milieu de cette confusion ? Nous pouvons dire avec assurance, qu'elle est demeurée en usage dans la bouche d'une partie des enfants de Sem et aussi d'une partie des enfants de japheth ; et cette langue primitive est comme le point de départ des autres langues parlées dans le monde, comme une source donnant naissance à des ruisseaux sans nombre qui vont décrire au loin des méandres capricieux. Ce langage s'est perpétué dans un état parfait parmi les hébreux jusqu'à ce que le séjour du peuple de Dieu dans la Chaldée l'ait fait modifier d'une manière très sensible. Les enfants de Gomer l'ont-ils transmis intact, au moins dans ses parties essentielles ?"
Exégèse catholique, abbé Boudet, SESA.
Cette universalité d'un foyer commun de naissance du genre humain repose sans cesse l'origine d'une langue primitive universelle. Mais laquelle en porte son origine encore ?
[Catho] La langue adamique survivante ?
[Catho] La langue adamique survivante ?
Ecrit le 25 oct.15, 10:40Re: La langue adamique.
Ecrit le 19 mars16, 17:36"Et Jéhovah Dieu imposa aussi cet ordre à l’homme : “ De tout arbre du jardin tu peux manger à satiété. Mais quant à l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais, tu ne dois pas en manger, car le jour où tu en mangeras, tu mourras à coup sûr. ” Genèse 2:16,17
Cet ordre que Dieu imposa à Adam est la preuve qu'Adam savait que Dieu était son créateur puisqu'il pouvait aussi être son destructeur s'il mangeait du fruit de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais.De mon temps, l'armée était obligatoire. On prenait 1 prune, 1 an plein.
Quand tu te retrouvais devant le "juteux", le caporal, il pouvait être aussi abruti, il était ton supérieur, s'il disait que la terre était plate, tu répétais que la terre était plate. C'est ça, un ordre.
Je conçois mal que le chef d'œuvre de la Création ait été pour Jéhovah Dieu l'humain soumis, bête & discipliné. Il y a dans le genre animal bien mieux déjà que ça...
Il est cité la TMN 1995, bien moins littérale que la référence en Bible littérale : la TMN 1974 Verte.
Je propose donc de reprendre notre choix de verset Genèse 2-16 & 17 à la lumière d'autres traductions aussi sérieuses. On y verra peut-être plus clair. Ce sont en 2015 les meilleurs traductions française qui soient !
Bible de la Liturgie 2013 : "Le Seigneur Dieu donna à l’homme cet ordre : " Tu peux manger les fruits de tous les arbres du jardin. Mais l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras pas ; car, le jour où tu en mangeras, tu mourras."
TOB 2010 : "Le Seigneur Dieu prescrivit à l'homme: «Tu pourras manger de tout arbre du jardin, mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance de ce qui est bon ou mauvais car, du jour où tu en mangeras, tu devras mourir." Une prescription ?
Bible de Jérusalem 2012 : "Et Yahvé Dieu fit à l'homme ce commandement : "Tu peux manger de tous les arbres du jardin. Mais de l'arbre de la connaissance du bien et du mal tu ne mangeras pas, car, le jour où tu en mangeras, tu deviendras passible de mort." Un 1er commenadement ?
Bible des Peuples 2010 : "Puis Yahvé Dieu donna à l’homme un ordre, il lui dit : « Tu mangeras tant que tu voudras de tous les arbres du jardin, mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, ce sera la mort à coup sûr !" Un ordre ?
TMN 1974 verte : "Et Jéhovah Dieu imposa aussi à l’homme cet ordre : de tout arbre du jardin tu pourras manger à satiété. Mais pour ce qui est de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais, tu ne devras pas en manger, car le jour où tu en mangeras, tu mourras à coup sûr." Une autre obligation sans rien en savoir ?
La TMN 1974, ultra littérale par rapport à la TMN 1995 qui prend ses aises, "impose aussi", ce qui considère que sa création a été imposée aussi. Ce n'est pas faux, il fallait y penser ! Bien vu. Inutile de dire qu'il y a alors une absence totale de compréhension sous-entendue, c'est ainsi et pas autrement. L'ordre absolu. Rien ne transpire la moindre réflexion de Adam parce qu'il n'y a là dans cette traduction rien à comprendre pour Adam.
Idem pour la révivion 2013 de la Bible de la Liturgie, c'est un ordre absolu, exactement comme la TMN 1974.
La Bible des Peuples ne dit rien, littéral.
La TOB œcuménique est plus prudente, c'est plus gentil : une prescription. L'autorité est modérée de douceur, comme si Adam ne pouvait pas comprendre la raison. Il la connaîtra en découvrant que le Diable existe ! C'est plus hébraïsant.
La Bible de Jérusalem est le monument de l'archéologie biblique dominicaine, les gardiens des textes sacrés du christianisme. C'est le 1er commandement, bien avant ce que recevra Moïse. Ah, c'est très intelligent, ils font le parallèle déjà. Cela me va bien mieux. Un commandement, cela peut se transgresser, et donc il y a chez Adam un être doué de raisonnement. Et effectivement, il va calculer de connaître, pas forcément comme Eve amoureuse d'un homme devenant plus puissant à ses yeux, mais parce qu'il est curieux de savoir.
Seule la Bible de Jérusalem considère que ce fut le premier commandement divin, et c'est exact, et que Adam est non seulement respectueux, mais aussi responsable devant le genre humain.
Cette fois, la Bible de Jérusalem emporte largement la meilleure traduction.
Curé Henri Boudet : http://www.signovinces.fr/PDF/Livre_Boudet.pdf
"Le titre donné à cet ouvrage semble, au premier abord, trop prétentieux pour être rigoureusement exact. Il est facile , toutefois, d'en démontrer la véri- té, puisque la langue celtique n'est point une langue morte, disparue, mais une LANGUE VIVANTE, par- lée dans l'univers par des millions d'hommes.
Le langage d'une nation aussi puissante que l'était la nation Gauloise , aurait-il pu se perdre ainsi sans laisser aucune trace ? Est-il bien surpre- nant qu'un peuple de notre Europe se serve encore, pour exprimer ses pensées, des termes sortis de la bouche des hommes aux temps les plus reculés du monde?"
Page 11 de son livre, l'abbé Boudet explique : "Toutes ces observations successives ont conduit à penser que la langue sanscrite donnera peut-être la clef de langue celtique, et on l'a cru avec d'autant plus de raison, que les Celtes sont venus de l'Asie, berceau du genre humain.
Nous pouvons observer que les dialectes parlés dans la France, l'Irlande et l'Ecosse devraient nous donner cette clef plus facilement encore que le sanscrit ; car l'altération du langage n'empêche pas, même aujourd'hui de retrouver les mêmes termes celtiques dans les dialectes irlandais, écossais, gallois breton et languedocien."
Source catholique : http://www.signovinces.fr/PDF/Livre_Boudet.pdf
Page 28 & 29 : "Une pensée qui se présente tout naturellement à l'esprit est celle-ci: en supposant le langage des Tectosages comme étant la vraie langue celtique, il semble indispensa- ble que les expressions les plus pures de ce langage se retrouvent abondantes dans les noms des chefs de cette famille dont l'expansion a presque rempli l'univers. On fait remonter à Gomer, fils aîné de Japheth, la paternité de la nation celtique et cimbrique ; il faudrait donc dans la langue anglo-saxonne, que nous appellerons désormais la lan- gue celtique, une grande ressemblance avec l'hébreu, et dans les termes monosyllabiques des deux langues, une certaine conformité, au moins pour une grande partie des mots qui composent les noms propres, sinon pour la totalité de la langue. Cette pensée a un fondement trop assuré pour que nous n'examinions pas si la langue celtique pourra ex- pliquer les noms des premiers hommes cités dans les livres de Moïse, et aussi dans quelques-uns des autres livres des Hébreux.
Il est ici nécessaire d'observer que le séjour prolongé des hébreux à babylone par suite de la captivité avait exercé une influence désastreuse sur leur langage. Un nombre considérable d'expressions chaldéennes s'étaient glissées dans la langue hébraïque et elle en devint grandement défigurée. Après la captivité, Esdras, le docteur habile dans la loi de Moïse, s'appliquant à instruire le peuple dans la loi du seigneur, changea les anciens caractères de l'écriture hébraïque et leur substitua les caractères chaldéens, afin de rendre la lecture de l'Ecriture Sainte plus facile aux juifs déjà accoutumés à ces caractères. Il fut donc obligé non seulement de transcrire l'Ecriture Sainte en caractères connus du peuple, mais encore de traduire l'ancien langage purement hébraïque que la plupart des juifs ne comprenaient plus, en la langue parlée en ce moment et composée d'un mélange d'hébreu et de chaldéen. Ce qui démontre la nécessité absolue de cette tradition faite par Esdras, c'est la difficulté insurmontable éprouvée par l'historien Josèphe, lorsqu'il a cherché à interpréter les noms propres hébraïques par le langage hébreu-chaldéen : aussi ont-ils résisté ordinairement à tous les efforts de sa perspicacité."
Cet ordre que Dieu imposa à Adam est la preuve qu'Adam savait que Dieu était son créateur puisqu'il pouvait aussi être son destructeur s'il mangeait du fruit de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais.De mon temps, l'armée était obligatoire. On prenait 1 prune, 1 an plein.
Quand tu te retrouvais devant le "juteux", le caporal, il pouvait être aussi abruti, il était ton supérieur, s'il disait que la terre était plate, tu répétais que la terre était plate. C'est ça, un ordre.
Je conçois mal que le chef d'œuvre de la Création ait été pour Jéhovah Dieu l'humain soumis, bête & discipliné. Il y a dans le genre animal bien mieux déjà que ça...
Il est cité la TMN 1995, bien moins littérale que la référence en Bible littérale : la TMN 1974 Verte.
Je propose donc de reprendre notre choix de verset Genèse 2-16 & 17 à la lumière d'autres traductions aussi sérieuses. On y verra peut-être plus clair. Ce sont en 2015 les meilleurs traductions française qui soient !
Bible de la Liturgie 2013 : "Le Seigneur Dieu donna à l’homme cet ordre : " Tu peux manger les fruits de tous les arbres du jardin. Mais l’arbre de la connaissance du bien et du mal, tu n’en mangeras pas ; car, le jour où tu en mangeras, tu mourras."
TOB 2010 : "Le Seigneur Dieu prescrivit à l'homme: «Tu pourras manger de tout arbre du jardin, mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance de ce qui est bon ou mauvais car, du jour où tu en mangeras, tu devras mourir." Une prescription ?
Bible de Jérusalem 2012 : "Et Yahvé Dieu fit à l'homme ce commandement : "Tu peux manger de tous les arbres du jardin. Mais de l'arbre de la connaissance du bien et du mal tu ne mangeras pas, car, le jour où tu en mangeras, tu deviendras passible de mort." Un 1er commenadement ?
Bible des Peuples 2010 : "Puis Yahvé Dieu donna à l’homme un ordre, il lui dit : « Tu mangeras tant que tu voudras de tous les arbres du jardin, mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, ce sera la mort à coup sûr !" Un ordre ?
TMN 1974 verte : "Et Jéhovah Dieu imposa aussi à l’homme cet ordre : de tout arbre du jardin tu pourras manger à satiété. Mais pour ce qui est de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais, tu ne devras pas en manger, car le jour où tu en mangeras, tu mourras à coup sûr." Une autre obligation sans rien en savoir ?
La TMN 1974, ultra littérale par rapport à la TMN 1995 qui prend ses aises, "impose aussi", ce qui considère que sa création a été imposée aussi. Ce n'est pas faux, il fallait y penser ! Bien vu. Inutile de dire qu'il y a alors une absence totale de compréhension sous-entendue, c'est ainsi et pas autrement. L'ordre absolu. Rien ne transpire la moindre réflexion de Adam parce qu'il n'y a là dans cette traduction rien à comprendre pour Adam.
Idem pour la révivion 2013 de la Bible de la Liturgie, c'est un ordre absolu, exactement comme la TMN 1974.
La Bible des Peuples ne dit rien, littéral.
La TOB œcuménique est plus prudente, c'est plus gentil : une prescription. L'autorité est modérée de douceur, comme si Adam ne pouvait pas comprendre la raison. Il la connaîtra en découvrant que le Diable existe ! C'est plus hébraïsant.
La Bible de Jérusalem est le monument de l'archéologie biblique dominicaine, les gardiens des textes sacrés du christianisme. C'est le 1er commandement, bien avant ce que recevra Moïse. Ah, c'est très intelligent, ils font le parallèle déjà. Cela me va bien mieux. Un commandement, cela peut se transgresser, et donc il y a chez Adam un être doué de raisonnement. Et effectivement, il va calculer de connaître, pas forcément comme Eve amoureuse d'un homme devenant plus puissant à ses yeux, mais parce qu'il est curieux de savoir.
Seule la Bible de Jérusalem considère que ce fut le premier commandement divin, et c'est exact, et que Adam est non seulement respectueux, mais aussi responsable devant le genre humain.
Cette fois, la Bible de Jérusalem emporte largement la meilleure traduction.
Curé Henri Boudet : http://www.signovinces.fr/PDF/Livre_Boudet.pdf
"Le titre donné à cet ouvrage semble, au premier abord, trop prétentieux pour être rigoureusement exact. Il est facile , toutefois, d'en démontrer la véri- té, puisque la langue celtique n'est point une langue morte, disparue, mais une LANGUE VIVANTE, par- lée dans l'univers par des millions d'hommes.
Le langage d'une nation aussi puissante que l'était la nation Gauloise , aurait-il pu se perdre ainsi sans laisser aucune trace ? Est-il bien surpre- nant qu'un peuple de notre Europe se serve encore, pour exprimer ses pensées, des termes sortis de la bouche des hommes aux temps les plus reculés du monde?"
Page 11 de son livre, l'abbé Boudet explique : "Toutes ces observations successives ont conduit à penser que la langue sanscrite donnera peut-être la clef de langue celtique, et on l'a cru avec d'autant plus de raison, que les Celtes sont venus de l'Asie, berceau du genre humain.
Nous pouvons observer que les dialectes parlés dans la France, l'Irlande et l'Ecosse devraient nous donner cette clef plus facilement encore que le sanscrit ; car l'altération du langage n'empêche pas, même aujourd'hui de retrouver les mêmes termes celtiques dans les dialectes irlandais, écossais, gallois breton et languedocien."
Source catholique : http://www.signovinces.fr/PDF/Livre_Boudet.pdf
Page 28 & 29 : "Une pensée qui se présente tout naturellement à l'esprit est celle-ci: en supposant le langage des Tectosages comme étant la vraie langue celtique, il semble indispensa- ble que les expressions les plus pures de ce langage se retrouvent abondantes dans les noms des chefs de cette famille dont l'expansion a presque rempli l'univers. On fait remonter à Gomer, fils aîné de Japheth, la paternité de la nation celtique et cimbrique ; il faudrait donc dans la langue anglo-saxonne, que nous appellerons désormais la lan- gue celtique, une grande ressemblance avec l'hébreu, et dans les termes monosyllabiques des deux langues, une certaine conformité, au moins pour une grande partie des mots qui composent les noms propres, sinon pour la totalité de la langue. Cette pensée a un fondement trop assuré pour que nous n'examinions pas si la langue celtique pourra ex- pliquer les noms des premiers hommes cités dans les livres de Moïse, et aussi dans quelques-uns des autres livres des Hébreux.
Il est ici nécessaire d'observer que le séjour prolongé des hébreux à babylone par suite de la captivité avait exercé une influence désastreuse sur leur langage. Un nombre considérable d'expressions chaldéennes s'étaient glissées dans la langue hébraïque et elle en devint grandement défigurée. Après la captivité, Esdras, le docteur habile dans la loi de Moïse, s'appliquant à instruire le peuple dans la loi du seigneur, changea les anciens caractères de l'écriture hébraïque et leur substitua les caractères chaldéens, afin de rendre la lecture de l'Ecriture Sainte plus facile aux juifs déjà accoutumés à ces caractères. Il fut donc obligé non seulement de transcrire l'Ecriture Sainte en caractères connus du peuple, mais encore de traduire l'ancien langage purement hébraïque que la plupart des juifs ne comprenaient plus, en la langue parlée en ce moment et composée d'un mélange d'hébreu et de chaldéen. Ce qui démontre la nécessité absolue de cette tradition faite par Esdras, c'est la difficulté insurmontable éprouvée par l'historien Josèphe, lorsqu'il a cherché à interpréter les noms propres hébraïques par le langage hébreu-chaldéen : aussi ont-ils résisté ordinairement à tous les efforts de sa perspicacité."
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