Jésus change-t-il quelque chose aux Postérités ?

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kevver

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Jésus change-t-il quelque chose aux Postérités ?

Ecrit le 30 mars16, 21:47

Message par kevver »

La question de l'identité de la "Postérité", surgit lorsque, selon les images de la Genèse, Dieu règle les comptes, dans le jardin d'Éden, puis annonce les conséquences de la situation. Il va alors s'adresser, par ordre décroissant de culpabilité, d'abord au "Serpent", puis à Ève, et enfin à Adam.

C'est, à ce moment-là, l'occasion la plus parfaite pour exprimer la doctrine chrétienne liée à Jésus de Nazareth et au Golgotha, pour proclamer la venue ultérieure de ce "Messie", la valeur de son "sacrifice", etc. À condition, bien entendu, que Dieu ait eu de telles choses en tête... Car, que
constatons-nous, en réalité ?

À Ève il dit: “ J’augmenterai beaucoup la douleur de ta grossesse ; c’est dans les souffrances que tu mettras au monde des enfants, et vers ton mari sera ton désir, et lui te dominera. ” (Genèse 3:16) Voilà... C'est tout. Dieu ne dit rien d'autre à celle qui vient, paraît-il, d'entraîner, selon nos si excellents théologiens, toute l'Humanité dans la voie du péché et de la mort.

Nous devrions pourtant tenir là une longue explication sur la "Chute", et sur la "Rédemption". Mais non ! Rien ! Rien de rien !

Dieu ne parle que de choses à portée immédiate, et "terre à terre": Ève connaîtra plus de douleurs dans ses enfantements... Bon...

Certains qui veulent à tout prix donner l'illusion d'une "Chute", pour mieux coller à la doctrine générale du Dualisme démoniaque, prétendent voir là, dans cette condamnation, l'origine des douleurs physiques de l'accouchement. Le texte, pourtant, ne signifie rien de tel. Même les animaux peinent dans leurs accouchements - et en meurent quelquefois, demandez au plus proche éleveur de bétail -, et pour quel péché, peut-on nous l'expliquer ?

En réalité, ici, si l'on veut bien s'en tenir au texte, sans délirer, "Dieu" annonce simplement qu'Ève (et elle seule, car il ne parle d'aucune autre femme, notez-le bien !) souffrira à cause de ses propres enfants (car il est parlé d'enfantements, du fait d'avoir des enfants, et non de l'instant précis de l'accouchement).

Et c'est effectivement ce qui se passera des années plus tard, quand elle perdra Abel, assassiné par Caïn, puis quand elle perdra Caïn, obligé de fuir après ce meurtre, vers d'autres lointaines contrées et d'autres peuples contemporains au milieu desquels il finira sa vie (Genèse 4: 8, 16-17). Et cette situation empirera encore quand elle verra ses petits enfants et autres descendants, dégénérer dans leurs comportements, avec les démons...

Quant aux relations d'Ève avec Adam, Dieu se contente de lui signaler que, puisqu'elle a cherché la gloire d'Adam plus que l'obéissance à Dieu, elle (et, à nouveau, aucune autre femme, notez-le bien !) se trouve placée, automatiquement, dans une position d'obéissance et de soumission, vis-à-vis de son mari. Voulant faire d'Adam un autre "Dieu", elle se faisait elle-même esclave de ce "Dieu". Il n'y a même pas là l'ombre d'une condamnation, mais un simple constat. Et c'est tout.

Dans les paroles adressées à Ève, ne figure aucune mention d'une "Rédemption", et encore moins d'une Rédemption "venue du Ciel". Aucune annonce non plus du moindre Nazaréen cloué sur un madrier, au Golgotha.

S'adressant ensuite à Adam, "Dieu" lui dit: "Parce que tu as écouté la voix de ta femme et consommé de l'arbre à propos duquel je t'avais ordonné: 'N'en mange pas !', le sol se trouve maudit, à cause de toi. Dans la peine, tu en tireras ta subsistance, tout au long de ta vie. Il laissera pousser ronces et chardons. Tu te nourriras des végétaux des champs. À la sueur de ton visage, tu mangeras du pain, jusqu'à ce que tu retournes à la terre. Tu es en effet poussière, et c'est à la poussière que tu retourneras" (Genèse 3: 17-19).

C'est tout ! Pas un mot de plus !

Où voit-on le Nazaréen et son "sacrifice rédempteur" là-dedans ? Nulle part ! La malédiction du sol ne concerne évidemment pas la Planète en général, dont les traces fossiles indiquent la présence continue de "ronces et de chardons" bien avant les évènements supposés d'Éden, de même qu'une agriculture prospère et bien organisée, sur plusieurs continents, et largement antérieure à la date supposée de cette conversation entre Dieu et Adam. Là encore, celui-ci vient de faire un simple constat.

Ce sol (celui du jardin d'Éden, évidemment, celui sur lequel se déroule la conversation) est à présent "maudit", puisque son unique couple de jardiniers vient de se faire licencier, avant sa prochaine expulsion. Le sol du jardin d'Éden va donc automatiquement produire, tout comme le sol
non cultivé vers lequel Adam sera renvoyé, des mauvaises herbes et des plantes blessantes.

Conséquence de cette expulsion: Adam devra se diriger vers d'autres terres, non préparées pour les cultures, et il devra transpirer pour obtenir ses propres récoltes. Au bout de cette vie de travail, il finira par mourir et se décomposer, comme tout autre animal de la planète et comme tous les autres Humains, avant lui.

Il est tout de même sidérant de constater que c'est, précisément, lorsque "Dieu" souligne lui-même la nature animale de l'Homme, en le revêtant de peaux de bêtes, et en disant que l'Homme est poussière, et non: "âme" ou "esprit", au sens spirite où ces mots sont compris aujourd'hui, que le Christianisme trouve matière à revendiquer une destinée céleste et divine pour ses ouailles, renouant avec les prétentions coupables adamiques qui consistaient, ne l'oublions pas, à vouloir devenir... "comme des Dieux" !

Car, en aspirant à une existence "dans l'au-delà", qui présente toutes les caractéristiques de la Vie supposée "divine" (1 Pierre 1: 3-5), que ce soit par les voies supposées d'une "immortalité de l'âme", ou par celles d'une "résurrection céleste" (les deux reviennent au même !), il est clair que quiconque réclame une telle destinée, réclame en fait une position "semblable à celle de Dieu", position à partir de laquelle on prétend être juge, et donc décideur du Bien et du Mal (1 Corinthiens 6: 2-3).

Or c'est exactement là le péché d'Adam, que le Christianisme demande ainsi à ses disciples de revendiquer et de renouveler, dans une stricte continuité satanique (Genèse 3: 4-5). Étrange "Rédemption" !

Et pourquoi le Christianisme tourne-t-il ainsi en rond dans l'incompréhension, c'est-à-dire dans le péché ? Parce qu'il ne trouve nulle part, que ce soit dans les paroles "de Dieu" adressées à Adam, ou dans les paroles "de Dieu" adressées à Ève, la moindre annonce de cette "Rédemption universelle" dont il s'est persuadé qu'elle était indispensable. Alors, on invente. Et quand on invente, d'une part, on prend "la place de Dieu", et, d'autre part, on cherche à justifier, de toutes sortes de façons, de s'être ainsi positionné à la place de Dieu. C'est pourquoi on tourne en rond dans le péché...

Il reste encore à examiner ce que Dieu dit au Serpent. Cependant, et avant même de lire ceci, il semble évident que si Dieu avait quelque chose d'important à communiquer, il l'aurait fait aux Humains, et non à un animal rampant.

Mais voyons ce qu'il en est: "Puisque tu as fait cela, (1) tu es maudit parmi toutes les bêtes et tout ce qui vit dans la campagne. (2) Tu ramperas et tu avaleras de la poussière chaque jour de ta vie. (3) Je mettrai inimitié entre toi et la femme, comme entre ton engendrement et son engendrement, et lui, il t'écrasera la tête au moment précis où tu voudras le mordre au talon" (Genèse 3: 14-15).

C'est nous qui numérotons, pour plus de clarté, ci-dessus, et dans les explications suivantes.

Or c'est à partir de ces trois "banalités" adressées au Serpent, que le Christianisme va chercher à bâtir toute sa légitimité. Voyons cela en détail.

La malédiction de ce Serpent ne concerne, évidemment, pour les parties (1) et (2), que ce seul Serpent. Il engraissait paisiblement dans le jardin d'Éden, se nourrissant dans les arbres, loin de la poussière du sol, et finissant même par manger des fruits de l'arbre du "Bien et du Mal". Mais maintenant, lui aussi va se faire expulser, et il va devoir vivre, comme les autres serpents, la honte en plus.

Car le Serpent connaît la honte. Il distingue le Bien et le Mal. S'étant lui-même nourri du fruit de l'arbre du "Bien et du Mal", c'est par expérience personnelle qu'il avait expliqué, directement à Ève: "Non, vous ne mourrez pas ! [...] Mais dès que vous en aurez mangé, vos yeux s'ouvriront et
vous verrez les choses telles qu'elles sont, et vous serez, comme Dieu, capables de savoir ce qui est bien, ou mal !" (Genèse 3: 4-5).


Descendu de son arbre favori, de son "Ciel" d'où, au travers de la Morale dont il s'était nourri, et qu'il avait plutôt mal digérée, il pouvait maintenant accuser tour à tour Dieu, les Anges, et les Hommes (Révélation 12: 9-10), le Serpent devra donc avaler de la poussière (symbole de la mort et des cadavres engendrés par sa déviance), en affrontant l'existence moins glorieuse "des champs". Bref... Jusqu'ici, tout demeure "banal" et platement logique... Pas la moindre trace du Messie ni du Golgotha, ni d'une quelconque "Rédemption".

Enfin, dans cette situation d'expulsé, il croisera la route des autres expulsés, Adam et Ève, avec qui il avait entretenu jusque-là les plus charmantes et hypocrites relations dans le jardin d'Éden, au point que l'on sait. Seulement, puisqu'il devra vivre comme les autres serpents, Adam et Ève ne le
reconnaîtront plus
, et ils devront se méfier de lui, comme de tout autre reptile. D'où l'inimitié (plus la rancoeur d'avoir eu de graves conséquences pour l'avoir écouté, bien entendu). Et, par la suite, les descendants des uns (les enfants d'Adam), et de l'autre (le Serpent), auront repris les bonnes vieilles habitudes, la vipère mordant au ras du sol, et l'Humain cherchant à lui éclater la tête, d'un coup de savate bien appliqué, juste avant la morsure.

Seulement, dans tout cela, il n'y a toujours rien qui puisse suggérer, de quelque façon, un Messie de Nazareth, un Golgotha, ou une Rédemption par la "croix", comme chacun peut le constater.

Il faut donc la cervelle endoctrinée d'un théologien chrétien pour déceler, dans ces simples phrases (le masculin utilisé s'y adresse au seul homme mâle présent, à savoir Adam, bien entendu, lequel, en protégeant ses enfants, craintifs du Serpent, finira par tuer le Serpent), ce qu'il va proclamer être une "anomalie", puis pour tirer de cette prétendue "anomalie", une doctrine religieuse. Mais, à théologien bien (dé)formé, rien d'impossible ! Observez la tactique, c'est passionnant... ou affligeant, comme vous voudrez.

Dans la dernière phrase que Dieu adresse au Serpent, Dieu lui dit: "Lui, il t'écrasera la tête" (Genèse 3: 15). Eh oui. Il y a donc là un mot... au masculin !

Nous ne voyons pas ce que cela change (puisque Dieu désigne évidemment Adam à cet endroit-là), mais pour ceux qui veulent inventer, puisqu'ils n'ont rien trouvé à leur goût dans les déclarations de Dieu, tout est bon ! Aussi, votre conducteur religieux vous expliquera, à partir de là, l'air pénétré et l'oeil humide, que, si Dieu emploie ici au mot au masculin, c'est, non pour le simple besoin de la grammaire, mais pour annoncer que, dans la postérité d'Ève, viendrait un jour un homme, un mâle, Jésus, forcément, qui serait, lui, la "postérité" promise, et qui, lui, liquiderait pour de bon le "Serpent" du jardin d'Éden, lequel aurait évidemment survécu dans l'attente du coup de savate meurtrier.

Même si cette spéculation parfaitement étrangère au texte de la Genèse avait le moindre fondement, il n'y aurait là, en tout état de cause, rien qui puisse justifier d'aucune façon le Golgotha, bien entendu, car, au Golgotha, c'est celui que le Christianisme présente comme "la Postérité de la Femme", Jésus, qui est censé se faire trucider, lui, par "le Serpent", lequel survit...
Incohérence totale... Mais passons.

Comme tout cela s'enfonce dans le ridicule le plus absolu, la Théologie va alors employer les grands moyens pour berner le disciple avide de "croire". On va donc tout lui mélanger: la "Postérité de la Femme", la "Postérité d'Abraham", la "Postérité d'Israël", la "Postérité de David", et, finalement, la "Postérité de Marie"... Dès lors, la victime, incapable de s'y retrouver, n'aura d'autre choix que de s'enfuir, ou de tout accepter, en bloc, sans rien avoir compris, et pour cause, puisqu'il n'y a rien à comprendre.

Un exemple pratique ? Voici: une promesse avait été faite à Abraham, concernant le fait que ses descendants (sa "Postérité", donc), hériteraient un jour le pays de Canaan (Genèse 17: 4-8, 19). Qu'est-ce que ce simple fait devient, sous une plume chrétienne ? Lisons Paul...

"Les promesses ont été faites à Abraham et à sa postérité. Il n'est pas dit: 'Et à ses postérités', comme s'il était question de plusieurs ["comme s'il s'agissait de plusieurs personnes" - la Bible en français courant], mais d'une seule: 'Pour ta postérité', qui est le Christ" (Galates 3: 16). Et voilà ! Le tour est joué !

"Yéhowah" fait lever les yeux d'Abraham vers le Ciel, et lui dit textuellement: "Observe donc les Cieux, et compte les étoiles, si tu peux les compter [...]: aussi nombreuse sera ta postérité" (Genèse 15: 5). Puis il ajoute, en insistant: "Vraiment, je multiplierai ta postérité comme les étoiles des Cieux et comme les grains de sable sur la plage" (Genèse 22: 17).

Et c'est très exactement sur ces mots, par lesquels "Yéhowah" souligne que la postérité d'Abraham sera multiple et nombreuse, que s'appuie Paul, l'Apôtre du Mensonge et de la Falsification, pour dire que cette "postérité" promise consistera en un seul individu, Jésus !

Il fallait le faire. Sans honte, le rabbin Paul l'a fait.

Peut-on aller encore plus loin, dans le mensonge et la tromperie ? Oui.

Jésus, le Maître de Paul, va ici montrer tous ses talents... Il va en effet tricher, lui aussi, à propos de la "Postérité". Il va s'attaquer, pour sa part, à la postérité... de David ! Quand il conclut une alliance avec David, "Yéhowah" lui dit :

"Lorsque tes jours étant accomplis, tu te coucheras avec tes ancêtres, je susciterai assurément après toi ta postérité, quelqu'un issu de tes entrailles, et j'établirai solidement son royaume. Il bâtira une maison pour mon Nom" (2 Samuel 7: 12-13). Il s'agit, à l'évidence, ici, de Salomon, fils de David, qui lui succéda, et qui bâtit le Sanctuaire pour Yéhowah, comme le confirment les Écritures, de sorte qu'aucune interprétation particulière n'est possible (1 Rois 1: 13; 2: 24; 5: 17-19; 8: 18-20; etc.). À quoi ceci aboutit-il, entre les mains de Jésus ?

À son entrée triomphale dans Jérusalem, lui, Jésus, se faisant acclamer, lui, comme la "Postérité de David" (Matthieu 21: 6-9) prétendument en alliance pour le Trône et pour le Sanctuaire, avec Yéhowah. Et les Chrétiens ne voient même pas que Jésus, dans cette pantomime, réitère le péché mortel d'Adonyah (1 Rois 1: 22-30), Jésus ajoutant même, à propos de lui-même, pour parfaire involontairement son identité avec Adonyah, "il y a ici [en lui, Jésus] plus que Salomon" (Matthieu 12: 42).

Dans la pratique, ne pouvant se dépêtrer de cette association vicieuse entre plusieurs revendications fallacieuses de "postérités" différentes, et la paresse mentale faisant le reste, les Chrétiens sont donc amenés à accepter "en bloc" cette "vérité" très spéciale, selon laquelle un individu tombé du Ciel, sans recours au patrimoine génétique humain, serait tout à la fois a) la Postérité d'Ève ("mère du péché", selon les mêmes théologiens ! Non, mais, c'est bien eux qui le disent, n'est-ce pas ? Nous n'inventons rien !), b) la postérité d'Abraham, qui devait hériter le territoire de Canaan (lui, Jésus, expliquant que son royaume n'était pas de ce Monde ! ), et c) la postérité de David chargée de bâtir le Sanctuaire de Yéhowah à Jérusalem (lui, Jésus, dont la seule Prophétie fut donnée pour maudire le Temple et appeler sa ruine !).

Et dans tout cela, y a-t-il quoi que ce soit qui justifie le Golgotha, la Rédemption ou quelqu'autre invention chrétienne ? Rien du tout !

Donc, résumons :

Jésus a-t-il introduit quelque nouveauté que ce soit dans la question des Postérités, et, conséquemment, dans celle des Alliances ? On peut dire une seule chose: lui, le croyait.

Mais, en réalité, qu'en était-il ? Si Jésus avait été la "Postérité de la Femme", il aurait écrasé le Serpent. C'est le seul acte qui était annoncé à propos de cette "Postérité". Il ne l'a pas fait. Il n'était donc pas la Postérité de la Femme.

La simple incohérence entre les prétentions et ce que nous avons montré plus haut, suffit à annuler toute prétention de Jésus à avoir apporté quelque nouveauté que ce soit. On ne peut tout à la fois dire: "J'ai les droits, parce que je descend de Untel ou de Untelautre", et: "J'ai ces droits-là, parce que Untel ou Untelautre ne les avaient pas vraiment".

Abraham prétendait avoir des droits concernant un pays précis, physique, littéral et "historique".

Jésus (selon Christianisme) nous dit: "Non, non ! Ces droits n'étaient rien, c'est pourquoi ils n'ont jamais rien donné ! Mais le Dieu qui avait donné ces droits, me les a donnés à moi, mais sous une autre forme et selon d'autres critères !"
La vie est un miracle. Mais ce miracle ne se trouve pas dans ce monde corrompu.

medico

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Re: Jésus change-t-il quelque chose aux Postérités ?

Ecrit le 30 mars16, 23:08

Message par medico »

La bible du Semeur fait ce commentaire.
Le NT affirme son accomplissement dans la personne et l'oeuvre du Christ né d'une femme ( Gal 4:4) qui à vaincu Satan
TU VEUX PROUVER QUOI EXACTEMENT ?
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah

kevver

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Re: Jésus change-t-il quelque chose aux Postérités ?

Ecrit le 31 mars16, 00:44

Message par kevver »

medico a écrit :La bible du Semeur fait ce commentaire.

TU VEUX PROUVER QUOI EXACTEMENT ?
As-tu lus juste le titre ou l'analyse entière ? :D

Bref aucune annonce d'un Messie dans la postérité de la femme et en plus on mélange toutes les postérités ( celles de David , d'Abraham , de Eve ) ,
mais tout est consignée dans l'analyse...
La vie est un miracle. Mais ce miracle ne se trouve pas dans ce monde corrompu.

medico

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Re: Jésus change-t-il quelque chose aux Postérités ?

Ecrit le 31 mars16, 01:15

Message par medico »

Mais la Bible et un tout et pas uniquement le livre de la Genèse et tu ne peut pas comprendre la prophétie de Genèse 3:15 si tu fais abstraction des autres livres qui font découvrir son sens.
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah

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