Faut répondre a la question ils vont rejoindre l'état islamique ou pas ? onfray et de villepin disent que les attaques de l'état islamique sont la conséquence de la politique étrangère de notre pays ils disent que nous récoltons ce que nous avons semer toi tu dis pas sa donc ils vont rejoindre daech? onfray et de villepin sont bien plus sévère que moi eux disent carrément ont récoltent ce qu"on n a semer formule que j'ai jamais utiliser ,cette formule dis en gros"on l'a bien chercher" ...onfray,de villepin pensent exactement comme moi mais eux sont plus radicale dans la pensée ...onfray le lendemain de l'attentat de Paris a twetter"on récolte ce qu'on n'a semer" ..meme moi je me suis dit onfray soyez plus nuancé car c'est violent de le dire comme sa ...
Alors de villepin et onfray vont rejoindre daesh?
Droite et gauche qui ont internationalement semé la guerre contre l'islam politique récoltent nationalement la guerre de l'islam politique.
— Michel ONFRAY (@michelonfray) 14 Novembre 2015
Invité de Ce Soir (ou jamais!), Dominique de Villepin avait alors livré une analyse limpide sur ce discours et la stratégie belliqueuse engagée contre l’EI : “Ayons conscience que nous avons nous-même en grande partie enfanté l’Etat islamique. Nous nous sommes enfermés dans un cercle vicieux”. Et d’ajouter : “Il n’y a pas de contre-exemple, tout ce que nous savons de ce type de guerre menée depuis des décennies a conduit à l’échec, en particulier depuis l’Afghanistan”.
Quand Dominique de Villepin s'opposait à la "guerre" contre l'Etat islamique
En septembre 2014, l'ancien Premier ministre expliquait qu'il récuse l'idée de faire la "guerre" aux terroristes. Des déclarations partagées en masse depuis les attentats de vendredi.
L’ex-ministre des Affaire étrangères et ex-Premier ministre persiste, ce 15 novembre : “Ce n’est pas à nous d’engager le combat avec nos armées là-bas. Cette approche de ‘guerre’ contre le terrorisme n’est pas la bonne”.
et marc edouard nabe il va rejoindre l'état islamique ?voir sa vidéo ici si quelqu'un peut la mettre dans le bon format pour faire lecture directement merci
https://www.youtube.com/watch?v=-sW7cC7oevk
Les attentats qui ont ensanglanté Paris le 13 novembre dernier et qui ont fait 130 morts sont le fait de religieux fanatisés, qui ne supportent pas que dans un pays comme la France l'on vive contrairement aux préceptes du Coran, en buvant de l'alcool aux terrasses des bars, en discutant avec des femmes, et en plébiscitant un modèle de société égalitaire, laïque et moderne. Voilà le discours dont les médias nous abreuvent depuis deux semaines pour expliquer les motivations meurtrières des terroristes. On a pu lire que la France, et surtout Paris, serait un symbole de la "joie de vivre", et que c'est pour cette raison que les islamistes en auraient fait une cible de choix. Marc-Edouard Nabe défend une toute autre version des évènements, et ce depuis les attentats du 11 septembre, où de semblables interprétations avaient été avancées. Le terrorisme islamique n'est pas une conséquence de l'islam, mais est une réponse directe aux politiques occidentales agressives envers les pays arabes. Cette thèse avait été développée très en détail dans Une lueur d'espoir et J'enfonce le clou, où Nabe passait à la loupe les attentats des années 2000 pour montrer la cohérence politique dont ceux-ci procédaient (précisons au passage que le dégagement de cette cohérence suffit à lui seul à réfuter toute interprétation complotiste des faits). Plus récemment, c'est aux attaques contre Charlie Hebdo que Nabe a consacré le deuxième numéro de sa revue Patience. Le style volontiers emphatique et enthousiaste de Nabe peut laisser croire aux lecteurs inattentifs que celui-ci adule les terroristes et justifie les massacres qu'ils commettent, mais sa position est un peu plus subtile que cela. Dans une interview accordée à Oumma TV, Marc-Edouard Nabe propose la définition du terrorisme qui est sans doute la plus exacte qu'on puisse trouver : "le terrorisme, c'est répondre à l'injustice par une autre injustice". De ce point de vue, ce n'est donc pas à une apologie du terrorisme que Nabe se livre, mais à une analyse globale, qui comprend bien sûr les aspects politiques de la question, mais aussi les ressorts invisibles qui sont à l'oeuvre dans ce genre d'évènement, une analyse qui est une exégèse des coïncidences et des synchronicités quasi-surnaturelles qui s'y manifestent et dont le complotisme fait ses choux gras. Non pas une apologie, donc, mais une "nabologie", comme l'indique le titre de cette vidéo où Nabe analyse, commente, et débat sur les attentats du 13 novembre.