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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
islamislam a écrit :Pour les trinitaires, Dieu n'est pas une personne unique
104:1.9 (1144.6) Les pratiquants de la foi islamique ne réussirent pas non plus à saisir l’idée de la Trinité. Il est toujours difficile, à un monothéisme émergeant, faisant face au polythéisme, de tolérer le trinitarisme. C’est dans les religions ayant une solide tradition monothéiste doublée de souplesse doctrinale que l’idée de trinité s’implante le mieux. Les grands monothéistes, les Hébreux et les mahométans, trouvèrent difficile de distinguer entre l’adoration de trois dieux, le polythéisme et le trinitarisme, l’adoration d’une seule Déité existant sous une manifestation trine de divinité et de personnalité.
104:1.10 (1144.7) Jésus enseigna la vérité à ses apôtres au sujet des personnes de la Trinité du Paradis, mais ils crurent qu’il parlait figurativement et symboliquement. Ayant été élevés dans le monothéisme hébreu, ils trouvèrent difficile d’admettre la moindre croyance qui parût en conflit avec leur concept dominant de Yahweh. Les premiers chrétiens héritèrent des préjugés hébreux contre le concept de la Trinité.
104:1.13 (1145.1) Depuis l’époque de Jésus et jusqu’à la publication de ces révélations, la véritable identité de la Trinité du Paradis n’a pas été connue sur Urantia (sauf par certaines personnes à qui elle fut spécialement révélée). Bien que le concept chrétien de la Trinité fût erroné en fait, il était pratiquement vrai sous le rapport des relations spirituelles. Il ne souffrait d’embarras que dans ses implications philosophiques et ses conséquences cosmologiques. Nombre de personnes douées d’une mentalité cosmique ont eu peine à croire que la Deuxième Personne de la Déité, le deuxième membre d’une Trinité infinie, ait séjourné sur Urantia. En effet, bien que ce soit vrai en esprit, ce n’est pas exact en fait. Les Micaëls Créateurs incorporent pleinement la divinité du Fils Éternel, mais ne sont pas la personnalité absolue.
Lucide a écrit :Complémentaire .
il aurait été écrit que Marie de Magdala n'était jamais venu, et que dans un autre il était écrit quelle était venu , là ça aurait été une contradiction .
Chacun rapporte une partie des événements, une partie de ce qu'ils ont entendu, leur a été rappelé .
Je peux te donner des contradictions dans les évangiles si tu veux Omar ? il y en a !
Mais des choses sans importances, qui sont aussi la preuve de la bonne volonté de ceux qui ont écrit la Bible, ils auraient pu les gommer...
tu es dans le faux complet, tu parles de complémentarité pour le mème événement raconté par personnes différentes, et chacun sa version?????
Pour toi, c est la mème chose lorsque quelqu un dit qu il y avait deux personne et l autre , il dit, qu il n y avait aucune personne?????
Tu es le Romains type qui cherche a cacher la vérité.
En revanche, tu fais bien d avoir des doutes lorsque tu écrit: Mais des choses sans importances, qui sont aussi la preuve de la bonne volonté de ceux qui ont écrit la Bible, ils auraient pu les gommer...
je vais de te donner une mauvaise information: ils l ont fait, ils ont gommés .
La page 1512 du codex Vaticanus contient une plainte d'un scribe correcteur à l'intention d'un des auteurs de
ce Codex :
Il s'agit du passage « Epitre aux Hébreux 1/3 »
Les anciens codex bibliques peuvent comporter des différences notables entre eux . Par exemple le récit présent
au sein de l'évangile selon Jean chapitre 8 concernant « la femme adultère » n'est pas présent au sein des codex
datant du 4ème siècle mais apparaît au sein des codex du 5ème et du 6ème siècle . Le nombre de différences entre
les codex étant conséquent , ce point ne sera donc pas abordé présentement .
Bart D. Ehrman , professeur d’histoire des religions aux États-Unis et auteur de nombreux ouvrages sur la
littérature chrétienne , écrivit un livre ( au cours de l'année 2005 ) intitulé : « Misquoting Jesus » , où il
explique les conclusions tirées de la critique textuelle de la bible :
Bart D. Ehrman dit ( « Misquoting Jesus » page 10 ) :
« Non seulement nous n'avons pas les originaux, mais nous n'avons pas les premières copies des originaux,
nous n'avons même pas les copies des copies des originaux , ni même les copies des copies des copies des
originaux . ce que nous avons sont des copies faites plus tard- beaucoup plus tard. dans la plupart des cas , ce
sont des copies rédigées nombreux siècles plus tard, et toutes ces copies sont différentes l'une de l'autre, dans
des milliers d'endroits. comme nous le verrons plus tard dans ce livre, ces copies différent les unes des autres en
tant d'endroits que nous ne savons même pas combien il existe de différences . il est peut-être plus facile de dire :
il existe plus de différence entre nos manuscrits qu'il y a de mots dans le nouveau testament »
omar13 a écrit :
La page 1512 du codex Vaticanus contient une plainte d'un scribe correcteur à l'intention d'un des auteurs de
ce Codex :
Il s'agit du passage « Epitre aux Hébreux 1/3 »
Seleucide a écrit :On appelle cela la critique textuelle.
Le Coran possède aussi des variantes, textuelles ou orales.
Donc si on suit ton raisonnement, il a également été falsifié.
Appelle les comme tu veux.
je t ai cité que la bible pour te démontrer les énormes falsifications que vous avez, donne moi quelques faux versets coraniques qui justifient tes imaginaires insinuations?????
j attend toujours de me faire lire ce que tu es entrain d écrire: surement tu as appris beaucoup des Romains et leurs dissimulations????
La Bible ne contient pas de falsification, mais des problèmes de critique textuelle.
C'est-à-dire : lorsque tu veux établir, par exemple le texte de l'évangile de Marc, tu regardes l'ensemble des manuscrits disponibles (ou du moins la plus grande partie), et tu constates qu'il peut y avoir ici ou là quelques différences, en grande majorité d'ordre secondaire. La tâche du critique est d'y déceler le texte originel.
Pour le Coran, c'est la même chose. Il n'y a pas de falsification, simplement des problèmes de transmission, qu'elle soit orale ou écrite. Et ces problèmes touchent aussi bien le Coran que la Bible.
Pour le travail sur lequel je suis, j'ai bientôt fini, ne t'inquiète pas.
Il faut d'abord avoir raison. Une idée fausse est une idée fausse.
j espère que tu ne sera pas influencé par ce qu a fait le Roi Romains païen Constantin.
Essaie de ramener les amis "chretiens" sur le bon chemin: celui des musulmans.
omar13 a écrit :
Pour toi, c est la mème chose lorsque quelqu un dit qu il y avait deux personne et l autre , il dit, qu il n y avait aucune personne?????
Cite moi simplement à quel moment il y a deux personnes et l'autre dit qu'il n'y aucune personnes .
Une partie de la découverte du tombeau vide par les femmes version d'Urantia:
189:4.2 (2025.3) Chez Nicodème, se trouvaient rassemblés, avec David Zébédée et Joseph d’Arimathie, douze à quinze disciples de Jésus parmi les plus en vue à Jérusalem. Chez Joseph d’Arimathie, se trouvaient quinze à vingt des principales femmes croyantes. Seules ces femmes demeuraient dans la maison de Joseph et y étaient restées cloitrées durant les heures du sabbat et la soirée d’après le sabbat, de sorte qu’elles ignoraient qu’une garde militaire veillait sur le tombeau. Elles ne savaient pas non plus qu’une deuxième pierre avait été roulée devant l’entrée du tombeau et que l’on avait apposé le sceau de Pilate sur les deux pierres.
189:4.3 (2025.4) Un peu avant trois heures ce dimanche matin, quand les premiers signes de l’aube apparurent à l’orient, cinq des femmes partirent pour la tombe de Jésus. Elles avaient préparé en abondance des onguents spéciaux pour l’embaumement, et emportaient de nombreuses bandelettes de lin. Elles avaient l’intention de mieux embaumer le corps de Jésus et de l’envelopper plus soigneusement dans les nouvelles bandelettes.
189:4.4 (2025.5) Voici les noms des femmes qui partirent en mission pour oindre le corps de Jésus : Marie-Madeleine, Marie la mère des jumeaux Alphée, Salomé la mère des frères Zébédée, Jeanne la femme de Chuza et Suzanne la fille d’Ezra d’Alexandrie.
189:4.5 (2025.6) Il était à peu près trois heures et demie lorsque ces cinq femmes, chargées de leurs onguents, arrivèrent devant le tombeau vide. Au moment où elles sortirent de Jérusalem par la porte de Damas, elles croisèrent quelques soldats plus ou moins frappés de panique et fuyant vers l’intérieur de la ville. Cela les incita à s’arrêter quelques minutes, mais, en voyant qu’il ne se passait rien d’autre, elles se remirent en route.
189:4.6 (2025.7) Elles furent grandement surprises de voir la pierre roulée de côté pour dégager l’entrée du tombeau, d’autant qu’elles s’étaient demandé tout le long du chemin : « Qui va nous aider à rouler la pierre de côté ? » Elles déposèrent leurs fardeaux et commencèrent à se regarder mutuellement avec crainte et stupéfaction. Tandis qu’elles se tenaient là, tremblantes de peur, Marie-Madeleine s’aventura autour de la plus petite des deux pierres et osa entrer dans le sépulcre ouvert. Le tombeau était situé dans le jardin de Joseph, sur la pente du côté oriental de la route, et faisait également face à l’orient. Vers cette heure, l’aube du nouveau jour donnait juste suffisamment de clarté pour permettre à Marie de voir l’endroit où le corps du Maitre avait été étendu et pour constater qu’il n’y était plus. Dans le renfoncement de pierre où Jésus avait été couché, Marie ne vit que la serviette pliée sur laquelle sa tête avait reposé et les bandelettes avec lesquelles il avait été enveloppé, gisant intactes telles qu’elles avaient été posées sur la pierre avant que les armées célestes n’eussent enlevé le corps. Le linceul gisait au pied de la niche mortuaire.
189:4.7 (2026.1) Après que Marie se fut arrêtée quelques instants à l’entrée du tombeau (car au début elle ne distinguait pas assez nettement) elle vit que le corps de Jésus avait disparu et que seuls les linges mortuaires étaient restés en place. Elle poussa alors un cri d’alarme et d’angoisse. Toutes les femmes venues là souffraient d’une grande tension nerveuse ; elles avaient été constamment tendues depuis qu’elles avaient rencontré les soldats en panique à la porte de la ville. Lorsque Marie poussa ce cri d’angoisse, elles furent frappées de terreur et s’enfuirent précipitamment. Elles ne s’arrêtèrent pas avant d’avoir couru tout le long du chemin jusqu’à la porte de Damas. À ce moment, Jeanne prit conscience qu’elles avaient abandonné Marie. Elle rallia ses compagnes, et les quatre repartirent pour le tombeau.
189:4.8 (2026.2) Tandis qu’elles s’approchaient du sépulcre, Marie-Madeleine apeurée, qui avait été encore plus terrorisée en ne trouvant pas ses sœurs en train de l’attendre à sa sortie du tombeau, se précipita maintenant vers elles en s’écriant avec excitation : « Il n’est plus là – on l’a enlevé ! » Puis elle les ramena au tombeau, et elles y entrèrent toutes pour constater qu’il était vide.
189:4.9 (2026.3) Les cinq femmes s’assirent alors sur la pierre près de l’entrée et discutèrent la situation. Il ne leur était pas encore venu à l’idée que Jésus était ressuscité. Elles n’avaient vu personne durant le sabbat et supposaient que le corps avait été transporté dans un autre lieu de repos. Mais, en réfléchissant à cette solution de leur dilemme, elles furent embarrassées pour expliquer l’arrangement ordonné des linges mortuaires. Comment le corps aurait-il pu être enlevé, puisque les bandelettes mêmes dans lesquelles il était enveloppé avaient été laissées en place, apparemment intactes, sur le rayon mortuaire ?
189:4.10 (2026.4) Tandis que ces femmes étaient assises là, aux premières heures de l’aurore de ce nouveau jour, elles regardèrent de côté et virent un étranger silencieux et immobile. Pendant un moment, elles eurent de nouveau peur, mais Marie-Madeleine se précipita vers lui comme si elle le prenait pour le jardinier et lui dit : « Où avez-vous emmené le Maitre ? Où l’ont-ils couché ? Dis-le-nous pour que nous allions le prendre. » Voyant que l’étranger ne lui répondait pas, Marie se mit à pleurer. Alors, Jésus parla aux femmes et leur dit : « Qui cherchez-vous ? » Marie répondit : « Nous cherchons Jésus qui a été enseveli dans le tombeau de Joseph, mais il n’y est plus. Sais-tu où il a été emporté ? » Alors, Jésus dit : « Ce Jésus ne vous a-t-il pas dit, même en Galilée, qu’il mourrait, mais qu’il ressusciterait ? » Ces mots stupéfièrent les femmes, mais le Maitre était tellement changé qu’elles ne le reconnurent pas encore dans la faible lueur du contrejour. Tandis qu’elles méditaient ses paroles, il s’adressa à Madeleine d’une voix familière en disant « Marie. » En entendant ce mot de sympathie bien connue et de salutation affectueuse, elle sut que c’était la voix du Maitre et se précipita pour s’agenouiller à ses pieds en s’écriant : « Mon Seigneur et mon Maitre ! » Toutes les autres femmes reconnurent que c’était bien le Maitre qui se tenait devant elles dans une forme glorifiée, et elles s’agenouillèrent aussitôt devant lui.
189:4.11 (2027.1) Leurs yeux humains furent rendus capables de voir la forme morontielle de Jésus à cause du ministère spécial des transformateurs et des médians associés à certaines personnalités morontielles qui accompagnaient alors Jésus.
189:4.12 (2027.2) Tandis que Marie cherchait à embrasser ses pieds, Jésus dit : « Ne me touche pas, Marie, car je ne suis pas tel que tu m’as connu dans la chair. Sous cette forme, je resterai un temps avec vous avant de monter auprès du Père. Allez toutes maintenant, et dites à mes apôtres – et à Pierre – que je suis ressuscité et que vous m’avez parlé.
189:4.13 (2027.3) Quand ces femmes se furent remises du choc de leur stupéfaction, elles retournèrent en hâte à la ville et chez Élie Marc, où elles racontèrent aux dix apôtres tout ce qui leur était arrivé ; mais les apôtres n’étaient pas disposés à les croire. Ils pensèrent d’abord que les femmes avaient eu une vision, mais, lorsque Marie-Madeleine répéta les paroles que Jésus leur avait adressées et que Pierre entendit son nom, il sortit précipitamment de la salle du haut, suivi de près par Jean, pour arriver au tombeau aussi vite que possible et voir les choses par lui-même.
189:4.14 (2027.4) Les femmes répétèrent aux autres apôtres l’histoire de leur entretien avec Jésus, mais ils ne voulaient pas croire, et ils ne voulaient pas aller se rendre compte par eux-mêmes comme Pierre et Jean.
Lucide a écrit :
Cite moi simplement à quel moment il y a deux personnes et l'autre dit qu'il n'y aucune personnes .
Luc 24:3/4
3 et, étant entrées, elles ne trouvèrent pas le corps du Seigneur Jésus. 4 Comme elles ne savaient que penser de cela, voici, deux hommesleur apparurent, en habits resplendissants
Jean 20/2 Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala se rendit au sépulcre dès le matin, comme il faisait encore obscur; et elle vit que la pierre était ôtée du sépulcre. 2Elle courut vers Simon Pierre et vers l'autre disciple que Jésus aimait, et leur dit: Ils ont enlevé du sépulcre le Seigneur, et nous ne savons où ils l'ont mis.
il n y avait personne.
Claudium a écrit:
189:4.8 (2026.2) Tandis qu’elles s’approchaient du sépulcre, Marie-Madeleine apeurée, qui avait été encore plus terrorisée en ne trouvant pas ses sœurs en train de l’attendre à sa sortie du tombeau, se précipita maintenant vers elles en s’écriant avec excitation : « Il n’est plus là – on l’a enlevé ! » Puis elle les ramena au tombeau, et elles y entrèrent toutes pour constater qu’il était vide. tu es dans le faux complètement.
Bon j'ai 5 petites minutes donc je vais faire court et je vais vous départager lol
Jésus a prophétisé sa résurrection au bout de 3 jours et 3 nuits. On sait que le premier jour de la semaine chez les juifs est le dimanche. Marie a été au tombeau le dimanche matin à l'aube ( cf le verset ci-dessus ), on est d'accord ? Quand est-ce que Jésus a été crucifié ? Amis chrétiens et musulmans je vous laisse chercher, ceci est marqué dans les évangiles, ensuite venez me dire ici si Jésus a bien tenu sa promesse en ressuscitant au bout de 3 jours et 3 nuits. Si il s'avère qu'il a ressuscité avant, la prophétie est donc fausse
Lucide a écrit :
Cite moi simplement à quel moment il y a deux personnes et l'autre dit qu'il n'y aucune personnes .
Luc 24:3/4
3 et, étant entrées, elles ne trouvèrent pas le corps du Seigneur Jésus. 4 Comme elles ne savaient que penser de cela, voici, deux hommesleur apparurent, en habits resplendissants
Jean 20/2 Le premier jour de la semaine, Marie de Magdala se rendit au sépulcre dès le matin, comme il faisait encore obscur; et elle vit que la pierre était ôtée du sépulcre. 2Elle courut vers Simon Pierre et vers l'autre disciple que Jésus aimait, et leur dit: Ils ont enlevé du sépulcre le Seigneur, et nous ne savons où ils l'ont mis.
il n y avait personne.
Claudium a écrit:
189:4.8 (2026.2) Tandis qu’elles s’approchaient du sépulcre, Marie-Madeleine apeurée, qui avait été encore plus terrorisée en ne trouvant pas ses sœurs en train de l’attendre à sa sortie du tombeau, se précipita maintenant vers elles en s’écriant avec excitation : « Il n’est plus là – on l’a enlevé ! » Puis elle les ramena au tombeau, et elles y entrèrent toutes pour constater qu’il était vide. tu es dans le faux complètement.[/quote]
Le livre d'Urantia enseigne aussi entre autres:
121:8.11 (1342.6) Tous ces écrivains présentèrent d’honnêtes descriptions de Jésus tel qu’ils l’avaient vu, tel qu’ils se le rappelaient ou d’après ce qu’ils avaient appris de lui, et selon leurs concepts de ces évènements lointains, influencés par leur ralliement ultérieur à la théologie chrétienne de Paul. Si imparfaits que soient ces documents, ils ont suffi pour changer le cours de l’histoire d’Urantia pendant près de deux-mille ans.
195:9.3 (2082.8) Même grandement modifiés, les enseignements de Jésus ont survécu aux cultes des mystères de leur époque natale, à l’ignorance et à la superstition des âges de ténèbres ; et, en ce moment même, ils triomphent lentement du matérialisme, du machinisme et du laïcisme du vingtième siècle. Et de telles époques de grandes épreuves et de défaites menaçantes sont toujours des périodes de grande révélation.