L'État français est le plus grand terroriste islamiste d'Occident. Le gouvernement anti-chrétien islamophile d'Hollande encourage la construction des mosquées de conquête et détruit les églises politique entreprises par depuis la "terreur révolutionnaire". L'église Saint-Jacques de la Boucherie, l'abbaye de Royaumont, l'abbaye de Chaalis, l'abbaye du Lys... Des centaines de prêtres égorgés, des soeurs noyés dans la Loire...
Hollande, je souhaite que tu aura le meilleur siège, le plus regarder, quand la Charia que tu chérie tant se pratiquera sur la place de la "Concorde".
Sainte-Rita : cette gauche qui regarde les églises tomber
L'évacuation musclée par douze cars de CRS de l'église Sainte-Rita à Paris, promise à destruction, n'était certainement pas une manière de faire quelques jours après le martyr du père Hamel, remarque Eloïse Lenesley.
En ce matin nuageux de juillet, les belles paroles de François Hollande résonnent comme une insulte à la clairvoyance: «Attaquer une église, tuer un prêtre, c'est profaner la République», confiait-il quelques jours plus tôt, après le sauvage assassinat du père Jacques Hamel. Et démolir la paroisse Sainte-Rita, nichée dans le 15e arrondissement, pour y construire des logements privés et sociaux, avec un parking en bonus, qu'est-ce donc? Violenter un abbé et ses ouailles pour les jeter dehors en plein messe, qu'est-ce donc?
Les recours juridiques, la lutte des riverains, le soutien actif de la municipalité LR du 15e, s'ils ont pu retarder l'échéance, ne sont, pour l'heure, pas parvenus à vaincre l'inexorable: la cause de Sainte-Rita semble bel et bien désespérée. Pas moins de douze cars de CRS ont débarqué pour massacrer la porte à la tronçonneuse, puis expulser les occupants protégeant l'édifice, depuis des mois, de l'épée de Damoclès qui plane au-dessus de sa voûte de béton, première du genre à avoir été érigée en France. Elle n'aura hélas pas suffi à justifier une classification «bâtiment remarquable» qui l'aurait sauvée des pelleteuses.
Sur place, Olivier Rigaud, conseiller délégué chargé de l'habitat, exceptionnellement cintré de l'écharpe du maire, nous explique avoir assisté à «l'évacuation violente», au cours de laquelle le prêtre et plusieurs paroissiens ont été «traînés par terre» et où «des élus ont été malmenés». Le procédé a de quoi choquer. «J'ai été prévenu à la dernière minute, hier soir à 21h00 par la préfecture qui a manifestement attendu que je sois absent et en congés», précise le député-maire du 15e Philippe Goujon, scandalisé, qui estime, de plus, que la police a autre chose à faire en cette période d'état d'urgence. En outre, c'est le directeur de cabinet du préfet, et non le préfet lui-même, qui l'a contacté. Pas très classe. «J'ai eu honte de voir traîner un prêtre au sol, interrompre une messe, j'ai honte pour mon pays», ajoute le député Frédéric Lefebvre. De son côté, la gauche pratique la politique de l'autruche, s'appuyant sur une décision de justice confirmée par le Conseil d'État, à la demande du propriétaire, l'association des Chapelles Catholiques et Apostoliques, et du promoteur.
Quid des revendications des riverains, farouchement opposés à la destruction, et des efforts constants de Philippe Goujon pour trouver un repreneur susceptible de perpétuer ce lieu de culte? Frédéric Lefebvre dénonce «une volonté manifeste de saborder toute tentative de reprise de l'église». Pourtant, des orthodoxes ou des coptes égyptiens, entre autres, seraient intéressés. Une partie de la classe politique et médiatique de gauche s'ingénie à discréditer les défenseurs de la petite église en insistant sur le profil «catho tradi d'extrême-droite» de ses «squatteurs», et s'empressant d'oublier que bon nombre d'habitants de l'arrondissement, croyants ou pas, voient d'un très mauvais œil qu'une église néogothique datant de 1900 soit rasée. Le fait que des groupuscules radicaux se révèlent particulièrement mobilisés sur le terrain ne saurait ternir la noblesse de la bataille, celle qui veille à la sauvegarde d'un patrimoine culturel de plus en plus menacé par les idéologies et les basses manœuvres électorales ambiantes. Église gallicane, échappant au cadre de la loi de 1905, et non reconnue comme monument historique, célèbre pour les bénédictions pittoresques qu'elle accorde aux animaux chaque année, Sainte-Rita ne pourra compter que sur la pugnacité de ses partisans pour rester debout.
Au moment où la France s'émeut du martyr de Jacques Hamel, où Manuel Valls parle de financer les mosquées et la formation des imams, où Bernard Cazeneuve rêve de concordat, où François Hollande prétend adresser sa compassion aux chrétiens et honore de sa présence la messe de Notre-Dame - lui qui avait royalement snobé celle de l'intronisation du Pape François en 2013 -, on ne comprend pas que des églises soient abandonnées à leur triste sort et démolies, évacuées avec brutalité par les forces publiques, rayées de l'Histoire, broyées en tas de gravats, dans une indifférence qui tutoie le cynisme. On ne pouvait tomber plus mal.
Le Figaro
La France, État anti-chrétien, "égorge le christianisme"
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La France, État anti-chrétien, "égorge le christianisme"
Ecrit le 03 août16, 16:30L'Angleterre est un cloaque. L'Angleterre est le vivier fertile des fondamentalistes musulmans. Son raisonnement social est de permettre a toutes les religions de prêcher ouvertement. Mais cela est déraisonnable puisque aucune des autres religions ne prêchent la violence apocalyptique. Pourtant, l'Angleterre le permet...-Wole Soyinka
Re: La France, État anti-chrétien, "égorge le christianisme"
Ecrit le 03 août16, 21:04AFP, publié le jeudi 04 août 2016 à 07h50
Marseille: une association de femmes des quartiers Nord déconseille le port du bikini pour une prochaine sortie organisée dans un parc aquatique
"Je compte sur vous pour (...) ne pas venir en 2 pièces", "Burkini/Jilbeb" autorisés: les consignes données par une association de femmes des quartiers Nord de Marseille pour passer une journée dans un parc aquatique privatisé pour l'occasion ont fait bondir mercredi des élus de droite et d'extrême droite.
"Je compte sur vous pour respecter la AWRA et donc de ne pas venir en 2 pièces (parties doivent être cachées de la poitrine aux genoux)", peut-on lire sur l'affiche de l'association Smile 13 et sur sa page Facebook. "Le parc autorise exceptionnellement Burkini/Jilbeb de bain", est-il également écrit.
Cette association qui se présente comme une "association socio-culturelle, sportive et d'entraide pour femmes et enfants" explique avoir "privatisé" le Speed Water Parc, situé au nord de Marseille pour le samedi 10 septembre.
"Bien entendu il y aura des maîtres nageurs hommes c'est la raison pour laquelle l'association a négocié afin qu'exclusivement le parc autorise la baignade en burkini", explique-t-elle sur le réseau social, ajoutant que "les enfants garçons sont également autorisés jusqu'à 10 ans".
L'affiche a fait réagir des élus marseillais, à commencer par le sénateur-maire DVG de la commune Michel Amiel, qui a annoncé vouloir prendre un arrêté d'interdiction: "Je prends un arrêté municipal interdisant cette manifestation sur la commune au motif qu'il est susceptible de troubles à l'ordre public", a-t-il déclaré au Parisien/Aujourd'hui en France.
"Si, sur le plan strictement juridique, M. le préfet estime qu'il n'est pas légal, il n'a qu'à le déférer au tribunal administratif. Je suis choqué et en colère, je considère cet événement comme une provocation dont on n'a pas besoin dans le contexte actuel. C'est du communautarisme pur et dur", a-t-il ajouté.
La députée LR des Bouches-du-Rhône et maire des 11e et 12e arrondissements Valérie Boyer a publié l'affiche sur Twitter en l'accompagnant d'une tribune pour la dénoncer.
"Accepter cette soi-disant mode, c'est conforter le communautarisme dans notre pays, mais c'est aussi une question de dignité de la femme, une question de respect de nos principes fondamentaux", déclare-t-elle.
"Cela n'est en rien anodin, la bataille +du voile+ est l'expression visible de la volonté des intégristes de marquer leur territoire et de soumettre les femmes, comme les hommes, en instaurant un territoire où l'islamisme s'affiche en uniforme et organise un véritable contrôle social", écrit-elle encore.
Dans un communiqué intitulé "fini le +vivre-ensemble+, place au vivre avec le communautarisme islamique !", le sénateur-maire FN des 13e et 14e arrondissements de Marseille Stéphane Ravier estime que "cette journée islamique démontre qu'au-delà des discours rassurants des autorités musulmanes, un certain nombre de musulmans se coupent volontairement de notre modèle républicain, et se mettent d'eux-mêmes à l'écart de notre société".
"Ce centre aquatique qui accueille avec complaisance cette journée doit prendre ses responsabilités et y renoncer", estime M. Ravier.
"Ce type de manifestation à caractère communautarisme est particulièrement troublant et je regrette que la direction de ce parc aquatique l'ait autorisée", juge pour sa part le conseiller municipal PS Stéphane Mari, ancien président du groupe socialiste à la mairie.
"Maintenir ce type de manifestation qui sera nul doute largement médiatisée est porter un coup de canif à notre modèle républicain et favorisera une fois de plus le parti de ceux qui portent les valeurs de haine et d'exclusion", ajoute-t-il.
Ni l'association, ni le centre aquatique n'ont pu être joints par l'AFP mercredi soir.
Marseille: une association de femmes des quartiers Nord déconseille le port du bikini pour une prochaine sortie organisée dans un parc aquatique
"Je compte sur vous pour (...) ne pas venir en 2 pièces", "Burkini/Jilbeb" autorisés: les consignes données par une association de femmes des quartiers Nord de Marseille pour passer une journée dans un parc aquatique privatisé pour l'occasion ont fait bondir mercredi des élus de droite et d'extrême droite.
"Je compte sur vous pour respecter la AWRA et donc de ne pas venir en 2 pièces (parties doivent être cachées de la poitrine aux genoux)", peut-on lire sur l'affiche de l'association Smile 13 et sur sa page Facebook. "Le parc autorise exceptionnellement Burkini/Jilbeb de bain", est-il également écrit.
Cette association qui se présente comme une "association socio-culturelle, sportive et d'entraide pour femmes et enfants" explique avoir "privatisé" le Speed Water Parc, situé au nord de Marseille pour le samedi 10 septembre.
"Bien entendu il y aura des maîtres nageurs hommes c'est la raison pour laquelle l'association a négocié afin qu'exclusivement le parc autorise la baignade en burkini", explique-t-elle sur le réseau social, ajoutant que "les enfants garçons sont également autorisés jusqu'à 10 ans".
L'affiche a fait réagir des élus marseillais, à commencer par le sénateur-maire DVG de la commune Michel Amiel, qui a annoncé vouloir prendre un arrêté d'interdiction: "Je prends un arrêté municipal interdisant cette manifestation sur la commune au motif qu'il est susceptible de troubles à l'ordre public", a-t-il déclaré au Parisien/Aujourd'hui en France.
"Si, sur le plan strictement juridique, M. le préfet estime qu'il n'est pas légal, il n'a qu'à le déférer au tribunal administratif. Je suis choqué et en colère, je considère cet événement comme une provocation dont on n'a pas besoin dans le contexte actuel. C'est du communautarisme pur et dur", a-t-il ajouté.
La députée LR des Bouches-du-Rhône et maire des 11e et 12e arrondissements Valérie Boyer a publié l'affiche sur Twitter en l'accompagnant d'une tribune pour la dénoncer.
"Accepter cette soi-disant mode, c'est conforter le communautarisme dans notre pays, mais c'est aussi une question de dignité de la femme, une question de respect de nos principes fondamentaux", déclare-t-elle.
"Cela n'est en rien anodin, la bataille +du voile+ est l'expression visible de la volonté des intégristes de marquer leur territoire et de soumettre les femmes, comme les hommes, en instaurant un territoire où l'islamisme s'affiche en uniforme et organise un véritable contrôle social", écrit-elle encore.
Dans un communiqué intitulé "fini le +vivre-ensemble+, place au vivre avec le communautarisme islamique !", le sénateur-maire FN des 13e et 14e arrondissements de Marseille Stéphane Ravier estime que "cette journée islamique démontre qu'au-delà des discours rassurants des autorités musulmanes, un certain nombre de musulmans se coupent volontairement de notre modèle républicain, et se mettent d'eux-mêmes à l'écart de notre société".
"Ce centre aquatique qui accueille avec complaisance cette journée doit prendre ses responsabilités et y renoncer", estime M. Ravier.
"Ce type de manifestation à caractère communautarisme est particulièrement troublant et je regrette que la direction de ce parc aquatique l'ait autorisée", juge pour sa part le conseiller municipal PS Stéphane Mari, ancien président du groupe socialiste à la mairie.
"Maintenir ce type de manifestation qui sera nul doute largement médiatisée est porter un coup de canif à notre modèle républicain et favorisera une fois de plus le parti de ceux qui portent les valeurs de haine et d'exclusion", ajoute-t-il.
Ni l'association, ni le centre aquatique n'ont pu être joints par l'AFP mercredi soir.
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