L’islam, c’est la peur (partie 2) Les tueurs.
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L’islam, c’est la peur (partie 2) Les tueurs.
Ecrit le 21 août16, 02:00L’islam, c’est la peur (partie 2)
Cet article est le second d’une série de trois, adaptée des travaux de Bob Smith sur le site Islam's Fatal Flaw.
Deuxième partie : les tueurs
La terreur islamique en chiffres
Examinons maintenant la réalité de cette terreur islamique en Europe, réalité que décrit Flemming Rose, et voyons voir si cela peut nous aider à comprendre le jeu de la peur dans une société musulmane à quasi 100%.
Gardons à l’esprit que les musulmans comptent pour moins de 10% de la population d’Europe occidentale. Et pourtant, même si les musulmans ne représentent qu’un faible pourcentage de la population totale, la présence potentielle au sein de celle-ci de tueurs de l’Islam a eu pour effet de mettre en place les « limites que nous imposons nous-mêmes à une liberté d’expression dont le champ se rétrécit de plus en plus », limites dont parlait Flemming Rose.
Voilà une réalité à prendre en considération. Les Européens ont été élevés dans la liberté d’expression, ils ont grandi dans des sociétés libres et ouvertes, et ils ont peur d’être critiques sur l’Islam alors même que les musulmans représentent moins de 10% de la population de l’Europe de l’Ouest.
Et bien, demandons nous maintenant ce que cela doit être de vivre dans une société où presque 100% des gens sont musulmans. Le degré de terreur doit y être au moins 10 fois pire.
Imaginons une société à 100% musulmane, une société musulmane où des tueurs religieux indécelables au sein de la population, comme Bouyeri [meurtrier de Théo Van Gogh], rôdent littéralement partout. Fondamentalement, la libre parole, le discours critique sur l’Islam sont étouffés dans une société musulmane. Etouffés par le sombre pouvoir de terreur de l’Islam. Etouffés par la peur de ces invisibles tueurs religieux.
Cette impossibilité d’une critique de l’Islam issue de la société islamique elle-même est une des raisons principales qui expliquent pourquoi l’Islam est coincé dans ce cycle sans fin de la violence. Les musulmans perçoivent très bien ce climat de violence autour d’eux. Mais ils savent trop bien que toute tentative d’en discuter de façon critique pourrait attirer l’attention d’un tueur comme Mohammed Bouyeri. Avec donc comme résultat que la plupart des musulmans vivent dans la terreur, terreur d’un système qui les maintient dans la soumission, vivent enfermés dans ce système sans rien pouvoir y faire.
Nous commençons maintenant à comprendre ce qu’est la terreur islamique ; continuons donc nos recherches et discutons de qui sont ces tueurs de l’Islam.
Qui sont les tueurs ?
Pour démarrer notre discussion sur les tueurs de l’Islam, examinons un trait commun à toutes les religions. Parmi les croyants, il y a toutes sortes de niveaux de croyance. Certains ne sont croyants qu’à la marge, et d’autres sont de parfaits dévots. Dans l’intérêt de notre discussion, dessinons une ligne horizontale que nous appellerons l’axe de « l’échelle de la foi ». Sur cette ligne, nous pourrons faire figurer tous les types de croyants, des moins dévots aux plus dévots.
Voilà comment cela se présente : à l’extrême gauche, vous auriez les moins dévots de tous les croyants. Certains parmi eux sont si peu croyants qu’on pourrait presque les considérer comme laïcs athées. Et à l’extrême opposé, nous mettrions les plus dévots de tous.
Graduons notre « échelle de la foi » de 1 à 10, 1 pour les moins dévots, 10 pour les plus dévots.
Les tueurs de l’Islam nous viennent des rangs des croyants les plus dévots de l’Islam. Sur « l’échelle de la foi », on trouve ces fidèles entre 9,75 et 10. Lorsque les circonstances s’y prêtent, ces fidèles sont prêts à en venir à la violence.
Ces fidèles les plus dévots ont été formés à croire aux nombreux appels à la violence que l’on trouve dans les enseignements de l’Islam. Le coran, les hadiths, la sunna, les fondements de l’Islam, tous comportent de nombreux appels à la violence. En outre, les savants musulmans, le système des mollahs, les fatwas et les normes sociales promeuvent le recours à la violence au nom de l’Islam. Les fidèles les plus dévots de l’Islam sont persuadés que Dieu leur a donné l’autorité d’employer la violence au bénéfice de l’Islam (exactement comme M. Bouyeri l’avait dit au tribunal).
Si l’on s’en réfère aux chiffres, ces fidèles les plus dévots – ceux qui sont prêts à user de la violence au nom de l’Islam – représentent de l’ordre de 0,1 à 10% de l’ensemble des croyants. C'est-à-dire entre un croyant sur mille et un croyant sur dix.
Actuellement, on compte environ 1,3 milliard de musulmans. Cela veut dire qu’on évalue le nombre de tueurs potentiels au plus bas à 1,3 million et au plus haut à 130 millions. Et même avec l’estimation plancher, 1,3 million de tueurs représentent une menace considérable. Et 130 millions, c’est une menace si grave qu’elle en est difficile à concevoir.
Cette largeur de la fourchette d’évaluation du nombre de tueurs potentiels parmi les croyants résulte de la prise en compte d’une grande variété de facteurs. Tout d’abord, la majorité de ces tueurs n’a jamais vraiment signé pour « s’enrôler » dans une force islamique constituée en tant que telle, et il est donc impossible de savoir précisément combien ils sont. En plus, la plupart de ceux-ci agissent en fonction de convictions religieuses profondes qui peuvent changer au cours du temps. En outre, l’Islam n’étant pas structuré autour d’une autorité centrale [en dehors du chiisme], n’importe quel croyant dévot peut décider de façon indépendante, à n’importe quel moment, de réaliser son destin religieux. Et de plus, face à certains problèmes particulièrement importants pour l’Islam (comme sa défense devant certaines menaces – voir ce qui se passe en Irak), davantage encore de croyants dévots peuvent se sentir tenus de faire leur devoir religieux.
Et pour empirer les choses, même si les nombres de ces fidèles les plus dévots, ceux qui sont prêts à la violence au nom de l’Islam, sont relativement limités, il faut prendre en considération un second groupe, qui s’emploie à augmenter et amplifier l’influence et les actions de ces tueurs. Il s’agit des sympathisants et des soutiens de la violence religieuse.
Les sympathisants
Ces sympathisants, ces soutiens (de 8 à 9,75 sur notre « échelle de la foi ») agissent en fait comme les yeux et les oreilles des tueurs. Même si les sympathisants ne sont pas forcément enclins à user eux-mêmes de violence, ils sont tout prêts à la soutenir. Ils sont aussi tout prêts à rapporter aux autres ce qu’ils ont vu. Lorsque les sympathisants et les fidèles les plus dévots se retrouvent ensemble, à la mosquée ou ailleurs dans leurs vies, ils discutent, et élargissent significativement le champ de perception des tueurs. Cela accroit considérablement le degré et l’emprise de la terreur.
Traduits en chiffres, ces sympathisants et ces fidèles les plus dévots représentent environ 20% de la population globale des musulmans. Cela veut dire qu’une personne sur cinq est soit un tueur, soit un sympathisant. Et comme on ne sait pas qui est quoi, la présence des sympathisants accroit d’autant cette emprise de la terreur dont nous parlions précédemment.
(Imaginez-vous être musulman dans ce scénario. Chaque fois que vous vous retrouvez avec au moins 5 amis, vous pouvez statistiquement vous retrouver avec un de ces tueurs dévots ou l’un de ses sympathisants. Est-ce que vous pourriez parler franchement des problèmes de religion sans être vraiment « sûrs » de vos amis ?).
En raison du principe islamique de la taqiya (usage de la tromperie et de la dissimulation dans le but de répandre l’Islam), la plupart des musulmans refusent d’admettre l’existence de ce « groupe » des tueurs. Et de plus, les tueurs tueraient quiconque les dévoilerait ou les critiquerait. Les non-musulmans ne reconnaissent généralement pas non plus l’existence de ces tueurs, à cause d’un mélange d’ignorance et de politiquement correct. Et par-dessus le marché, l’Islam rajoute une surcouche avec sa caution religieuse, qui contribue encore davantage à brouiller les idées sur ce sujet.
Ces tueurs peuvent être des individus indépendants, non organisés comme Mohammed Bouyeri, l’assassin de Theo Van Gogh à Amsterdam. Ces tueurs indépendants se lèvent et agissent d’eux-mêmes, comme des « francs tireurs ». L’Islam leur permet à chacun indépendamment, d’imposer par la force la charia, la loi islamique. En raison 1) de leur nature de « franc-tireurs », 2) de leur capacité à rester indécelables avant qu’ils ne passent à l’acte, 3) de leur répartition dans toute le monde musulman, et 4), de leur poids dans la population, ces tueurs potentiels, ces francs-tireurs sont la cause écrasante et principale du climat de terreur qui règne dans le monde musulman. Et lorsque ces tueurs « francs-tireurs » agissent dans le monde non-musulman, on ne voit dans leurs actions que des actes criminels, sans liens avec les injonctions de l’Islam à la violence.
Les tueurs de l’Islam peuvent aussi s’organiser en groupes de tous types et de toutes tailles – depuis la petite cellule de deux individus jusqu’aux grandes organisations comme Al Quaeda, le Jihad Islamique, le Hamas, le Hezbollah ou d’autres organisations terroristes. Ces groupes peuvent agir de manière indépendante ou bien en se coordonnant avec d’autres groupes. Chaque « franc-tireur » isolé peut créer sa propre organisation, dont la taille et la portée dépendront des capacités des individus qui s’y impliqueront. Chacun de ces groupes peut aider ou recevoir l’aide d’autres groupes. Les gouvernements musulmans apportent traditionnellement un soutien clandestin à de nombreux groupes comme ceux-là, en les qualifiant d’ONG.
Et alors que la plupart des tueurs sont situés à l’extrême droite de notre « échelle de la foi », certains croyants parmi les moins dévots peuvent succomber à ce qu’on a appelle le « syndrome du djihad foudroyant ». Cela signifie que, lorsque les circonstances s’y prêtent, ils peuvent se laisser gagner par la violence.
La violence
Les tueurs de l’Islam peuvent agir dans l’anonymat. Comme un poseur de bombes dans un lieu public ou comme un motard qui jetterait sa grenade dans la foule. D’autres sont fiers de sortir du rang et d’agir au grand jour, comme Mohammed Bouyeri, l’assassin de Van Gogh.
Certains tueurs de l’Islam sont faciles à repérer en tant que tels. On les remarque régulièrement dans les nouvelles. Les dix neuf terroristes du 11 septembre étaient des tueurs de l’Islam. Les kamikazes d’Iraq et d’Afghanistan, qui se font sauter dans une noria sans fin d’attentats à la bombe, sont des tueurs de l’Islam. Les hommes de Londres, qui on fait sauter bus et métros, sont des tueurs de l’Islam. Les meurtriers de Beslan en Russie en sont également.
En Thaïlande, les tueurs de l’Islam décapitent des écolières et abattent les travailleurs des plantations. Aux Philippines, ils posent des bombes dans les marchés et dans les ferrys. En Espagne, ils ont fait sauter des trains. En Jordanie, ils font exploser des bombes dans les mariages et abattent des professeurs. En Egypte, ils tirent sur les touristes des pyramides et posent des bombes dans les hôtels. Ce sont eux qui ont assassiné le président Anouar El-Sadate.
En Inde, les tueurs ont frappé à Bombay un certain nombre de fois, et empoisonnent la vie au Cachemire. En Afrique, les tueurs de l’Islam ont agi au Kenya pour faire sauter des bombes à l’ambassade des Etats-Unis. Au Soudan, ils sont responsables des massacres du Darfour. Au Liban et à Gaza, ils lancent des missiles sur Israël. En Argentine, ils ont fait sauter l’ambassade israélienne.
En Europe occidentale, les tueurs de l’Islam sont à l’œuvre au sein des ghettos musulmans, s’assurant que les musulmans ne quittent pas la foi. En France, ils ont posé des bombes dans le métro, et ont contribué aux émeutes de 2006 [2005 plutôt].
Même aux Etats-Unis, les tueurs de l’Islam sont au travail. Nidal Malik Hasan a tué 13 personnes et en a blessé 30 autres à Fort Hood, et John Allen Muhammad a abattu dix personnes à Washington DC. A Salt Lake City, Sulejmen Talovic a tué cinq personnes dans un centre commercial. A Seattle, Naveed Afzal Haq a tué une personne et blessé quatre autres. A l’université de Caroline du Nord de Chapel Hill, un jeune diplômé originaire d’Iran, Mohamed Reza Taheri-Azar a foncé avec son 4x4 dans une foule d’étudiants. Au New Jersey, six tueurs planifiaient d’attaquer Fort Dix. (A noter ici que si le sens commun devrait nous faire croire que tout cela n’est qu’actes criminels isolés et indépendants, ils font tous partie, en réalité, de ce à quoi on peut s’attendre de la part de ce système de violence cyclique de l’Islam).
Dans tous les endroits de la planète où vous trouverez des musulmans, vous trouverez aussi des tueurs de l’Islam. C’est parce que ces tueurs sont très bien répartis dans toute la société islamique ; plus il y a de musulmans, plus il y a de tueurs.
Le programme des tueurs
Ce que font ces tueurs dépend du pourcentage de musulmans au sein des sociétés où ils sont à l’œuvre.
Au sein du monde musulman, leur tâche première consiste à sauvegarder l’Islam. Ils le font en tuant tous ceux qui :
Insultent Allah
Insultent Mahomet
Remettent l’Islam en question, ou essaient de le changer
Cherchent à quitter la foi
(C’est pour cela que les musulmans ont l’air si pieux, qu’ils ne quittent pas leur foi, et qu’on n’entend pas les modérés s’exprimer)
De plus, dans le monde musulman, ils s’emploient aussi à faire adhérer davantage les croyants à la loi de la charia, et à la faire respecter. En Afghanistan, les tueurs font sauter les écoles de filles pour faire advenir leur idéal d’un Etat islamique véritable. En Egypte, ils ont tué Anouar El-Sadate car il enfreignait la loi islamique en cherchant à faire la paix avec Israël.
Là où la société musulmane se frotte à la société non-musulmane, comme c’est le cas maintenant en Europe occidentale, une de leurs tâches principales consiste à s’assurer que les musulmans ne s’assimilent pas dans leurs sociétés d’accueil (tout cela, encore une fois, pour sauvegarder l’Islam). Parmi leurs autres tâches, celle de forcer par la terreur les non-musulmans soit à la conversion, soit à accepter la loi de l’Islam, la charia. Cette terreur peut se concrétiser par des actes criminels, ou par un état permanent de guerre de basse intensité, de guérilla. On en voit des exemples au Cachemire, dans les Balkans, en Thaïlande, aux Philippines, en Afrique subsaharienne, et désormais même en Europe occidentale.
Dans leur écrasante majorité, les tueurs sont de jeunes hommes. Depuis récemment, les tueurs comptent un petit nombre de femmes. Ils viennent de tous les milieux sociaux et économiques. Sans que la pauvreté ne soit le ressort principal, elle agit en faveur des fidèles dévots en recherche de nouvelles « recrues ».
Ce système a même trouvé une manière de canaliser à son profit la rage et le potentiel de destruction de ses jeunes hommes, marginaux et exclus. Ils peuvent s’adonner à leurs pratiques de destruction sur les non-musulmans sous formes de viols, d’agressions, et de chaos généralisé, tout en recevant les compliments des musulmans les plus dévots. C’est pour cela qu’on trouve une telle proportion de musulmans dans les prisons d’Europe.
Voilà la triste réalité des tueurs de l’Islam : c’est parce que l’Islam ne cesse de revendiquer pour eux la légitimité religieuse, que l’Islam, en tant que système, peut compter sur une masse de fidèles, une masse énorme, bénévole et invisible, une masse d’individus non organisée, légitimée pour faire violence, et répartie partout dans le monde, une masse de fidèles dévots fanatisés, prêts à tuer pour que l’Islam reste comme il est.
Ces fidèles dévots constituent en fait une armée non conventionnelle, une armée invisible, une armée fantôme. Une armée où personne n’a besoin d’ordres mais où chaque soldat sait exactement ce qu’il a à faire. Une armée que personne ne contrôle. L’armée la plus terrible que n’a jamais vu le monde.
A suivre : troisième partie, « le système »
Source : Islam is Fear, Part II, par Bob Smith, via Gates of Vienna, 6 novembre 2011. Traduction par Olaf pour Poste de veille
Cet article est le second d’une série de trois, adaptée des travaux de Bob Smith sur le site Islam's Fatal Flaw.
Deuxième partie : les tueurs
La terreur islamique en chiffres
Examinons maintenant la réalité de cette terreur islamique en Europe, réalité que décrit Flemming Rose, et voyons voir si cela peut nous aider à comprendre le jeu de la peur dans une société musulmane à quasi 100%.
Gardons à l’esprit que les musulmans comptent pour moins de 10% de la population d’Europe occidentale. Et pourtant, même si les musulmans ne représentent qu’un faible pourcentage de la population totale, la présence potentielle au sein de celle-ci de tueurs de l’Islam a eu pour effet de mettre en place les « limites que nous imposons nous-mêmes à une liberté d’expression dont le champ se rétrécit de plus en plus », limites dont parlait Flemming Rose.
Voilà une réalité à prendre en considération. Les Européens ont été élevés dans la liberté d’expression, ils ont grandi dans des sociétés libres et ouvertes, et ils ont peur d’être critiques sur l’Islam alors même que les musulmans représentent moins de 10% de la population de l’Europe de l’Ouest.
Et bien, demandons nous maintenant ce que cela doit être de vivre dans une société où presque 100% des gens sont musulmans. Le degré de terreur doit y être au moins 10 fois pire.
Imaginons une société à 100% musulmane, une société musulmane où des tueurs religieux indécelables au sein de la population, comme Bouyeri [meurtrier de Théo Van Gogh], rôdent littéralement partout. Fondamentalement, la libre parole, le discours critique sur l’Islam sont étouffés dans une société musulmane. Etouffés par le sombre pouvoir de terreur de l’Islam. Etouffés par la peur de ces invisibles tueurs religieux.
Cette impossibilité d’une critique de l’Islam issue de la société islamique elle-même est une des raisons principales qui expliquent pourquoi l’Islam est coincé dans ce cycle sans fin de la violence. Les musulmans perçoivent très bien ce climat de violence autour d’eux. Mais ils savent trop bien que toute tentative d’en discuter de façon critique pourrait attirer l’attention d’un tueur comme Mohammed Bouyeri. Avec donc comme résultat que la plupart des musulmans vivent dans la terreur, terreur d’un système qui les maintient dans la soumission, vivent enfermés dans ce système sans rien pouvoir y faire.
Nous commençons maintenant à comprendre ce qu’est la terreur islamique ; continuons donc nos recherches et discutons de qui sont ces tueurs de l’Islam.
Qui sont les tueurs ?
Pour démarrer notre discussion sur les tueurs de l’Islam, examinons un trait commun à toutes les religions. Parmi les croyants, il y a toutes sortes de niveaux de croyance. Certains ne sont croyants qu’à la marge, et d’autres sont de parfaits dévots. Dans l’intérêt de notre discussion, dessinons une ligne horizontale que nous appellerons l’axe de « l’échelle de la foi ». Sur cette ligne, nous pourrons faire figurer tous les types de croyants, des moins dévots aux plus dévots.
Voilà comment cela se présente : à l’extrême gauche, vous auriez les moins dévots de tous les croyants. Certains parmi eux sont si peu croyants qu’on pourrait presque les considérer comme laïcs athées. Et à l’extrême opposé, nous mettrions les plus dévots de tous.
Graduons notre « échelle de la foi » de 1 à 10, 1 pour les moins dévots, 10 pour les plus dévots.
Les tueurs de l’Islam nous viennent des rangs des croyants les plus dévots de l’Islam. Sur « l’échelle de la foi », on trouve ces fidèles entre 9,75 et 10. Lorsque les circonstances s’y prêtent, ces fidèles sont prêts à en venir à la violence.
Ces fidèles les plus dévots ont été formés à croire aux nombreux appels à la violence que l’on trouve dans les enseignements de l’Islam. Le coran, les hadiths, la sunna, les fondements de l’Islam, tous comportent de nombreux appels à la violence. En outre, les savants musulmans, le système des mollahs, les fatwas et les normes sociales promeuvent le recours à la violence au nom de l’Islam. Les fidèles les plus dévots de l’Islam sont persuadés que Dieu leur a donné l’autorité d’employer la violence au bénéfice de l’Islam (exactement comme M. Bouyeri l’avait dit au tribunal).
Si l’on s’en réfère aux chiffres, ces fidèles les plus dévots – ceux qui sont prêts à user de la violence au nom de l’Islam – représentent de l’ordre de 0,1 à 10% de l’ensemble des croyants. C'est-à-dire entre un croyant sur mille et un croyant sur dix.
Actuellement, on compte environ 1,3 milliard de musulmans. Cela veut dire qu’on évalue le nombre de tueurs potentiels au plus bas à 1,3 million et au plus haut à 130 millions. Et même avec l’estimation plancher, 1,3 million de tueurs représentent une menace considérable. Et 130 millions, c’est une menace si grave qu’elle en est difficile à concevoir.
Cette largeur de la fourchette d’évaluation du nombre de tueurs potentiels parmi les croyants résulte de la prise en compte d’une grande variété de facteurs. Tout d’abord, la majorité de ces tueurs n’a jamais vraiment signé pour « s’enrôler » dans une force islamique constituée en tant que telle, et il est donc impossible de savoir précisément combien ils sont. En plus, la plupart de ceux-ci agissent en fonction de convictions religieuses profondes qui peuvent changer au cours du temps. En outre, l’Islam n’étant pas structuré autour d’une autorité centrale [en dehors du chiisme], n’importe quel croyant dévot peut décider de façon indépendante, à n’importe quel moment, de réaliser son destin religieux. Et de plus, face à certains problèmes particulièrement importants pour l’Islam (comme sa défense devant certaines menaces – voir ce qui se passe en Irak), davantage encore de croyants dévots peuvent se sentir tenus de faire leur devoir religieux.
Et pour empirer les choses, même si les nombres de ces fidèles les plus dévots, ceux qui sont prêts à la violence au nom de l’Islam, sont relativement limités, il faut prendre en considération un second groupe, qui s’emploie à augmenter et amplifier l’influence et les actions de ces tueurs. Il s’agit des sympathisants et des soutiens de la violence religieuse.
Les sympathisants
Ces sympathisants, ces soutiens (de 8 à 9,75 sur notre « échelle de la foi ») agissent en fait comme les yeux et les oreilles des tueurs. Même si les sympathisants ne sont pas forcément enclins à user eux-mêmes de violence, ils sont tout prêts à la soutenir. Ils sont aussi tout prêts à rapporter aux autres ce qu’ils ont vu. Lorsque les sympathisants et les fidèles les plus dévots se retrouvent ensemble, à la mosquée ou ailleurs dans leurs vies, ils discutent, et élargissent significativement le champ de perception des tueurs. Cela accroit considérablement le degré et l’emprise de la terreur.
Traduits en chiffres, ces sympathisants et ces fidèles les plus dévots représentent environ 20% de la population globale des musulmans. Cela veut dire qu’une personne sur cinq est soit un tueur, soit un sympathisant. Et comme on ne sait pas qui est quoi, la présence des sympathisants accroit d’autant cette emprise de la terreur dont nous parlions précédemment.
(Imaginez-vous être musulman dans ce scénario. Chaque fois que vous vous retrouvez avec au moins 5 amis, vous pouvez statistiquement vous retrouver avec un de ces tueurs dévots ou l’un de ses sympathisants. Est-ce que vous pourriez parler franchement des problèmes de religion sans être vraiment « sûrs » de vos amis ?).
En raison du principe islamique de la taqiya (usage de la tromperie et de la dissimulation dans le but de répandre l’Islam), la plupart des musulmans refusent d’admettre l’existence de ce « groupe » des tueurs. Et de plus, les tueurs tueraient quiconque les dévoilerait ou les critiquerait. Les non-musulmans ne reconnaissent généralement pas non plus l’existence de ces tueurs, à cause d’un mélange d’ignorance et de politiquement correct. Et par-dessus le marché, l’Islam rajoute une surcouche avec sa caution religieuse, qui contribue encore davantage à brouiller les idées sur ce sujet.
Ces tueurs peuvent être des individus indépendants, non organisés comme Mohammed Bouyeri, l’assassin de Theo Van Gogh à Amsterdam. Ces tueurs indépendants se lèvent et agissent d’eux-mêmes, comme des « francs tireurs ». L’Islam leur permet à chacun indépendamment, d’imposer par la force la charia, la loi islamique. En raison 1) de leur nature de « franc-tireurs », 2) de leur capacité à rester indécelables avant qu’ils ne passent à l’acte, 3) de leur répartition dans toute le monde musulman, et 4), de leur poids dans la population, ces tueurs potentiels, ces francs-tireurs sont la cause écrasante et principale du climat de terreur qui règne dans le monde musulman. Et lorsque ces tueurs « francs-tireurs » agissent dans le monde non-musulman, on ne voit dans leurs actions que des actes criminels, sans liens avec les injonctions de l’Islam à la violence.
Les tueurs de l’Islam peuvent aussi s’organiser en groupes de tous types et de toutes tailles – depuis la petite cellule de deux individus jusqu’aux grandes organisations comme Al Quaeda, le Jihad Islamique, le Hamas, le Hezbollah ou d’autres organisations terroristes. Ces groupes peuvent agir de manière indépendante ou bien en se coordonnant avec d’autres groupes. Chaque « franc-tireur » isolé peut créer sa propre organisation, dont la taille et la portée dépendront des capacités des individus qui s’y impliqueront. Chacun de ces groupes peut aider ou recevoir l’aide d’autres groupes. Les gouvernements musulmans apportent traditionnellement un soutien clandestin à de nombreux groupes comme ceux-là, en les qualifiant d’ONG.
Et alors que la plupart des tueurs sont situés à l’extrême droite de notre « échelle de la foi », certains croyants parmi les moins dévots peuvent succomber à ce qu’on a appelle le « syndrome du djihad foudroyant ». Cela signifie que, lorsque les circonstances s’y prêtent, ils peuvent se laisser gagner par la violence.
La violence
Les tueurs de l’Islam peuvent agir dans l’anonymat. Comme un poseur de bombes dans un lieu public ou comme un motard qui jetterait sa grenade dans la foule. D’autres sont fiers de sortir du rang et d’agir au grand jour, comme Mohammed Bouyeri, l’assassin de Van Gogh.
Certains tueurs de l’Islam sont faciles à repérer en tant que tels. On les remarque régulièrement dans les nouvelles. Les dix neuf terroristes du 11 septembre étaient des tueurs de l’Islam. Les kamikazes d’Iraq et d’Afghanistan, qui se font sauter dans une noria sans fin d’attentats à la bombe, sont des tueurs de l’Islam. Les hommes de Londres, qui on fait sauter bus et métros, sont des tueurs de l’Islam. Les meurtriers de Beslan en Russie en sont également.
En Thaïlande, les tueurs de l’Islam décapitent des écolières et abattent les travailleurs des plantations. Aux Philippines, ils posent des bombes dans les marchés et dans les ferrys. En Espagne, ils ont fait sauter des trains. En Jordanie, ils font exploser des bombes dans les mariages et abattent des professeurs. En Egypte, ils tirent sur les touristes des pyramides et posent des bombes dans les hôtels. Ce sont eux qui ont assassiné le président Anouar El-Sadate.
En Inde, les tueurs ont frappé à Bombay un certain nombre de fois, et empoisonnent la vie au Cachemire. En Afrique, les tueurs de l’Islam ont agi au Kenya pour faire sauter des bombes à l’ambassade des Etats-Unis. Au Soudan, ils sont responsables des massacres du Darfour. Au Liban et à Gaza, ils lancent des missiles sur Israël. En Argentine, ils ont fait sauter l’ambassade israélienne.
En Europe occidentale, les tueurs de l’Islam sont à l’œuvre au sein des ghettos musulmans, s’assurant que les musulmans ne quittent pas la foi. En France, ils ont posé des bombes dans le métro, et ont contribué aux émeutes de 2006 [2005 plutôt].
Même aux Etats-Unis, les tueurs de l’Islam sont au travail. Nidal Malik Hasan a tué 13 personnes et en a blessé 30 autres à Fort Hood, et John Allen Muhammad a abattu dix personnes à Washington DC. A Salt Lake City, Sulejmen Talovic a tué cinq personnes dans un centre commercial. A Seattle, Naveed Afzal Haq a tué une personne et blessé quatre autres. A l’université de Caroline du Nord de Chapel Hill, un jeune diplômé originaire d’Iran, Mohamed Reza Taheri-Azar a foncé avec son 4x4 dans une foule d’étudiants. Au New Jersey, six tueurs planifiaient d’attaquer Fort Dix. (A noter ici que si le sens commun devrait nous faire croire que tout cela n’est qu’actes criminels isolés et indépendants, ils font tous partie, en réalité, de ce à quoi on peut s’attendre de la part de ce système de violence cyclique de l’Islam).
Dans tous les endroits de la planète où vous trouverez des musulmans, vous trouverez aussi des tueurs de l’Islam. C’est parce que ces tueurs sont très bien répartis dans toute la société islamique ; plus il y a de musulmans, plus il y a de tueurs.
Le programme des tueurs
Ce que font ces tueurs dépend du pourcentage de musulmans au sein des sociétés où ils sont à l’œuvre.
Au sein du monde musulman, leur tâche première consiste à sauvegarder l’Islam. Ils le font en tuant tous ceux qui :
Insultent Allah
Insultent Mahomet
Remettent l’Islam en question, ou essaient de le changer
Cherchent à quitter la foi
(C’est pour cela que les musulmans ont l’air si pieux, qu’ils ne quittent pas leur foi, et qu’on n’entend pas les modérés s’exprimer)
De plus, dans le monde musulman, ils s’emploient aussi à faire adhérer davantage les croyants à la loi de la charia, et à la faire respecter. En Afghanistan, les tueurs font sauter les écoles de filles pour faire advenir leur idéal d’un Etat islamique véritable. En Egypte, ils ont tué Anouar El-Sadate car il enfreignait la loi islamique en cherchant à faire la paix avec Israël.
Là où la société musulmane se frotte à la société non-musulmane, comme c’est le cas maintenant en Europe occidentale, une de leurs tâches principales consiste à s’assurer que les musulmans ne s’assimilent pas dans leurs sociétés d’accueil (tout cela, encore une fois, pour sauvegarder l’Islam). Parmi leurs autres tâches, celle de forcer par la terreur les non-musulmans soit à la conversion, soit à accepter la loi de l’Islam, la charia. Cette terreur peut se concrétiser par des actes criminels, ou par un état permanent de guerre de basse intensité, de guérilla. On en voit des exemples au Cachemire, dans les Balkans, en Thaïlande, aux Philippines, en Afrique subsaharienne, et désormais même en Europe occidentale.
Dans leur écrasante majorité, les tueurs sont de jeunes hommes. Depuis récemment, les tueurs comptent un petit nombre de femmes. Ils viennent de tous les milieux sociaux et économiques. Sans que la pauvreté ne soit le ressort principal, elle agit en faveur des fidèles dévots en recherche de nouvelles « recrues ».
Ce système a même trouvé une manière de canaliser à son profit la rage et le potentiel de destruction de ses jeunes hommes, marginaux et exclus. Ils peuvent s’adonner à leurs pratiques de destruction sur les non-musulmans sous formes de viols, d’agressions, et de chaos généralisé, tout en recevant les compliments des musulmans les plus dévots. C’est pour cela qu’on trouve une telle proportion de musulmans dans les prisons d’Europe.
Voilà la triste réalité des tueurs de l’Islam : c’est parce que l’Islam ne cesse de revendiquer pour eux la légitimité religieuse, que l’Islam, en tant que système, peut compter sur une masse de fidèles, une masse énorme, bénévole et invisible, une masse d’individus non organisée, légitimée pour faire violence, et répartie partout dans le monde, une masse de fidèles dévots fanatisés, prêts à tuer pour que l’Islam reste comme il est.
Ces fidèles dévots constituent en fait une armée non conventionnelle, une armée invisible, une armée fantôme. Une armée où personne n’a besoin d’ordres mais où chaque soldat sait exactement ce qu’il a à faire. Une armée que personne ne contrôle. L’armée la plus terrible que n’a jamais vu le monde.
A suivre : troisième partie, « le système »
Source : Islam is Fear, Part II, par Bob Smith, via Gates of Vienna, 6 novembre 2011. Traduction par Olaf pour Poste de veille
Modifié en dernier par claudem le 22 août16, 04:55, modifié 1 fois.
Dieu est notre Père qui nous aime. Jésus était Micaël de Nébadon. Micaël est vivant et peut répondre à vos prières.
Le Livre d'Urantia (La terre) http://www.urantia.org/fr/le-livre-d-ur ... s-du-livre
Le Livre d'Urantia (La terre) http://www.urantia.org/fr/le-livre-d-ur ... s-du-livre
Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 21 août16, 02:36Actuellement, on compte environ 1,3 milliard de musulmans. Cela veut dire qu’on évalue le nombre de tueurs potentiels au plus bas à 1,3 million et au plus haut à 130 millions. Et même avec l’estimation plancher, 1,3 million de tueurs représentent une menace considérable. Et 130 millions, c’est une menace si grave qu’elle en est difficile à concevoir.
Il y a 1 milliard 600 millions de musulmans, c'est vraiment fou ce que cette secte séduit, même des athées français comme le soi-disant athée marié à une musulmane Karlo alias Raf.
Modifié en dernier par yacoub le 21 août16, 03:39, modifié 1 fois.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 21 août16, 03:33Voici pourquoi Plantu, le célèbre caricaturiste du journal "Le Monde", a décidé de ne plus caricaturer les musulmans : la peur d'être tuéclaudem a écrit : Voilà une réalité à prendre en considération. Les Européens ont été élevés dans la liberté d’expression, ils ont grandi dans des sociétés libres et ouvertes, et ils ont peur d’être critiques sur l’Islam alors même que les musulmans représentent moins de 10% de la population de l’Europe de l’Ouest.
Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 21 août16, 03:42Même François Hollande n'ose pas dire "terrorisme islamique" pour ne pas stigmatiser la meilleure des communautés créées par Allah Puissant et Sage. A plat ventre tous devant PBSL.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
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Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 21 août16, 06:31Très bon article, l'outil numéro 1 de L'Islam c'est la peur et la force, comme Satan....claudem a écrit :L’islam, c’est la peur (partie 2)
Cet article est le second d’une série de trois, adaptée des travaux de Bob Smith sur le site Islam's Fatal Flaw.
Deuxième partie : les tueurs
La terreur islamique en chiffres
Examinons maintenant la réalité de cette terreur islamique en Europe, réalité que décrit Flemming Rose, et voyons voir si cela peut nous aider à comprendre le jeu de la peur dans une société musulmane à quasi 100%.
Gardons à l’esprit que les musulmans comptent pour moins de 10% de la population d’Europe occidentale. Et pourtant, même si les musulmans ne représentent qu’un faible pourcentage de la population totale, la présence potentielle au sein de celle-ci de tueurs de l’Islam a eu pour effet de mettre en place les « limites que nous imposons nous-mêmes à une liberté d’expression dont le champ se rétrécit de plus en plus », limites dont parlait Flemming Rose.
Voilà une réalité à prendre en considération. Les Européens ont été élevés dans la liberté d’expression, ils ont grandi dans des sociétés libres et ouvertes, et ils ont peur d’être critiques sur l’Islam alors même que les musulmans représentent moins de 10% de la population de l’Europe de l’Ouest.
Et bien, demandons nous maintenant ce que cela doit être de vivre dans une société où presque 100% des gens sont musulmans. Le degré de terreur doit y être au moins 10 fois pire.
Imaginons une société à 100% musulmane, une société musulmane où des tueurs religieux indécelables au sein de la population, comme Bouyeri [meurtrier de Théo Van Gogh], rôdent littéralement partout. Fondamentalement, la libre parole, le discours critique sur l’Islam sont étouffés dans une société musulmane. Etouffés par le sombre pouvoir de terreur de l’Islam. Etouffés par la peur de ces invisibles tueurs religieux.
Cette impossibilité d’une critique de l’Islam issue de la société islamique elle-même est une des raisons principales qui expliquent pourquoi l’Islam est coincé dans ce cycle sans fin de la violence. Les musulmans perçoivent très bien ce climat de violence autour d’eux. Mais ils savent trop bien que toute tentative d’en discuter de façon critique pourrait attirer l’attention d’un tueur comme Mohammed Bouyeri. Avec donc comme résultat que la plupart des musulmans vivent dans la terreur, terreur d’un système qui les maintient dans la soumission, vivent enfermés dans ce système sans rien pouvoir y faire.
Nous commençons maintenant à comprendre ce qu’est la terreur islamique ; continuons donc nos recherches et discutons de qui sont ces tueurs de l’Islam.
Qui sont les tueurs ?
Pour démarrer notre discussion sur les tueurs de l’Islam, examinons un trait commun à toutes les religions. Parmi les croyants, il y a toutes sortes de niveaux de croyance. Certains ne sont croyants qu’à la marge, et d’autres sont de parfaits dévots. Dans l’intérêt de notre discussion, dessinons une ligne horizontale que nous appellerons l’axe de « l’échelle de la foi ». Sur cette ligne, nous pourrons faire figurer tous les types de croyants, des moins dévots aux plus dévots.
Voilà comment cela se présente : à l’extrême gauche, vous auriez les moins dévots de tous les croyants. Certains parmi eux sont si peu croyants qu’on pourrait presque les considérer comme laïcs athées. Et à l’extrême opposé, nous mettrions les plus dévots de tous.
Graduons notre « échelle de la foi » de 1 à 10, 1 pour les moins dévots, 10 pour les plus dévots.
Les tueurs de l’Islam nous viennent des rangs des croyants les plus dévots de l’Islam. Sur « l’échelle de la foi », on trouve ces fidèles entre 9,75 et 10. Lorsque les circonstances s’y prêtent, ces fidèles sont prêts à en venir à la violence.
Ces fidèles les plus dévots ont été formés à croire aux nombreux appels à la violence que l’on trouve dans les enseignements de l’Islam. Le coran, les hadiths, la sunna, les fondements de l’Islam, tous comportent de nombreux appels à la violence. En outre, les savants musulmans, le système des mollahs, les fatwas et les normes sociales promeuvent le recours à la violence au nom de l’Islam. Les fidèles les plus dévots de l’Islam sont persuadés que Dieu leur a donné l’autorité d’employer la violence au bénéfice de l’Islam (exactement comme M. Bouyeri l’avait dit au tribunal).
Si l’on s’en réfère aux chiffres, ces fidèles les plus dévots – ceux qui sont prêts à user de la violence au nom de l’Islam – représentent de l’ordre de 0,1 à 10% de l’ensemble des croyants. C'est-à-dire entre un croyant sur mille et un croyant sur dix.
Actuellement, on compte environ 1,3 milliard de musulmans. Cela veut dire qu’on évalue le nombre de tueurs potentiels au plus bas à 1,3 million et au plus haut à 130 millions. Et même avec l’estimation plancher, 1,3 million de tueurs représentent une menace considérable. Et 130 millions, c’est une menace si grave qu’elle en est difficile à concevoir.
Cette largeur de la fourchette d’évaluation du nombre de tueurs potentiels parmi les croyants résulte de la prise en compte d’une grande variété de facteurs. Tout d’abord, la majorité de ces tueurs n’a jamais vraiment signé pour « s’enrôler » dans une force islamique constituée en tant que telle, et il est donc impossible de savoir précisément combien ils sont. En plus, la plupart de ceux-ci agissent en fonction de convictions religieuses profondes qui peuvent changer au cours du temps. En outre, l’Islam n’étant pas structuré autour d’une autorité centrale [en dehors du chiisme], n’importe quel croyant dévot peut décider de façon indépendante, à n’importe quel moment, de réaliser son destin religieux. Et de plus, face à certains problèmes particulièrement importants pour l’Islam (comme sa défense devant certaines menaces – voir ce qui se passe en Irak), davantage encore de croyants dévots peuvent se sentir tenus de faire leur devoir religieux.
Et pour empirer les choses, même si les nombres de ces fidèles les plus dévots, ceux qui sont prêts à la violence au nom de l’Islam, sont relativement limités, il faut prendre en considération un second groupe, qui s’emploie à augmenter et amplifier l’influence et les actions de ces tueurs. Il s’agit des sympathisants et des soutiens de la violence religieuse.
Les sympathisants
Ces sympathisants, ces soutiens (de 8 à 9,75 sur notre « échelle de la foi ») agissent en fait comme les yeux et les oreilles des tueurs. Même si les sympathisants ne sont pas forcément enclins à user eux-mêmes de violence, ils sont tout prêts à la soutenir. Ils sont aussi tout prêts à rapporter aux autres ce qu’ils ont vu. Lorsque les sympathisants et les fidèles les plus dévots se retrouvent ensemble, à la mosquée ou ailleurs dans leurs vies, ils discutent, et élargissent significativement le champ de perception des tueurs. Cela accroit considérablement le degré et l’emprise de la terreur.
Traduits en chiffres, ces sympathisants et ces fidèles les plus dévots représentent environ 20% de la population globale des musulmans. Cela veut dire qu’une personne sur cinq est soit un tueur, soit un sympathisant. Et comme on ne sait pas qui est quoi, la présence des sympathisants accroit d’autant cette emprise de la terreur dont nous parlions précédemment.
(Imaginez-vous être musulman dans ce scénario. Chaque fois que vous vous retrouvez avec au moins 5 amis, vous pouvez statistiquement vous retrouver avec un de ces tueurs dévots ou l’un de ses sympathisants. Est-ce que vous pourriez parler franchement des problèmes de religion sans être vraiment « sûrs » de vos amis ?).
En raison du principe islamique de la taqiya (usage de la tromperie et de la dissimulation dans le but de répandre l’Islam), la plupart des musulmans refusent d’admettre l’existence de ce « groupe » des tueurs. Et de plus, les tueurs tueraient quiconque les dévoilerait ou les critiquerait. Les non-musulmans ne reconnaissent généralement pas non plus l’existence de ces tueurs, à cause d’un mélange d’ignorance et de politiquement correct. Et par-dessus le marché, l’Islam rajoute une surcouche avec sa caution religieuse, qui contribue encore davantage à brouiller les idées sur ce sujet.
Ces tueurs peuvent être des individus indépendants, non organisés comme Mohammed Bouyeri, l’assassin de Theo Van Gogh à Amsterdam. Ces tueurs indépendants se lèvent et agissent d’eux-mêmes, comme des « francs tireurs ». L’Islam leur permet à chacun indépendamment, d’imposer par la force la charia, la loi islamique. En raison 1) de leur nature de « franc-tireurs », 2) de leur capacité à rester indécelables avant qu’ils ne passent à l’acte, 3) de leur répartition dans toute le monde musulman, et 4), de leur poids dans la population, ces tueurs potentiels, ces francs-tireurs sont la cause écrasante et principale du climat de terreur qui règne dans le monde musulman. Et lorsque ces tueurs « francs-tireurs » agissent dans le monde non-musulman, on ne voit dans leurs actions que des actes criminels, sans liens avec les injonctions de l’Islam à la violence.
Les tueurs de l’Islam peuvent aussi s’organiser en groupes de tous types et de toutes tailles – depuis la petite cellule de deux individus jusqu’aux grandes organisations comme Al Quaeda, le Jihad Islamique, le Hamas, le Hezbollah ou d’autres organisations terroristes. Ces groupes peuvent agir de manière indépendante ou bien en se coordonnant avec d’autres groupes. Chaque « franc-tireur » isolé peut créer sa propre organisation, dont la taille et la portée dépendront des capacités des individus qui s’y impliqueront. Chacun de ces groupes peut aider ou recevoir l’aide d’autres groupes. Les gouvernements musulmans apportent traditionnellement un soutien clandestin à de nombreux groupes comme ceux-là, en les qualifiant d’ONG.
Et alors que la plupart des tueurs sont situés à l’extrême droite de notre « échelle de la foi », certains croyants parmi les moins dévots peuvent succomber à ce qu’on a appelle le « syndrome du djihad foudroyant ». Cela signifie que, lorsque les circonstances s’y prêtent, ils peuvent se laisser gagner par la violence.
La violence
Les tueurs de l’Islam peuvent agir dans l’anonymat. Comme un poseur de bombes dans un lieu public ou comme un motard qui jetterait sa grenade dans la foule. D’autres sont fiers de sortir du rang et d’agir au grand jour, comme Mohammed Bouyeri, l’assassin de Van Gogh.
Certains tueurs de l’Islam sont faciles à repérer en tant que tels. On les remarque régulièrement dans les nouvelles. Les dix neuf terroristes du 11 septembre étaient des tueurs de l’Islam. Les kamikazes d’Iraq et d’Afghanistan, qui se font sauter dans une noria sans fin d’attentats à la bombe, sont des tueurs de l’Islam. Les hommes de Londres, qui on fait sauter bus et métros, sont des tueurs de l’Islam. Les meurtriers de Beslan en Russie en sont également.
En Thaïlande, les tueurs de l’Islam décapitent des écolières et abattent les travailleurs des plantations. Aux Philippines, ils posent des bombes dans les marchés et dans les ferrys. En Espagne, ils ont fait sauter des trains. En Jordanie, ils font exploser des bombes dans les mariages et abattent des professeurs. En Egypte, ils tirent sur les touristes des pyramides et posent des bombes dans les hôtels. Ce sont eux qui ont assassiné le président Anouar El-Sadate.
En Inde, les tueurs ont frappé à Bombay un certain nombre de fois, et empoisonnent la vie au Cachemire. En Afrique, les tueurs de l’Islam ont agi au Kenya pour faire sauter des bombes à l’ambassade des Etats-Unis. Au Soudan, ils sont responsables des massacres du Darfour. Au Liban et à Gaza, ils lancent des missiles sur Israël. En Argentine, ils ont fait sauter l’ambassade israélienne.
En Europe occidentale, les tueurs de l’Islam sont à l’œuvre au sein des ghettos musulmans, s’assurant que les musulmans ne quittent pas la foi. En France, ils ont posé des bombes dans le métro, et ont contribué aux émeutes de 2006 [2005 plutôt].
Même aux Etats-Unis, les tueurs de l’Islam sont au travail. Nidal Malik Hasan a tué 13 personnes et en a blessé 30 autres à Fort Hood, et John Allen Muhammad a abattu dix personnes à Washington DC. A Salt Lake City, Sulejmen Talovic a tué cinq personnes dans un centre commercial. A Seattle, Naveed Afzal Haq a tué une personne et blessé quatre autres. A l’université de Caroline du Nord de Chapel Hill, un jeune diplômé originaire d’Iran, Mohamed Reza Taheri-Azar a foncé avec son 4x4 dans une foule d’étudiants. Au New Jersey, six tueurs planifiaient d’attaquer Fort Dix. (A noter ici que si le sens commun devrait nous faire croire que tout cela n’est qu’actes criminels isolés et indépendants, ils font tous partie, en réalité, de ce à quoi on peut s’attendre de la part de ce système de violence cyclique de l’Islam).
Dans tous les endroits de la planète où vous trouverez des musulmans, vous trouverez aussi des tueurs de l’Islam. C’est parce que ces tueurs sont très bien répartis dans toute la société islamique ; plus il y a de musulmans, plus il y a de tueurs.
Le programme des tueurs
Ce que font ces tueurs dépend du pourcentage de musulmans au sein des sociétés où ils sont à l’œuvre.
Au sein du monde musulman, leur tâche première consiste à sauvegarder l’Islam. Ils le font en tuant tous ceux qui :
Insultent Allah
Insultent Mahomet
Remettent l’Islam en question, ou essaient de le changer
Cherchent à quitter la foi
(C’est pour cela que les musulmans ont l’air si pieux, qu’ils ne quittent pas leur foi, et qu’on n’entend pas les modérés s’exprimer)
De plus, dans le monde musulman, ils s’emploient aussi à faire adhérer davantage les croyants à la loi de la charia, et à la faire respecter. En Afghanistan, les tueurs font sauter les écoles de filles pour faire advenir leur idéal d’un Etat islamique véritable. En Egypte, ils ont tué Anouar El-Sadate car il enfreignait la loi islamique en cherchant à faire la paix avec Israël.
Là où la société musulmane se frotte à la société non-musulmane, comme c’est le cas maintenant en Europe occidentale, une de leurs tâches principales consiste à s’assurer que les musulmans ne s’assimilent pas dans leurs sociétés d’accueil (tout cela, encore une fois, pour sauvegarder l’Islam). Parmi leurs autres tâches, celle de forcer par la terreur les non-musulmans soit à la conversion, soit à accepter la loi de l’Islam, la charia. Cette terreur peut se concrétiser par des actes criminels, ou par un état permanent de guerre de basse intensité, de guérilla. On en voit des exemples au Cachemire, dans les Balkans, en Thaïlande, aux Philippines, en Afrique subsaharienne, et désormais même en Europe occidentale.
Dans leur écrasante majorité, les tueurs sont de jeunes hommes. Depuis récemment, les tueurs comptent un petit nombre de femmes. Ils viennent de tous les milieux sociaux et économiques. Sans que la pauvreté ne soit le ressort principal, elle agit en faveur des fidèles dévots en recherche de nouvelles « recrues ».
Ce système a même trouvé une manière de canaliser à son profit la rage et le potentiel de destruction de ses jeunes hommes, marginaux et exclus. Ils peuvent s’adonner à leurs pratiques de destruction sur les non-musulmans sous formes de viols, d’agressions, et de chaos généralisé, tout en recevant les compliments des musulmans les plus dévots. C’est pour cela qu’on trouve une telle proportion de musulmans dans les prisons d’Europe.
Voilà la triste réalité des tueurs de l’Islam : c’est parce que l’Islam ne cesse de revendiquer pour eux la légitimité religieuse, que l’Islam, en tant que système, peut compter sur une masse de fidèles, une masse énorme, bénévole et invisible, une masse d’individus non organisée, légitimée pour faire violence, et répartie partout dans le monde, une masse de fidèles dévots fanatisés, prêts à tuer pour que l’Islam reste comme il est.
Ces fidèles dévots constituent en fait une armée non conventionnelle, une armée invisible, une armée fantôme. Une armée où personne n’a besoin d’ordres mais où chaque soldat sait exactement ce qu’il a à faire. Une armée que personne ne contrôle. L’armée la plus terrible que n’a jamais vu le monde.
A suivre : troisième partie, « le système »
Source : Islam is Fear, Part II, par Bob Smith, via Gates of Vienna, 6 novembre 2011. Traduction par Olaf pour Poste de veille
Jean 10
…10Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance. 11Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis.
Les témoignages sont nombreux.
Le fruit du péché ne s'évalue, ni à l'œil, ni au goût, mais toujours à ses résultats.
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Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 21 août16, 06:31Très bon article, c'est évident que l'outil numéro 1 de L'Islam c'est la peur et la force la contrainte, comme Satan....claudem a écrit :L’islam, c’est la peur (partie 2)
Cet article est le second d’une série de trois, adaptée des travaux de Bob Smith sur le site Islam's Fatal Flaw.
Deuxième partie : les tueurs
La terreur islamique en chiffres
Examinons maintenant la réalité de cette terreur islamique en Europe, réalité que décrit Flemming Rose, et voyons voir si cela peut nous aider à comprendre le jeu de la peur dans une société musulmane à quasi 100%.
Gardons à l’esprit que les musulmans comptent pour moins de 10% de la population d’Europe occidentale. Et pourtant, même si les musulmans ne représentent qu’un faible pourcentage de la population totale, la présence potentielle au sein de celle-ci de tueurs de l’Islam a eu pour effet de mettre en place les « limites que nous imposons nous-mêmes à une liberté d’expression dont le champ se rétrécit de plus en plus », limites dont parlait Flemming Rose.
Voilà une réalité à prendre en considération. Les Européens ont été élevés dans la liberté d’expression, ils ont grandi dans des sociétés libres et ouvertes, et ils ont peur d’être critiques sur l’Islam alors même que les musulmans représentent moins de 10% de la population de l’Europe de l’Ouest.
Et bien, demandons nous maintenant ce que cela doit être de vivre dans une société où presque 100% des gens sont musulmans. Le degré de terreur doit y être au moins 10 fois pire.
Imaginons une société à 100% musulmane, une société musulmane où des tueurs religieux indécelables au sein de la population, comme Bouyeri [meurtrier de Théo Van Gogh], rôdent littéralement partout. Fondamentalement, la libre parole, le discours critique sur l’Islam sont étouffés dans une société musulmane. Etouffés par le sombre pouvoir de terreur de l’Islam. Etouffés par la peur de ces invisibles tueurs religieux.
Cette impossibilité d’une critique de l’Islam issue de la société islamique elle-même est une des raisons principales qui expliquent pourquoi l’Islam est coincé dans ce cycle sans fin de la violence. Les musulmans perçoivent très bien ce climat de violence autour d’eux. Mais ils savent trop bien que toute tentative d’en discuter de façon critique pourrait attirer l’attention d’un tueur comme Mohammed Bouyeri. Avec donc comme résultat que la plupart des musulmans vivent dans la terreur, terreur d’un système qui les maintient dans la soumission, vivent enfermés dans ce système sans rien pouvoir y faire.
Nous commençons maintenant à comprendre ce qu’est la terreur islamique ; continuons donc nos recherches et discutons de qui sont ces tueurs de l’Islam.
Qui sont les tueurs ?
Pour démarrer notre discussion sur les tueurs de l’Islam, examinons un trait commun à toutes les religions. Parmi les croyants, il y a toutes sortes de niveaux de croyance. Certains ne sont croyants qu’à la marge, et d’autres sont de parfaits dévots. Dans l’intérêt de notre discussion, dessinons une ligne horizontale que nous appellerons l’axe de « l’échelle de la foi ». Sur cette ligne, nous pourrons faire figurer tous les types de croyants, des moins dévots aux plus dévots.
Voilà comment cela se présente : à l’extrême gauche, vous auriez les moins dévots de tous les croyants. Certains parmi eux sont si peu croyants qu’on pourrait presque les considérer comme laïcs athées. Et à l’extrême opposé, nous mettrions les plus dévots de tous.
Graduons notre « échelle de la foi » de 1 à 10, 1 pour les moins dévots, 10 pour les plus dévots.
Les tueurs de l’Islam nous viennent des rangs des croyants les plus dévots de l’Islam. Sur « l’échelle de la foi », on trouve ces fidèles entre 9,75 et 10. Lorsque les circonstances s’y prêtent, ces fidèles sont prêts à en venir à la violence.
Ces fidèles les plus dévots ont été formés à croire aux nombreux appels à la violence que l’on trouve dans les enseignements de l’Islam. Le coran, les hadiths, la sunna, les fondements de l’Islam, tous comportent de nombreux appels à la violence. En outre, les savants musulmans, le système des mollahs, les fatwas et les normes sociales promeuvent le recours à la violence au nom de l’Islam. Les fidèles les plus dévots de l’Islam sont persuadés que Dieu leur a donné l’autorité d’employer la violence au bénéfice de l’Islam (exactement comme M. Bouyeri l’avait dit au tribunal).
Si l’on s’en réfère aux chiffres, ces fidèles les plus dévots – ceux qui sont prêts à user de la violence au nom de l’Islam – représentent de l’ordre de 0,1 à 10% de l’ensemble des croyants. C'est-à-dire entre un croyant sur mille et un croyant sur dix.
Actuellement, on compte environ 1,3 milliard de musulmans. Cela veut dire qu’on évalue le nombre de tueurs potentiels au plus bas à 1,3 million et au plus haut à 130 millions. Et même avec l’estimation plancher, 1,3 million de tueurs représentent une menace considérable. Et 130 millions, c’est une menace si grave qu’elle en est difficile à concevoir.
Cette largeur de la fourchette d’évaluation du nombre de tueurs potentiels parmi les croyants résulte de la prise en compte d’une grande variété de facteurs. Tout d’abord, la majorité de ces tueurs n’a jamais vraiment signé pour « s’enrôler » dans une force islamique constituée en tant que telle, et il est donc impossible de savoir précisément combien ils sont. En plus, la plupart de ceux-ci agissent en fonction de convictions religieuses profondes qui peuvent changer au cours du temps. En outre, l’Islam n’étant pas structuré autour d’une autorité centrale [en dehors du chiisme], n’importe quel croyant dévot peut décider de façon indépendante, à n’importe quel moment, de réaliser son destin religieux. Et de plus, face à certains problèmes particulièrement importants pour l’Islam (comme sa défense devant certaines menaces – voir ce qui se passe en Irak), davantage encore de croyants dévots peuvent se sentir tenus de faire leur devoir religieux.
Et pour empirer les choses, même si les nombres de ces fidèles les plus dévots, ceux qui sont prêts à la violence au nom de l’Islam, sont relativement limités, il faut prendre en considération un second groupe, qui s’emploie à augmenter et amplifier l’influence et les actions de ces tueurs. Il s’agit des sympathisants et des soutiens de la violence religieuse.
Les sympathisants
Ces sympathisants, ces soutiens (de 8 à 9,75 sur notre « échelle de la foi ») agissent en fait comme les yeux et les oreilles des tueurs. Même si les sympathisants ne sont pas forcément enclins à user eux-mêmes de violence, ils sont tout prêts à la soutenir. Ils sont aussi tout prêts à rapporter aux autres ce qu’ils ont vu. Lorsque les sympathisants et les fidèles les plus dévots se retrouvent ensemble, à la mosquée ou ailleurs dans leurs vies, ils discutent, et élargissent significativement le champ de perception des tueurs. Cela accroit considérablement le degré et l’emprise de la terreur.
Traduits en chiffres, ces sympathisants et ces fidèles les plus dévots représentent environ 20% de la population globale des musulmans. Cela veut dire qu’une personne sur cinq est soit un tueur, soit un sympathisant. Et comme on ne sait pas qui est quoi, la présence des sympathisants accroit d’autant cette emprise de la terreur dont nous parlions précédemment.
(Imaginez-vous être musulman dans ce scénario. Chaque fois que vous vous retrouvez avec au moins 5 amis, vous pouvez statistiquement vous retrouver avec un de ces tueurs dévots ou l’un de ses sympathisants. Est-ce que vous pourriez parler franchement des problèmes de religion sans être vraiment « sûrs » de vos amis ?).
En raison du principe islamique de la taqiya (usage de la tromperie et de la dissimulation dans le but de répandre l’Islam), la plupart des musulmans refusent d’admettre l’existence de ce « groupe » des tueurs. Et de plus, les tueurs tueraient quiconque les dévoilerait ou les critiquerait. Les non-musulmans ne reconnaissent généralement pas non plus l’existence de ces tueurs, à cause d’un mélange d’ignorance et de politiquement correct. Et par-dessus le marché, l’Islam rajoute une surcouche avec sa caution religieuse, qui contribue encore davantage à brouiller les idées sur ce sujet.
Ces tueurs peuvent être des individus indépendants, non organisés comme Mohammed Bouyeri, l’assassin de Theo Van Gogh à Amsterdam. Ces tueurs indépendants se lèvent et agissent d’eux-mêmes, comme des « francs tireurs ». L’Islam leur permet à chacun indépendamment, d’imposer par la force la charia, la loi islamique. En raison 1) de leur nature de « franc-tireurs », 2) de leur capacité à rester indécelables avant qu’ils ne passent à l’acte, 3) de leur répartition dans toute le monde musulman, et 4), de leur poids dans la population, ces tueurs potentiels, ces francs-tireurs sont la cause écrasante et principale du climat de terreur qui règne dans le monde musulman. Et lorsque ces tueurs « francs-tireurs » agissent dans le monde non-musulman, on ne voit dans leurs actions que des actes criminels, sans liens avec les injonctions de l’Islam à la violence.
Les tueurs de l’Islam peuvent aussi s’organiser en groupes de tous types et de toutes tailles – depuis la petite cellule de deux individus jusqu’aux grandes organisations comme Al Quaeda, le Jihad Islamique, le Hamas, le Hezbollah ou d’autres organisations terroristes. Ces groupes peuvent agir de manière indépendante ou bien en se coordonnant avec d’autres groupes. Chaque « franc-tireur » isolé peut créer sa propre organisation, dont la taille et la portée dépendront des capacités des individus qui s’y impliqueront. Chacun de ces groupes peut aider ou recevoir l’aide d’autres groupes. Les gouvernements musulmans apportent traditionnellement un soutien clandestin à de nombreux groupes comme ceux-là, en les qualifiant d’ONG.
Et alors que la plupart des tueurs sont situés à l’extrême droite de notre « échelle de la foi », certains croyants parmi les moins dévots peuvent succomber à ce qu’on a appelle le « syndrome du djihad foudroyant ». Cela signifie que, lorsque les circonstances s’y prêtent, ils peuvent se laisser gagner par la violence.
La violence
Les tueurs de l’Islam peuvent agir dans l’anonymat. Comme un poseur de bombes dans un lieu public ou comme un motard qui jetterait sa grenade dans la foule. D’autres sont fiers de sortir du rang et d’agir au grand jour, comme Mohammed Bouyeri, l’assassin de Van Gogh.
Certains tueurs de l’Islam sont faciles à repérer en tant que tels. On les remarque régulièrement dans les nouvelles. Les dix neuf terroristes du 11 septembre étaient des tueurs de l’Islam. Les kamikazes d’Iraq et d’Afghanistan, qui se font sauter dans une noria sans fin d’attentats à la bombe, sont des tueurs de l’Islam. Les hommes de Londres, qui on fait sauter bus et métros, sont des tueurs de l’Islam. Les meurtriers de Beslan en Russie en sont également.
En Thaïlande, les tueurs de l’Islam décapitent des écolières et abattent les travailleurs des plantations. Aux Philippines, ils posent des bombes dans les marchés et dans les ferrys. En Espagne, ils ont fait sauter des trains. En Jordanie, ils font exploser des bombes dans les mariages et abattent des professeurs. En Egypte, ils tirent sur les touristes des pyramides et posent des bombes dans les hôtels. Ce sont eux qui ont assassiné le président Anouar El-Sadate.
En Inde, les tueurs ont frappé à Bombay un certain nombre de fois, et empoisonnent la vie au Cachemire. En Afrique, les tueurs de l’Islam ont agi au Kenya pour faire sauter des bombes à l’ambassade des Etats-Unis. Au Soudan, ils sont responsables des massacres du Darfour. Au Liban et à Gaza, ils lancent des missiles sur Israël. En Argentine, ils ont fait sauter l’ambassade israélienne.
En Europe occidentale, les tueurs de l’Islam sont à l’œuvre au sein des ghettos musulmans, s’assurant que les musulmans ne quittent pas la foi. En France, ils ont posé des bombes dans le métro, et ont contribué aux émeutes de 2006 [2005 plutôt].
Même aux Etats-Unis, les tueurs de l’Islam sont au travail. Nidal Malik Hasan a tué 13 personnes et en a blessé 30 autres à Fort Hood, et John Allen Muhammad a abattu dix personnes à Washington DC. A Salt Lake City, Sulejmen Talovic a tué cinq personnes dans un centre commercial. A Seattle, Naveed Afzal Haq a tué une personne et blessé quatre autres. A l’université de Caroline du Nord de Chapel Hill, un jeune diplômé originaire d’Iran, Mohamed Reza Taheri-Azar a foncé avec son 4x4 dans une foule d’étudiants. Au New Jersey, six tueurs planifiaient d’attaquer Fort Dix. (A noter ici que si le sens commun devrait nous faire croire que tout cela n’est qu’actes criminels isolés et indépendants, ils font tous partie, en réalité, de ce à quoi on peut s’attendre de la part de ce système de violence cyclique de l’Islam).
Dans tous les endroits de la planète où vous trouverez des musulmans, vous trouverez aussi des tueurs de l’Islam. C’est parce que ces tueurs sont très bien répartis dans toute la société islamique ; plus il y a de musulmans, plus il y a de tueurs.
Le programme des tueurs
Ce que font ces tueurs dépend du pourcentage de musulmans au sein des sociétés où ils sont à l’œuvre.
Au sein du monde musulman, leur tâche première consiste à sauvegarder l’Islam. Ils le font en tuant tous ceux qui :
Insultent Allah
Insultent Mahomet
Remettent l’Islam en question, ou essaient de le changer
Cherchent à quitter la foi
(C’est pour cela que les musulmans ont l’air si pieux, qu’ils ne quittent pas leur foi, et qu’on n’entend pas les modérés s’exprimer)
De plus, dans le monde musulman, ils s’emploient aussi à faire adhérer davantage les croyants à la loi de la charia, et à la faire respecter. En Afghanistan, les tueurs font sauter les écoles de filles pour faire advenir leur idéal d’un Etat islamique véritable. En Egypte, ils ont tué Anouar El-Sadate car il enfreignait la loi islamique en cherchant à faire la paix avec Israël.
Là où la société musulmane se frotte à la société non-musulmane, comme c’est le cas maintenant en Europe occidentale, une de leurs tâches principales consiste à s’assurer que les musulmans ne s’assimilent pas dans leurs sociétés d’accueil (tout cela, encore une fois, pour sauvegarder l’Islam). Parmi leurs autres tâches, celle de forcer par la terreur les non-musulmans soit à la conversion, soit à accepter la loi de l’Islam, la charia. Cette terreur peut se concrétiser par des actes criminels, ou par un état permanent de guerre de basse intensité, de guérilla. On en voit des exemples au Cachemire, dans les Balkans, en Thaïlande, aux Philippines, en Afrique subsaharienne, et désormais même en Europe occidentale.
Dans leur écrasante majorité, les tueurs sont de jeunes hommes. Depuis récemment, les tueurs comptent un petit nombre de femmes. Ils viennent de tous les milieux sociaux et économiques. Sans que la pauvreté ne soit le ressort principal, elle agit en faveur des fidèles dévots en recherche de nouvelles « recrues ».
Ce système a même trouvé une manière de canaliser à son profit la rage et le potentiel de destruction de ses jeunes hommes, marginaux et exclus. Ils peuvent s’adonner à leurs pratiques de destruction sur les non-musulmans sous formes de viols, d’agressions, et de chaos généralisé, tout en recevant les compliments des musulmans les plus dévots. C’est pour cela qu’on trouve une telle proportion de musulmans dans les prisons d’Europe.
Voilà la triste réalité des tueurs de l’Islam : c’est parce que l’Islam ne cesse de revendiquer pour eux la légitimité religieuse, que l’Islam, en tant que système, peut compter sur une masse de fidèles, une masse énorme, bénévole et invisible, une masse d’individus non organisée, légitimée pour faire violence, et répartie partout dans le monde, une masse de fidèles dévots fanatisés, prêts à tuer pour que l’Islam reste comme il est.
Ces fidèles dévots constituent en fait une armée non conventionnelle, une armée invisible, une armée fantôme. Une armée où personne n’a besoin d’ordres mais où chaque soldat sait exactement ce qu’il a à faire. Une armée que personne ne contrôle. L’armée la plus terrible que n’a jamais vu le monde.
A suivre : troisième partie, « le système »
Source : Islam is Fear, Part II, par Bob Smith, via Gates of Vienna, 6 novembre 2011. Traduction par Olaf pour Poste de veille
Jean 10
…10Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance. 11Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis.
Les témoignages sont nombreux.
Le fruit du péché ne s'évalue, ni à l'œil, ni au goût, mais toujours à ses résultats.
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Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 22 août16, 01:05Aucun des hommes politiques Français ne soulèvent le vrai problème face à l'Islam... aucun... même pas ceux du FN.yacoub a écrit :Même François Hollande n'ose pas dire "terrorisme islamique" pour ne pas stigmatiser la meilleure des communautés créées par
Allah Puissant et Sage. A plat ventre tous devant PBSL.
Allah envoie des diables pour nous égarer à vie, empêchant ainsi toute possibilité de repentir (19.83).
L'Eternel envoie son fils pour nous guider et nous offrir le salut par la repentance (Jean 3:16).
Matthieu 7:15 Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
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Matthieu 7:15 Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 22 août16, 01:17De peur d'être taxé d'islamophobe, le vilain mot, alors que des ex-musulmans comme Karim Labidi, Ali Sina, Ibn Warraq, Wafa Sultan, Aldo Stérone, Majid Oukacha, Salem Ben Ammar, osent dire que l'islam est un crime organisé contre l'humanité malgré le risque encouru.
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Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 22 août16, 02:29EC a écrit :
https://www.youtube.com/watch?v=jlHSO990CBY
avant de soulever le problème face à l'islam il faut commencer par soulever celui du sionisme qui gouverne tous les pays d'europe ...Aucun des hommes politiques Français ne soulèvent le vrai problème face à l'Islam... aucun... même pas ceux du FN.
https://www.youtube.com/watch?v=jlHSO990CBY
l’islam est la religion qui est en harmonie constante avec la nature humaine ; qu’Allah a originellement donné aux êtres humains.
Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 22 août16, 02:40https://youtu.be/jlHSO990CBYbahhous a écrit : avant de soulever le problème face à l'islam il faut commencer par soulever celui du sionisme qui gouverne tous les pays d’Europe ...
https://www.youtube.com/watch?v=jlHSO990CBY
Ce sont des sionistes qui ont commis les attentats terroristes de
*Charlie Hebdo
*L'hypercacher de la porte de Vincennes
*Saint Quentin_Fallavier
*Le 13 novembre 2015
*Magnanville
*Nice
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Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 22 août16, 06:08Mensongesbahhous a écrit : sionisme qui gouverne tous les pays d'europe ...
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Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 22 août16, 23:17Et pourquoi donc?bahhous a écrit :avant de soulever le problème face à l'islam il faut commencer par soulever celui du sionisme qui gouverne tous les pays d'europe ...
Quel rapport avec le Sionisme et le fait que l'Islam prône l'anéantissement de tout les chrétiens?
Allah envoie des diables pour nous égarer à vie, empêchant ainsi toute possibilité de repentir (19.83).
L'Eternel envoie son fils pour nous guider et nous offrir le salut par la repentance (Jean 3:16).
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Matthieu 7:15 Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 23 août16, 01:00Etoiles Célestes a écrit :Et pourquoi donc?
Quel rapport avec le Sionisme et le fait que l'Islam prône l'anéantissement de tout les chrétiens?
L'islam propose aux chrétiens et aux juifs de se convertir à la meilleure des religions, s'ils refusent ils peuvent rester en terre d'islam en tant que dhimmis en payant la jizya ce qui n'empêche pas les humiliations comme le constatent les Coptes D’Égypte.
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Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 23 août16, 01:21Le plus grand péché dans l'islam c'est l'association. Les Chrétiens prônes un autre dieu que Allah, donc ils font de l'association. Ensuite Dieu est tribal et si vous croyez en un Dieu avec une conception différente d'Allah. Et bien vous suivrez quand même une tribu "divine" différente.'Islam prône l'anéantissement de tout les chrétiens
Il n'y a que de dieu Allah et Muhammad est Son Messager. Si vous croyez en un autre dieu que Allah: c'est que vous êtes l'ennemi de la tribu du dieu de Muhammad.
Re: L’islam, c’est la peur (partie 2)
Ecrit le 23 août16, 03:49Erdnaxel a écrit : Le plus grand péché dans l'islam c'est l'association. Les Chrétiens prônes un autre dieu que Allah, donc ils font de l'association. Ensuite Dieu est tribal et si vous croyez en un Dieu avec une conception différente d'Allah. Et bien vous suivrez quand même une tribu "divine" différente.
Il n'y a que de dieu Allah et Muhammad est Son Messager. Si vous croyez en un autre dieu que Allah: c'est que vous êtes l'ennemi de la tribu du dieu de Muhammad.
https://youtu.be/DmQd0j4vt14
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