Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
- yacoubbis
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 02 oct.16, 22:39N’en déplaise à Libération, chapeau, Monsieur de la Villardière !
Publié le 2 octobre 2016 - par Oriana Garibaldi - 9 commentaires - 1 153 vues
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Il est vrai que sur ce site nous avons plutôt l’habitude de taper – à juste titre – sur les journalistes ou prétendus tels, qui ont depuis longtemps jeté la Charte du Journaliste aux orties, pour ne devenir que les courroies de transmission du pouvoir en place, dans un perpétuel déni des réalités. Ces réalités si dérangeantes pour un état totalitaire, digne de feu l’URSS, qu’il faut à tout prix les transformer, les minimiser, les déformer pour les rendre politiquement correctes. Voire, carrément les occulter ! Malheureusement pour eux, nous sommes à l’ère d’Internet, même si certains articles ou vidéos y sont maintenant censurés.
Une fois n’est pas coutume, et c’est avec un très grand et réel plaisir que nous vous saluons Monsieur de la Villardière pour le remarquable travail d’investigation effectué sans langue de bois lors de votre émission « Dossier Tabou » consacré à la démystification de l’islam. A voir, d’une part les réactions de vos « con..frères » et d’autre part celles des lecteurs habituels, ou non, de Riposte Laïque, on comprend qu’il s’agit là d’un énorme pavé dans le marigot politico- journalistique ! Un abîme les sépare !
L’un des meilleurs exemples de déni : un article de Libération intitulé « Ce n’est pas une méthode Monsieur de la Villardière ! » de Ramsès Kefi. C’est vrai quoi, depuis quand décrit-on la réalité du vécu au lieu de raconter un conte des Mille et une nuits, sur cette religion d’amour, de paix et de tolérance, je vous demande un peu !
Ce n’est pas une méthode, monsieur de la Villardière ! – Libération
Qu’un journaliste doive s’attendre à se faire insulter, ou molester parce qu’il est dans un quartier ou les racailles font la loi est donc tout à fait normal pour l’auteur de ce texte…Curieuse notion de la démocratie ! Car s’il y a une thématique sur laquelle il n’y a aucune censure, c’est bien l’islam, termine l’auteur…Alors là, c’est à mourir de rire ! Pas de critique supportable sur ce sujet, c’est toujours : Touche pas à mon islam !! La preuve !
Peut-être faut-il aussi, dans ce même raisonnement, considérer qu’il est normal qu’en plein Paris, une équipe de tournage de TV (TF1) fasse l’objet d’une tentative de racket, et par représailles se fasse agresser par une bande d’une vingtaine d’individus d’une quinzaine d’années. Cinq techniciens blessés, le matériel détruit. Pas de précisions sur les agresseurs, nous savons ce que cela veut dire…
Une équipe de TF1 agressée lors d’un tournage à Belleville – Le Point
Tout cela nous ne cessons de le dire, de l’écrire, je dirais presque de le hurler, tant il s’agit d’une évidence que nous vivons au quotidien et parce que nous essayons depuis près de 10 ans d’ouvrir les yeux de nos compatriotes, ce qui nous vaut toutes sortes de qualificatifs tous plus aimables les uns que les autres : groupuscule d’extrême-droâââte, (ce qui, soit dit en passant me fait toujours rire, car la majorité des rédacteurs de RL vient de gauche, voire d’extrême-gauche, ou du communisme), xénophobes, racistes, islamophobes etc.
Islamophobes, ça oui, je revendique. Sachant que : phobie=peur de…
Monsieur de la Villardière, Bienvenue au Club, vous vous êtes sans doute fait beaucoup d’ennemis dans votre profession, mais en revanche combien d’amis inconnus qui veulent retrouver la France et n’en peuvent plus de vivre dans cette société gangrenée de partout. Surtout continuez…
Je terminerai par un seul mot : MERCI
Publié le 2 octobre 2016 - par Oriana Garibaldi - 9 commentaires - 1 153 vues
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Il est vrai que sur ce site nous avons plutôt l’habitude de taper – à juste titre – sur les journalistes ou prétendus tels, qui ont depuis longtemps jeté la Charte du Journaliste aux orties, pour ne devenir que les courroies de transmission du pouvoir en place, dans un perpétuel déni des réalités. Ces réalités si dérangeantes pour un état totalitaire, digne de feu l’URSS, qu’il faut à tout prix les transformer, les minimiser, les déformer pour les rendre politiquement correctes. Voire, carrément les occulter ! Malheureusement pour eux, nous sommes à l’ère d’Internet, même si certains articles ou vidéos y sont maintenant censurés.
Une fois n’est pas coutume, et c’est avec un très grand et réel plaisir que nous vous saluons Monsieur de la Villardière pour le remarquable travail d’investigation effectué sans langue de bois lors de votre émission « Dossier Tabou » consacré à la démystification de l’islam. A voir, d’une part les réactions de vos « con..frères » et d’autre part celles des lecteurs habituels, ou non, de Riposte Laïque, on comprend qu’il s’agit là d’un énorme pavé dans le marigot politico- journalistique ! Un abîme les sépare !
L’un des meilleurs exemples de déni : un article de Libération intitulé « Ce n’est pas une méthode Monsieur de la Villardière ! » de Ramsès Kefi. C’est vrai quoi, depuis quand décrit-on la réalité du vécu au lieu de raconter un conte des Mille et une nuits, sur cette religion d’amour, de paix et de tolérance, je vous demande un peu !
Ce n’est pas une méthode, monsieur de la Villardière ! – Libération
Qu’un journaliste doive s’attendre à se faire insulter, ou molester parce qu’il est dans un quartier ou les racailles font la loi est donc tout à fait normal pour l’auteur de ce texte…Curieuse notion de la démocratie ! Car s’il y a une thématique sur laquelle il n’y a aucune censure, c’est bien l’islam, termine l’auteur…Alors là, c’est à mourir de rire ! Pas de critique supportable sur ce sujet, c’est toujours : Touche pas à mon islam !! La preuve !
Peut-être faut-il aussi, dans ce même raisonnement, considérer qu’il est normal qu’en plein Paris, une équipe de tournage de TV (TF1) fasse l’objet d’une tentative de racket, et par représailles se fasse agresser par une bande d’une vingtaine d’individus d’une quinzaine d’années. Cinq techniciens blessés, le matériel détruit. Pas de précisions sur les agresseurs, nous savons ce que cela veut dire…
Une équipe de TF1 agressée lors d’un tournage à Belleville – Le Point
Tout cela nous ne cessons de le dire, de l’écrire, je dirais presque de le hurler, tant il s’agit d’une évidence que nous vivons au quotidien et parce que nous essayons depuis près de 10 ans d’ouvrir les yeux de nos compatriotes, ce qui nous vaut toutes sortes de qualificatifs tous plus aimables les uns que les autres : groupuscule d’extrême-droâââte, (ce qui, soit dit en passant me fait toujours rire, car la majorité des rédacteurs de RL vient de gauche, voire d’extrême-gauche, ou du communisme), xénophobes, racistes, islamophobes etc.
Islamophobes, ça oui, je revendique. Sachant que : phobie=peur de…
Monsieur de la Villardière, Bienvenue au Club, vous vous êtes sans doute fait beaucoup d’ennemis dans votre profession, mais en revanche combien d’amis inconnus qui veulent retrouver la France et n’en peuvent plus de vivre dans cette société gangrenée de partout. Surtout continuez…
Je terminerai par un seul mot : MERCI
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 02 oct.16, 22:46Ce n’est pas une méthode, monsieur de la Villardière !
Par Ramsès Kefi, Journaliste@Rkefi — 29 septembre 2016 à 20:21 (mis à jour le 30 septembre 2016 à 03:41)
Ce n’est pas une méthode, monsieur de la Villardière ! Capture d'écran M6
http://md1.libe.com/photo/947636-dossie ... &width=960
Ce n’est pas une méthode, monsieur de la Villardière !
Édito
Depuis mercredi soir, une séquence vidéo circule ici et là sur les réseaux sociaux, montrant Bernard de la Villardière face à des jeunes de Sevran (Seine-Saint-Denis), pendant le tournage d’un documentaire sur l’islam - le premier épisode d’un nouveau concept intitulé Dossier tabou et diffusé mercredi sur M6. Le ton monte. La voix off du journaliste, bousculé, décrit une bande composée de «dealers et de salafistes», en mode "j'ai un pied à Medellin, un autre à Raqqa". Sauf s’il est complètement déconnecté, il s'était certainement préparé à cet accueil hostile, de surcroît en bossant sur une thématique pareille. Car le métier doit composer avec une réalité : en banlieue, le journaliste traîne une image violente. A bien des égards, il est perçu comme «une caillera». Un roublard, plus ou moins inconscient quand il écrit ou monte ses sujets, surtout depuis que le traitement médiatique des quartiers populaires est cannibalisé par la question identitaire, laquelle fait oublier toutes les autres. Celle-ci accentue les dérives terminologiques et les raccourcis, avec lesquels les quartiers populaires doivent composer depuis longtemps déjà.
Ce ne sont pas les décennies d’approximations qui interrogent le plus - un journaliste peut se planter de bonne foi - mais ce réflexe qui perdure : une frange de confrères est persuadée de savoir mieux que les banlieusards (ou les musulmans, puisque tout s’entrechoque), ce qui se passe chez eux. Ils éludent les nuances et les contextes, qu’ils trouvent tantôt trop Bisounours, tantôt en décalage avec leurs certitudes. Ils sous-estiment la complexité des problématiques, qu’ils croient pouvoir entremêler pour frapper plus fort, quand chacune d’entre elles mériterait un traitement spécifique. Il n’est surtout pas question d’éviter les sujets trop casse-gueule - la pire chose -, mais simplement d’être au point sur la méthodologie : quand on mélange tout sans les précautions d’usage, sans pédagogie, un documentaire bascule dans le divertissement. Ce premier épisode de Dossier tabou est la somme de tous ces écueils, qui est simplement une pièce de plus dans la machine à simplifier et brider la réflexion. Même l’intitulé de la série montre qu’il y avait tromperie sur la marchandise. Car s’il y a une thématique sur laquelle il n’y a aucune censure, c’est bien l’islam.
Ramsès Kefi Journaliste@Rkefi
Par Ramsès Kefi, Journaliste@Rkefi — 29 septembre 2016 à 20:21 (mis à jour le 30 septembre 2016 à 03:41)
Ce n’est pas une méthode, monsieur de la Villardière ! Capture d'écran M6
http://md1.libe.com/photo/947636-dossie ... &width=960
Ce n’est pas une méthode, monsieur de la Villardière !
Édito
Depuis mercredi soir, une séquence vidéo circule ici et là sur les réseaux sociaux, montrant Bernard de la Villardière face à des jeunes de Sevran (Seine-Saint-Denis), pendant le tournage d’un documentaire sur l’islam - le premier épisode d’un nouveau concept intitulé Dossier tabou et diffusé mercredi sur M6. Le ton monte. La voix off du journaliste, bousculé, décrit une bande composée de «dealers et de salafistes», en mode "j'ai un pied à Medellin, un autre à Raqqa". Sauf s’il est complètement déconnecté, il s'était certainement préparé à cet accueil hostile, de surcroît en bossant sur une thématique pareille. Car le métier doit composer avec une réalité : en banlieue, le journaliste traîne une image violente. A bien des égards, il est perçu comme «une caillera». Un roublard, plus ou moins inconscient quand il écrit ou monte ses sujets, surtout depuis que le traitement médiatique des quartiers populaires est cannibalisé par la question identitaire, laquelle fait oublier toutes les autres. Celle-ci accentue les dérives terminologiques et les raccourcis, avec lesquels les quartiers populaires doivent composer depuis longtemps déjà.
Ce ne sont pas les décennies d’approximations qui interrogent le plus - un journaliste peut se planter de bonne foi - mais ce réflexe qui perdure : une frange de confrères est persuadée de savoir mieux que les banlieusards (ou les musulmans, puisque tout s’entrechoque), ce qui se passe chez eux. Ils éludent les nuances et les contextes, qu’ils trouvent tantôt trop Bisounours, tantôt en décalage avec leurs certitudes. Ils sous-estiment la complexité des problématiques, qu’ils croient pouvoir entremêler pour frapper plus fort, quand chacune d’entre elles mériterait un traitement spécifique. Il n’est surtout pas question d’éviter les sujets trop casse-gueule - la pire chose -, mais simplement d’être au point sur la méthodologie : quand on mélange tout sans les précautions d’usage, sans pédagogie, un documentaire bascule dans le divertissement. Ce premier épisode de Dossier tabou est la somme de tous ces écueils, qui est simplement une pièce de plus dans la machine à simplifier et brider la réflexion. Même l’intitulé de la série montre qu’il y avait tromperie sur la marchandise. Car s’il y a une thématique sur laquelle il n’y a aucune censure, c’est bien l’islam.
Ramsès Kefi Journaliste@Rkefi
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
- yacoubbis
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 03 oct.16, 04:05«Dossier tabou»: L’émission de M6 accuse un imam de «justifier les relations sexuelles avec des mineures»
POLEMIQUE Le programme, présenté par Bernard de la Villardière, s’intéressait ce mercredi soir à « l’Islam de France »…
Portrait de l'Imam Mohamed Khattabi le 25 octobre 2002 à la sortie de la mosquée de la cité de Valdegour à Nîmes - DOMINIQUE FAGET AFP
N.B.
Publié le 29.09.2016 à 12:35
Mis à jour le 29.09.2016 à 13:14
La nouvelle émission de Bernard de la Villardière, Dossier tabou, diffusée mercredi soir sur M6, s’intéressait à « l’Islam de France ». Son sous-titre : La République en échec. L’équipe de l’émission s’est notamment rendue à Montpellier (Hérault), où elle a rencontré l’imam Mohamed Khattabi, qui fut assigné à résidence il y a quelques mois.
Dans un extrait de prêche diffusé au cours de l’émission, datée de mai 2013, la voix off du reportage, Bernard de la Villardière lui-même, explique que l’imam Khattabi aurait justifié « les relations sexuelles avec des jeunes filles mineures ».
>> A lire aussi : «Dossier Tabou» sur l'islam, «si on n'aborde plus les sujets qui posent problème, on n'est plus en démocratie»
« Pubère ou non pubère »
« Aïcha, le prophète l’a demandée en mariage à 7 ans et il a consommé son mariage avec elle à 9 ans (…) Dans l’Islam, la question, ce n’est pas une question d’âge, c’est une question pubère ou non pubère, prêt ou non prêt, prête ou non prête », aurait expliqué le religieux.
Dans un autre prêche, daté en 2012, il aurait justifié selon une vidéo diffusée au cours de l’émission « le djihad armé ». Interrogé, l’imam assure « être libre », et refuse d’être « dans une cage ».
>> A lire aussi: «Dossier Tabou» sur l'islam: L'émission de M6 scandalise les téléspectateurs
« Je n’attends jamais grand-chose des médias français »
De son côté, l’imam a réagi sur Facebook, après la diffusion de l’émission, qu’il assure de ne pas avoir vue (« Je suis en voyage »). J’ai été « contacté par plusieurs personnes de mon entourage, en colère et surtout j’ai senti chez certaines d’entre elles un sentiment de frustration et une impression qu’on est victime de complot et une volonté de vouloir nous humilier devant tout le monde », explique Mohamed Khattabi. « Je n’attends jamais grand-chose des médias français, j’en suis convaincu », reprend-il.
Le religieux a écopé dernièrement d’une peine de 6 mois de prison avec sursis pour recel de fraudes aux allocations et travail dissimulé.
POLEMIQUE Le programme, présenté par Bernard de la Villardière, s’intéressait ce mercredi soir à « l’Islam de France »…
Portrait de l'Imam Mohamed Khattabi le 25 octobre 2002 à la sortie de la mosquée de la cité de Valdegour à Nîmes - DOMINIQUE FAGET AFP
N.B.
Publié le 29.09.2016 à 12:35
Mis à jour le 29.09.2016 à 13:14
La nouvelle émission de Bernard de la Villardière, Dossier tabou, diffusée mercredi soir sur M6, s’intéressait à « l’Islam de France ». Son sous-titre : La République en échec. L’équipe de l’émission s’est notamment rendue à Montpellier (Hérault), où elle a rencontré l’imam Mohamed Khattabi, qui fut assigné à résidence il y a quelques mois.
Dans un extrait de prêche diffusé au cours de l’émission, datée de mai 2013, la voix off du reportage, Bernard de la Villardière lui-même, explique que l’imam Khattabi aurait justifié « les relations sexuelles avec des jeunes filles mineures ».
>> A lire aussi : «Dossier Tabou» sur l'islam, «si on n'aborde plus les sujets qui posent problème, on n'est plus en démocratie»
« Pubère ou non pubère »
« Aïcha, le prophète l’a demandée en mariage à 7 ans et il a consommé son mariage avec elle à 9 ans (…) Dans l’Islam, la question, ce n’est pas une question d’âge, c’est une question pubère ou non pubère, prêt ou non prêt, prête ou non prête », aurait expliqué le religieux.
Dans un autre prêche, daté en 2012, il aurait justifié selon une vidéo diffusée au cours de l’émission « le djihad armé ». Interrogé, l’imam assure « être libre », et refuse d’être « dans une cage ».
>> A lire aussi: «Dossier Tabou» sur l'islam: L'émission de M6 scandalise les téléspectateurs
« Je n’attends jamais grand-chose des médias français »
De son côté, l’imam a réagi sur Facebook, après la diffusion de l’émission, qu’il assure de ne pas avoir vue (« Je suis en voyage »). J’ai été « contacté par plusieurs personnes de mon entourage, en colère et surtout j’ai senti chez certaines d’entre elles un sentiment de frustration et une impression qu’on est victime de complot et une volonté de vouloir nous humilier devant tout le monde », explique Mohamed Khattabi. « Je n’attends jamais grand-chose des médias français, j’en suis convaincu », reprend-il.
Le religieux a écopé dernièrement d’une peine de 6 mois de prison avec sursis pour recel de fraudes aux allocations et travail dissimulé.
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 03 oct.16, 22:21La Villardière, sans Tabou - C à vous - 26/09/2016
https://youtu.be/jtHEavyVIi8
https://youtu.be/SjRJf_HN514
https://youtu.be/jtHEavyVIi8
https://youtu.be/SjRJf_HN514
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
- yacoubbis
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 03 oct.16, 23:49L'émission sur l'islam passée sur M6, L'islam sans Tabou, de B.de la Villardière, a été censurée.
Ça y est le gouvernement socialiste français l'a fait.
Elle n'est plus disponible sur le site de M6.
Heureusement on peut la retrouver chez des hébergeurs alternatifs, notamment sur rutube. Les russes sont encore là ...
En trois parties:
Partie 1 :
https://rutube.ru/video/0fe66d147c09fb9 ... a0a5494f7/
Partie 2 :
https://rutube.ru/video/857b1257091dfaa ... 4b83b9528/
Partie 3 :
https://rutube.ru/video/183f72948efb5a6 ... a1412d65f/
Ça y est le gouvernement socialiste français l'a fait.
Elle n'est plus disponible sur le site de M6.
Heureusement on peut la retrouver chez des hébergeurs alternatifs, notamment sur rutube. Les russes sont encore là ...
En trois parties:
Partie 1 :
https://rutube.ru/video/0fe66d147c09fb9 ... a0a5494f7/
Partie 2 :
https://rutube.ru/video/857b1257091dfaa ... 4b83b9528/
Partie 3 :
https://rutube.ru/video/183f72948efb5a6 ... a1412d65f/
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 04 oct.16, 05:00bonjour le gouvernement actuel
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 04 oct.16, 05:09Les socialistes ont besoin du vote musulman et donc ils ne veulent pas heurter la "meilleure des communautés" même si cette communauté n'aime ni les juifs ni les chrétiens.jipe a écrit :bonjour le gouvernement actuel
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 04 oct.16, 05:29Ça demontre qu'un athée est capable de vendre sa propre famille pour du fric et plus ……...
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 04 oct.16, 08:57Pure opportunisme politique.jipe a écrit :
Ça démontre qu'un athée est capable de vendre sa propre famille pour du fric et plus ……...
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
- yacoubbis
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 06 oct.16, 03:59«Dossier tabou» de M6 sur l'islam : irruption du réel et retour des censeurs
Par Céline Pina
FIGAROVOX/TRIBUNE - Dans l'émission «Dossier tabou» sur M6, Bernard de la Villardière a montré le visage inquiétant de l'islamisme. Céline Pina salue le courage du journaliste, mais dénonce la réaction d'autres médias qui ont crié à l'«islamophobie».
Ancienne conseillère régionale d'Ile-de-France, Céline Pina avait dénoncé, en 2015, le salon de «la femme musulmane» de Pontoise. Elle a récemment publié Silence Coupable (éditions Kero).
Pour son premier volet, Dossier tabou, diffusée ce mercredi 28 septembre 2016 sur M6, a choisi l'islam. En fait il sera surtout question d'islamisme dans cette émission. Le ton est donné d'emblée par le sous-titre qui accompagne la thématique choisie: «L'échec de la République».
Bernard de la Villardière a osé montrer les arrière-boutiques pas très propres d'un soi-disant Islam de France où l'on concocte le détricotage de la République.
Pour son premier numéro, Bernard de la Villardière a osé... osé montrer les arrière-boutiques pas très propres, pas très nettes d'un soi-disant Islam de France où l'on concocte le détricotage de la République, osé montrer que cet islam de France n'a en fait rien de français, car encore entièrement lié idéologiquement, culturellement et financièrement au monde arabo-musulman. Osé montrer le laxisme aveugle de la bien mal nommée puissance publique: un ministère de l'Intérieur incapable de recenser les mosquées de France, un maire englué dans des pratiques clientélistes et dans le déni, des élus brandissant l'argument du culturel pour mieux financer le cultuel…
Un déni qui favorise la montée de l'emprise de l'islamisme radical sur certains territoires
Tout ce que dénoncent sans relâche les lanceurs d'alerte trouvait ici une cinglante illustration. Il n'était pas question d'y stigmatiser les musulmans dont une récente étude a montré que la plupart d'entre eux étaient intégrés et acceptaient tout à fait les lois de la République, mais de montrer qu'à force de faire le lit aux islamistes, on leur donne un pouvoir d'influence et de prescription qui place des quartiers entiers sous leur coupe et leur permet d'ensemencer de plus en plus de têtes, sous l'œil complaisant de ceux qui devraient incarner, au contraire, les lois et idéaux de notre République.
Il fallait oser faire cette enquête car tout se passe comme si les médias étaient anesthésiés sur la question de l'Islam.
Oui, il fallait oser faire cette enquête car, depuis quelque temps, tout se passe comme si les médias étaient anesthésiés sur la question de l'Islam, ou pour le moins gênés. Il suffit de voir avec quelle complaisance les chiffres inquiétants de l'étude de l'IFOP sur la situation des musulmans de France ont été exploités sous le doux titre «Un islam de France est possible…» alors qu'on y apprend que presque 28% des musulmans sont pour la charia.
Ce n'est pas si souvent que la télévision montre les tristes sires liés à l'islam le plus rigoriste sous leur vrai jour, ce n'est pas si souvent que l'on voit le salafisme, le wahhabisme avoir pignon sur rue, organiser des conférences où des imams antisémites, homophobes, sexistes défient la République en défendant le séparatisme culturel, le port du voile, la mort pour les homosexuels, la voie des armes, voire la pédophilie. Et ce, sous le regard même des pouvoirs publics. Cette réalité dérange, mais elle existe. Elle n'est pas représentative de tous les musulmans, mais c'est souvent elle qui s'affiche jusqu'en 4X3 dans nos villes de banlieue, c'est elle qui multiplie les manifestations, favorisant la visibilité du versant le plus radical et le plus obscurantiste de l'islam.
L'agression dont a été victime Bernard de la Villardière fait passer un message subliminal fort : Ici, c'est chez nous ; les maîtres, c'est nous.
Ce n'est pas si souvent que l'on voit combien ces prétendus responsables communautaires savent utiliser la violence des caïds, souvent dealers, avec qui ils se partagent certains territoires. L'agression dont a été victime Bernard de la Villardière fait passer un message subliminal fort: Ici, c'est chez nous ; les maîtres, c'est nous ; L'espace public et la loi, c'est nous.
La mosquée davant laquelle se passe cette scène est tout simplement surnommée «Mosquée Daesh» par la population, qui réclame en vain sa fermeture. Le propriétaire des lieux, Dhaou Meskine, est un homme sulfureux. En 2006, lorsqu'il était secrétaire général du Conseil des imams de France, il a été interpellé avec seize autre personnes dans le cadre d'une enquête sur le financement du terrorisme islamiste.
Le clientélisme et ses ravages illustrés par l'exemple
La complaisance du maire va jusqu'à louer pour une somme dérisoire un terrain municipal pour héberger une école coranique sans agrément.
Ce n'est pas si souvent que la télévision montre comment le clientélisme communautaire d'un maire, ici Stéphane Gatignon à Sevran, mène aux pires atteintes à la laïcité. Alors que dans cette ville, de nombreux gamins sont partis terminer leur jour en kamikase ou en soldat de l'Etat islamique en Syrie ou en Irak, la complaisance du maire va jusqu'à louer pour une somme dérisoire un terrain municipal pour héberger une école coranique sans agrément, qui accueille des enfants que leurs parents, radicaux, déscolarisent et où les filles sont voilées alors que ce ne sont que de jeunes enfants. Le maire de Bagnolet s'est fait épingler pour les mêmes raisons et ils ont des émules…
Sous couvert de subvention d'un lieu culturel, la mairie de Paris finance un lieu de culte.
A cet égard, la capitale donne l'exemple. Le centre des cultures islamiques du XVIIIe arrondissement est considéré par les riverains comme une mosquée... A juste titre. On voit l'habileté des responsables communautaires à contourner la loi de 1905 pour mieux encaisser les deniers publics. Ainsi, sous couvert de subvention d'un lieu culturel, la mairie de Paris finance un lieu de culte. Si l'on épluchait la carte d'identité de nombreuses associations soi-disant culturelles subventionnées, on se rendrait compte que ce sont de faux papiers. Beaucoup d'entre elles sont parfaitement cultuelles. Et si le citoyen lambda n'y voit que du feu, les élus en revanche savent très bien en réalité de quoi il retourne. Pour avoir voulu tester la réalité du respect de la nature des différents espaces, laïques et sacrés dans le même lieu, le présentateur se fera expulser par le représentant de la mosquée de la partie pourtant officiellement laïque et publique.
Mohamed Louizi ou Soufiane Zitouni témoignent de la progression des frères musulmans dans certains territoires, avec un seul objectif à la clé : l'islamisation de la France.
Ce n'est pas si souvent que l'on donne la parole à Mohamed Louizi, ancien Frère musulman, ou Soufiane Zitouni, ancien professeur au Lycée Averroès de Lille qui témoignent, par leur vécu, de la progression de l'emprise des frères musulmans sur la communauté musulmane dans certains territoires, avec un seul objectif à la clé: l'islamisation de la France. Tous deux révèlent les véritables objectifs des structures auxquelles ils ont appartenu ; tous deux sont persécutés au quotidien et attaqués en justice pour avoir dénoncé le double langage des islamistes.
Enfin David Vallat, jihadiste repenti et auteur de Terreur de jeunesse, analyse le prêche d'un prédicateur intégriste et la façon dont il installe un discours de victimisation pour attiser la haine de ses jeunes auditeurs: logique de persécution décrivant la France comme raciste et anti musulmane, rejet de la société et exacerbation des particularismes religieux pour les amener à revendiquer un séparatisme absolu (même ses fenêtres ne doivent pas donner sur l'habitat d'un «mécréant»), hystérisation des interdits pour mieux les isoler et les vouer à l'exécration de ses voisins et à la haine de ses compatriotes. L'épisode est instructif et pour ceux qui ont eu à affronter ce type de prêcheurs et leurs adeptes, ces éléments de langage sont récurrents…
La violence des réactions de certains journaux face au reportage: une volonté de censure pour générer de l'autocensure alors que les langues se délient?
Le journal 20 minutes a indiqué dans un raccourci saisissant que cette émission avait «scandalisé» les téléspectateurs…
La réaction face à un tel brûlot ne s'est pas fait attendre et le journal 20 minutes a immédiatement sorti un article pour indiquer dans un raccourci saisissant que cette émission avait «scandalisé» les téléspectateurs… Le procédé du pseudo-journaliste auteur de ce tract militant sous couvert d'«enquête journalistique» est un classique du genre. Il commence à mettre en scène des tweets produits par des dirigeants du FN: David Rachline, Florian Philipot, cite Marion Maréchal-le Pen… Le message: tous ceux qui ne conspuent pas l'émission sont des suppôts de l'extrême droite.
Des milliers de tweets de citoyens anonymes ont envahi les réseaux sociaux pour dire leur soulagement de voir reconnu ce qu'ils vivent au quotidien.
Des milliers de tweets de citoyens anonymes et pas du tout inféodés à l'extrême-droite, qui ont envahi les réseaux sociaux pour dire leur soulagement de voir reconnu ce qu'ils vivent au quotidien et témoigner du caractère emblématique des situations évoquées, il n'est pas fait mention. A croire que quand un hashtag explose tous les records, il ne peut être le fait que la mobilisation des militants frontistes…
Ensuite pour faire croire que l'enquête est exhaustive, d'autres tweets sont produits, très violents envers l'émission, émanant de personnes «anonymes», dont le journaliste ne prend jamais la peine de dire qui elles sont alors que certaines sont loin d'être anodines ou connues pour leur soutien à l'islamisme: C'est le cas de Madjid Messaoudène, inénarrable élu de St Denis qui pense que les descentes de policiers menées pour arrêter les terroristes des attentats de Paris réfugiés dans sa ville sont stigmatisantes et islamophobes. C'est la reproduction d'un tweet de Christophe Conte, journaliste aux Inrocks, chargé de tirer à vue sur les affreux réactionnaires que sont tous ceux qui refusent le politiquement correct pour assumer leur parole… Tweeter ce qui leur chante est tout à fait du droit de ces personnalités, en revanche présenter comme des lambdas des personnalités du microcosme parisiano-médiatique ou des militants soutenant les islamistes est une faute de la part du journaliste…
Quand il parle de la contre-émission de S. Assbague et W. Kefti, présentées comme militantes anti-racistes, il oublie de dire que la première est organisatrice du campdécolonial interdit aux blancs.
Celui-ci d'ailleurs ne s'en tient pas là: quand il parle de la contre-émission initiée à l'occasion par Sihame Assbague et Widad Kefti, présentées comme militantes anti-racistes, il oublie de dire que la première est organisatrice du fameux camp décolonial interdit aux blancs, est une des apologues du «racisme d'état», qui voit dans l'Etat d'urgence la marque non d'une réponse aux attentats mais de la détestation des musulmans et est proches du parti des indigènes de la République. Un parti raciste dont la porte-parole a écrit un livre dont le titre est à lui seul tout un programme: «les blancs, les juifs et nous». Elle y évoque ses allégeances: «J'appartiens à ma famille, à mon clan, à ma race, à l'Algérie, à l'Islam» sa haine des juifs, de la «blanchité» ou de l'homosexualité et n'a jamais été désavouée par aucun militant de l'organisation, vu qu'elle ne fait qu'y diffuser l'idéologie de son mouvement. Quant à Widad Kefti, elle relaie complaisamment les initiatives de Sihame Assbague, dont elle est un des porte-voix. Elle aussi ne voit que par le biais de la race et de la domination de la «caste blanche».
Pour parfaire le tour de passe passe, on qualifie d'antiracistes des militantes qui mettent l'appartenance ethnique au dessus de tout, ce qui est la définition même du racisme…
Ces deux identitaires ne valent pas mieux que les personnalités de FN vilipendées plus haut et portent, elles aussi, un projet de société séparatiste, qui fait de l'appartenance ethnique et confessionnelle le cœur de l'identité des individus. Mais cela ne sera jamais dit par le «journaliste». En effet, pourquoi se soucier de mettre en contexte et de dire d'où parlent les personnes que l'on cite, quand on ne souhaite pas faire un travail d'enquêteur mais servir une cause sans l'assumer. Voilà pourquoi dans un cas on met l'appartenance FN en avant, cela permet de qualifier la personne pour mieux disqualifier sa parole et dans l'autre, on oublie la proximité avec le PIR et on passe sous silence le scandale du camp séparatiste et anti mixité raciale, car ne pas situer permet de crédibiliser. Et pour parfaire le tour de passe passe, on qualifie d'antiracistes, des militantes qui mettent l'appartenance ethnique au dessus de tout, ce qui est la définition même du racisme…
La dérive radical d'un certain islam qui est ici montré n'est pas une invention, elle gagne du terrain.
On ne s'étonnera pas également que Libération fasse un éditorial où c'est le journaliste qui devient une «caillera» qui élude la «complexité des problèmatiques», comme si la loi du plus fort n'était pas une réalité que dénoncent et subissent les habitants de banlieue et qui montre sa réalité ici. Comme s'il n'était pas «chaud» de s'aventurer dans certains quartiers quand on n'y appartient pas, que l'on soit ou non journaliste…
La dérive radical d'un certain islam qui est ici montré n'est pas une invention, elle gagne du terrain. Alors que le reportage parle avant tout de l'influence des islamistes, on le présente comme un reportage sur les musulmans pour mieux le clouer au pilori. L'amalgame n'était pas fait dans l'enquête, mais des critiques fortement idéologisés, elles, le réalisent, alimentant ce qu'elles croient dénoncer et créant un lien indissoluble entre islamistes et musulmans pour créer une censure et provoquer l'autocensure.
Ce qui fait tant peur à certains dans Dossier tabou n'est pas que le reportage soit mauvais, c'est la réalité de ce qu'il décrit et le fait que son succès et son retentissement montre qu'il est plus en phase avec l'expérience et le ressenti des Français que l'article manipulateur et peu déontologique de «20 minutes» et que le discours politique officiel… D'ici à ce que l'on accuse Bernard de la Villardière de faire le jeu de Front national, parce que quand le réel déplait, il faut déconsidéere celui qui le montre, il n'y a pas loin. Et si c'était plutôt le déni érigé en leçon de morale qui nourrissait la pourtant résistible ascension de l'extrême droite?
Par Céline Pina
FIGAROVOX/TRIBUNE - Dans l'émission «Dossier tabou» sur M6, Bernard de la Villardière a montré le visage inquiétant de l'islamisme. Céline Pina salue le courage du journaliste, mais dénonce la réaction d'autres médias qui ont crié à l'«islamophobie».
Ancienne conseillère régionale d'Ile-de-France, Céline Pina avait dénoncé, en 2015, le salon de «la femme musulmane» de Pontoise. Elle a récemment publié Silence Coupable (éditions Kero).
Pour son premier volet, Dossier tabou, diffusée ce mercredi 28 septembre 2016 sur M6, a choisi l'islam. En fait il sera surtout question d'islamisme dans cette émission. Le ton est donné d'emblée par le sous-titre qui accompagne la thématique choisie: «L'échec de la République».
Bernard de la Villardière a osé montrer les arrière-boutiques pas très propres d'un soi-disant Islam de France où l'on concocte le détricotage de la République.
Pour son premier numéro, Bernard de la Villardière a osé... osé montrer les arrière-boutiques pas très propres, pas très nettes d'un soi-disant Islam de France où l'on concocte le détricotage de la République, osé montrer que cet islam de France n'a en fait rien de français, car encore entièrement lié idéologiquement, culturellement et financièrement au monde arabo-musulman. Osé montrer le laxisme aveugle de la bien mal nommée puissance publique: un ministère de l'Intérieur incapable de recenser les mosquées de France, un maire englué dans des pratiques clientélistes et dans le déni, des élus brandissant l'argument du culturel pour mieux financer le cultuel…
Un déni qui favorise la montée de l'emprise de l'islamisme radical sur certains territoires
Tout ce que dénoncent sans relâche les lanceurs d'alerte trouvait ici une cinglante illustration. Il n'était pas question d'y stigmatiser les musulmans dont une récente étude a montré que la plupart d'entre eux étaient intégrés et acceptaient tout à fait les lois de la République, mais de montrer qu'à force de faire le lit aux islamistes, on leur donne un pouvoir d'influence et de prescription qui place des quartiers entiers sous leur coupe et leur permet d'ensemencer de plus en plus de têtes, sous l'œil complaisant de ceux qui devraient incarner, au contraire, les lois et idéaux de notre République.
Il fallait oser faire cette enquête car tout se passe comme si les médias étaient anesthésiés sur la question de l'Islam.
Oui, il fallait oser faire cette enquête car, depuis quelque temps, tout se passe comme si les médias étaient anesthésiés sur la question de l'Islam, ou pour le moins gênés. Il suffit de voir avec quelle complaisance les chiffres inquiétants de l'étude de l'IFOP sur la situation des musulmans de France ont été exploités sous le doux titre «Un islam de France est possible…» alors qu'on y apprend que presque 28% des musulmans sont pour la charia.
Ce n'est pas si souvent que la télévision montre les tristes sires liés à l'islam le plus rigoriste sous leur vrai jour, ce n'est pas si souvent que l'on voit le salafisme, le wahhabisme avoir pignon sur rue, organiser des conférences où des imams antisémites, homophobes, sexistes défient la République en défendant le séparatisme culturel, le port du voile, la mort pour les homosexuels, la voie des armes, voire la pédophilie. Et ce, sous le regard même des pouvoirs publics. Cette réalité dérange, mais elle existe. Elle n'est pas représentative de tous les musulmans, mais c'est souvent elle qui s'affiche jusqu'en 4X3 dans nos villes de banlieue, c'est elle qui multiplie les manifestations, favorisant la visibilité du versant le plus radical et le plus obscurantiste de l'islam.
L'agression dont a été victime Bernard de la Villardière fait passer un message subliminal fort : Ici, c'est chez nous ; les maîtres, c'est nous.
Ce n'est pas si souvent que l'on voit combien ces prétendus responsables communautaires savent utiliser la violence des caïds, souvent dealers, avec qui ils se partagent certains territoires. L'agression dont a été victime Bernard de la Villardière fait passer un message subliminal fort: Ici, c'est chez nous ; les maîtres, c'est nous ; L'espace public et la loi, c'est nous.
La mosquée davant laquelle se passe cette scène est tout simplement surnommée «Mosquée Daesh» par la population, qui réclame en vain sa fermeture. Le propriétaire des lieux, Dhaou Meskine, est un homme sulfureux. En 2006, lorsqu'il était secrétaire général du Conseil des imams de France, il a été interpellé avec seize autre personnes dans le cadre d'une enquête sur le financement du terrorisme islamiste.
Le clientélisme et ses ravages illustrés par l'exemple
La complaisance du maire va jusqu'à louer pour une somme dérisoire un terrain municipal pour héberger une école coranique sans agrément.
Ce n'est pas si souvent que la télévision montre comment le clientélisme communautaire d'un maire, ici Stéphane Gatignon à Sevran, mène aux pires atteintes à la laïcité. Alors que dans cette ville, de nombreux gamins sont partis terminer leur jour en kamikase ou en soldat de l'Etat islamique en Syrie ou en Irak, la complaisance du maire va jusqu'à louer pour une somme dérisoire un terrain municipal pour héberger une école coranique sans agrément, qui accueille des enfants que leurs parents, radicaux, déscolarisent et où les filles sont voilées alors que ce ne sont que de jeunes enfants. Le maire de Bagnolet s'est fait épingler pour les mêmes raisons et ils ont des émules…
Sous couvert de subvention d'un lieu culturel, la mairie de Paris finance un lieu de culte.
A cet égard, la capitale donne l'exemple. Le centre des cultures islamiques du XVIIIe arrondissement est considéré par les riverains comme une mosquée... A juste titre. On voit l'habileté des responsables communautaires à contourner la loi de 1905 pour mieux encaisser les deniers publics. Ainsi, sous couvert de subvention d'un lieu culturel, la mairie de Paris finance un lieu de culte. Si l'on épluchait la carte d'identité de nombreuses associations soi-disant culturelles subventionnées, on se rendrait compte que ce sont de faux papiers. Beaucoup d'entre elles sont parfaitement cultuelles. Et si le citoyen lambda n'y voit que du feu, les élus en revanche savent très bien en réalité de quoi il retourne. Pour avoir voulu tester la réalité du respect de la nature des différents espaces, laïques et sacrés dans le même lieu, le présentateur se fera expulser par le représentant de la mosquée de la partie pourtant officiellement laïque et publique.
Mohamed Louizi ou Soufiane Zitouni témoignent de la progression des frères musulmans dans certains territoires, avec un seul objectif à la clé : l'islamisation de la France.
Ce n'est pas si souvent que l'on donne la parole à Mohamed Louizi, ancien Frère musulman, ou Soufiane Zitouni, ancien professeur au Lycée Averroès de Lille qui témoignent, par leur vécu, de la progression de l'emprise des frères musulmans sur la communauté musulmane dans certains territoires, avec un seul objectif à la clé: l'islamisation de la France. Tous deux révèlent les véritables objectifs des structures auxquelles ils ont appartenu ; tous deux sont persécutés au quotidien et attaqués en justice pour avoir dénoncé le double langage des islamistes.
Enfin David Vallat, jihadiste repenti et auteur de Terreur de jeunesse, analyse le prêche d'un prédicateur intégriste et la façon dont il installe un discours de victimisation pour attiser la haine de ses jeunes auditeurs: logique de persécution décrivant la France comme raciste et anti musulmane, rejet de la société et exacerbation des particularismes religieux pour les amener à revendiquer un séparatisme absolu (même ses fenêtres ne doivent pas donner sur l'habitat d'un «mécréant»), hystérisation des interdits pour mieux les isoler et les vouer à l'exécration de ses voisins et à la haine de ses compatriotes. L'épisode est instructif et pour ceux qui ont eu à affronter ce type de prêcheurs et leurs adeptes, ces éléments de langage sont récurrents…
La violence des réactions de certains journaux face au reportage: une volonté de censure pour générer de l'autocensure alors que les langues se délient?
Le journal 20 minutes a indiqué dans un raccourci saisissant que cette émission avait «scandalisé» les téléspectateurs…
La réaction face à un tel brûlot ne s'est pas fait attendre et le journal 20 minutes a immédiatement sorti un article pour indiquer dans un raccourci saisissant que cette émission avait «scandalisé» les téléspectateurs… Le procédé du pseudo-journaliste auteur de ce tract militant sous couvert d'«enquête journalistique» est un classique du genre. Il commence à mettre en scène des tweets produits par des dirigeants du FN: David Rachline, Florian Philipot, cite Marion Maréchal-le Pen… Le message: tous ceux qui ne conspuent pas l'émission sont des suppôts de l'extrême droite.
Des milliers de tweets de citoyens anonymes ont envahi les réseaux sociaux pour dire leur soulagement de voir reconnu ce qu'ils vivent au quotidien.
Des milliers de tweets de citoyens anonymes et pas du tout inféodés à l'extrême-droite, qui ont envahi les réseaux sociaux pour dire leur soulagement de voir reconnu ce qu'ils vivent au quotidien et témoigner du caractère emblématique des situations évoquées, il n'est pas fait mention. A croire que quand un hashtag explose tous les records, il ne peut être le fait que la mobilisation des militants frontistes…
Ensuite pour faire croire que l'enquête est exhaustive, d'autres tweets sont produits, très violents envers l'émission, émanant de personnes «anonymes», dont le journaliste ne prend jamais la peine de dire qui elles sont alors que certaines sont loin d'être anodines ou connues pour leur soutien à l'islamisme: C'est le cas de Madjid Messaoudène, inénarrable élu de St Denis qui pense que les descentes de policiers menées pour arrêter les terroristes des attentats de Paris réfugiés dans sa ville sont stigmatisantes et islamophobes. C'est la reproduction d'un tweet de Christophe Conte, journaliste aux Inrocks, chargé de tirer à vue sur les affreux réactionnaires que sont tous ceux qui refusent le politiquement correct pour assumer leur parole… Tweeter ce qui leur chante est tout à fait du droit de ces personnalités, en revanche présenter comme des lambdas des personnalités du microcosme parisiano-médiatique ou des militants soutenant les islamistes est une faute de la part du journaliste…
Quand il parle de la contre-émission de S. Assbague et W. Kefti, présentées comme militantes anti-racistes, il oublie de dire que la première est organisatrice du campdécolonial interdit aux blancs.
Celui-ci d'ailleurs ne s'en tient pas là: quand il parle de la contre-émission initiée à l'occasion par Sihame Assbague et Widad Kefti, présentées comme militantes anti-racistes, il oublie de dire que la première est organisatrice du fameux camp décolonial interdit aux blancs, est une des apologues du «racisme d'état», qui voit dans l'Etat d'urgence la marque non d'une réponse aux attentats mais de la détestation des musulmans et est proches du parti des indigènes de la République. Un parti raciste dont la porte-parole a écrit un livre dont le titre est à lui seul tout un programme: «les blancs, les juifs et nous». Elle y évoque ses allégeances: «J'appartiens à ma famille, à mon clan, à ma race, à l'Algérie, à l'Islam» sa haine des juifs, de la «blanchité» ou de l'homosexualité et n'a jamais été désavouée par aucun militant de l'organisation, vu qu'elle ne fait qu'y diffuser l'idéologie de son mouvement. Quant à Widad Kefti, elle relaie complaisamment les initiatives de Sihame Assbague, dont elle est un des porte-voix. Elle aussi ne voit que par le biais de la race et de la domination de la «caste blanche».
Pour parfaire le tour de passe passe, on qualifie d'antiracistes des militantes qui mettent l'appartenance ethnique au dessus de tout, ce qui est la définition même du racisme…
Ces deux identitaires ne valent pas mieux que les personnalités de FN vilipendées plus haut et portent, elles aussi, un projet de société séparatiste, qui fait de l'appartenance ethnique et confessionnelle le cœur de l'identité des individus. Mais cela ne sera jamais dit par le «journaliste». En effet, pourquoi se soucier de mettre en contexte et de dire d'où parlent les personnes que l'on cite, quand on ne souhaite pas faire un travail d'enquêteur mais servir une cause sans l'assumer. Voilà pourquoi dans un cas on met l'appartenance FN en avant, cela permet de qualifier la personne pour mieux disqualifier sa parole et dans l'autre, on oublie la proximité avec le PIR et on passe sous silence le scandale du camp séparatiste et anti mixité raciale, car ne pas situer permet de crédibiliser. Et pour parfaire le tour de passe passe, on qualifie d'antiracistes, des militantes qui mettent l'appartenance ethnique au dessus de tout, ce qui est la définition même du racisme…
La dérive radical d'un certain islam qui est ici montré n'est pas une invention, elle gagne du terrain.
On ne s'étonnera pas également que Libération fasse un éditorial où c'est le journaliste qui devient une «caillera» qui élude la «complexité des problèmatiques», comme si la loi du plus fort n'était pas une réalité que dénoncent et subissent les habitants de banlieue et qui montre sa réalité ici. Comme s'il n'était pas «chaud» de s'aventurer dans certains quartiers quand on n'y appartient pas, que l'on soit ou non journaliste…
La dérive radical d'un certain islam qui est ici montré n'est pas une invention, elle gagne du terrain. Alors que le reportage parle avant tout de l'influence des islamistes, on le présente comme un reportage sur les musulmans pour mieux le clouer au pilori. L'amalgame n'était pas fait dans l'enquête, mais des critiques fortement idéologisés, elles, le réalisent, alimentant ce qu'elles croient dénoncer et créant un lien indissoluble entre islamistes et musulmans pour créer une censure et provoquer l'autocensure.
Ce qui fait tant peur à certains dans Dossier tabou n'est pas que le reportage soit mauvais, c'est la réalité de ce qu'il décrit et le fait que son succès et son retentissement montre qu'il est plus en phase avec l'expérience et le ressenti des Français que l'article manipulateur et peu déontologique de «20 minutes» et que le discours politique officiel… D'ici à ce que l'on accuse Bernard de la Villardière de faire le jeu de Front national, parce que quand le réel déplait, il faut déconsidéere celui qui le montre, il n'y a pas loin. Et si c'était plutôt le déni érigé en leçon de morale qui nourrissait la pourtant résistible ascension de l'extrême droite?
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 06 oct.16, 04:23il semblerait que Bernard de la Villardière soit censuré du moindre édito concernant ce reportage
des passages fugasse de réactions qui sont supprimé ou retiré très rapidement ...
des passages fugasse de réactions qui sont supprimé ou retiré très rapidement ...
- yacoubbis
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 06 oct.16, 05:13Plus on cherchera à le censurer, plus il sera lu avec avidité.
C'est comme pour Zemmour ou même Soral et Dieudonné.
C'est comme pour Zemmour ou même Soral et Dieudonné.
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Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 06 oct.16, 16:18Les médias sont à la solde de la maison des Saouds et de l'islamisme mondial. Les médias appartiennent aux grands PDG de sociétés et d'entreprises voleurs dont les islamistes sont les premiers clients. Les grands criminels de Vivendi (Canal+, iTele..etc), Lagardère (Europe1) et la clique des corrompus.jipe a écrit :il semblerait que Bernard de la Villardière soit censuré du moindre édito concernant ce reportage
des passages fugasse de réactions qui sont supprimé ou retiré très rapidement ...
L'État français est le premier client des islamistes du Golfe (Qatar, Arabie Saoudite, Koweit).
Voilà pourquoi tous les merdias de masses et leurs journalopes taxent tous les critiques de l'islam "d'islamophobie" et nous chantent en choeur la berceuse "islam, religion de paix, islam pas damalgam"..
L'Angleterre est un cloaque. L'Angleterre est le vivier fertile des fondamentalistes musulmans. Son raisonnement social est de permettre a toutes les religions de prêcher ouvertement. Mais cela est déraisonnable puisque aucune des autres religions ne prêchent la violence apocalyptique. Pourtant, l'Angleterre le permet...-Wole Soyinka
Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 06 oct.16, 21:47Le Parisien, publié le mercredi 05 octobre 2016 à 07h30
Bernard de la Villardière chahuté à Sevran par un groupe de jeunes sur le tournage de « Dossiers tabous » ? Ces images ont fait le buzz après leur diffusion sur M 6, le mardi 27 septembre. Mais, depuis hier, le site BuzzFeed a dévoilé deux autres vidéos, qui montrent la scène sous un autre angle. On y voit le présentateur lancer aux mêmes jeunes : « Je suis dans mon pays et j'ai le droit de faire ce que je veux, d'accord ? » Ousmane, qui a filmé ces images, met en cause l'attitude du journaliste de M 6, qui n'aurait pas expliqué la raison de sa présence. Parallèlement, le lycée privé musulman Averroès de Lille, mentionné dans « Dossiers tabous », a saisi le CSA pour faire « cesser le sensationnalisme » de ce type d'émission. Selon l'établissement, le...
Lire la suite sur Le Parisien
Bernard de la Villardière chahuté à Sevran par un groupe de jeunes sur le tournage de « Dossiers tabous » ? Ces images ont fait le buzz après leur diffusion sur M 6, le mardi 27 septembre. Mais, depuis hier, le site BuzzFeed a dévoilé deux autres vidéos, qui montrent la scène sous un autre angle. On y voit le présentateur lancer aux mêmes jeunes : « Je suis dans mon pays et j'ai le droit de faire ce que je veux, d'accord ? » Ousmane, qui a filmé ces images, met en cause l'attitude du journaliste de M 6, qui n'aurait pas expliqué la raison de sa présence. Parallèlement, le lycée privé musulman Averroès de Lille, mentionné dans « Dossiers tabous », a saisi le CSA pour faire « cesser le sensationnalisme » de ce type d'émission. Selon l'établissement, le...
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Re: Bernard de la Villardière "sans tabous" sur l'islam
Ecrit le 07 oct.16, 00:27Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
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