Hello et bonsoir à tous,
Jésus nous enseigne ce qui est dans ma signature: la gentillesse, la sagesse, être bienveillant, aimer tout les humains peu importe ce qu'ils ont fait, pardonner; traiter les êtres avec douceur et amour.
L'essentiel du christianisme n'est pas de croire que Jésus soit le fils de Dieu ou je ne sais quelles autres croyances louches; mais l'essentiel est de pratiquer l'amour
Tu as très bien parlé DeTox.
Ajoutons pour compléter tes sages propos que l'enseignement de Jésus repose davantage sur la pratique (orthopraxie) que sur le discours théologique (orthodoxie). Et que c'est à cette vigilance qu'il nous convie. Lorsqu'on s'engage dans sa voie, quel qu’elle soit, on est appelé à adhérer en pleine conscience à l'enseignement du Christ basé sur la Loi d'Amour. L'affranchissement ultime (la libération spirituelle ou la vie éternelle) ne peut résulter d'une attitude floue et approximative, d'une attitude tiède (Matthieu 5, 37).
La gentillesse, la sagesse, la bonté, l'amour véritable et même la vérité ne peuvent émaner que d'un certain niveau de conscience auquel nous sommes, chacun d'entre nous, appelés. A la mesure de cette qualité d'être et de conscience, la qualité d'amour équivalente en rayonne naturellement, laissant de plus en plus de place à Autrui et à la réalité de ses demandes.
Dit autrement, ce qui détermine la qualité de notre relation à l'autre dépend de notre degré de purification mentale. Et comme Dieu voit toutes choses comme bonnes, parce qu'il cerne l'harmonie sous-jacente derrière les oppositions apparentes, nous devons nous efforcer de faire de même par un continuel travail sur soi-même.
Lorsqu'on dit que notre prochain est "comme nous-même", il y a là un rappel fondamental, une règle d'or, un sens à ne pas étouffer : il n'y a pas de différence entre nous, l'autre est nous-même et par conséquent à le droit à autant d'amour. Pour bien saisir ce sens profond de la communion, qui d'ordinaire nous échappe quotidiennement, il faut considérer différemment sa relation à l'autre, dans une relation de verticalité où la rencontre s'effectue d'être à être.
Mais pour la plupart d'entre nous, une telle expression est comprise dans un sens différent, celui où on aime son prochain à le mesure que l'on s'aime soi-même. Or la reconnaissance de l'autre, l’accueil et l'amour qu'on porte à autrui sont bien trop souvent entravés par le fait que nous sommes divisés intérieurement, et en conflit avec tel ou tel aspect de nous-même que nous condamnons, jugeons ou refusons simplement de voir. Sur ce point, les hommes ne cessent de séparer ce que Dieu à uni.
Donc la fin du monde aura lieu au plus tard 120 ans après l'ascension du Christ.
La date la plus tardive de sa mort ayant été l'an 70 (autres versions : l'an 58 pour Alexandre de Jérusalem, sous Claude (41-54) pour Irénée de Lyon), la fin du monde et le retour du Christ auraient dû avoir lieu avant 190.
Jésus n'a pas demandé à ce qu'on croie aveuglément à une eschatologie des temps de la fin ou une ère messianique à venir.
Il nous invite constamment et en premier lieu au retournement de la conscience sur elle-même (métanoïa).
C'est-à-dire à une réelle transformation intérieure dans notre présent.
Cordialement,
Ase