Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 10 nov.16, 05:26Trump président : comment réagit le monde musulman ?
Des dirigeants du Moyen-Orient ont appelé mercredi Donald Trump à les aider à résoudre les nombreuses crises de leur région sur lesquelles le futur président américain s'est peu exprimé durant la campagne.
Election américaine 2016Moyen-OrientProche-OrientDonald TrumpSyrieIrak
Les réactions de la communauté musulmane n’ont pas tardé en ce jour d'élection de Donald Trump à la Maison Blanche. De l’enthousiasme turc au scepticisme palestinien, tour d’horizon de l’accueil diplomatique réservé au milliardaire américain.
Les tensions entre le candidat républicain Donald Trump et la communauté musulmane (sur le sol américain et à l'étranger) ne datent pas d'hier. Entre sa proposition d'empêcher l'entrée des musulmans aux Etats-Unis en décembre 2015, sur laquelle il est revenu, et ses attaques, en août dernier, contre un couple de musulmans dont le fils, un soldat, est mort en Irak, les multiples saillies du candidat républicain ont mis beaucoup de nerfs à vif.
Maintenant qu'il est président des Etats-Unis d'Amérique, celui qui se revendique isolationniste joue la carte de l'apaisement. «Nous nous entendrons avec tous les autres pays qui ont la volonté de s'entendre avec nous», a déclaré le chef de la première puissance mondiale, lors de son discours de victoire. Dans la foulée, des dirigeants du Moyen-Orient ont appelé le milliardaire, proche de Vladimir Poutine, à les aider à résoudre les crises d'une région dont il a peu parlé durant la campagne.
En haut de la pile, le dossier «Etat Islamique»
En Syrie, les réactions étaient contrastées ce mercredi. La victoire de M. Trump a été accueillie à Damas comme «une bonne surprise», a indiqué Waddah Abed Rabbo, directeur du quotidien Al Watan, proche du régime du président Bachar al-Assad. La télévision syrienne par ailleurs a diffusé en direct son discours, fait totalement inhabituel. Des organisations prorégime se sont également félicitées de son triomphe sur Twitter.
De leur côté, des groupes rebelles réclament aussi une nouvelle politique américaine car «l'expérience avec l'administration Obama n'a pas été bonne», selon Bassam Moustapha, membre du conseil politique de Nourredine al-Zinki, l'un des principaux groupes rebelles du nord syrien.
«Si vous regardez le Moyen-Orient, c'est le chaos total», avait jugé le candidat républicain lors de la campagne. Admirateur assumé du président russe Vladimir Poutine, un allié du régime syrien, Donald Trump avait même déclaré en juillet au New York Times que «l'EI est une bien plus grande menace contre nous qu'Assad».
Israël confiant, la Palestine sceptique
«Un véritable ami de l'Etat d'Israël». C'est en ces termes que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, dont les relations avec Barack Obama étaient tendues, a qualifié Donald Trump « Je suis impatient de travailler avec lui en faveur de la sécurité, la stabilité et la paix dans notre région », a-t-il ajouté dans un communiqué, sans pour autant aborder explicitement le conflit israélo-palestinien ni la promesse controversée de déplacer l'ambassade des Etats-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem. L'un de ses ministres, Naftali Bennett, chef de file du lobby colon, a estimé quant à lui que «la victoire de Trump offre à Israël la chance de renoncer immédiatement à l'idée de création d'un Etat palestinien».
La réaction palestinienne est bien moins chaleureuse. Sa position est la même que sous l'ère Obama. «Nous sommes prêts à travailler avec le président élu sur la base d'une solution à deux Etats afin d'établir un Etat palestinien sur les frontières de 1967»,a rappelé le porte-parole de la présidence de l'Autorité palestinienne, Nabil Abou Roudeina. De son côté, le Hamas, mouvement considéré comme terroriste par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne, a fait savoir qu'il ne comptait «pas beaucoup sur un changement de politique de la part de la présidence américaine, la politique américaine sur la question palestinienne ayant été constamment caractérisée par le parti pris».
Donald Trump l'admet volontiers : résoudre ce problème est un chantier quasi impossible. «C’est probablement la négociation la plus ardue de tous les temps. Mais j’adorerais tenter le coup». Voilà comment il appréhendait le processus de paix israélo-palestinien à l'époque de la primaire républicaine (voir la vidéo ci-dessous).
L'Iran se veut prévenante sur le nucléaire
Pendant sa campagne électorale, Donald Trump avait critiqué l'accord nucléaire conclu en juillet 2015 entre l'Iran et six grandes puissances, dont les Etats-Unis, en affirmant qu'il le «déchirerait». Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, avait rétorqué à l'époque que dans ce cas, l'Iran le «brûlerait».
Ce mercredi, le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a appelé le nouveau président à respecter cet accord. «Tout président des Etats-Unis doit comprendre les réalités du monde d'aujourd'hui, a-t-il lancé en marge d'un déplacement à Bucarest (Roumanie). Le plus important est que le futur président des Etats-Unis respecte les accords, les engagements pris non pas à un niveau bilatéral mais à un niveau multilatéral».
Les dirigeants iraniens misent notamment sur un président Trump plus modéré que le candidat. «L'image donnée par Trump en tant que président lors de son discours de victoire est différente de l'image qu'il montrée durant la campagne. C'est un point notable», a twitté un proche conseiller du président iranien Hassan Rohani, Hamid Aboutalebi, au terme du premier discours officiel du milliardaire.
Turquie : Erdogan pose d'emblée ses exigences
«Une nouvelle ère s'ouvre», a affirmé le président Erdogan dans une allocution retransmise par la télévision. Il faut dire que les relations entre l'administration Obama et la Turquie, deux alliés de l'Otan, avaient été éprouvées par le coup d'Etat manqué et les vains appels d'Ankara à une extradition de M. Gülen. Le prédicateur est accusé par le régime d'être l'une des têtes pensantes du putsch raté.
Des divergences opposent aussi les deux pays au sujet des milices kurdes en Syrie, que Washington appuie dans la lutte contre le groupe Etat Islamique alors qu'Ankara les considère comme des organisations terroristes émanant du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK). La proximité de Donald Trump et Vladimir Poutine, notamment dans le dossier syrien, tendent également à rassurer la Turquie.
Réchauffement diplomatique avec l'Egypte ?
L'Egypte du président Sissi fut l'un des premiers pays arabes à adresser ses félicitations au candidat républicain. Son chef d'Etat «espère que la présidence de Donald Trump apportera un nouveau souffle aux relations égypto-américaines». Les relations entre Washington et Le Caire, un allié clé de longue date au Moyen-Orient, s'étaient détériorées depuis la destitution par l'armée du président islamiste Mohamed Morsi, en 2013. Alors que les Etats-Unis critiquent régulièrement le bilan en matière des droits de l'Homme des autorités mises en place par l'ex-chef de l'armée Sissi, l'Egypte s'est rapprochée de la Russie. Avant l'élection, M. Sissi avait déjà assuré que M. Trump serait «un bon dirigeant».
Les monarchies du Golfe ont également félicité Trump
Le roi Salmane d'Arabie saoudite, une des grandes puissances régionales, a souhaité à M. Trump «le succès dans (sa) mission pour réaliser la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient et dans le monde». Les dirigeants des Emirats arabes unis, du Koweït, du Qatar et de Bahreïn, autres alliés des Etats-Unis dans le Golfe, ont également adressé des télégrammes de félicitations au républicain.
Ces monarchies avaient très mal vécu les hésitations de Barack Obama à s'engager dans la guerre contre le président syrien Bachar al-Assad, ainsi que son rapprochement avec Téhéran, rival régional de Ryad, à la faveur de l'accord international sur le nucléaire.
Des dirigeants du Moyen-Orient ont appelé mercredi Donald Trump à les aider à résoudre les nombreuses crises de leur région sur lesquelles le futur président américain s'est peu exprimé durant la campagne.
Election américaine 2016Moyen-OrientProche-OrientDonald TrumpSyrieIrak
Les réactions de la communauté musulmane n’ont pas tardé en ce jour d'élection de Donald Trump à la Maison Blanche. De l’enthousiasme turc au scepticisme palestinien, tour d’horizon de l’accueil diplomatique réservé au milliardaire américain.
Les tensions entre le candidat républicain Donald Trump et la communauté musulmane (sur le sol américain et à l'étranger) ne datent pas d'hier. Entre sa proposition d'empêcher l'entrée des musulmans aux Etats-Unis en décembre 2015, sur laquelle il est revenu, et ses attaques, en août dernier, contre un couple de musulmans dont le fils, un soldat, est mort en Irak, les multiples saillies du candidat républicain ont mis beaucoup de nerfs à vif.
Maintenant qu'il est président des Etats-Unis d'Amérique, celui qui se revendique isolationniste joue la carte de l'apaisement. «Nous nous entendrons avec tous les autres pays qui ont la volonté de s'entendre avec nous», a déclaré le chef de la première puissance mondiale, lors de son discours de victoire. Dans la foulée, des dirigeants du Moyen-Orient ont appelé le milliardaire, proche de Vladimir Poutine, à les aider à résoudre les crises d'une région dont il a peu parlé durant la campagne.
En haut de la pile, le dossier «Etat Islamique»
En Syrie, les réactions étaient contrastées ce mercredi. La victoire de M. Trump a été accueillie à Damas comme «une bonne surprise», a indiqué Waddah Abed Rabbo, directeur du quotidien Al Watan, proche du régime du président Bachar al-Assad. La télévision syrienne par ailleurs a diffusé en direct son discours, fait totalement inhabituel. Des organisations prorégime se sont également félicitées de son triomphe sur Twitter.
De leur côté, des groupes rebelles réclament aussi une nouvelle politique américaine car «l'expérience avec l'administration Obama n'a pas été bonne», selon Bassam Moustapha, membre du conseil politique de Nourredine al-Zinki, l'un des principaux groupes rebelles du nord syrien.
«Si vous regardez le Moyen-Orient, c'est le chaos total», avait jugé le candidat républicain lors de la campagne. Admirateur assumé du président russe Vladimir Poutine, un allié du régime syrien, Donald Trump avait même déclaré en juillet au New York Times que «l'EI est une bien plus grande menace contre nous qu'Assad».
Israël confiant, la Palestine sceptique
«Un véritable ami de l'Etat d'Israël». C'est en ces termes que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, dont les relations avec Barack Obama étaient tendues, a qualifié Donald Trump « Je suis impatient de travailler avec lui en faveur de la sécurité, la stabilité et la paix dans notre région », a-t-il ajouté dans un communiqué, sans pour autant aborder explicitement le conflit israélo-palestinien ni la promesse controversée de déplacer l'ambassade des Etats-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem. L'un de ses ministres, Naftali Bennett, chef de file du lobby colon, a estimé quant à lui que «la victoire de Trump offre à Israël la chance de renoncer immédiatement à l'idée de création d'un Etat palestinien».
La réaction palestinienne est bien moins chaleureuse. Sa position est la même que sous l'ère Obama. «Nous sommes prêts à travailler avec le président élu sur la base d'une solution à deux Etats afin d'établir un Etat palestinien sur les frontières de 1967»,a rappelé le porte-parole de la présidence de l'Autorité palestinienne, Nabil Abou Roudeina. De son côté, le Hamas, mouvement considéré comme terroriste par Israël, les Etats-Unis et l'Union européenne, a fait savoir qu'il ne comptait «pas beaucoup sur un changement de politique de la part de la présidence américaine, la politique américaine sur la question palestinienne ayant été constamment caractérisée par le parti pris».
Donald Trump l'admet volontiers : résoudre ce problème est un chantier quasi impossible. «C’est probablement la négociation la plus ardue de tous les temps. Mais j’adorerais tenter le coup». Voilà comment il appréhendait le processus de paix israélo-palestinien à l'époque de la primaire républicaine (voir la vidéo ci-dessous).
L'Iran se veut prévenante sur le nucléaire
Pendant sa campagne électorale, Donald Trump avait critiqué l'accord nucléaire conclu en juillet 2015 entre l'Iran et six grandes puissances, dont les Etats-Unis, en affirmant qu'il le «déchirerait». Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, avait rétorqué à l'époque que dans ce cas, l'Iran le «brûlerait».
Ce mercredi, le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a appelé le nouveau président à respecter cet accord. «Tout président des Etats-Unis doit comprendre les réalités du monde d'aujourd'hui, a-t-il lancé en marge d'un déplacement à Bucarest (Roumanie). Le plus important est que le futur président des Etats-Unis respecte les accords, les engagements pris non pas à un niveau bilatéral mais à un niveau multilatéral».
Les dirigeants iraniens misent notamment sur un président Trump plus modéré que le candidat. «L'image donnée par Trump en tant que président lors de son discours de victoire est différente de l'image qu'il montrée durant la campagne. C'est un point notable», a twitté un proche conseiller du président iranien Hassan Rohani, Hamid Aboutalebi, au terme du premier discours officiel du milliardaire.
Turquie : Erdogan pose d'emblée ses exigences
«Une nouvelle ère s'ouvre», a affirmé le président Erdogan dans une allocution retransmise par la télévision. Il faut dire que les relations entre l'administration Obama et la Turquie, deux alliés de l'Otan, avaient été éprouvées par le coup d'Etat manqué et les vains appels d'Ankara à une extradition de M. Gülen. Le prédicateur est accusé par le régime d'être l'une des têtes pensantes du putsch raté.
Des divergences opposent aussi les deux pays au sujet des milices kurdes en Syrie, que Washington appuie dans la lutte contre le groupe Etat Islamique alors qu'Ankara les considère comme des organisations terroristes émanant du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK). La proximité de Donald Trump et Vladimir Poutine, notamment dans le dossier syrien, tendent également à rassurer la Turquie.
Réchauffement diplomatique avec l'Egypte ?
L'Egypte du président Sissi fut l'un des premiers pays arabes à adresser ses félicitations au candidat républicain. Son chef d'Etat «espère que la présidence de Donald Trump apportera un nouveau souffle aux relations égypto-américaines». Les relations entre Washington et Le Caire, un allié clé de longue date au Moyen-Orient, s'étaient détériorées depuis la destitution par l'armée du président islamiste Mohamed Morsi, en 2013. Alors que les Etats-Unis critiquent régulièrement le bilan en matière des droits de l'Homme des autorités mises en place par l'ex-chef de l'armée Sissi, l'Egypte s'est rapprochée de la Russie. Avant l'élection, M. Sissi avait déjà assuré que M. Trump serait «un bon dirigeant».
Les monarchies du Golfe ont également félicité Trump
Le roi Salmane d'Arabie saoudite, une des grandes puissances régionales, a souhaité à M. Trump «le succès dans (sa) mission pour réaliser la sécurité et la stabilité au Moyen-Orient et dans le monde». Les dirigeants des Emirats arabes unis, du Koweït, du Qatar et de Bahreïn, autres alliés des Etats-Unis dans le Golfe, ont également adressé des télégrammes de félicitations au républicain.
Ces monarchies avaient très mal vécu les hésitations de Barack Obama à s'engager dans la guerre contre le président syrien Bachar al-Assad, ainsi que son rapprochement avec Téhéran, rival régional de Ryad, à la faveur de l'accord international sur le nucléaire.
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 10 nov.16, 05:28Islamophobe et pseudo politicien Comme Trump?
Vous n'etes pas misogyne ni sexiste à tout le moins? raciste aussi?
Vous n'etes pas misogyne ni sexiste à tout le moins? raciste aussi?
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.
Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 10 nov.16, 05:46Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 10 nov.16, 06:10J'aime entendre dire que Trump est anti système.
Lorsqu'il pensé perdre, il disait que cette élection était truquée. La preuve que non.
Il a aussi dit que si il gagné, il mettrait Hillary en taule. Apparemment, il s'est calmé puisqu'il l'a chaleureusement félicité.
Lorsqu'il pensé perdre, il disait que cette élection était truquée. La preuve que non.
Il a aussi dit que si il gagné, il mettrait Hillary en taule. Apparemment, il s'est calmé puisqu'il l'a chaleureusement félicité.
Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 10 nov.16, 08:19Rien n'est perdu pour Hillary
Il semble que tout ne soit pas perdu pour la candidate démocrate Hillary Clinton: elle aurait encore une possibilité, la toute dernière celle-là, de prendre le dessus sur Donald Trump. Son dernier espoir? Le collège électoral des États-Unis.
Conformément à la Constitution américaine, les grands électeurs du collège électoral sont des personnes physiques votant le 19 décembre pour le futur président des États-Unis dans les capitales de leurs États respectifs.
Et même si d’aventure une telle chose avait lieu, cela ne veut pas dire que Trump ne serait pas élu, souligne le Huffington Post.
En effet, la seule fois où ces électeurs sans foi eurent un impact, ce fut en 1836. 23 électeurs de Virginie refusèrent de soutenir le vice-président Richard Johnson car celui-ci était accusé de vivre avec une afro-américaine. Trump, lui, vit avec une Slovène. Donc rien à craindre de ce côté-là…
Il semble que tout ne soit pas perdu pour la candidate démocrate Hillary Clinton: elle aurait encore une possibilité, la toute dernière celle-là, de prendre le dessus sur Donald Trump. Son dernier espoir? Le collège électoral des États-Unis.
Conformément à la Constitution américaine, les grands électeurs du collège électoral sont des personnes physiques votant le 19 décembre pour le futur président des États-Unis dans les capitales de leurs États respectifs.
Et même si d’aventure une telle chose avait lieu, cela ne veut pas dire que Trump ne serait pas élu, souligne le Huffington Post.
En effet, la seule fois où ces électeurs sans foi eurent un impact, ce fut en 1836. 23 électeurs de Virginie refusèrent de soutenir le vice-président Richard Johnson car celui-ci était accusé de vivre avec une afro-américaine. Trump, lui, vit avec une Slovène. Donc rien à craindre de ce côté-là…
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 10 nov.16, 09:41marco ducercle a écrit :J'aime entendre dire que Trump est anti système.
Lorsqu'il pensé perdre, il disait que cette élection était truquée. La preuve que non.
Il a aussi dit que si il gagné, il mettrait Hillary en taule. Apparemment, il s'est calmé puisqu'il l'a chaleureusement félicité.
Il vient tout juste de retirer plein de trucs (promesses, commentaire, insultes, ..) de son site web et compte tweeter...
Il a même dit être honoré de rencontrer Barak Obama
menteur ou hypocrite? ...mais bon je préjuge
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 10 nov.16, 22:09En France, en 2007 on disait aussi qu'il y aurait une guerre civile si Sarko serait président.
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 11 nov.16, 06:31Ils ont surtout compris qu'il va très probablement, si on le laisse faire, redresser l'économie US en la remettant sur pieds et que l'économie mondiale n'en pourra que mieux se porter.Karlo a écrit :Moi j'aimerais bien savoir comment les croyants du Trump anti-système expliquent cette réaction de wall street.
On ne peut pas vraiment parler de panique, non ?
http://www.europe1.fr/economie/wall-str ... 39-2895935
- "Wall Street a déjoué la plupart des pronostics mercredi en réagissant par une nette hausse à l'élection de Donald Trump à la présidence américaine, au point de presque battre un record : le Dow Jones a pris 1,39% et le Nasdaq 1,11%."
N'auraient-ils pas compris que le milliardaire Trump serait leur ennemi ?
Il n'est pas anti-système ?Karlo a écrit :Les candidats populistes aiment beaucoup se présenter comme "anti-système" devant leur électorat.
Et ils ont raison. C'est très porteur. les gens le gobent systématiquement...
Proposer le retour au protectionnisme, aux frontières, à une nation forte qui peut dire merde à la FED, c'est à mon sens aujourd'hui tout-à-fait révolutionnaire.
____________
Islamophobe ? Trump ? Tu vas voir s'il a peur de l'Islam lol !indian a écrit :Islamophobe et pseudo politicien Comme Trump?
Vous n'etes pas misogyne ni sexiste à tout le moins? raciste aussi?
Plus sérieusement, s'attaquer à l'islamisme ce n'est pas être islamophobe l'ami !
Quant au fait qu'il ne serait pas politicien, ça c'est évident ! Il n'a rien du caniche lèche cul de la Finance.
Pour finir, si l'on a que ces critiques à formuler sur Trump, eh bien.. c'est qu'il y a des chances qu'il n'y n'a vraiment pas grand chose de critiquable sur le fond alors ! Car, l'on accuse généralement quelqu'un de raciste ou de sexiste quand on n'a vraiment pas grand chose à opposer en face.
_____________
Quoi la preuve que non ?marco ducercle a écrit :J'aime entendre dire que Trump est anti système.
Lorsqu'il pensé perdre, il disait que cette élection était truquée. La preuve que non.
Si l'écart entre les deux candidats n'avait pas été si grand, il y aurait certainement eu truquage comme cela s'est déjà produit aux US.
C'est l'avance de Trump sur Hillary, que personne n'a prévue, pas même Trump lui-même, qui a rendu impossible tout truquage.
J'ai entendu aux infos qu'Obama avait explicitement demandé à Trump lors de son "excellente conversation" avec lui, une confirmation du fait il la laisserait tranquille sans quoi la transition ne se ferait pas d'une bonne manière...marco ducercle a écrit :Il a aussi dit que si il gagné, il mettrait Hillary en taule. Apparemment, il s'est calmé puisqu'il l'a chaleureusement félicité.
____________
En effet, il n'y a eu qu'une crise bancaire... Et un gros renflouement des banques aux frais des contribuables.marco ducercle a écrit :En France, en 2007 on disait aussi qu'il y aurait une guerre civile si Sarko serait président.
La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit sont lot d'expériences vécues.
Sagesse !
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 11 nov.16, 06:49J'm'interroge a écrit :[Islamophobe ? Trump ? Tu vas voir s'il a peur de l'Islam lol !
Plus sérieusement, s'attaquer à l'islamisme ce n'est pas être islamophobe l'ami !
Quant au fait qu'il ne serait pas politicien, ça c'est évident ! Il n'a rien du caniche lèche cul de la Finance.
Pour finir, si l'on a que ces critiques à formuler sur Trump, eh bien.. c'est qu'il y a des chances qu'il n'y n'a vraiment pas grand chose de critiquable sur le fond alors ! Car, l'on accuse généralement quelqu'un de raciste ou de sexiste quand on n'a vraiment pas grand chose à opposer en face.
.
Je critique ses propos islamophobse, anti-mexicains, racistes, myosines, sexistes... tenu lors des débats...tout comme ses contradictions.
Non Trump a peur de rien.
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 11 nov.16, 07:02Mariés par Trump ce matin à Las Vegas....indian a écrit : Je critique ses propos islamophobse, anti-mexicains, racistes, myosines, sexistes... tenu lors des débats...tout comme ses contradictions.
Non Trump a peur de rien.
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 11 nov.16, 07:26yacoub a écrit : Mariés par Trump ce matin à Las Vegas....
Désolé mais votre photo ne m'es pas pour l'instant visible..
Sécurité et blocage info
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 11 nov.16, 07:29Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 11 nov.16, 07:31yacoub a écrit :Il n'a pas supporté l’élection de Trump, il a choisi la mort
https://youtu.be/YrLk4vdY28Q
RIP Leonard
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 11 nov.16, 07:34La vérité sur la victoire de Trump …
Les hongrois, les polonais, les autrichiens…ne sont ni racistes, ni xénophobes …
Les peuples se révoltent contre les élites européennes et américaines qui ont vendu leur âme à un islam conquérant.
Ces peuples civilisés, ouverts sur l’autre n’en peuvent plus et ils le font savoir dorénavant dans les urnes…
Ce n’est qu’un début …
Mieux vaut se réveiller tard que dormir à jamais.
Les hongrois, les polonais, les autrichiens…ne sont ni racistes, ni xénophobes …
Les peuples se révoltent contre les élites européennes et américaines qui ont vendu leur âme à un islam conquérant.
Ces peuples civilisés, ouverts sur l’autre n’en peuvent plus et ils le font savoir dorénavant dans les urnes…
Ce n’est qu’un début …
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Re: Trump, ou la riposte du Renseignement US ?
Ecrit le 11 nov.16, 07:37yacoub a écrit :La vérité sur la victoire de Trump …
Les hongrois, les polonais, les autrichiens…ne sont ni racistes, ni xénophobes …
Les peuples se révoltent contre les élites européennes et américaines qui ont vendu leur âme à un islam conquérant.
Ces peuples civilisés, ouverts sur l’autre n’en peuvent plus et ils le font savoir dorénavant dans les urnes…
Ce n’est qu’un début …
Mieux vaut se réveiller tard que dormir à jamais.
Et de l'autre côté... des milliers et milliers d'américains qui manifestent dans les rues scandant: '' DUMP TRUMP''
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