C'est pourquoi je te posais la question pour connaître tes sous-entendus.marco ducercle a écrit :Le message n'emploi pas le mot d'antisémitisme
J'm'interroge a écrit :Dès que l'on incrimine des juifs ou l'état d'Israël l'on est plus ou moins ouvertement suspecté d'antisémite par des gens comme toi, qu'importe ce qui est dit et qu'importe ce que ces juifs font, on fait et ou revendiquent, comme si tous les juifs étaient des saints de Dieu irréprochables...
Es-tu de ceux qui voudraient imposer l'idée qu'il serait moralement condamnable en soi, du moment que l'on est un goy et qu'il est juif, de critiquer ce qu'il fait ou pense, qu'importe ce qu'il fait, a fait et ou revendique ? Simplement parce qu'il serait juif ? !! !
Ce serait dans ce cas une forme de discrimination peu respectueuse de l'homme (juif ou non juif) que tu défendrais !
Un membre du peuple élu de Dieu serait-il selon toi au delà de toute critique n'émanant pas d'un rabbin ou d'un autre juif, les seuls à qui il doit rendre des comptes, les autres (goys) n'étant pas tout-à-fait dignes (et par conséquent en droit) de porter un jugement sur son idéologie et ses actes ?
Si oui, de quel droit ?
A-t-on encore le droit ici en France, quand il s'agit du sionisme, de porter une critique sur cette idéologie politique et ou des agissements qui en découlent, sans être automatiquement taxé d'antisémitisme ?
Des supputations ?marco ducercle a écrit :Et blablabla, et blablabla et blablabla. Que l'on critique les juifs pour ce qu'ils font, c'est une chose. Qu'on les critiques sur simples supputations, c'en est une autre.
Est-ce toujours nécessairement des supputations ? En es-tu bien sûr ?
Et quand on accuse (sans considérer ce qu'il expose) celui qui formule une critique de supputer en supputant soi-même une motivation raciste chez lui (car sachons le bien : l'antisémitisme n'est par définition rien d'autre qu'un racisme), dès qu'il s'agit d'une critique portant sur des réseaux juifs ou des agissements fait au nom de la communauté ou de l'Etat D'Israël ou simplement parce qu'elle porte sur des juifs ?
Est-ce bien sérieux ?
Attention ! Là tu deviens ridicule l'ami.marco ducercle a écrit :Qu'il y est des juifs qui magouilles ou qui complotes, bien sur que cela existe. Tout comme il y a des syriens, des turcs, des iraniens, des lituaniens ou des ouzbeks. Pour autant, on ne parle jamais de complot lituanien ou ouzbek. Il y doit bien avoir une raison?
Derrière le 11/9 ou derrière la mort de lady Di, je n'ai pas vu qu'on parlait des services secrets ouzbeks (lien)
En réfléchissant un tout petit peu et en ouvrant les yeux tu trouveras toi même la réponse à ta question.
Par exemple : qui contrôle la FED et le FMI ? Ce sont peut-être majoritairement des lituaniens, des ouzbeks ou des iraniens ? Vérifions leur nationalité ou leur confession tiens !
J'm'interroge a écrit :"Je ne confonds pas non plus judaïsme et sionisme... Comme je ne confonds pas plus une culture et une origine génétique... D'ailleurs je ne crois pas te l'apprendre : beaucoup de juifs ne sont même pas sémites..."
C'est un peu plus subtile que ça marco, je distingue aussi entre juifs et juifs : entre juifs crapuleux et criminels, justes parmi les juifs, juifs communautaristes bébêtes, sentimentaux ou businessmans, juifs suprématistes, racialistes et racistes par idéologie, juifs humanistes, juifs talmudistes, juifs orthodoxes, juifs athées (faudra qu'on m'explique..), juifs Francs-maçons ou du b'nai b'rith, juifs du CRIF, juifs de la LDJ, juifs d'Israël, juifs de la diaspora, juifs sionistes nationalistes pour un Etat juif en Palestine, juifs sionistes messianiques, juifs anti-sionistes, petits juifs du quotidiens, juifs intégrés, juifs ashkénazes, juifs séfarades etc. Je pourrais continuer longuement cette liste tellement le sujet est riche.marco ducercle a écrit :Pourquoi tant de précisions? Quand tu dis que le 11/9 est un inside job, tu ne précises pas que tu fais une distinction entre le "peuple" américains et une partie de son gouvernement.
Considérant que ce n'est pas l'ensemble des juifs qui pose problèmes, loin de là, ni même pas plus que cela en soi l'état d'Israël, ni forcément le judaïsme en lui-même, mais certaines de ses interprétations, considérant que le problème n'est pas exclusivement juif mais concerne principalement (mais donc pas uniquement) des juifs, ce qui n'est pas la même chose, il est impossible de me dire anti-juif et encore moins antisémite, ne faisant pas de distinction de valeur entre les races, la plupart des juifs n'étant de toute façon pas des sémites.
Eh bien je suis heureux de te l'entendre dire. Sincèrement.marco ducercle a écrit :A titre personnel, je ne t'ai jamais accusé d'être antisémite.
J'im'interroge a écrit :Bien je vais faire mieux ! Je vais mettre ici en lien un livre écrit par un juste parmi les juifs : Histoire juive - religion juive : le poids de trois millénaires, d'Israël Shahak
Je t'en conseille vivement la lecture.
Les citations en question tu les trouveras toi-même assez facilement grâce à Google.marco ducercle a écrit :Je te remercies du conseil et je ne manquerai pas de le lire dans la semaine, mais tu ne réponds pas à ta propre question:
veux-tu que je te cite le Talmud ou Maïmonide?
Tu mets un PDF d'un auteur qui explique la législation juive. Or, j'aurais aimé ta propre interprétation d'une phrase précise.
Le livre de Shahak n'est-il pas bien plus à l'abri des soupçons en tout genre que des citations glanées ici et là sur le net ? Citations que tu déclareras de toute façon certainement douteuses comme je te connais...
Lis le bien et prends des notes. Ce lien n'est pas du tout hors sujet tu verras.
Je me ne base pas que sur des postulats. Dès 1942 les Alliés savaient pour l'extermination massive de Juifs dans des camps sur le territoire allemand étendu.marco ducercle a écrit :En tout cas, ton analyse sur l'accord prouve que tu n'es pas antisémite. Tu es juste atteint de complotisme aigu. L'antisémite se serait jeté tête baissé en sortant toute sorte d'exemples( en général des vidéos youtubesques). Toi, tu parts juste du postula qu'il n'est pas impossible que......
---------> Tu vas peut-être me dire qu'aucun juif planqué n'était au courant dans les milieux très influents au sommet du pouvoir mondial et de la Finance ?
Pourquoi rien a été entreprit concrètement dès 1942 ?
marco ducercle a écrit :Partant de ce principe, on peut tout accepter...
Absolument pas.
Ne ferais-tu pas preuve de paresse intellectuelle l'ami ?marco ducercle a écrit :Pour gagner un peu de temps, cites moi la page où il parle des frontières.
Voici le principal passage :
L'expansionnisme israélien
Le principal danger représenté par Israël en tant qu'“État juif”, pour son
propre peuple, pour les autres juifs, et pour ses voisins, réside dans sa
volonté, justifiée idéologiquement, d'extension territoriale et dans le cortège
de guerres qui s'ensuit inévitablement. Israël devenant de plus en plus juif,
ou, selon l'expression hébraïque, « revenant au judaïsme » (processus qui
est en cours au moins depuis 1967), sa politique réelle s'inspire de plus en
plus de motifs tirés de l'idéologie juive et de moins en moins de
considérations rationnelles. En disant “rationnel”, je n'entends pas porter
un jugement moral sur les orientations de la politique israélienne, ni traiter
de ses impératifs présumés de défense ou de sécurité — encore moins du
prétexte éculé de la “survie d'Israël”. Je parle de sa politique impériale,
fondée sur ses prétendus intérêts. Aussi mauvaise moralement ou
politiquement que soit cette politique, je tiens pour encore pire l'adoption
de conduites inspirées de l'“idéologie juive” dans l'une ou l'autre de ses
variantes. Les justifications de la politique israélienne font appel en général
à des articles de la foi juive, ou bien, dans le cas des laïcs, à des “droits
historiques” qui eux-mêmes dérivent de ces croyances et en conservent
tout le caractère dogmatique et fidéiste.
C'est sur cette question précise que j'ai “viré” politiquement : que je suis
passé, à l'égard de Ben Gourion, de l'admiration à l'opposition la plus
résolue. En 1956, j'avalais sans problème toutes les raisons politiques et
militaires avancées par le chef sioniste pour déclencher la guerre de Suez ;
mais je n'ai plus suivi quand lui, qui était athée et fier de son indifférence
pour les commandements de la religion juive, a déclaré devant la Knesset,
le troisième jour du conflit, que la véritable raison, le véritable objectif était
de « rétablir le royaume de David et de Salomon » dans ses frontières
bibliques. À ces paroles, les membres de la Knesset se sont presque tous
levés spontanément et ont entonné l'hymne israélien. Aucun dirigeant
sioniste, que je sache, n'a jamais désavoué cette idée de fonder la politique
d'Israël (dans la mesure où le permettent des considérations
– 22 –
Israel SHAHAK Histoire juive/religion juive
pragmatiques) sur le rétablissement des frontières bibliques. Et, de fait,
une analyse attentive de la stratégie d'ensemble d'Israël et des principes
réels de sa politique étrangère (tels qu'ils sont, celle-là et ceux-ci, formulés
en hébreu) montre clairement que la politique effective d'Israël est
déterminée par l'“idéologie juive” plus que par tout autre facteur. Aussi
reste-t-elle un mystère toujours renouvelé pour les observateurs étrangers,
qui ne tiennent aucun compte de cette “idéologie juive” ni du judaïsme réel,
et n'en connaissent en général que de grossières apologies.
Donnons une illustration plus récente de la différence essentielle entre les
projets impériaux, même les plus ambitieux, mais de type laïc — et les
principes de l'“idéologie juive”. Selon cette dernière, les pays que des
souverains juifs gouvernèrent dans l'antiquité, ou que Dieu a promis aux
juifs — soit selon la Bible, soit (considération plus décisive politiquement)
selon une interprétation rabbinique du Livre et du Talmud — doivent revenir
à Israël, en sa qualité d'État juif. Ce principe est partagé non seulement
par les “faucons”, mais par de nombreux juifs du parti des “colombes” —
même s'ils estiment nécessaire de différer ces conquêtes à une époque où
Israël sera plus fort qu'aujourd'hui, ou pensent que l'on peut espérer une
“conquête pacifique” : autrement dit, que les chefs d'État ou les peuples
arabes se laisseront “persuader” de céder les pays en question, en
échange d'avantages que leur concéderait alors l'État juif.
Il circule plusieurs versions des frontières bibliques de la Terre d'Israël
qui, selon l'interprétation des autorités rabbiniques, appartient de droit
divin à l'État juif. La plus grandiose inclut à l'intérieur de ces frontières les
pays suivants : au sud, tout le Sinaï et une partie de la basse Égypte
jusqu'aux environs du Caire ; à l'est, toute la Jordanie, un gros morceau de
l'Arabie Saoudite, le Koweït, et, en Irak, le sud-ouest de l'Euphrate ; au
nord, toute la Syrie (Liban compris) et une vaste portion de la Turquie
(jusqu'au lac de Van) ; à l'ouest, Chypre. Cette question des frontières
bibliques suscite une flopée de recherches et de discussions savantes, qui
se traduisent concrètement, en Israël, par des atlas, des livres, des articles
et des moyens plus populaires de propagande ; tout cela étant publié, bien
souvent, au frais de l'État ou grâce à d'autres formes de soutien. Il est
certain qu'à l'instar de leur maître, les adeptes de feu Kahane, ainsi que
des organisations influentes comme Gush Emunim, non seulement veulent la
conquête de ces territoires par Israël, mais sont persuadés qu'une telle
entreprise est un ordre de Dieu et que donc le succès est assuré. Aux yeux
de certaines personnalités du monde religieux, Israël, en refusant de faire
cette guerre sainte ou, pis encore, en ayant rendu le Sinaï à l'Égypte, a
commis un péché national — que d'ailleurs Dieu, dans sa justice, a puni !
Comme l'a déclaré à maintes reprises l'un des membres les plus autorisés
de Gush Emunim, Dov Lior, rabbin des implantations de Kiryat Arba et
d'Hébron, l'échec de la conquête du Liban en 1982-1985 est ce châtiment
divin, que la nation a bien mérité pour avoir « donné une partie de la Terre
d'Israël » , le Sinaï, à l'Égypte.
– 23 –
Israel SHAHAK Histoire juive/religion juive
J'ai choisi, je l'admets, un exemple extrême de l'étendue biblique de cette
“Terre d'Israël” qui “doit revenir” à l'“État juif” ; il n'empêche que ces
frontières démesurées sont bien connues dans les cercles nationauxreligieux.
Il existe des versions plus modérées ; on parle alors, parfois, de
“frontières historiques”. Mais j'insiste sur ce fait qu'en Israël et chez ses
partisans dans la diaspora, l'idée des frontières bibliques ou historiques
comme frontières de la terre revenant de droit aux juifs n'est pas rejetée
en ligne de principe (sauf par l'infime minorité qui conteste la notion même
d'un État juif). Les objections émises contre l'établissement de ces
frontières par la guerre sont d'ordre purement pragmatique. On dira, par
exemple, qu'Israël est actuellement trop faible pour conquérir toute la terre
qui “appartient” aux juifs ; ou que les pertes humaines juives (mais non
arabes !) à prévoir d'une guerre de conquête d'une telle ampleur
compteront trop pour l'acquisition de la terre ; mais le judaïsme normatif
exclut la possibilité de déclarer que la “Terre d'Israël”, selon telles ou telles
frontières, n'“appartient” pas à tous les juifs. Ariel Sharon, lors de la
convention du Likoud de mai 1993, a proposé ouvertement qu'Israël fonde
sa politique officielle sur la notion des “frontières bibliques”. Sa proposition
a soulevé bien peu d'objections, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur de
son parti, et toutes se fondaient sur des motifs pragmatiques. Personne
ne lui a demandé où passent précisément ces “frontières bibliques” qu'il
exhortait Israël à atteindre. Ceux qui se disaient léninistes ne doutaient pas
que l'histoire se conforme aux principes exposés par Marx et Lénine. Ce
n'est pas seulement la croyance elle-même, aussi dogmatique soit-elle :
c'est le refus qu'on puisse jamais la mettre en doute par des débats
contradictoires ouverts qui crée une mentalité totalitaire. La société
israélienne juive et les juifs de la diaspora qui sont des “vies juives”
importantes, appartenant à des organisations purement juives, ont donc
dans leur caractère une forte veine de totalitarisme.
Cependant il s'est développé aussi, depuis les débuts de l'État d'Israël,
une stratégie israélienne globale, non fondée sur les principes de l'“idéologie
juive”, mais sur des considérations purement stratégiques et impériales.
Les principes de cette stratégie ont été exposés avec lucidité et autorité
par le général (de réserve) Shlomo Gazit, ex-chef des renseignements
militaires2 :
«La principale tâche d'Israël n'a pas changé [depuis la fin de
l'URSS] et elle est toujours décisive. La place géographique d'Israël,
au centre du Moyen-Orient arabe musulman, le désigne comme le
gardien de la stabilité dans tous les pays voisins. Son [rôle] est de
protéger les régimes existants ; de prévenir ou de contenir les
processus de radicalisation, et d'arrêter l'expansion des fanatismes
fondamentalistes religieux.
2 Cf. Yedioth Aharonot, 27 avril 1992.
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Israel SHAHAK Histoire juive/religion juive
Dans ce but Israël neutralisera les changements au-delà de ses
frontières qu'il jugera intolérables au point de se sentir contraint
d'utiliser toute sa puissance militaire pour les empêcher ou les
extirper.»
En d’autres termes, Israël vise à imposer son hégémonie sur les autres
État du Moyen-Orient. Selon Gazit — faut-il le préciser ? — c'est par
bienveillance qu'Israël se soucie de la stabilité des régimes arabes. Aux
yeux du général, Israël, en protégeant les régimes du Moyen-Orient, rend un
service vital aux « pays industriellement avancés, qui tous souhaitent
ardemment la stabilité au Moyen-Orient ». Sans Israël, affirme-t-il, les
régimes existants dans la région se seraient écroulés depuis longtemps ;
s'ils sont restés en place, c'est uniquement grâce aux menaces israéliennes.
Cette idée semble bien hypocrite, mais l'hypocrisie n'est-elle pas « le tribut
que le vice rend à la vertu » ? La Rédemption de la Terre représente une
tentative de ne pas acquitter un tel tribut.
Il est clair que je suis viscéralement opposé à cette conception non
idéologique de la politique israélienne, telle que Gazit l'expose si lucidement
et fidèlement. Mais je reconnais que les lignes politiques à la Ben Gourion ou
à la Sharon, justifiées par l'“idéologie juive”, sont bien plus dangereuses que
des stratégies simplement impérialistes, aussi criminelles soient-elles. C'est
ce que montrent d'ailleurs les fruits amers de la politique des autres
régimes à dominance idéologique. L'existence, au centre de la politique
israélienne, d'une importante composante fondée sur l'“idéologie juive” fait
d'une analyse de celle-ci un impératif politique. Cette idéologie se fonde à
son tour sur les attitudes du judaïsme historique à l'égard des non-juifs —
l'un des principaux thèmes de ce livre. Ces attitudes influencent
nécessairement de nombreux juifs, qu'ils en soient conscients ou non. Notre
principale tâche, ici, est d'examiner ce qu'est réellement le judaïsme
historique.
L'influence de l'“idéologie juive” sur de nombreux juifs sera d'autant plus
forte qu'elle restera soustraite au débat public. Un tel débat doit, nous
l'espérons, inciter les gens à prendre à l'égard du chauvinisme juif et du
mépris affiché par tant de juifs envers les non-juifs (mépris que nous
illustrerons par la suite) la même attitude qu'on adopte d'ordinaire à
l'égard de l'antisémitisme et de toutes les autres formes de xénophobie, de
chauvinisme et de racisme. Ne considère-t-on pas, à juste titre, l'exposition
et la dénonciation exhaustives, non seulement de l'antisémitisme, mais de
ses racines historiques, comme la condition sine qua non de la lutte contre
celui-ci ? J'estime qu'il en va exactement de même pour le chauvinisme et le
fanatisme religieux juifs — d'autant plus à notre époque, où, contrairement
à la situation d'y il a cinquante ou soixante ans, l'influence politique du
chauvinisme et du fanatisme religieux juifs l'emporte largement sur celle de
l'antisémitisme. De plus, je suis fermement convaincu que l'antisémitisme et
le chauvinisme juif ne peuvent être combattus que simultanément.
Faut-il aussi que je te souligne les points importants ?
marco ducercle a écrit :Parce que la, tu me rappelles Jean Marc Mundus qui usait lui aussi de ce procédé. Au lieu de répondre frontalement à une question précise, il nous renvoyait sur des livres ou sur des liens.
Je ne pratique aucun procédé malhonnête.
J'm'interroge a écrit :Je réagissais à cela :
- "marco ducercle" Un réalisateur égyptien qui en avait fait la matière d'un soap-opera a eu cette formule : "C'est peut-être un faux mais ce qui y est dit est vrai."
Donc je ne parlais pas de l'auteur et du fait que ce soit un faux, mais du contenu.
Hein ? T'es complètement hors sujet par rapport à mon propos là !marco ducercle a écrit :Bis répétitas, je ne vois pas le rapport d'autant que partant de ton principe, le talmud se suffit à lui même. inutile d'aller inventer un faux complot. Prenons quelques phrases bien choisie dans le talmud et montrons ce qu'est la mentalité juive ! C'est ce que l'on fait avec le coran et les hadiths pour dénoncer le waabisme et tout ce qui en découle. Pas besoin d'inventer un document prouvant un complot islamique.