Wafa Sultan psychiatre et islam
Wafa Sultan psychiatre et islam
Ecrit le 15 déc.15, 05:51Re: Wafa Sultan psychiatre et islam
Ecrit le 17 déc.15, 00:46Bonjour.
Up de ce sujet que je croyais être une pub.
Cordialement.
Up de ce sujet que je croyais être une pub.
Cordialement.
Sortez de mon ordi
Re: Wafa Sultan psychiatre et islam
Ecrit le 18 déc.15, 17:26Plusieurs ouvrages d'une grande humanité avec un regard compatissant sur ce cancer qu'est la barbarie islamiste, aux origines historiques d'une haine tribale qu'on n'ose pas encore reconnaître historiquement.
"Choisissez un pays musulman. N’importe lequel. Qu’y observez-vous ? Rien, si ce n’est ce retard, la pauvreté, la dictature, l’ignorance, la maladie… Pourquoi ? Nos vies dans le monde musulman sont le produit des enseignements islamiques, car nos vies sont ce que sont nos croyances. Vous ne pouvez pas améliorer votre vie tant que vous ne voulez pas améliorer vos croyances. Votre situation résulte de vos comportements qui sont liés à vos croyances. Donc, pour changer votre situation, vous devez changer vos comportements, et donc vos croyances."
"Choisissez un pays musulman. N’importe lequel. Qu’y observez-vous ? Rien, si ce n’est ce retard, la pauvreté, la dictature, l’ignorance, la maladie… Pourquoi ? Nos vies dans le monde musulman sont le produit des enseignements islamiques, car nos vies sont ce que sont nos croyances. Vous ne pouvez pas améliorer votre vie tant que vous ne voulez pas améliorer vos croyances. Votre situation résulte de vos comportements qui sont liés à vos croyances. Donc, pour changer votre situation, vous devez changer vos comportements, et donc vos croyances."
Re: Wafa Sultan psychiatre et islam
Ecrit le 06 sept.16, 03:43Marmhonie a écrit :Plusieurs ouvrages d'une grande humanité avec un regard compatissant sur ce cancer qu'est la barbarie islamiste, aux origines historiques d'une haine tribale qu'on n'ose pas encore reconnaître historiquement.
"Choisissez un pays musulman. N’importe lequel. Qu’y observez-vous ? Rien, si ce n’est ce retard, la pauvreté, la dictature, l’ignorance, la maladie… Pourquoi ? Nos vies dans le monde musulman sont le produit des enseignements islamiques, car nos vies sont ce que sont nos croyances. Vous ne pouvez pas améliorer votre vie tant que vous ne voulez pas améliorer vos croyances. Votre situation résulte de vos comportements qui sont liés à vos croyances. Donc, pour changer votre situation, vous devez changer vos comportements, et donc vos croyances."
C'est ce qu'a constaté Anne-Marie Delcambre
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Wafa Sultan psychiatre et islam
Ecrit le 24 sept.16, 22:57Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Wafa Sultan psychiatre et islam
Ecrit le 21 oct.16, 01:28Zemmour et Villiers disent la vérité sur l'islam de même que Wafa Sultan, Karim Labidi contrairement aux lèche-babouches.
Si cette femme vivait en Algérie, elle serait pour de bon dégoûtée de l'islam et donc là, elle idéalise sa secte.
https://youtu.be/axanmlE-eMY
Si cette femme vivait en Algérie, elle serait pour de bon dégoûtée de l'islam et donc là, elle idéalise sa secte.
https://youtu.be/axanmlE-eMY
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Wafa Sultan psychiatre et islam
Ecrit le 31 oct.16, 03:45Karim Labidi, ses dernières vidéos
https://youtu.be/7athu2KruqE
https://youtu.be/ooPXVt9yqGA
https://plus.google.com/+labidimohamedkarim-tunisie
https://twitter.com/labidikm
http://labidikm.com/
J'ai la parfaite conviction que, même si Dieu existait, il ne pourrait être comme le décrivent les religions.
Mathématiquement, on a montré que croire à un "Dieu" était plus logique que de ne pas croire en lui ? Comment cela est-il arrivé ?
Ceux qui défendent cette idée se basent sur cette démonstration :
Premièrement : prenons le cas d'une personne croyant à un "Dieu". Une fois morte, cette personne va se trouver devant deux situations :
1 - Soit "Dieu" existe, et dans ce cas elle a gagné donc elle a plus un (+1).
2 - Soit "Dieu" n'existe pas, et dans ce cas elle n'a rien perdu donc elle a zéro (0).
L'ensemble des deux résultats nous donne plus un (+1). Par conséquent, cette personne est gagnante et ce dans les deux cas. Il vaut, donc, mieux croire à un "Dieu".
Deuxièmement : prenons le cas d'une personne non croyant à un "Dieu". Une fois morte, cette personne va aussi se trouver devant deux situations :
1 - Soit "Dieu" existe, et dans ce cas elle est perdante. On lui attribue, donc moins un (-1).
2 - Soit "Dieu" n'existe pas, et dans ce cas elle n'a rien gagné. Elle a droit à un zéro (0).
L'ensemble des deux résultats nous donne moins un (-1). Dans le premier cas la personne est perdante. Par conséquent, elle prend un risque de 50% de perdre.
Suite à ses résultats, il vaut mieux croire en un "Dieu".
Avouons que cette logique est très forte. J'ai même été très croyant en cette logique sans sentir le moindre doute se glisser en moi quant à l'existence de "Dieu". J'ai trouvé le salut absolu en croyant en lui. D'ailleurs, je suis sûr que parmi vous, il y en a qui trouvent en cette logique une grande victoire pour croire en " Dieu " et être en paix.
Cependant, le problème est beaucoup plus complexe. Il va au-delà d'une simple opération mathématique et ne retient pas seulement le fait de croire ou de ne pas croire en un "Dieu". D'ailleurs, si l'affaire s'arrêtait à ce stade il n'y aurait aucune raison que les athées déclarent la guerre intellectuelle contre les religions. Essayons, alors, de chercher beaucoup plus loin et de voir autrement.
Tout d'abord, pour croire en un "Dieu" il faut choisir entre plusieurs "Dieux ". Ainsi l'on peut croire au "Dieu" chrétien, au "Dieu" juif, au "Dieu" hindou, etc. Ensuite, on peut soit croire à un "Dieu" depuis la naissance, c'est-à-dire suivre celui des parents, soit croire à un "Dieu" qu'on a choisi durant sa vie. A présent, poursuivons notre démonstration, en se basant sur des méthodes mathématiques.
Premièrement : supposons qu'il existe 5 sortes, seulement, de croyances en une divinité existante. On aura alors une chance sur cinq de tomber sur le " bon " Dieu. Ce qui nous laisse la probabilité de quatre sur cinq d'être au même degré qu'un athée. On peut déjà constater que le risque est beaucoup plus important pour le croyant que pour l'athée. Ainsi, en matière de risque, l'athée prend moins de risques que celui qui croit en "Dieu".
Deuxièmement : il ne suffit pas de croire ou de choisir le " bon " "Dieu" existant, il faut aussi en croire à son prophète et à son livre sacré et pour cela il faut tomber sur la " bonne " secte. Comme nous le savons, chaque religion se divise en plusieurs sectes qui, chacune interprète à sa manière les propos divins. On supposera alors que chaque religion se divise en cinq grandes sectes. Sans oublier de mentionner que, d'un côté, il y en a beaucoup plus que cinq et que, d'un autre côté, chaque secte affirme que les autres sont fausses. Ce qui augmente le risque de se tromper parce qu'il faut, en plus de la religion, choisir la " bonne " secte.
En joignant la première et la seconde supposition on aura ainsi 1 chance sur 25 de tomber sur la bonne. Continuons de supposer qu'on a eu une grande chance de tomber sur la bonne. Désormais, le chemin ne s'arrête pas là parce que le vrai croyant c'est le " bon " pratiquant et s'il ne pratique pas il en sera quasiment au même degré que celui qui ne croit à rien, et même pire parce que dans ce cas : il n'est ni non croyant ni infidèle mais plutôt un hypocrite, et toutes les religions condamnent ce dernier. Il sera même le plus châtié par "Dieu" parce qu'il sait ce qui est juste tout en ne l'accomplissant pas. Il sera ainsi doublement châtié que celui qui ne connaît pas ou celui qui n'a pas cherché. Pratiquer, ce n'est pas facile, non plus, il faut sacrifier sa vie qui n'est, pour un croyant, qu'un simple passage vers la vie éternelle. Le croyant qui a une chance sur 25 d'être sur le bon chemin doit en plus sacrifier sa vie pour "Dieu" à travers les prières, les obligations, etc. et même pouvoir être capable de mourir pour "Dieu" et devenir martyre. Quelle sera la réaction de ce dernier si, une fois mort, il ne trouve pas le "Dieu" en qui il a cru durant toute sa vie ? Comment ose-t-on dire qu'il n'a rien perdu ? Pourtant, bien au contraire, il aura perdu toute sa vie. Il est perdant à 100% et non pas comme l'athée qui, s'il trouve "Dieu" ne va perdre que 50%. Franchement, pour être un bon calculateur il faut procéder autrement. Reprenons, alors, notre démonstration en introduisant la variable " Vie ".
- Prenons le cas de celui qui tombe aussi bien sur la " bonne " religion que sur la " bonne " secte et qu'il soit un vrai pratiquant :
1 - Si "Dieu" existe : il a perdu sa vie donc il a moins un (-1) et gagné après la mort donc il a plus un (+1). Le tout donne zéro (0).
2 - Si "Dieu" n'existe pas : il a perdu sa vie donc il a moins un (-1) et n'a rien gagné après la mort donc il a zéro (0). Le tout donne moins un (-1).
L'ensemble des deux résultats donne moins un (-1) et ce dans le meilleur des cas.
- A présent, prenons la situation d'un athée :
1- Si "Dieu" existe : il a gagné sa vie donc il a plus un (+1) et après la mort son cas ne sera pas pire qu'un mauvais croyant ou qu'un non pratiquant, ni d'ailleurs de celui qui n'est pas tombé sur le bon "Dieu", donc la note ne sera pas catastrophique même si on lui donne moins un (-1). Le tout donne zéro (0).
2 - Si "Dieu" n'existe pas : il a gagné sa vie donc il a plus un (+1) et après la mort, il n'a rien perdu, au moins a-t-il bien vécu sa vie, donc on lui donne zéro (0). Le tout donne plus un (+1).
L'ensemble des deux résultats donne plus un (+1).
A partir de cette démonstration, l'athée sort vainqueur. Ce qui est beaucoup plus logique parce qu'il faut ajouter à cette opération mathématique à plusieurs autres variables et pour n'en citer que la plus importante. Il s'agit, bien évidemment de cette vie réelle qu'il faut vivre bien avant toute autre chose. Cette fois, l'athée est vainqueur, bien avant même le bon croyant qui a sacrifié sa vie pour un "Dieu". De plus l'athée a bien vécu sa vie ; il a connu une vie libre et il aura profité de tous ses plaisirs. Il a, ainsi, compté sur lui-même et non pas sur un "Dieu".
Pour finir, il n'y a pas de "Dieu" démocrate qui nous donne notre liberté, ne serait-ce que la liberté de croire ou de ne pas croire en lui, sans trop nous alourdir des prières et des obligations contre la nature humaine et des lois contre toute logique, comme s'il ne connaissait rien de la nature humaine. Dieu manque vraiment de connaissance et de civilisation. Il ne sait que nous infliger des châtiments barbares tels que l'idée de l'enfer. Même, s'il existe un "Dieu" digne d'être un "Dieu" qui me donne une totale liberté de ne pas croire en lui. Eh ! Bien je ne croirai pas en lui.
Karim LABIDI
https://youtu.be/7athu2KruqE
https://youtu.be/ooPXVt9yqGA
https://plus.google.com/+labidimohamedkarim-tunisie
https://twitter.com/labidikm
http://labidikm.com/
J'ai la parfaite conviction que, même si Dieu existait, il ne pourrait être comme le décrivent les religions.
Mathématiquement, on a montré que croire à un "Dieu" était plus logique que de ne pas croire en lui ? Comment cela est-il arrivé ?
Ceux qui défendent cette idée se basent sur cette démonstration :
Premièrement : prenons le cas d'une personne croyant à un "Dieu". Une fois morte, cette personne va se trouver devant deux situations :
1 - Soit "Dieu" existe, et dans ce cas elle a gagné donc elle a plus un (+1).
2 - Soit "Dieu" n'existe pas, et dans ce cas elle n'a rien perdu donc elle a zéro (0).
L'ensemble des deux résultats nous donne plus un (+1). Par conséquent, cette personne est gagnante et ce dans les deux cas. Il vaut, donc, mieux croire à un "Dieu".
Deuxièmement : prenons le cas d'une personne non croyant à un "Dieu". Une fois morte, cette personne va aussi se trouver devant deux situations :
1 - Soit "Dieu" existe, et dans ce cas elle est perdante. On lui attribue, donc moins un (-1).
2 - Soit "Dieu" n'existe pas, et dans ce cas elle n'a rien gagné. Elle a droit à un zéro (0).
L'ensemble des deux résultats nous donne moins un (-1). Dans le premier cas la personne est perdante. Par conséquent, elle prend un risque de 50% de perdre.
Suite à ses résultats, il vaut mieux croire en un "Dieu".
Avouons que cette logique est très forte. J'ai même été très croyant en cette logique sans sentir le moindre doute se glisser en moi quant à l'existence de "Dieu". J'ai trouvé le salut absolu en croyant en lui. D'ailleurs, je suis sûr que parmi vous, il y en a qui trouvent en cette logique une grande victoire pour croire en " Dieu " et être en paix.
Cependant, le problème est beaucoup plus complexe. Il va au-delà d'une simple opération mathématique et ne retient pas seulement le fait de croire ou de ne pas croire en un "Dieu". D'ailleurs, si l'affaire s'arrêtait à ce stade il n'y aurait aucune raison que les athées déclarent la guerre intellectuelle contre les religions. Essayons, alors, de chercher beaucoup plus loin et de voir autrement.
Tout d'abord, pour croire en un "Dieu" il faut choisir entre plusieurs "Dieux ". Ainsi l'on peut croire au "Dieu" chrétien, au "Dieu" juif, au "Dieu" hindou, etc. Ensuite, on peut soit croire à un "Dieu" depuis la naissance, c'est-à-dire suivre celui des parents, soit croire à un "Dieu" qu'on a choisi durant sa vie. A présent, poursuivons notre démonstration, en se basant sur des méthodes mathématiques.
Premièrement : supposons qu'il existe 5 sortes, seulement, de croyances en une divinité existante. On aura alors une chance sur cinq de tomber sur le " bon " Dieu. Ce qui nous laisse la probabilité de quatre sur cinq d'être au même degré qu'un athée. On peut déjà constater que le risque est beaucoup plus important pour le croyant que pour l'athée. Ainsi, en matière de risque, l'athée prend moins de risques que celui qui croit en "Dieu".
Deuxièmement : il ne suffit pas de croire ou de choisir le " bon " "Dieu" existant, il faut aussi en croire à son prophète et à son livre sacré et pour cela il faut tomber sur la " bonne " secte. Comme nous le savons, chaque religion se divise en plusieurs sectes qui, chacune interprète à sa manière les propos divins. On supposera alors que chaque religion se divise en cinq grandes sectes. Sans oublier de mentionner que, d'un côté, il y en a beaucoup plus que cinq et que, d'un autre côté, chaque secte affirme que les autres sont fausses. Ce qui augmente le risque de se tromper parce qu'il faut, en plus de la religion, choisir la " bonne " secte.
En joignant la première et la seconde supposition on aura ainsi 1 chance sur 25 de tomber sur la bonne. Continuons de supposer qu'on a eu une grande chance de tomber sur la bonne. Désormais, le chemin ne s'arrête pas là parce que le vrai croyant c'est le " bon " pratiquant et s'il ne pratique pas il en sera quasiment au même degré que celui qui ne croit à rien, et même pire parce que dans ce cas : il n'est ni non croyant ni infidèle mais plutôt un hypocrite, et toutes les religions condamnent ce dernier. Il sera même le plus châtié par "Dieu" parce qu'il sait ce qui est juste tout en ne l'accomplissant pas. Il sera ainsi doublement châtié que celui qui ne connaît pas ou celui qui n'a pas cherché. Pratiquer, ce n'est pas facile, non plus, il faut sacrifier sa vie qui n'est, pour un croyant, qu'un simple passage vers la vie éternelle. Le croyant qui a une chance sur 25 d'être sur le bon chemin doit en plus sacrifier sa vie pour "Dieu" à travers les prières, les obligations, etc. et même pouvoir être capable de mourir pour "Dieu" et devenir martyre. Quelle sera la réaction de ce dernier si, une fois mort, il ne trouve pas le "Dieu" en qui il a cru durant toute sa vie ? Comment ose-t-on dire qu'il n'a rien perdu ? Pourtant, bien au contraire, il aura perdu toute sa vie. Il est perdant à 100% et non pas comme l'athée qui, s'il trouve "Dieu" ne va perdre que 50%. Franchement, pour être un bon calculateur il faut procéder autrement. Reprenons, alors, notre démonstration en introduisant la variable " Vie ".
- Prenons le cas de celui qui tombe aussi bien sur la " bonne " religion que sur la " bonne " secte et qu'il soit un vrai pratiquant :
1 - Si "Dieu" existe : il a perdu sa vie donc il a moins un (-1) et gagné après la mort donc il a plus un (+1). Le tout donne zéro (0).
2 - Si "Dieu" n'existe pas : il a perdu sa vie donc il a moins un (-1) et n'a rien gagné après la mort donc il a zéro (0). Le tout donne moins un (-1).
L'ensemble des deux résultats donne moins un (-1) et ce dans le meilleur des cas.
- A présent, prenons la situation d'un athée :
1- Si "Dieu" existe : il a gagné sa vie donc il a plus un (+1) et après la mort son cas ne sera pas pire qu'un mauvais croyant ou qu'un non pratiquant, ni d'ailleurs de celui qui n'est pas tombé sur le bon "Dieu", donc la note ne sera pas catastrophique même si on lui donne moins un (-1). Le tout donne zéro (0).
2 - Si "Dieu" n'existe pas : il a gagné sa vie donc il a plus un (+1) et après la mort, il n'a rien perdu, au moins a-t-il bien vécu sa vie, donc on lui donne zéro (0). Le tout donne plus un (+1).
L'ensemble des deux résultats donne plus un (+1).
A partir de cette démonstration, l'athée sort vainqueur. Ce qui est beaucoup plus logique parce qu'il faut ajouter à cette opération mathématique à plusieurs autres variables et pour n'en citer que la plus importante. Il s'agit, bien évidemment de cette vie réelle qu'il faut vivre bien avant toute autre chose. Cette fois, l'athée est vainqueur, bien avant même le bon croyant qui a sacrifié sa vie pour un "Dieu". De plus l'athée a bien vécu sa vie ; il a connu une vie libre et il aura profité de tous ses plaisirs. Il a, ainsi, compté sur lui-même et non pas sur un "Dieu".
Pour finir, il n'y a pas de "Dieu" démocrate qui nous donne notre liberté, ne serait-ce que la liberté de croire ou de ne pas croire en lui, sans trop nous alourdir des prières et des obligations contre la nature humaine et des lois contre toute logique, comme s'il ne connaissait rien de la nature humaine. Dieu manque vraiment de connaissance et de civilisation. Il ne sait que nous infliger des châtiments barbares tels que l'idée de l'enfer. Même, s'il existe un "Dieu" digne d'être un "Dieu" qui me donne une totale liberté de ne pas croire en lui. Eh ! Bien je ne croirai pas en lui.
Karim LABIDI
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Wafa Sultan psychiatre et islam
Ecrit le 03 nov.16, 05:46Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Wafa Sultan psychiatre et islam
Ecrit le 11 nov.16, 06:44LIVRE DE WAFA SULTAN : « L'ISLAM FABRIQUE DES DÉSÉQUILIBRÉS ».
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À peine 48 heures après la victoire du formidable Donald Trump, une autre bonne nouvelle nous parvient d’outre-Atlantique. Les éditions Riposte laïque, nos amis, vont publier un livre de la grande Wafa Sultan, intitulé « L’islam, fabrique de déséquilibrés ? ».
Il faut rappeler que le monde entier a appris à connaître cette femme extraordinaire à l’occasion de deux vidéos qui ont immortalisé, ses propos, notamment en 2006, quand, sur Al Jazeera, elle avait pulvérisé un islamiste (extraits).
.
***********************
.
Comment un tel événement a-t-il été possible ? Il y a plusieurs mois, Ghislaine Dumesnil, présidente des éditions Riposte Laïque, a été sollicitée, avec Pierre Cassen, par le sociologue Maurice Saliba. Ce dernier, en contact régulier avec Wafa, avait traduit, avec son accord, des textes de la psychiatre américaine d’origine syrienne, sur l’oppression mentale qu’exerce l’islam sur les musulmans.
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Mais Maurice, une fois son travail terminé, pensait qu’il fallait vulgariser les propos de Wafa, afin de les rendre accessibles au plus grand nombre. Ghislaine et Pierre pensèrent à Christine Tasin, qui, bien que débordée, fut tellement passionnée par les premières pages qu’elle se mit au travail au plus vite. Ajoutez à cela le talent de Jean-Louis Chollet qui réalisa cette superbe couverture et sa page 4 et vous aurez tous les ingrédients d’une belle réussite.
.
De quoi parle ce livre ? Wafa Sultan, en utilisant de très nombreux exemples, tirés de l’histoire ou de sa vie quotidienne, montre comment les musulmans, par le conditionnement qu’ils ont reçu depuis la plus tendre enfance, et cela depuis 1400 ans fonctionnent par réflexes pavloviens.
.
En effet, mus par la peur d’être tués par les non musulmans, mus par la peur de déplaire à Allah, mus par la peur de ne pas aller au paradis les « vrais » musulmans sont empêchés par leur inconscient d’éprouver de la compassion pour la femme battue, pour la victime non musulmane, ils sont empêchés de remettre en cause, de créer et donc empêchés de faire des découvertes scientifiques …
.
On découvre peu à peu, sous la plume du psychiatre Wafa Sultan, une vision de l’islam inhabituelle. Chacun connaît les versets de violence, l’histoire de Mahomet le beau modèle, mais peu de personnes, à ce jour, avaient mis à jour les ressorts de l’âme islamique.
.
Ce livre, majeur, devrait ouvrir les yeux des musulmans eux-mêmes, les encourager à remettre en cause un dogme qui a fait tant de dégâts, mais il devrait aussi permettre à chacun de mieux comprendre les spécificités et les contraintes du vrai musulman comme du musulman dit modéré afin de lutter à armes égales dans le conflit de civilisation que nous vivons.
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À peine 48 heures après la victoire du formidable Donald Trump, une autre bonne nouvelle nous parvient d’outre-Atlantique. Les éditions Riposte laïque, nos amis, vont publier un livre de la grande Wafa Sultan, intitulé « L’islam, fabrique de déséquilibrés ? ».
Il faut rappeler que le monde entier a appris à connaître cette femme extraordinaire à l’occasion de deux vidéos qui ont immortalisé, ses propos, notamment en 2006, quand, sur Al Jazeera, elle avait pulvérisé un islamiste (extraits).
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Comment un tel événement a-t-il été possible ? Il y a plusieurs mois, Ghislaine Dumesnil, présidente des éditions Riposte Laïque, a été sollicitée, avec Pierre Cassen, par le sociologue Maurice Saliba. Ce dernier, en contact régulier avec Wafa, avait traduit, avec son accord, des textes de la psychiatre américaine d’origine syrienne, sur l’oppression mentale qu’exerce l’islam sur les musulmans.
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Mais Maurice, une fois son travail terminé, pensait qu’il fallait vulgariser les propos de Wafa, afin de les rendre accessibles au plus grand nombre. Ghislaine et Pierre pensèrent à Christine Tasin, qui, bien que débordée, fut tellement passionnée par les premières pages qu’elle se mit au travail au plus vite. Ajoutez à cela le talent de Jean-Louis Chollet qui réalisa cette superbe couverture et sa page 4 et vous aurez tous les ingrédients d’une belle réussite.
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De quoi parle ce livre ? Wafa Sultan, en utilisant de très nombreux exemples, tirés de l’histoire ou de sa vie quotidienne, montre comment les musulmans, par le conditionnement qu’ils ont reçu depuis la plus tendre enfance, et cela depuis 1400 ans fonctionnent par réflexes pavloviens.
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En effet, mus par la peur d’être tués par les non musulmans, mus par la peur de déplaire à Allah, mus par la peur de ne pas aller au paradis les « vrais » musulmans sont empêchés par leur inconscient d’éprouver de la compassion pour la femme battue, pour la victime non musulmane, ils sont empêchés de remettre en cause, de créer et donc empêchés de faire des découvertes scientifiques …
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On découvre peu à peu, sous la plume du psychiatre Wafa Sultan, une vision de l’islam inhabituelle. Chacun connaît les versets de violence, l’histoire de Mahomet le beau modèle, mais peu de personnes, à ce jour, avaient mis à jour les ressorts de l’âme islamique.
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Ce livre, majeur, devrait ouvrir les yeux des musulmans eux-mêmes, les encourager à remettre en cause un dogme qui a fait tant de dégâts, mais il devrait aussi permettre à chacun de mieux comprendre les spécificités et les contraintes du vrai musulman comme du musulman dit modéré afin de lutter à armes égales dans le conflit de civilisation que nous vivons.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Wafa Sultan psychiatre et islam
Ecrit le 05 déc.16, 03:47Wafa Sultan décrit la programmation mentale des musulmans
Publié par Mireille Vallette le 4 décembre 2016
La psychiatre syrienne Wafa Sultan a adopté le monde libre et ses valeurs. Elle autopsie dans un livre le lavage de cerveau que subissent ses ex-coreligionnaires et les carences morales. Elle parle islam et non islamisme…
Wafa Sultan est psychiatre, réfugiée syrienne aux États-Unis. Elle s’est fait connaître à un large public par un débat mémorable sur Al-Jazeera en 2006. Les éditions Riposte laïque viennent de traduire et de publier un bouquet de ses textes, «L’Islam : Fabrique de déséquilibrés ?*». Ils sont centrés sur la programmation que subissent les musulmans et ses conséquences. Son diagnostic est impitoyable.
Les écrits de Wafa Sultan paraissent sur des sites arabophones et sont destinés à ce monde arabo-musulman. Mais vu que le prophète et le Coran sont semblables et ont le même statut dans nos mosquées, le premier idolâtré, le second incréé et intouchable, les résonances avec l’Occident sont nombreuses.
L’auteure alterne les descriptions psychiatriques, ses expériences et l’autopsie de versets et hadiths. Elle ne souligne pas seulement leur immoralité, elle démontre comment s’opère «la destruction mentale» de ceux qui les défendent. Elle rappelle que la programmation est entamée dès la petite enfance par différents moyens, dont la répétition et la récitation, sans oublier «l’effet de la mélodie et l’intonation du texte». Une idée peut paraître de prime abord inadmissible, «mais à force d’être rabâchée, elle finit par s’infiltrer furtivement dans l’inconscient.» Même la formule prononcée après le nom du prophète, «littéralement: Allah a prié sur lui et l’a salué», lubrifie le passage du contenu vers l’inconscient.
Scaphandre doctrinal
Le musulman n’apprend pas à dialoguer, la critique ne suscite que colère et insultes
Un verset ordonne : «Vous couperez les mains du voleur et de la voleuse en punition de leurs crimes.» Ce châtiment prouve pour la psychiatre l’incapacité de ce monde à comprendre le crime et donc la justice… Versets et hadiths enferment leur victime dans un «scaphandre doctrinal». Et vu que «l’épée de l’islam est dégainée» au-dessus de sa tête, il lui est interdit de questionner. Le musulman n’apprend pas à dialoguer, la critique ne suscite que colère et insultes. L’islam est devenu un code héréditaire dont sont aussi victimes, observe l’auteure, les minorités qui vivent sous sa tyrannie.
La crainte poursuit le croyant et l’empêche d’être créatif. L’islam conduit aussi à des comportements absurdes. «Sa hantise de la vérité absolue lui enjoint l’ordre d’entrer dans la salle de bain avec le pied gauche et de ne manger qu’avec la main droite…» Ou l’amène à croire aujourd’hui encore, puisque Mahomet l’a dit, que l’urine de chameau est le meilleur des médicaments.
Ce processus d’identification au «Beau modèle», conduit à défendre, par exemple, le mariage du prophète avec Aïcha, âgée de six ans, ou avec Safiya, «une femme juive avec laquelle il a copulé sur le chemin de retour d’une razzia durant laquelle il avait tué le mari, le père et le frère».
Les mariages de fillettes se perpétuent depuis quatorze siècles. Pour l’auteure, il n’y aucune différence entre le viol d’Aïcha par Mahomet et le mariage d’une petite Yéménite de 10 ans, médiatisée il y a quelques années lorsqu’elle a obtenu le divorce. Mais toute remise en question de ces mœurs comporte un risque majeur : faire vaciller toute la doctrine.
Grâce à cette programmation, nombre de conduites n’ayant aucune valeur éthique ou humaine sont instillés :
«…nous faisons lire, réciter et répéter à nos enfants ces enseignements qui les programment, les empoisonnent et les nourrissent de haine et de xénophobie.»
Une immense privation affective
Pour Wafa Sultan, les enfants les premiers, vifs et curieux, pourraient poser des questions. Mais «dans le milieu islamique, l’enfant voit le jour dans la répression. Le processus pédagogique qu’on lui fait subir écrase chez lui, même au berceau, tout sens de curiosité. Chaque fois que l’enfant entreprend spontanément une initiative, il n’entend comme réaction que l’un de ces deux mots : «Ayb » (c’est honteux), ou «haram » (c’est un péché) (…) Chacun de ces deux types de ressentiments suffit pour détruire sa vie et briser sa personnalité.»
Dans la doctrine, l’enfant n’a aucune valeur, c’est un ornement, une jouissance au même titre que les biens matériels.
«Je ne crois pas qu’il y ait une nation sur terre aussi totalement privée de sentiments que le monde islamique en général et arabo-islamique particulier.»
La psychiatre estime que les dogmes de cette religion, sa répression sentimentale et psychique produisent «une avidité affective inassouvie». Cette absence de sentiment s’exprime entre autres par les «crimes d’honneurs», encore fréquents dans le monde islamique. Ils ont été importés dans le nôtre, témoin l’exemple d’un père qui a tué sa fille au Canada, parce qu’elle refusait de porter le foulard.
«La force de la «parole» islamique est telle qu’elle peut faire faire les choses les plus abominables à ses prosélytes (…) Rien sur terre ne peut justifier qu’un homme se détache de ses sentiments à l’encontre de la chair de sa chair et la tue comme on tue une bête. (…) c’est la programmation mentale qui le transforme en fauve déchaîné (…) Voilà bien, hélas, la conséquence tragique et l’impact regrettable des enseignements attardés de l’islam !»
Fracture affective encore lorsque la doxa considère les femmes comme «trop sentimentales» pour apporter un témoignage fiable. Ce qui justifie qu’il ait la valeur de la moitié de celui d’un homme.
L’islam est aussi une culture de la mort qui dévalorise systématiquement la vie ici-bas. «Ce mépris s’est étendu jusqu’à englober sa propre vie elle-même.»
Des versets autorisent le meurtre avec préméditation :
«Ô vous qui croyez ! La loi du talion vous est prescrite en matière de meurtre : homme libre pour homme libre, esclave pour esclaves, femmes pour femmes. »
Et l’auteure de commenter: «Y a-t-il un esprit humain raisonnable qui puisse admettre que la grandeur de Dieu s’articule dans la préférence de l’homme libre sur l’esclave et dans l’aliénation de la femme par rapport à l’homme ?!»
Femmes déficientes
«Les enseignements de l’islam ont engendré, voire déterminé, la condition la plus humiliante et la plus dégradante pour la femme tout au long de notre histoire.»
A propos de la polygamie, la psychiatre calcule que si chaque homme épouse quatre femmes, seuls 25% des hommes trouveront des femmes.
Elle n’a aucun doute que ce qui mène aux attentats-suicides est la répression sexuelle. L’islam utilise le désir sexuel comme une stratégie, il le réprime afin d’attiser la volonté de combattre. Pour elle, c’est clair: «Le Coran incite au terrorisme».
Le mépris des femmes n’est pas étranger à la fêlure affective des musulmans, comme le montre ce hadith :
«Vous les femmes, vous constituez la majorité des habitants de l’enfer. Si on vous donne quelque chose, vous n’en remerciez pas. Si un malheur vous touche, vous ne prenez pas votre mal en patience. Si on vous prive de quelque chose, vous ne cessez de vous plaindre. »
«Depuis plus de 1400 ans, ce hadith trotte dans la conscience de l’homo islamicus.»
Le crime que constitue le viol n’est pas abordé par le Coran, observe Wafa Sultan, alors qu’il châtie l’adultère ou l’amour avant le mariage, des situations dans lesquelles les «coupables» sont consentants.
«Epousez (littéralement niquez) autant qu’il vous plaît de femmes ou ce que votre main droite possède ». Il n’existe pas de freins moraux qui atténue l’impact de ce verset. Si l’homo islamicus ne maîtrise pas ses instincts sexuels, poursuit la psychiatre, il ne maîtrisera pas non plus d’autres envies telles que «piller, tuer, s’énerver, faire du mal ou violer n’importe quelle règle relatives à la morale!»
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La littérature islamique regorge de descriptions de la puissance sexuelle de Mahomet. Les jurisconsultes plongent inlassablement dans leurs textes pour en tirer des normes de comportement, jusqu’aux plus intimes. «Le chercheur qui fouille dans la littérature islamique à la recherche des enseignements relatifs au sexe aura vite la nausée.»
Et l’on reste pétrifié qu’au XXe siècle, Khomeiny ait pu décréter :
«Il n’est pas licite de copuler avec la femme n’ayant pas atteint l’âge de neuf ans, que le mariage soit permanent ou intermittent. Quant aux autres jouissances, comme l’attouchement, l’étreinte et le cuissage, elles sont licites, même avec le nourrisson.»
L’auteure souligne «la sauvagerie» des enseignements et la violence de la langue : «Combattez… Tuez… Coupez les mains et les pieds… Coupez les têtes… Frappez-les au cou… Frappez sur tous les bouts des doigts… Serrez… Enchaînez-les solidement…»
«…ce discours a creusé durant plus de 14 siècles, des fossés profonds, des gouffres, des abîmes dans l’inconscient de l’homo islamicus. Un chaos de perdition s’y est installé.»
Haine de l’Occident
Du jour au lendemain, le pétrole a réveillé les nomades du Moyen orient. «Ils ont été contraints d’adopter un style de vie étrange autant qu’incompatible avec sa charia et ses lois obsolètes.» La technologie moderne dont il jouit, mais à laquelle il n’a aucune part, suscite haine et rancune à l’égard de l’Occident.
Nombre d’adorateurs d’Allah vont vivre avec des populations qu’ils ont appris à détester et qui sont majoritaires.
«Combien de fois nous a-t-on fait lire et répéter, lorsque nous étions petits, le verset coranique suivant : «Uzaïr est fils de Dieu. Les chrétiens disent : le Messie est fils de Dieu. Telles sont les paroles de leur bouche. Ils répètent ce que les impies disaient avant eux. Que Dieu les écrase ! Ils marchent à reculons.»
Et de s’interroger : «Comment voulez-vous donc, devenant adulte et entrant dans la vie active, que nous puissions respecter les juifs et les chrétiens et vivre en paix avec eux ?»
Au Moyen-Orient, l’actualité donne la réponse tous les jours.
La psychiatre met souvent en valeur la capacité d’adaptation des chrétiens et des juifs par rapport à leurs textes. Nourrie durant son enfance et sa jeunesse en Syrie de la haine féroce des juifs, elle les a découverts en Occident et les oppose souvent aux disciples du prophète.
«Les juifs ont pu dépasser la conception du contenu de leurs livres saints. Ils ont montré au monde entier leur capacité d’adaptation en tout temps comme en tout lieu, alors que les musulmans sont restés un cadavre froid, enveloppé dans le manteau de leur prophète.»
Un livre incompréhensible
Le Coran est incompréhensibles pour 90% des musulmans, affirme Wafa Sultan, et pas parce que la grande majorité ne connaissent pas l’arabe.
«La nébulosité intellectuelle qui se dégage de cet amphigouri linguistique a fait du musulman son otage permanent muselé.» Où se trouve, questionne-t-elle, la clarté dans un livre que Wafa Sultan elle-même ne peut comprendre ? «Où se manifeste le miracle dans ce livre qui regorge d’erreurs linguistiques, historiques mais surtout d’aberrations morales ?»
Cette réalité donne un grand pouvoir aux docteurs de la loi :
«La seule solution qui nous reste, c’est de séquestrer ces charlatans, ces imposteurs et ces prestidigitateurs, afin de pouvoir libérer les jeunes esprits de l’hégémonie mentale qu’exercent ces discours aveuglants, aberrants. Si nous ne sommes pas en mesure de les enfermer, il faudra sensibiliser les jeunes et les conscientiser : écouter avec beaucoup d’attention le délire hallucinant de ces illusionnistes, et empêcher leurs palabres de s’infiltrer furtivement dans l’inconscient de toutes les générations futures.»
Et de lancer cet appel :
Internet permettra la «désintégration mentale» de la programmation islamique
«Musulmans du monde entier ! Ayez un peu de pudeur ! Ne vantez plus dorénavant la beauté de votre religion avant d’en extirper tout ce qui s’y révèle immonde et abominable !»
Optimiste pourtant, elle pense qu’Internet permettra la «désintégration mentale» de la programmation islamique. Que Dieu l’entende !
Publié par Mireille Vallette le 4 décembre 2016
La psychiatre syrienne Wafa Sultan a adopté le monde libre et ses valeurs. Elle autopsie dans un livre le lavage de cerveau que subissent ses ex-coreligionnaires et les carences morales. Elle parle islam et non islamisme…
Wafa Sultan est psychiatre, réfugiée syrienne aux États-Unis. Elle s’est fait connaître à un large public par un débat mémorable sur Al-Jazeera en 2006. Les éditions Riposte laïque viennent de traduire et de publier un bouquet de ses textes, «L’Islam : Fabrique de déséquilibrés ?*». Ils sont centrés sur la programmation que subissent les musulmans et ses conséquences. Son diagnostic est impitoyable.
Les écrits de Wafa Sultan paraissent sur des sites arabophones et sont destinés à ce monde arabo-musulman. Mais vu que le prophète et le Coran sont semblables et ont le même statut dans nos mosquées, le premier idolâtré, le second incréé et intouchable, les résonances avec l’Occident sont nombreuses.
L’auteure alterne les descriptions psychiatriques, ses expériences et l’autopsie de versets et hadiths. Elle ne souligne pas seulement leur immoralité, elle démontre comment s’opère «la destruction mentale» de ceux qui les défendent. Elle rappelle que la programmation est entamée dès la petite enfance par différents moyens, dont la répétition et la récitation, sans oublier «l’effet de la mélodie et l’intonation du texte». Une idée peut paraître de prime abord inadmissible, «mais à force d’être rabâchée, elle finit par s’infiltrer furtivement dans l’inconscient.» Même la formule prononcée après le nom du prophète, «littéralement: Allah a prié sur lui et l’a salué», lubrifie le passage du contenu vers l’inconscient.
Scaphandre doctrinal
Le musulman n’apprend pas à dialoguer, la critique ne suscite que colère et insultes
Un verset ordonne : «Vous couperez les mains du voleur et de la voleuse en punition de leurs crimes.» Ce châtiment prouve pour la psychiatre l’incapacité de ce monde à comprendre le crime et donc la justice… Versets et hadiths enferment leur victime dans un «scaphandre doctrinal». Et vu que «l’épée de l’islam est dégainée» au-dessus de sa tête, il lui est interdit de questionner. Le musulman n’apprend pas à dialoguer, la critique ne suscite que colère et insultes. L’islam est devenu un code héréditaire dont sont aussi victimes, observe l’auteure, les minorités qui vivent sous sa tyrannie.
La crainte poursuit le croyant et l’empêche d’être créatif. L’islam conduit aussi à des comportements absurdes. «Sa hantise de la vérité absolue lui enjoint l’ordre d’entrer dans la salle de bain avec le pied gauche et de ne manger qu’avec la main droite…» Ou l’amène à croire aujourd’hui encore, puisque Mahomet l’a dit, que l’urine de chameau est le meilleur des médicaments.
Ce processus d’identification au «Beau modèle», conduit à défendre, par exemple, le mariage du prophète avec Aïcha, âgée de six ans, ou avec Safiya, «une femme juive avec laquelle il a copulé sur le chemin de retour d’une razzia durant laquelle il avait tué le mari, le père et le frère».
Les mariages de fillettes se perpétuent depuis quatorze siècles. Pour l’auteure, il n’y aucune différence entre le viol d’Aïcha par Mahomet et le mariage d’une petite Yéménite de 10 ans, médiatisée il y a quelques années lorsqu’elle a obtenu le divorce. Mais toute remise en question de ces mœurs comporte un risque majeur : faire vaciller toute la doctrine.
Grâce à cette programmation, nombre de conduites n’ayant aucune valeur éthique ou humaine sont instillés :
«…nous faisons lire, réciter et répéter à nos enfants ces enseignements qui les programment, les empoisonnent et les nourrissent de haine et de xénophobie.»
Une immense privation affective
Pour Wafa Sultan, les enfants les premiers, vifs et curieux, pourraient poser des questions. Mais «dans le milieu islamique, l’enfant voit le jour dans la répression. Le processus pédagogique qu’on lui fait subir écrase chez lui, même au berceau, tout sens de curiosité. Chaque fois que l’enfant entreprend spontanément une initiative, il n’entend comme réaction que l’un de ces deux mots : «Ayb » (c’est honteux), ou «haram » (c’est un péché) (…) Chacun de ces deux types de ressentiments suffit pour détruire sa vie et briser sa personnalité.»
Dans la doctrine, l’enfant n’a aucune valeur, c’est un ornement, une jouissance au même titre que les biens matériels.
«Je ne crois pas qu’il y ait une nation sur terre aussi totalement privée de sentiments que le monde islamique en général et arabo-islamique particulier.»
La psychiatre estime que les dogmes de cette religion, sa répression sentimentale et psychique produisent «une avidité affective inassouvie». Cette absence de sentiment s’exprime entre autres par les «crimes d’honneurs», encore fréquents dans le monde islamique. Ils ont été importés dans le nôtre, témoin l’exemple d’un père qui a tué sa fille au Canada, parce qu’elle refusait de porter le foulard.
«La force de la «parole» islamique est telle qu’elle peut faire faire les choses les plus abominables à ses prosélytes (…) Rien sur terre ne peut justifier qu’un homme se détache de ses sentiments à l’encontre de la chair de sa chair et la tue comme on tue une bête. (…) c’est la programmation mentale qui le transforme en fauve déchaîné (…) Voilà bien, hélas, la conséquence tragique et l’impact regrettable des enseignements attardés de l’islam !»
Fracture affective encore lorsque la doxa considère les femmes comme «trop sentimentales» pour apporter un témoignage fiable. Ce qui justifie qu’il ait la valeur de la moitié de celui d’un homme.
L’islam est aussi une culture de la mort qui dévalorise systématiquement la vie ici-bas. «Ce mépris s’est étendu jusqu’à englober sa propre vie elle-même.»
Des versets autorisent le meurtre avec préméditation :
«Ô vous qui croyez ! La loi du talion vous est prescrite en matière de meurtre : homme libre pour homme libre, esclave pour esclaves, femmes pour femmes. »
Et l’auteure de commenter: «Y a-t-il un esprit humain raisonnable qui puisse admettre que la grandeur de Dieu s’articule dans la préférence de l’homme libre sur l’esclave et dans l’aliénation de la femme par rapport à l’homme ?!»
Femmes déficientes
«Les enseignements de l’islam ont engendré, voire déterminé, la condition la plus humiliante et la plus dégradante pour la femme tout au long de notre histoire.»
A propos de la polygamie, la psychiatre calcule que si chaque homme épouse quatre femmes, seuls 25% des hommes trouveront des femmes.
Elle n’a aucun doute que ce qui mène aux attentats-suicides est la répression sexuelle. L’islam utilise le désir sexuel comme une stratégie, il le réprime afin d’attiser la volonté de combattre. Pour elle, c’est clair: «Le Coran incite au terrorisme».
Le mépris des femmes n’est pas étranger à la fêlure affective des musulmans, comme le montre ce hadith :
«Vous les femmes, vous constituez la majorité des habitants de l’enfer. Si on vous donne quelque chose, vous n’en remerciez pas. Si un malheur vous touche, vous ne prenez pas votre mal en patience. Si on vous prive de quelque chose, vous ne cessez de vous plaindre. »
«Depuis plus de 1400 ans, ce hadith trotte dans la conscience de l’homo islamicus.»
Le crime que constitue le viol n’est pas abordé par le Coran, observe Wafa Sultan, alors qu’il châtie l’adultère ou l’amour avant le mariage, des situations dans lesquelles les «coupables» sont consentants.
«Epousez (littéralement niquez) autant qu’il vous plaît de femmes ou ce que votre main droite possède ». Il n’existe pas de freins moraux qui atténue l’impact de ce verset. Si l’homo islamicus ne maîtrise pas ses instincts sexuels, poursuit la psychiatre, il ne maîtrisera pas non plus d’autres envies telles que «piller, tuer, s’énerver, faire du mal ou violer n’importe quelle règle relatives à la morale!»
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La littérature islamique regorge de descriptions de la puissance sexuelle de Mahomet. Les jurisconsultes plongent inlassablement dans leurs textes pour en tirer des normes de comportement, jusqu’aux plus intimes. «Le chercheur qui fouille dans la littérature islamique à la recherche des enseignements relatifs au sexe aura vite la nausée.»
Et l’on reste pétrifié qu’au XXe siècle, Khomeiny ait pu décréter :
«Il n’est pas licite de copuler avec la femme n’ayant pas atteint l’âge de neuf ans, que le mariage soit permanent ou intermittent. Quant aux autres jouissances, comme l’attouchement, l’étreinte et le cuissage, elles sont licites, même avec le nourrisson.»
L’auteure souligne «la sauvagerie» des enseignements et la violence de la langue : «Combattez… Tuez… Coupez les mains et les pieds… Coupez les têtes… Frappez-les au cou… Frappez sur tous les bouts des doigts… Serrez… Enchaînez-les solidement…»
«…ce discours a creusé durant plus de 14 siècles, des fossés profonds, des gouffres, des abîmes dans l’inconscient de l’homo islamicus. Un chaos de perdition s’y est installé.»
Haine de l’Occident
Du jour au lendemain, le pétrole a réveillé les nomades du Moyen orient. «Ils ont été contraints d’adopter un style de vie étrange autant qu’incompatible avec sa charia et ses lois obsolètes.» La technologie moderne dont il jouit, mais à laquelle il n’a aucune part, suscite haine et rancune à l’égard de l’Occident.
Nombre d’adorateurs d’Allah vont vivre avec des populations qu’ils ont appris à détester et qui sont majoritaires.
«Combien de fois nous a-t-on fait lire et répéter, lorsque nous étions petits, le verset coranique suivant : «Uzaïr est fils de Dieu. Les chrétiens disent : le Messie est fils de Dieu. Telles sont les paroles de leur bouche. Ils répètent ce que les impies disaient avant eux. Que Dieu les écrase ! Ils marchent à reculons.»
Et de s’interroger : «Comment voulez-vous donc, devenant adulte et entrant dans la vie active, que nous puissions respecter les juifs et les chrétiens et vivre en paix avec eux ?»
Au Moyen-Orient, l’actualité donne la réponse tous les jours.
La psychiatre met souvent en valeur la capacité d’adaptation des chrétiens et des juifs par rapport à leurs textes. Nourrie durant son enfance et sa jeunesse en Syrie de la haine féroce des juifs, elle les a découverts en Occident et les oppose souvent aux disciples du prophète.
«Les juifs ont pu dépasser la conception du contenu de leurs livres saints. Ils ont montré au monde entier leur capacité d’adaptation en tout temps comme en tout lieu, alors que les musulmans sont restés un cadavre froid, enveloppé dans le manteau de leur prophète.»
Un livre incompréhensible
Le Coran est incompréhensibles pour 90% des musulmans, affirme Wafa Sultan, et pas parce que la grande majorité ne connaissent pas l’arabe.
«La nébulosité intellectuelle qui se dégage de cet amphigouri linguistique a fait du musulman son otage permanent muselé.» Où se trouve, questionne-t-elle, la clarté dans un livre que Wafa Sultan elle-même ne peut comprendre ? «Où se manifeste le miracle dans ce livre qui regorge d’erreurs linguistiques, historiques mais surtout d’aberrations morales ?»
Cette réalité donne un grand pouvoir aux docteurs de la loi :
«La seule solution qui nous reste, c’est de séquestrer ces charlatans, ces imposteurs et ces prestidigitateurs, afin de pouvoir libérer les jeunes esprits de l’hégémonie mentale qu’exercent ces discours aveuglants, aberrants. Si nous ne sommes pas en mesure de les enfermer, il faudra sensibiliser les jeunes et les conscientiser : écouter avec beaucoup d’attention le délire hallucinant de ces illusionnistes, et empêcher leurs palabres de s’infiltrer furtivement dans l’inconscient de toutes les générations futures.»
Et de lancer cet appel :
Internet permettra la «désintégration mentale» de la programmation islamique
«Musulmans du monde entier ! Ayez un peu de pudeur ! Ne vantez plus dorénavant la beauté de votre religion avant d’en extirper tout ce qui s’y révèle immonde et abominable !»
Optimiste pourtant, elle pense qu’Internet permettra la «désintégration mentale» de la programmation islamique. Que Dieu l’entende !
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