moiprisca a écrit :
4. "Si vous avez des doutes à propos (de la période d'attente) de vos femmes qui n'espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n'ont pas encore de règles. Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d'attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Allah cependant, Il lui facilite les choses ".
z
De quand datent tes dernières règles pour ta part ? Moi cela fait un moment déjà. Et tu sais, ma fille, et bien elle a eu un enfant l'un après l'autre, car figure toi qu'elle attendait ses règles, et environ trois mois après ne les voyant pas, elle s'aperçut qu'elle était de nouveau enceinte. Voilà que maintenant je suis grand mère, et oui, à mon age, grand mère de deux petits bouts de choux, de deux ans et demi et un an et demi.eric121 a écrit :
1) Si vous avez des doutes à propos (de la période d'attente) de vos femmes qui n'espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois = femmes âgées
2) De même pour celles qui n'ont pas encore de règles = femmes non pubères
3) Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d'attente se terminera à leur accouchement.= femmes enceintes
Exégèse Ibn kathir:
La femme dont ses menstrues ont cessé à cause de son âge, et la jeune fille qui n’a pas eu encore ses menstrues, la retraite de l’une et de l’autre est fixée à trois mois, au lieu de trois menstruations fixées pour les autres. (A savoir, qu’en général, la menstruation dure moins qu’un mois).
Quelle période cruciale !
Fais gaffe de ne pas tomber enceinte toi aussi éric. Si tu le veux, attend 3 mois et tu seras heureux d'attendre un bébé, si tu ne le veux pas, attend 3 mois et tu auras "l'horrible surprise d'être enceinte encore une fois !
Vous revenez de la maternité et redoutez le fameux "retour de couches"… Mais que cache exactement cette expression ? Comment bien gérer ce retour à la normale ? Pour vous aider à retrouver votre corps de femme, Doctissimo vous livre ses conseils et met fin à quelques idées reçues…
De nombreuses femmes, de retour de la maternité, redoutent le fameux retour de couches. Quelques précisions pour rester sereine face à une étape naturelle.
Quand les hormones s'en mêlent !
Lorsqu'une femme est enceinte, le taux de certaines hormones de son organisme augmente : c'est le cas de la prolactine. C'est cette même hormone, après la naissance de l'enfant, qui déclenche la lactation : plus la succion de l'enfant est importante, plus le taux de prolactine augmente et plus la sécrétion de lait est grande. Après la tétée, d'autres hormones (folliculine et progestérone) contrebalancent l'effet de la prolactine : le lait se tarit momentanément jusqu'à la tétée suivante. La prolactine est aussi l'hormone qui interrompt le cycle sexuel. Ainsi, durant l'allaitement, alors que le taux de prolactine est élevé, les femmes ne peuvent théoriquement pas concevoir d'enfant. Le retour à la normale des hormones se traduit par une réapparition des règles : c'est le fameux retour de couches.
Retour de couches : quand apparaît-il ?
Après l'accouchement, la femme a des pertes brunâtres, les lochies. Cet écoulement peut durer plusieurs semaines ; cependant, vers le douzième jour après l'accouchement, les pertes sont souvent plus abondantes, sans pour autant être suivies d'une reprise du cycle menstruel : cela s'appelle le "petit retour de couches".
Ce qu'on appelle véritablement "retour de couches", ce sont les premières règles après l'accouchement ; elles sont généralement plus longues et plus abondantes que les règles normales. Si la femme n'allaite pas, le retour de couches se produit de six à huit semaines après la naissance de son enfant. En cas d'allaitement, le retour de couches est plus tardif : soit il survient après la fin de l'allaitement, soit, si celui-ci se prolonge, environ 3 mois après l'accouchement.
Contre le retour de couches, pensez contraception !
Attention, la date du retour de couches ne détermine pas le retour de la fécondité. Après l' accouchement, une femme doit donc se protéger lors de la reprise des rapports sexuels, si elle ne souhaite pas concevoir immédiatement un nouvel enfant. Seuls les préservatifs masculins ou la prise d'une pilule contraceptive peuvent efficacement lui éviter une nouvelle grossesse durant cette période transitoire.
Il est trop tôt pour poser un stérilet ou pour utiliser des contraceptifs locaux (spermicide, ovules, diaphragme), puisque l'utérus n'a pas repris son volume initial et l' appareil génital n'a pas repris une forme et un volume normaux. Bien entendu, après le retour de couches, la femme pourra choisir librement son mode de contraception.
Retour de couches, halte aux idées reçues !
En résumé, il faut mettre fin à deux idées reçues sur la fécondabilité après une grossesse :
"L'absence de règles, cela signifie que le cycle menstruel n'a pas encore repris". Certes, le retour de couches marque clairement la remise en route d'un cycle régulier. Mais, en l'absence de règles, il arrive qu'il y ait ovulation. Donc même sans saignement mensuel, une femme peut tomber enceinte !
Une autre idée reçue est de croire qu'une femme qui allaite n'est pas fécondable. La réalité est bien plus complexe : selon que la femme allaite complètement ou partiellement son nourrisson, elle peut ou non être momentanément stérile. Mais l'expérience montre que des femmes allaitantes peuvent tomber enceintes. C'est pourquoi, dans les maternités, il est souvent proposé aux femmes une pilule faiblement dosée à base de progestérone, compatible avec l'allaitement, afin d'éviter une grossesse non désirée.
Ecrit par:
Marianne Chouchan
Mis à jour le 12 mars 2013
Forum Règles et problèmes gynécologiques
Voilà éric
@ yacoub
Tu as lu aussi Gala ou, je sais plus, Voici je crois, enfin bref ? Et bien dis donc tu te rends compte ce que Mohamed fait, c'est pas croyable c'est honteux, à vomir pouahh !!