Nous Sommes les uns avec les autres

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Prophètedel'éternel

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Nous Sommes les uns avec les autres

Ecrit le 11 oct.16, 04:11

Message par Prophètedel'éternel »

TOME 6 NOUS SOMMES LES UNS AVEC LES AUTRES

Tout vient à point à qui sait attendre? que veux tu dire par là?
tu es :vivant puisque tu entends ma voix...Que veux tu que je fasse pour toi?

Je sais pas trop: mais j'ai pleins d'idées pour faire mieux, mais avant, je vais avoir besoin de me débarrasser de cette soif de sang: de cette dent qui fait mal..
Je comprends; alors parle et souviens toi: Que la lumière soit!



Tout le monde autour de moi m'appelle raron, depuis ma jeunesse, pas je sois particulièrement agé, mais bon. Raron ça signifie prête de râ; le dieu du soleil.
On m'a dit: qu'il fallait le servir; je comprends pas trop ce que ça veut dire; par contre la "magie" des signes, chante comme une belle musique; sur ces rouleaux de parchemin écrits des 2 cotés. au dedans et au dehors.

Dans la grande salle, il y a du marbre des décorations; j'ai l'impression d'avoir oublier quelque chose d'important, comme une promesse que j'aurai faites, mais à qui? peut être à moi même.. qui sait?
Je ne m'inquiète pas vraiment, car je sens que le temps ne manque pas.
Je porte cette espèce de robe, avec plein de décoration en ce jour; c'est la première fois que je vais officier au rite de râ.
Des gens amènent un boeuf. On dit de ce boeuf qu'il est pur. Il ne semble pas effrayé. Je parle au boeuf, simplement avec mon esprit: tu sais: aujourd'hui, c'est pas très sympa ce que l'on va te faire; et là le boeuf commence à s'affoler; alors j'ajoute: tu sais si tu entends ma voix, alors il y a plus que de la chair en toi...
Le boeuf se calme, et se laisse guider vers l'autel.
Je me sens triste de ce que je vais devoir faire, mais il paraît que c'est pour le bien du peuple; c'est ce que mes professeurs m'ont appris depuis ma jeunesse.

Ils ont dit: que sacrifier un boeuf toutes les semaines, ça assurait les bien faits des dons de râ; afin que le soleil ne s'obscurcisse pas.

Alors sous des applaudissements, la grande foule rassemblée se réjouit quand j'égorge le boeuf qui se vide de son sang; en même temps que mes larmes coulent, et que mon vêtement est souillé de sang.
J'essaye la même chose avec toute cette foule: vous m'entendez pleurer?, vous pourriez au moins prêtez attention à mes larmes...

Mais la foule continue d'applaudir et de se réjouir.

Après, un repas est organisé, et tout le monde amènent beaucoup de choses, des ustensiles, des légumes; mais je n'ai pas le coeur a prendre part à ce repas.

Un autre prêtre de râ, plus haut en grade que moi, me dit: raron, mange! c'est pour le bien de tous!
Et je lui demande:
- Cela fait combien de fois que vous dites cela?
- Hum.. raron.. pour quoi cette question?
- Peu importe...
- Oui exactement alors viens manger
- Non
- Raron, tu n'as pas le choix
- On verra.. lui annoncé je d'un regard un peu noir, qui le fît reculer
- Très bien, fait comme tu veux, mais tu verras: c'est pour le bien de tous!

Ce sur quoi le prêtre partie pour le festin.

J'allais m'asseoir dehors, sur le haut des marches du parvis, et je regardais le soleil; cela me prit du temps pour habituer mes yeux, puis je vit le soleil; blanc, jaune, avec une sorte de cercle noir et blanc qui tourne autour; c'est comme s'il me disait quelque chose.

Je repensait à ce moment où je parlais au boeuf; peut être parle-t-il une autre langue, que j'ai des difficultés à comprendre; et puis une voix me souffle à l'oreille: regarde à gauche Aaron; je regarde à gauche à droite s'il y a un homme qui me parle; mais non, ils se trouvent au grand festin derrière, dans le temple.
Alors, intrigué, je regarde à gauche. Il y a là un homme qui moissonne, bien avant l'heure, les épis ne sont pas encore mûrs pour la moisson.

Je me dirige vers lui et l'informe qu'il est trop tôt pour la moisson.
- Il me répond: en effet, il est trop tôt pour la moisson.
- Je lui demande alors : pour quelle raison moissonne tu?
- Car je moissonne des hommes me répond t il.
Surpris je m'enquière de ce qu'il entends par moissonner des hommes
Il me réponds: Tu sais Aaron: s'il est trop tôt pour la moisson des blés, il est trop tard pour épargner ce boeuf.

Je me met à pleurer à plus chaude larmes .
Ecoute:
Je suis
La voix d'un homme qui parle de liberté.

Te souviens tu?
De quoi lui demandé je?

Prends tout le temps dont tu auras besoin; tout ceux qui seront avec toi seront avec moi aussi, et ils entendront ma voix.

Je regardais mes vêtements tachés de sang, il y en avait partout; quand je relevais la tête pour voir l'homme qui avait dit cela: il avait disparût.

Je me retrouvais au milieu d'un champ d'orge; le blé avait été transformer en orge;

Choqué par tout ces évènements je tombais inconscient à terre.

Puis j'eus une vision: le soleil s'obscurcissait, de grandes fumées jaillissaient de partout sur le pays, l'eau devenait rouge, comme du sang.

Une main se posa sur ma tête: et me dit: Raron! Raron!
Je me réveillait et
Mo i Ché.. répondis je en ouvrant doucement et faiblement les yeux
Raron, que t'arrive t il?
J'ai vu un homme, et puis il a .. disparut, et le champ de blé s'est transformé en orge.
Raron.. ce champ a toujours été un champ d'orge...
Mo i Ché, dis je en me relavant péniblement, depuis quand prête tu attention à ce qui pousse dans les champs?
Pfff, c'est vrai que j'y fait pas attention, t'sais ce que c'est de veiller sur les esclaves...
Mo i Ché: l'homme que j'ai vu m'as dit: je suis; la voix d'un homme qui parle de liberté.
La liberté? qu'est ce que c'est que ça la liberté?
J'ai l'impression que tu vas aller faire un voyage Mo i Ché.
Un voyage? pour aller où?
Qui sait...
Pffff..

Le temps passa un peu; j'avais arrêter de pratiquer le sacrifice des boeufs; à chaque fois que j'allais pour obéir, je me prenais d'une envie de vomir, et quand on n'y prêtais pas attention: je vomissais.

Qu'est ce que la liberté? je marchais au milieu des prêtres, des esclaves, des maîtres, même aperçu pharaon de loin; tout les autres se prosternant il était facile de le voir...

Etrangement, il y avait comme un décalage entre ce qu'ils disaient et ce qu'ils faisaient, comme s'ils étaient sourds à eux même pour beaucoup d'entre eux.
Je me disait que je ne devais pas avoir de grande différence avec eux, car à chaque fois que je m'apprêtais à obéir, mon corps se prenait de vomissements.

Cet homme étrange qui paraissait et disparaissait, qui transformait un champ de blé en champ d'orge.. Je suis; la voix d'un homme qui parle de liberté... Et les esclaves se prenaient des coups de fouets; et Mo i Ché pour en donner, parmi beaucoup d'autre. Des prêtres de râ qui sacrifiaient et sacrifiaient encore: comme si ce monde tournait en rond sur lui même.

Tout se ressemblait, comme si le monde lui même, se déformait pour sortir de lui même de cette léthargie; les visages des hommes se ressemblaient, et leur comportement se ressemblaient comme s'il ne faisaient plus qu'un;
Par moment, je me demandais si je ne devenais pas fou; mais le souvenir de cet homme qui disait
Je suis
La voix d'un homme qui parle de liberté

Me permettait de tenir debout; Ce monde tournait en rond; et c'est là que j'entendis des choses nouvelles; comme si le monde entier me parlait; écrasante sensation;
Tout le monde se ressemblait de plus en plus, et les visages se ressemblaient de plus en plus, les comportements également; les cycles se répétaient sans cesse, de plus en plus rapidement.

Chaque trait physique semblait lié aux comportements; tel apparence, tel comportement; cela tournait si vite que je finit par dire:
Que la lumière soit!
Et puis un jour; je me mit à le crier partout: Que la lumière soit! Que la lumière soit!
Quelqu'un finit par me mettre en prison; car on pensait que je me prenais pour râ lui même.
Aussi je me calmais; et la lumière fût un temps.

Pendant que je me trouvais en prison; un grand tremblement de terre survint; et puis comme dans ma vision: de la fumée apparût dans le ciel; Pendant que je me trouvais en prison, cela ressemblait à un duel entre Mo i Ché et moi; comme si il poussait tout le monde à faire un.

On me sorti alors de prison;
Il y eut même un garde pour me demander de redire que la lumière soit; mais je n'avais plus le coeur à ça;
Alors, survint, comme dans la vision que j'avais eu : le grand fleuve devint rouge; une pluie de feu s'abattit aussi un peu plus tard.

Au milieu de ces catastrophes certains fuyaient, surtout les maîtres; Mo i ché, parti vers le nord, en direction de l'est.
Pendant ce temps; avec quelques prêtres nous sortions de nos réserves de quoi nourrir les affamés.
Puis un peuple vint de l'ouest; Pharaon mobilisa l'armée, et tout les hommes, esclaves ou libres pour protéger ses terres.

Le monde changeait enfin; les visages des hommes et des femmes changeaient; les comportements aussi; chacun retrouvait sa liberté de parole; plus de peurs que d'espoir, mais bon, au moins, le monde avait cesser de tourner en rond.

J'avais parler à beaucoup de gens de cet homme qui parût en disant
Je suis
La voix d'un homme qui parle de liberté

Et on me demandait quoi faire; beaucoup de questions jaillissaient de ci de là, de là de ci;
Pense t il donc que j'ai toutes les réponses?
Alors je leur posait beaucoup de questions; mais eux ne me répondaient pas, ou peu souvent. Je faisait mon possible pour répondre à leurs questions; mais le monde recommençait à tourner en rond;
Alors je me cloîtrais quelques temps, afin de lire les signes écrits sur les parchemins.

Je me mit à entendre des voix; elles m'aidaient; dans les descriptifs; très étrange; mais bon.

Pendant que je me cloîtrais, une invasion de sauterelles vint s'ajouter aux fléaux qui frappaient: qui dévora les champs plus au sud; et la guerre ne tournait pas en faveur de pharaon.

D'autres peuples descendaient du nord; par la mer pour chercher un abri, car le fléau frappait tout autour; et sans distinction.
Alors avec quelques uns nous décidâmes qu'il nous fallait partir.

Mais pharaon envoya des gardes armées pour enrôler de forces tout ceux qu'ils pouvaient afin de renverser le cours de la guerre en sa faveur; il ordonna également que de nombreux sacrifices soient fait à tous les dieux.

Certains prêtres obéirent et d'autres non;

Je repensait à ce qu'avait dit l'homme qui parût: il est trop tard pour épargner le boeuf; alors je me mis à penser de plus en plus vite: et il y a beaucoup d'animaux vivants;

Alors nous commençâmes à partir d'Egypte, en emmenant avec nous tout ce que nous pouvions porter. Certains emmenait de l'or, d'autres des troupeaux, des bijoux, et personne pour broncher quant à ce que nous faisions.

Quelques gardes que pharaon avait envoyé préférèrent venir avec nous.
Je prenais une houlette de berger; j'emmenais des hommes, et pendant le chemin je gardais un troupeau de brebis, d'agneaux et de moutons.
Nous faisions notre chemin les uns avec les autres, chacun soutenant son prochain; nous sommes nombreux à sortir d'Egypte ce jour là.
Car mon esprit continue de dire que la lumière soit!

Comme nous sommes nombreux Pharaon entendit que nous quittions ses terres, emportant tout ce que nous pouvions avec nous.
Il arriva en personne derrière nous, sur nos traces, fermant notre marche. Quelques uns de ses soldats furent prit de peur; alors je hurlais:
Que la Lumière soit!! Cet homme n'a rien d'un dieu!!
Beaucoup se ragaillardirent, et mirent en place une forme de défense pour l'arrière. Beaucoup me regardèrent à ce moment; alors avec quelques uns nous allions vers pharaon, qui avait stopper sa marche face à la défense mise en place;

Ils parlèrent de magie: alors une voix me souffla: quand ils jèteront de leurs manches des serpents: jette à terre la houlette que tu tiens; sur le coup je ne compris pas;
Mais pharaon annonça:
Tu dis que je n'ai rien d'un dieu? Alors regarde les mages qui me servent!
Il leur fît un signe et jetèrent à terre des ustensiles et de leurs manches sortirent des serpents blanc, qui luisaient au soleil; alors je jetais la houlette devant ces serpents
A ma grande surprise: la houlette se transforma en cobra noir; même les "mages" sont surpris de cela. Et les serpents manoeuvrèrent le premier serpent blanc fût mordu par le cobra et succomba en un rien de temps; le second essaya d'avaler le cobra noir qui alors élargit le haut de sa tête; et le serpent blanc fût tranché.

Je dis alors à pharaon: voilà les mages qui te servent: des illusionnistes.
Pharaon allait se mettre en colère; mais le cobra noir se tourna alors dans sa direction.
Pharaon ne broncha pas ce jour là.

Il demanda à certains de le rejoindre; et certains le firent. Le cobra noir reprit la forme de la houlette; que je prit de nouveau en main.

Après que certains ai finit de rejoindre Pharaon; on me demanda comment j'avais fait.
Je leur répondit que je n'en savais rien.. je leur parlais de nouveau de l'homme qui parût et qui avait dit:
Je suis
La voix d'un homme qui parle de liberté
On me demanda s'il ne s'agirait pas de cet homme, je leur répondit que je n'en savais rien...;

Je leur parlait de nouveau du champ de blé transformer en orge;
Nous continuons notre marche.
Nous dressons des tentes pour les nuits froides; au loin la lune au travers de la fumée paraissait rouge.
Chemin faisant, de plus en plus de monde nous rejoignit; puis arriva de l'est Mo i ché, avec quelques hommes armés.

Il me dit:
J'ai vu dieu! Dans une grande gerbe de flammes il m'est apparut! à moi seul! il m' a dit: je suis; l'éternel! le dieu d'Abraham, ton père... Tu te rends compte Raron? je suis le fils de dieu!!
Je lui répondit: qui c'est Abraham?
T'occupes pas de ça, c'est pas important.. tiens, toi qui sait lire; je t'ai ramener quelque chose de judas..
Ecoute Mo i Ché,: je pense que savoir qui est ce abraham est plus important que tu ne le crois.
Mais non, dieu a dit: je suis ton père!
Mo i Ché... je soupirais..

Puis Mo i Ché; - maudit ché? y a des chance oui - s'adressa à la foule leur racontant cette histoire d'élu divin de fils de dieu! les gens qui n'attendaient qu'une voie de sortie plus facile que d'aller au hasard se mirent à suivre Mo i ché; la confiance dans la force armée..
Comme je n'avais pas penser que ceux avec qui nous marchions depuis déjà quelques temps, se mettrait à suivre un imbécile peureux qui avait fui dès les prémices des catastrophes; je me mis à lire les rouleaux qu'il m'avait remis
Je ne connaissais pas bien cette langue; aussi avec quelques uns nous commencions la traduction; et il y avait ce sigle imprononçable YHWH - 4 voyelles; imprononçables le Y se prononce gamma "g"; et chaque fois que je lisais ce mot: c'est comme la fois où j'avais parler au boeuf -
Souviens toi de ça! me soufflait une voix. Je commençais à m'habituer à faire la différence entre les voix qui soufflent et les voix des autres hommes et femmes. Je ne savait pas trop comment leur parler; mais bon... chaque chose en son temps.

Nous poursuivions notre marche vers le nord est. De plus en plus de gens nous rejoignait.
C'est après le retour de Mo i ché, que l'on commença à me dire: tu vois raron? comme les choses se passent mieux depuis le retour de mo i ché...
Ils commençait tous a abandonner leurs têtes, leurs esprits, et suivaient les ordres de Mo i ché, pendant que quelques uns essayaient de traduire les parchemins;
J'aurai tant voulu qu'ils sachent déjà tous prononcer ce mot: YHWH; mais bon, un homme, ça peut pas tout faire en une fois, en une seule vie d'homme. Avec quelques autres nous essayions de leur enseigner ce mot; mais ils continuaient d'obéir à mo i ché.

C'est alors que pharaon surgit de nouveau; il avait été battu et venait pour prendre les biens que nous emmenions;
Nous nous trouvions dans la partie du delta où l'eau restait de couleur rougeâtre; il y a des gués un peu partout; et nous traversons à gué; mettant un peu de distance entre nous et l'armée de pharaon;

Bien au delà des voix qui soufflent; il y a cette musique, qui chante: pharaon va revenir; cela m'avait pris du temps pour comprendre ce que disait la musique.

Nous arrivons alors dans une ville, véritablement comme épargnée par les catastrophes qui avait frappé toutes les régions d'alentour.
Là je rencontre Haré; avec qui nous nous marions.
Une belle femme, brune, gentille, un peu portée sur les bijoux.. mais bon: la perfection..;
Je lui parle de l'homme qui parût en me disant:
Je suis
La voix d'un homme qui parle de liberté
ainsi que du champs de blé transformer en orge
et elle me réponds: c'est sûrement le dieu de mo i ché qui a fait cela..
Je lui dis: je pense que tu as tort Haré...

Je ne parviens pas à tuer les animaux que je guide, même quand j'ai besoin de manger. A chaque fois cette envie de vomir me prends.
Alors d'autre le font; nous devons bien manger aussi, je leur dit merci d'avoir fait ce bout de chemin avec nous, et de nous aider à poursuivre; parfois j'ai l'impression d'en entendre dire: prends soins des petits quand nous ne serons plus là..
Alors je commence à "voir", entrevoir serait plus précis comme mot, quelque chose qui sort de leur corps.
Je demande à d'autres autour de moi s'ils voient cela aussi; mais on me dit que je rêve...Où alors que le dieu de Mo i ché m'autorise à voir cela pour servir au mieux Mo i Ché...;

Je commence à déprimer; mais quelques uns me disent: nous, nous te croyons; et quand tu dis que tu ne crois pas que ce soit le dieu de mo i ché qui fait ça: nous t'écoutons, et nous en tenons compte.
Nous ne savons peut être pas ce qu'est la liberté dont l'homme qui t'es apparut parle, mais Mo i ché, ll se transforme en pharaon.
Ce à quoi je répond: il est temps d'aller vers l'est.
Nous poursuivons notre chemin, car j'informe de ce que la "musique" chante, pas en leur parlant de musique; mais en leur disant plus simplement: j'ai l'impression que pharaon va revenir.
Avec Haré nous commençons à nous trouver en désaccord à propos de mo i ché à qui elle commence à rendre un culte.
Et rien n'y fait; plus mo i ché porte de bijoux, plus elle ne voit que lui...;

Je m'en vais voir et parler à mo i ché, et lui demande de me raconter ce qu'il a fait après son départ précipité;
Et bien, me dit il, après avoir vu dieu dans cette grande gerbe de feu et qu'il m'ai annoncé que je suis son fils
- à l'intérieur je lui dit: il n' a pas dit ça mo i ché -, mais il ne m'entends pas;
- Je suis descendu de la montagne et un homme est apparut qui m'a demandé: veux tu lutter?
- je l'interrompt, un homme est apparut?
- oui, un voleur!
- et ?
- bah je l'ai tué..
- Quoi MO I CHE §§§§ qu'as tu fait?
- j'ai tué ce voleur je te dis...

Je sort de la tente avec précipitation et agaçement: la musique se met à gronder comme du tonnerre et une grande flamme; c'est alors que mo i ché commence à avoir un comportement des plus étrange; comme si quelqu'un avait pris le contrôle de son corps;

Il se mit à réaliser beaucoup de prodiges; apparemment; et tous crurent qu'il s'agissait de dieu fait homme; mais pas ceux à qui j'avais raconter l'histoire de l'homme qui lui est apparut et qu'il a tué; ce sont également ceux là qui m'avait dit: nous te croyons, et nous en tenons compte, nous faisons cas de ce que tu dis, car tu fais pareil pour nous.

Des flammes paraissaient de temps à autres; comme pour dire: il brûle.

Mais beaucoup ne voyait que du feu; aussi ils se mirent de plus en plus à le suivre; nous sortions d'egypte et un nouveau pharaon naissait déjà...
Je repensait à l'homme qui m'étais apparut; et je continuais à penser, s'il est trop tard pour épargner le boeuf que j'ai sacrifié, il n'est pas trop tôt pour essayer d'en sauver d'autre; surtout des hommes; je ne parvenais pas à comprendre ce qui se passait avec mo i ché; comme posséder, les gens qui ne voyaient que du feu; quelque chose m'échappait.

Alors que nous arrivions à l'embranchement de la mer rouge qui se trouvais plutôt asséché suite aux catastrophes, une sorte de marécage convient comme descriptif.

Nous sommes si nombreux et pharaon et son armée nous talonne, du moins nous savons, qu'il arrive;

Beaucoup prennent peur et se tournent vers Mo i ché;
Mo i ché, tout à sa transe me dit sur un ton de colère totale
- Donne moi le bâton du berger!
je me tiens à sa droite avec la houlette dans ma main droite; je le regarde d'un regard noir; mais rien n'y fait il ordonne et ça me tape sur la tête; j'arrêtes de dire que le lumière soit dans mon esprit; et la nuit commença...
je faisait passer la houlette à ma main gauche;puis la tendit dans la main droite de mo i ché; qui transforma une houlette en bâton.

Il annonça au peuple uni: regardez: j'assèche les marais pour vous!
Et ils passèrent comme un ou presque.
Nous passions tous; puis il dit:
Voici! je refait les marais comme ils étaient!

- comment oses tu faire ça à mes petits!? -
Une voix me souffla: souviens toi!
alors je recommençait à dire que la lumière soit, dans mon esprit, que celui entende ma voix se lève!
Quelques uns se levèrent
Mo i ché allait les faire se rasseoir, mais je lui confisquait la houlette.
- N'avons nous pas pharaon sur nos talons?
il me regardait avec ses yeux de braises:
Et je lui dis: tu sais: toi aussi j'essaye de te sortir d'esclavage pauvre con, sourd et aveugle.
- Moi un esclave? me répondit il, moi le maître de tout ! un esclave?: je lui donnait une grande claque; ce sur quoi il reprit quelque esprit et se concentra sur le fait que pharaon se tenait sur nos talons.

Après, l'armée de pharaon entendit que nous avions traversé les marais, et ne prit pas garde; les soldats s'enfoncèrent; bien profond dans la mélasse. Pharaon s'enfuit devant le désastre supplémentaire qui venait de le frapper; et arrêta de nous poursuivre.
Le temps de me sortir de cette colère, car ce n'est pas qu'une claque dont avait besoin mo i ché;
Il avait tué un homme qui lui posait une question...; cette colère ne trouvait de soulagement que quand les voix qui soufflent disaient "souviens toi".
cet homme qui apparût disait:
je suis
la voix d'un homme qui parle de liberté

Et voilà que la plupart de mes petits se soumettent à ce mo i ché...; ce n'est pas ça la liberté...;
Mais dans quel but tout ce soutien à mo i ché?
Aaron: souviens toi!
Comme certains peuvent entendre ma voix, alors peut être pourront ils entendre la musique qui nous prévient... La musique qui nous soutien et nous supporte;
Je pense beaucoup à cela, mais sans parvenir à expliquer; et puis une hypothèse me viens: peut être le chemin est il plus long pour certains que pour d'autre pour entendre cette musique qui nous soutien et nous supporte;
Comme certains ne voient que du feu; et puis..
Alors que je pensait à cela on vint dans ma tente pour me demander quelque chose:
Je n'avais pas de réponse à offrir; mais un conseil; une recommandation : pas d'image devant le nom de dieu...
celui avec qui je discutait me dit: tu sais: en égypte: il y a plein des statues et tout ça; et on se prosterne devant, ça se fait un peu partout; il y a même des endroits où ce sont des jeunes hommes et des jeunes femmes qui sont sacrifiés à leurs dieux...;
Je me sentis horrifié d'entendre que l'on pouvait sacrifier des hommes et des femmes pour des idoles; non sans me remémorer ce boeuf...
Bon... Nous sommes rester un moment à discuter d'un socle d'esprit; mais tout commençait par ça:
Pas d'image devant le nom de dieu; pas d'idoles de pierres ou de bois, et pas de prosternation.

Alors que mo i ché souhaitait vite monter vers la contrée hospitalière qu'il avait trouvé, la musique chantait que l'heure n'est pas encore venue; je cherchais à comprendre ce que cela pouvait bien signifier.

J'essayait d'en parler avec mo i ché, mais il resta sourd et inflexible; qui plus est je n'avais pas de réel argument.
Mais le feu s'était calmé; et il avait repris quelque esprit.
Il mena donc une expédition pour prendre les terres, mais il fût repousser, et beaucoup tombèrent dans cette expédition.
Ceux qui ne souhaitaient pas y prendre part n'y allèrent pas.
Au retour de défaite certains accusèrent ceux qui n'avaient pas voulu monter de lâcheté, d'autres disaient qu'ils étaient trop grand et trop fort; pour que cela changea quoi que ce soit.

Mo i ché vint me voir et me dit:
- Tu as peut être raison: dieu m'a abandonné: as tu un conseil?
- Va donc faire un petit tour dans les montagnes plus au sud, loin du peuple.
- Bien je ferais ainsi me répondit il.

Ainsi nous commencions notre chemin vers le sud.

Nous marchâmes jusqu'à une certaine montagne; il y a là de l'herbe et de l'eau pour le bétail.
Il y a même une petite forêt.

Ensemble nous faisions le socle d'esprit, il y a avait 12 recommandations quand cela fût terminé. Nous n'arrivions pas à en faire moins..
Qu'est ce que la liberté? Comment vivre heureux les uns avec les autres? nous avions pleins de questions, d'autres avaient beaucoup de réponses. Et recommencèrent quelques uns des rites égyptiens; de sacrifice du bétail. Avec quelques uns nous essayions de mettre fin à ça; mais rien n'y fit.

Mo i ché, partit alors dans les montagnes; il disparut de la vue des autres, qui prirent peur que leur dieu les ai abandonné...
J'en profitait pour faire passer le message de la première recommandation, en leur disant: le corps humains c'est comme de l'argile! vos esprits! un socle d'esprit!

Alors ils répondirent: que devons nous faire pour que dieu nous soutiennes?
Je leur répondait: il suffit d'écouter...
Mais tu as vu mo i ché? dieu l'écoute lui!
En êtes vous sûrs?
Mais tu n'a pas vu ce qu'il a fait?
Quand bien même: te le mettre sur la tête fait il de toi un homme libre?
Au moins avec lui nous sommes en sécurité!

Vous savez: j'ai l'impression que vous vous trompez à propos de la sécurité...;

Comme ils ne mettaient pas fin à ces sacrifices, j'eu l'idée de leur dire: donner moi votre or et votre métal: et puis nous ferons un tabernacle pour y faire reposer les recommandations.

Etrangement: ils n'eurent aucune difficulté à se séparer de leur or et de leur métal... Les recommandations au nombre de 12 venaient de se faire enterrer.

Je leur faisait faire de l'orfèvrerie pour qu'ils évitent de les enterrer, mais non, rien n'y fît ils les enterrèrent...

Ils avaient vraiment besoin de rites et de rituels... au moins: cela leur éviterai peut être de sacrifier inutilement des animaux...
Puis mo i ché revint de la montagne; il organisa une grande fêtes, pleine d'holocaustes et de sacrifices: car dieu lui avait encore parlé; d'ailleurs les mots qui sortaient de sa bouche étaient tout simplement devenus ceux de dieu; il organisa aussi l'abattage de la forêt pour faire un grand feu; afin que personne ne voit que c'était lui qui parlait .. il ordonna aussi que personne ne s'approcha de la montagne une fois le feu bien avancé.

Il prît un exemplaire des 12 commandements, mais comme il n'avait toujours pas appris à lire, il ne garda que le premier et en annonça 9 autres...
Quand il descendit de la montagne: il dit: voyez vous qui dieu a choisi?
Et beaucoup se prosternèrent devant Moïse, celui qui les avait sauvé des eaux grâce à son feu...
Et Aaron garda le silence en apparence; certains se levaient dans la foule.

Par la suite, j'essayait de mettre à profit l'obsession pour les sacrifices; en en faisant des repas de fêtes, où il faut toujours laisser des plats pour les gens de passage; surtout ceux qui paraissent;
Moïse organisait quelques holocaustes complets au nom de dieu, celui de la grande flamme...;

Haré vînt alors me voir, et elle me dit:
C'est toi raron qui a commencé la marche, pourquoi ne prends tu pas la tête du peuple? pourquoi ne fait tu pas ce que fait moïse?
Je soupirais, profondément; nous nous sommes rendu devant la tente de moïse; alors haré parla à moïse:
Ce n'est pas toi qui devrait guider le peuple, c'est raron!
Alors une grande flamme jaillit devant nous 3: moïse est mon serviteur, je parle avec lui bouche à bouche;
je commençais à rigoler haré se trouvait à ma droite; et la lèpre tomba sur elle et sur moïse aussi; j'allais dire - t'entends haré? serviteur, lui aussi j'essaye de le redresser -
Alors elle regarda moïse atteint de la lèpre lui aussi comme elle, et moïse dit: ô éternel exauce ton serviteur et guéris ma lèpre; et sa lèpre disparue.
Haré se jeta alors à ses pieds; et moïse essaya la même invocation, mais la lèpre d'Haré ne fût pas guérie. moïse enchaîna en disant, je vais prier l'éternel pour tu guérisses plus tard.

Comme je ne me trouvais pas atteint par cette lèpre; je dis à haré allons dans notre tente, veux tu?
Et nous nous y sommes rendus; à l'intérieur je lui posais une question:
est ce que tu crois en moi?
elle me répondit oui, je crois en toi
Alors je posais ma main droite sur sa tête; et sa lèpre guéris 2 jours plus tard.

Puis elle alla voir moïse pour le remercier de ses prières et que l'éternel l'avait exaucé...;
Peu de temps après moïse fût atteint de la lèpre de nouveau, sans pouvoir s'en séparer et commença à se cacher du peuple.

Bien que je ne comprennes pas vraiment comment tout cela fonctionne; je me demandais comment faire pour déterrer les 12 commandements qui avait été enterrés..;
Mais déjà des tables de la loi avaient été gravé et on les mettais sur les parchemins contenant les 12 recommandations...

Nous allions plus sud; notre séparation avec Haré étant quelque peu consommé, là bas moïse 1er mourut de la lèpre accompagnée d'une bonne gonohorée.
Il avait laisser tout pouvoir à un successeur; bien que l'on m'est proposé le poste, j'avais refusé.
Nous arrivions donc près des mines de cuivre dans le sud du sinaï; nous faisions du commerce avec l'éthiopie relativement épargné par les désastres, et apprenions, venant du nord que des peuples venaient nombreux pour piller les côtes, et prendre possession des territoires.

Ce second moïse, car désormais il s'agissait d'un titre;donna beaucoup d'ordres, pour mettre en place une armée afin de prendre possession des territoires convoités par le 1er moïse. Celui là ne faisait plus de flamme comme le précédent.

Aussi, comme il n'était pas du goût de tout le monde de travailler dans les mines de cuivre; moïse 2nd s'apprêtais à forcer certains à y travailler, par roulement.
Avec quelques uns; nous avons trouver que de telles actions mèneraient à notre perte définitive. Je commençais à boiter, j'avançais en âge, et mon corps perdais de sa robustesse;

Puis quelqu'un vint me remémorer l'arche. Que beaucoup nommait sanctuaire, j'avais insister pour ce nom; car c'est dedans qu'avait été enterré les 12 recommandations pour les quels beaucoup d'entre nous avaient travaillé.

Puis nous avons, inventer le cours du cycle du sanctuaire. Le cycle était le nom de la monnaie que nous utilisions pour faciliter nos échanges.
Nous inventions ainsi les salaires et modifions les salaires pour les oeuvres d'intérêt commun en augmentant les revenus en cycles des travaux peu attrayant, mais nécessaire pour les projets du groupe.
Je laissais avec d'autres, une "sorte de mode d'emploi": à n'utiliser qu'en cas de projet d'intérêt commun. Mais trop peu savaient lire encore à cette époque;
Ainsi les armes furent forgé, nous survivions de la pêche, mais nous étions si nombreux, qu'il était impossible de ne pas tout dépouiller dans nos pêches; aussi la musique chantait: "il faut laisser de la vie"; ainsi, nous avions interdit de manger de certaines choses, afin qu'après notre départ: la vie puisse se multiplier de nouveau; nous avons été aidé en cela par le fait que le cuivre extrait s'échangeait très bien avec les produits nourriciers de l'éthiopie.

Pendant une nuit; je m'endormit

Et puis
Alors: que penses tu de la liberté? me demandait la voix qui n'est pas la mienne.
Qu'est ce que j'en pense? nous avons échanger un tyran pour un autre malgré tout les efforts..
En es tu sûr?
Il y a bien quelques trucs nouveaux qui sont apparues...

Intitulé: Qu'est ce que la liberté?
http://www.lire-des-livres.com/alice-au ... erveilles/ ( celui là se commence au commencement )

http://www.lire-des-livres.com/de-lautr ... du-miroir/ ( celui là se commence par la fin )

Constater que de l'autre coté du miroir le style change légèrement.

indian

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Re: Nous Sommes les uns avec les autres

Ecrit le 11 oct.16, 04:22

Message par indian »

Prophètedel'éternel a écrit :TOME 6 NOUS SOMMES LES UNS AVEC LES AUTRES

Tout vient à point à qui sait attendre? que veux tu dire par là?
tu es :vivant puisque tu entends ma voix...Que veux tu que je fasse pour toi?

Je sais pas trop: mais j'ai pleins d'idées pour faire mieux, mais avant, je vais avoir besoin de me débarrasser de cette soif de sang: de cette dent qui fait mal..
Je comprends; alors parle et souviens toi: Que la lumière soit!



Tout le monde autour de moi m'appelle raron, depuis ma jeunesse, pas je sois particulièrement agé, mais bon. Raron ça signifie prête de râ; le dieu du soleil.
On m'a dit: qu'il fallait le servir; je comprends pas trop ce que ça veut dire; par contre la "magie" des signes, chante comme une belle musique; sur ces rouleaux de parchemin écrits des 2 cotés. au dedans et au dehors.

Dans la grande salle, il y a du marbre des décorations; j'ai l'impression d'avoir oublier quelque chose d'important, comme une promesse que j'aurai faites, mais à qui? peut être à moi même.. qui sait?
Je ne m'inquiète pas vraiment, car je sens que le temps ne manque pas.
Je porte cette espèce de robe, avec plein de décoration en ce jour; c'est la première fois que je vais officier au rite de râ.
Des gens amènent un boeuf. On dit de ce boeuf qu'il est pur. Il ne semble pas effrayé. Je parle au boeuf, simplement avec mon esprit: tu sais: aujourd'hui, c'est pas très sympa ce que l'on va te faire; et là le boeuf commence à s'affoler; alors j'ajoute: tu sais si tu entends ma voix, alors il y a plus que de la chair en toi...
Le boeuf se calme, et se laisse guider vers l'autel.
Je me sens triste de ce que je vais devoir faire, mais il paraît que c'est pour le bien du peuple; c'est ce que mes professeurs m'ont appris depuis ma jeunesse.

Ils ont dit: que sacrifier un boeuf toutes les semaines, ça assurait les bien faits des dons de râ; afin que le soleil ne s'obscurcisse pas.

Alors sous des applaudissements, la grande foule rassemblée se réjouit quand j'égorge le boeuf qui se vide de son sang; en même temps que mes larmes coulent, et que mon vêtement est souillé de sang.
J'essaye la même chose avec toute cette foule: vous m'entendez pleurer?, vous pourriez au moins prêtez attention à mes larmes...

Mais la foule continue d'applaudir et de se réjouir.

Après, un repas est organisé, et tout le monde amènent beaucoup de choses, des ustensiles, des légumes; mais je n'ai pas le coeur a prendre part à ce repas.

Un autre prêtre de râ, plus haut en grade que moi, me dit: raron, mange! c'est pour le bien de tous!
Et je lui demande:
- Cela fait combien de fois que vous dites cela?
- Hum.. raron.. pour quoi cette question?
- Peu importe...
- Oui exactement alors viens manger
- Non
- Raron, tu n'as pas le choix
- On verra.. lui annoncé je d'un regard un peu noir, qui le fît reculer
- Très bien, fait comme tu veux, mais tu verras: c'est pour le bien de tous!

Ce sur quoi le prêtre partie pour le festin.

J'allais m'asseoir dehors, sur le haut des marches du parvis, et je regardais le soleil; cela me prit du temps pour habituer mes yeux, puis je vit le soleil; blanc, jaune, avec une sorte de cercle noir et blanc qui tourne autour; c'est comme s'il me disait quelque chose.

Je repensait à ce moment où je parlais au boeuf; peut être parle-t-il une autre langue, que j'ai des difficultés à comprendre; et puis une voix me souffle à l'oreille: regarde à gauche Aaron; je regarde à gauche à droite s'il y a un homme qui me parle; mais non, ils se trouvent au grand festin derrière, dans le temple.
Alors, intrigué, je regarde à gauche. Il y a là un homme qui moissonne, bien avant l'heure, les épis ne sont pas encore mûrs pour la moisson.

Je me dirige vers lui et l'informe qu'il est trop tôt pour la moisson.
- Il me répond: en effet, il est trop tôt pour la moisson.
- Je lui demande alors : pour quelle raison moissonne tu?
- Car je moissonne des hommes me répond t il.
Surpris je m'enquière de ce qu'il entends par moissonner des hommes
Il me réponds: Tu sais Aaron: s'il est trop tôt pour la moisson des blés, il est trop tard pour épargner ce boeuf.

Je me met à pleurer à plus chaude larmes .
Ecoute:
Je suis
La voix d'un homme qui parle de liberté.

Te souviens tu?
De quoi lui demandé je?

Prends tout le temps dont tu auras besoin; tout ceux qui seront avec toi seront avec moi aussi, et ils entendront ma voix.

Je regardais mes vêtements tachés de sang, il y en avait partout; quand je relevais la tête pour voir l'homme qui avait dit cela: il avait disparût.

Je me retrouvais au milieu d'un champ d'orge; le blé avait été transformer en orge;

Choqué par tout ces évènements je tombais inconscient à terre.

Puis j'eus une vision: le soleil s'obscurcissait, de grandes fumées jaillissaient de partout sur le pays, l'eau devenait rouge, comme du sang.

Une main se posa sur ma tête: et me dit: Raron! Raron!
Je me réveillait et
Mo i Ché.. répondis je en ouvrant doucement et faiblement les yeux
Raron, que t'arrive t il?
J'ai vu un homme, et puis il a .. disparut, et le champ de blé s'est transformé en orge.
Raron.. ce champ a toujours été un champ d'orge...
Mo i Ché, dis je en me relavant péniblement, depuis quand prête tu attention à ce qui pousse dans les champs?
Pfff, c'est vrai que j'y fait pas attention, t'sais ce que c'est de veiller sur les esclaves...
Mo i Ché: l'homme que j'ai vu m'as dit: je suis; la voix d'un homme qui parle de liberté.
La liberté? qu'est ce que c'est que ça la liberté?
J'ai l'impression que tu vas aller faire un voyage Mo i Ché.
Un voyage? pour aller où?
Qui sait...
Pffff..

Le temps passa un peu; j'avais arrêter de pratiquer le sacrifice des boeufs; à chaque fois que j'allais pour obéir, je me prenais d'une envie de vomir, et quand on n'y prêtais pas attention: je vomissais.

Qu'est ce que la liberté? je marchais au milieu des prêtres, des esclaves, des maîtres, même aperçu pharaon de loin; tout les autres se prosternant il était facile de le voir...

Etrangement, il y avait comme un décalage entre ce qu'ils disaient et ce qu'ils faisaient, comme s'ils étaient sourds à eux même pour beaucoup d'entre eux.
Je me disait que je ne devais pas avoir de grande différence avec eux, car à chaque fois que je m'apprêtais à obéir, mon corps se prenait de vomissements.

Cet homme étrange qui paraissait et disparaissait, qui transformait un champ de blé en champ d'orge.. Je suis; la voix d'un homme qui parle de liberté... Et les esclaves se prenaient des coups de fouets; et Mo i Ché pour en donner, parmi beaucoup d'autre. Des prêtres de râ qui sacrifiaient et sacrifiaient encore: comme si ce monde tournait en rond sur lui même.

Tout se ressemblait, comme si le monde lui même, se déformait pour sortir de lui même de cette léthargie; les visages des hommes se ressemblaient, et leur comportement se ressemblaient comme s'il ne faisaient plus qu'un;
Par moment, je me demandais si je ne devenais pas fou; mais le souvenir de cet homme qui disait
Je suis
La voix d'un homme qui parle de liberté

Me permettait de tenir debout; Ce monde tournait en rond; et c'est là que j'entendis des choses nouvelles; comme si le monde entier me parlait; écrasante sensation;
Tout le monde se ressemblait de plus en plus, et les visages se ressemblaient de plus en plus, les comportements également; les cycles se répétaient sans cesse, de plus en plus rapidement.

Chaque trait physique semblait lié aux comportements; tel apparence, tel comportement; cela tournait si vite que je finit par dire:
Que la lumière soit!
Et puis un jour; je me mit à le crier partout: Que la lumière soit! Que la lumière soit!
Quelqu'un finit par me mettre en prison; car on pensait que je me prenais pour râ lui même.
Aussi je me calmais; et la lumière fût un temps.

Pendant que je me trouvais en prison; un grand tremblement de terre survint; et puis comme dans ma vision: de la fumée apparût dans le ciel; Pendant que je me trouvais en prison, cela ressemblait à un duel entre Mo i Ché et moi; comme si il poussait tout le monde à faire un.

On me sorti alors de prison;
Il y eut même un garde pour me demander de redire que la lumière soit; mais je n'avais plus le coeur à ça;
Alors, survint, comme dans la vision que j'avais eu : le grand fleuve devint rouge; une pluie de feu s'abattit aussi un peu plus tard.

Au milieu de ces catastrophes certains fuyaient, surtout les maîtres; Mo i ché, parti vers le nord, en direction de l'est.
Pendant ce temps; avec quelques prêtres nous sortions de nos réserves de quoi nourrir les affamés.
Puis un peuple vint de l'ouest; Pharaon mobilisa l'armée, et tout les hommes, esclaves ou libres pour protéger ses terres.

Le monde changeait enfin; les visages des hommes et des femmes changeaient; les comportements aussi; chacun retrouvait sa liberté de parole; plus de peurs que d'espoir, mais bon, au moins, le monde avait cesser de tourner en rond.

J'avais parler à beaucoup de gens de cet homme qui parût en disant
Je suis
La voix d'un homme qui parle de liberté

Et on me demandait quoi faire; beaucoup de questions jaillissaient de ci de là, de là de ci;
Pense t il donc que j'ai toutes les réponses?
Alors je leur posait beaucoup de questions; mais eux ne me répondaient pas, ou peu souvent. Je faisait mon possible pour répondre à leurs questions; mais le monde recommençait à tourner en rond;
Alors je me cloîtrais quelques temps, afin de lire les signes écrits sur les parchemins.

Je me mit à entendre des voix; elles m'aidaient; dans les descriptifs; très étrange; mais bon.

Pendant que je me cloîtrais, une invasion de sauterelles vint s'ajouter aux fléaux qui frappaient: qui dévora les champs plus au sud; et la guerre ne tournait pas en faveur de pharaon.

D'autres peuples descendaient du nord; par la mer pour chercher un abri, car le fléau frappait tout autour; et sans distinction.
Alors avec quelques uns nous décidâmes qu'il nous fallait partir.

Mais pharaon envoya des gardes armées pour enrôler de forces tout ceux qu'ils pouvaient afin de renverser le cours de la guerre en sa faveur; il ordonna également que de nombreux sacrifices soient fait à tous les dieux.

Certains prêtres obéirent et d'autres non;

Je repensait à ce qu'avait dit l'homme qui parût: il est trop tard pour épargner le boeuf; alors je me mis à penser de plus en plus vite: et il y a beaucoup d'animaux vivants;

Alors nous commençâmes à partir d'Egypte, en emmenant avec nous tout ce que nous pouvions porter. Certains emmenait de l'or, d'autres des troupeaux, des bijoux, et personne pour broncher quant à ce que nous faisions.

Quelques gardes que pharaon avait envoyé préférèrent venir avec nous.
Je prenais une houlette de berger; j'emmenais des hommes, et pendant le chemin je gardais un troupeau de brebis, d'agneaux et de moutons.
Nous faisions notre chemin les uns avec les autres, chacun soutenant son prochain; nous sommes nombreux à sortir d'Egypte ce jour là.
Car mon esprit continue de dire que la lumière soit!

Comme nous sommes nombreux Pharaon entendit que nous quittions ses terres, emportant tout ce que nous pouvions avec nous.
Il arriva en personne derrière nous, sur nos traces, fermant notre marche. Quelques uns de ses soldats furent prit de peur; alors je hurlais:
Que la Lumière soit!! Cet homme n'a rien d'un dieu!!
Beaucoup se ragaillardirent, et mirent en place une forme de défense pour l'arrière. Beaucoup me regardèrent à ce moment; alors avec quelques uns nous allions vers pharaon, qui avait stopper sa marche face à la défense mise en place;

Ils parlèrent de magie: alors une voix me souffla: quand ils jèteront de leurs manches des serpents: jette à terre la houlette que tu tiens; sur le coup je ne compris pas;
Mais pharaon annonça:
Tu dis que je n'ai rien d'un dieu? Alors regarde les mages qui me servent!
Il leur fît un signe et jetèrent à terre des ustensiles et de leurs manches sortirent des serpents blanc, qui luisaient au soleil; alors je jetais la houlette devant ces serpents
A ma grande surprise: la houlette se transforma en cobra noir; même les "mages" sont surpris de cela. Et les serpents manoeuvrèrent le premier serpent blanc fût mordu par le cobra et succomba en un rien de temps; le second essaya d'avaler le cobra noir qui alors élargit le haut de sa tête; et le serpent blanc fût tranché.

Je dis alors à pharaon: voilà les mages qui te servent: des illusionnistes.
Pharaon allait se mettre en colère; mais le cobra noir se tourna alors dans sa direction.
Pharaon ne broncha pas ce jour là.

Il demanda à certains de le rejoindre; et certains le firent. Le cobra noir reprit la forme de la houlette; que je prit de nouveau en main.

Après que certains ai finit de rejoindre Pharaon; on me demanda comment j'avais fait.
Je leur répondit que je n'en savais rien.. je leur parlais de nouveau de l'homme qui parût et qui avait dit:
Je suis
La voix d'un homme qui parle de liberté
On me demanda s'il ne s'agirait pas de cet homme, je leur répondit que je n'en savais rien...;

Je leur parlait de nouveau du champ de blé transformer en orge;
Nous continuons notre marche.
Nous dressons des tentes pour les nuits froides; au loin la lune au travers de la fumée paraissait rouge.
Chemin faisant, de plus en plus de monde nous rejoignit; puis arriva de l'est Mo i ché, avec quelques hommes armés.

Il me dit:
J'ai vu dieu! Dans une grande gerbe de flammes il m'est apparut! à moi seul! il m' a dit: je suis; l'éternel! le dieu d'Abraham, ton père... Tu te rends compte Raron? je suis le fils de dieu!!
Je lui répondit: qui c'est Abraham?
T'occupes pas de ça, c'est pas important.. tiens, toi qui sait lire; je t'ai ramener quelque chose de judas..
Ecoute Mo i Ché,: je pense que savoir qui est ce abraham est plus important que tu ne le crois.
Mais non, dieu a dit: je suis ton père!
Mo i Ché... je soupirais..

Puis Mo i Ché; - maudit ché? y a des chance oui - s'adressa à la foule leur racontant cette histoire d'élu divin de fils de dieu! les gens qui n'attendaient qu'une voie de sortie plus facile que d'aller au hasard se mirent à suivre Mo i ché; la confiance dans la force armée..
Comme je n'avais pas penser que ceux avec qui nous marchions depuis déjà quelques temps, se mettrait à suivre un imbécile peureux qui avait fui dès les prémices des catastrophes; je me mis à lire les rouleaux qu'il m'avait remis
Je ne connaissais pas bien cette langue; aussi avec quelques uns nous commencions la traduction; et il y avait ce sigle imprononçable YHWH - 4 voyelles; imprononçables le Y se prononce gamma "g"; et chaque fois que je lisais ce mot: c'est comme la fois où j'avais parler au boeuf -
Souviens toi de ça! me soufflait une voix. Je commençais à m'habituer à faire la différence entre les voix qui soufflent et les voix des autres hommes et femmes. Je ne savait pas trop comment leur parler; mais bon... chaque chose en son temps.

Nous poursuivions notre marche vers le nord est. De plus en plus de gens nous rejoignait.
C'est après le retour de Mo i ché, que l'on commença à me dire: tu vois raron? comme les choses se passent mieux depuis le retour de mo i ché...
Ils commençait tous a abandonner leurs têtes, leurs esprits, et suivaient les ordres de Mo i ché, pendant que quelques uns essayaient de traduire les parchemins;
J'aurai tant voulu qu'ils sachent déjà tous prononcer ce mot: YHWH; mais bon, un homme, ça peut pas tout faire en une fois, en une seule vie d'homme. Avec quelques autres nous essayions de leur enseigner ce mot; mais ils continuaient d'obéir à mo i ché.

C'est alors que pharaon surgit de nouveau; il avait été battu et venait pour prendre les biens que nous emmenions;
Nous nous trouvions dans la partie du delta où l'eau restait de couleur rougeâtre; il y a des gués un peu partout; et nous traversons à gué; mettant un peu de distance entre nous et l'armée de pharaon;

Bien au delà des voix qui soufflent; il y a cette musique, qui chante: pharaon va revenir; cela m'avait pris du temps pour comprendre ce que disait la musique.

Nous arrivons alors dans une ville, véritablement comme épargnée par les catastrophes qui avait frappé toutes les régions d'alentour.
Là je rencontre Haré; avec qui nous nous marions.
Une belle femme, brune, gentille, un peu portée sur les bijoux.. mais bon: la perfection..;
Je lui parle de l'homme qui parût en me disant:
Je suis
La voix d'un homme qui parle de liberté
ainsi que du champs de blé transformer en orge
et elle me réponds: c'est sûrement le dieu de mo i ché qui a fait cela..
Je lui dis: je pense que tu as tort Haré...

Je ne parviens pas à tuer les animaux que je guide, même quand j'ai besoin de manger. A chaque fois cette envie de vomir me prends.
Alors d'autre le font; nous devons bien manger aussi, je leur dit merci d'avoir fait ce bout de chemin avec nous, et de nous aider à poursuivre; parfois j'ai l'impression d'en entendre dire: prends soins des petits quand nous ne serons plus là..
Alors je commence à "voir", entrevoir serait plus précis comme mot, quelque chose qui sort de leur corps.
Je demande à d'autres autour de moi s'ils voient cela aussi; mais on me dit que je rêve...Où alors que le dieu de Mo i ché m'autorise à voir cela pour servir au mieux Mo i Ché...;

Je commence à déprimer; mais quelques uns me disent: nous, nous te croyons; et quand tu dis que tu ne crois pas que ce soit le dieu de mo i ché qui fait ça: nous t'écoutons, et nous en tenons compte.
Nous ne savons peut être pas ce qu'est la liberté dont l'homme qui t'es apparut parle, mais Mo i ché, ll se transforme en pharaon.
Ce à quoi je répond: il est temps d'aller vers l'est.
Nous poursuivons notre chemin, car j'informe de ce que la "musique" chante, pas en leur parlant de musique; mais en leur disant plus simplement: j'ai l'impression que pharaon va revenir.
Avec Haré nous commençons à nous trouver en désaccord à propos de mo i ché à qui elle commence à rendre un culte.
Et rien n'y fait; plus mo i ché porte de bijoux, plus elle ne voit que lui...;

Je m'en vais voir et parler à mo i ché, et lui demande de me raconter ce qu'il a fait après son départ précipité;
Et bien, me dit il, après avoir vu dieu dans cette grande gerbe de feu et qu'il m'ai annoncé que je suis son fils
- à l'intérieur je lui dit: il n' a pas dit ça mo i ché -, mais il ne m'entends pas;
- Je suis descendu de la montagne et un homme est apparut qui m'a demandé: veux tu lutter?
- je l'interrompt, un homme est apparut?
- oui, un voleur!
- et ?
- bah je l'ai tué..
- Quoi MO I CHE §§§§ qu'as tu fait?
- j'ai tué ce voleur je te dis...

Je sort de la tente avec précipitation et agaçement: la musique se met à gronder comme du tonnerre et une grande flamme; c'est alors que mo i ché commence à avoir un comportement des plus étrange; comme si quelqu'un avait pris le contrôle de son corps;

Il se mit à réaliser beaucoup de prodiges; apparemment; et tous crurent qu'il s'agissait de dieu fait homme; mais pas ceux à qui j'avais raconter l'histoire de l'homme qui lui est apparut et qu'il a tué; ce sont également ceux là qui m'avait dit: nous te croyons, et nous en tenons compte, nous faisons cas de ce que tu dis, car tu fais pareil pour nous.

Des flammes paraissaient de temps à autres; comme pour dire: il brûle.

Mais beaucoup ne voyait que du feu; aussi ils se mirent de plus en plus à le suivre; nous sortions d'egypte et un nouveau pharaon naissait déjà...
Je repensait à l'homme qui m'étais apparut; et je continuais à penser, s'il est trop tard pour épargner le boeuf que j'ai sacrifié, il n'est pas trop tôt pour essayer d'en sauver d'autre; surtout des hommes; je ne parvenais pas à comprendre ce qui se passait avec mo i ché; comme posséder, les gens qui ne voyaient que du feu; quelque chose m'échappait.

Alors que nous arrivions à l'embranchement de la mer rouge qui se trouvais plutôt asséché suite aux catastrophes, une sorte de marécage convient comme descriptif.

Nous sommes si nombreux et pharaon et son armée nous talonne, du moins nous savons, qu'il arrive;

Beaucoup prennent peur et se tournent vers Mo i ché;
Mo i ché, tout à sa transe me dit sur un ton de colère totale
- Donne moi le bâton du berger!
je me tiens à sa droite avec la houlette dans ma main droite; je le regarde d'un regard noir; mais rien n'y fait il ordonne et ça me tape sur la tête; j'arrêtes de dire que le lumière soit dans mon esprit; et la nuit commença...
je faisait passer la houlette à ma main gauche;puis la tendit dans la main droite de mo i ché; qui transforma une houlette en bâton.

Il annonça au peuple uni: regardez: j'assèche les marais pour vous!
Et ils passèrent comme un ou presque.
Nous passions tous; puis il dit:
Voici! je refait les marais comme ils étaient!

- comment oses tu faire ça à mes petits!? -
Une voix me souffla: souviens toi!
alors je recommençait à dire que la lumière soit, dans mon esprit, que celui entende ma voix se lève!
Quelques uns se levèrent
Mo i ché allait les faire se rasseoir, mais je lui confisquait la houlette.
- N'avons nous pas pharaon sur nos talons?
il me regardait avec ses yeux de braises:
Et je lui dis: tu sais: toi aussi j'essaye de te sortir d'esclavage pauvre con, sourd et aveugle.
- Moi un esclave? me répondit il, moi le maître de tout ! un esclave?: je lui donnait une grande claque; ce sur quoi il reprit quelque esprit et se concentra sur le fait que pharaon se tenait sur nos talons.

Après, l'armée de pharaon entendit que nous avions traversé les marais, et ne prit pas garde; les soldats s'enfoncèrent; bien profond dans la mélasse. Pharaon s'enfuit devant le désastre supplémentaire qui venait de le frapper; et arrêta de nous poursuivre.
Le temps de me sortir de cette colère, car ce n'est pas qu'une claque dont avait besoin mo i ché;
Il avait tué un homme qui lui posait une question...; cette colère ne trouvait de soulagement que quand les voix qui soufflent disaient "souviens toi".
cet homme qui apparût disait:
je suis
la voix d'un homme qui parle de liberté

Et voilà que la plupart de mes petits se soumettent à ce mo i ché...; ce n'est pas ça la liberté...;
Mais dans quel but tout ce soutien à mo i ché?
Aaron: souviens toi!
Comme certains peuvent entendre ma voix, alors peut être pourront ils entendre la musique qui nous prévient... La musique qui nous soutien et nous supporte;
Je pense beaucoup à cela, mais sans parvenir à expliquer; et puis une hypothèse me viens: peut être le chemin est il plus long pour certains que pour d'autre pour entendre cette musique qui nous soutien et nous supporte;
Comme certains ne voient que du feu; et puis..
Alors que je pensait à cela on vint dans ma tente pour me demander quelque chose:
Je n'avais pas de réponse à offrir; mais un conseil; une recommandation : pas d'image devant le nom de dieu...
celui avec qui je discutait me dit: tu sais: en égypte: il y a plein des statues et tout ça; et on se prosterne devant, ça se fait un peu partout; il y a même des endroits où ce sont des jeunes hommes et des jeunes femmes qui sont sacrifiés à leurs dieux...;
Je me sentis horrifié d'entendre que l'on pouvait sacrifier des hommes et des femmes pour des idoles; non sans me remémorer ce boeuf...
Bon... Nous sommes rester un moment à discuter d'un socle d'esprit; mais tout commençait par ça:
Pas d'image devant le nom de dieu; pas d'idoles de pierres ou de bois, et pas de prosternation.

Alors que mo i ché souhaitait vite monter vers la contrée hospitalière qu'il avait trouvé, la musique chantait que l'heure n'est pas encore venue; je cherchais à comprendre ce que cela pouvait bien signifier.

J'essayait d'en parler avec mo i ché, mais il resta sourd et inflexible; qui plus est je n'avais pas de réel argument.
Mais le feu s'était calmé; et il avait repris quelque esprit.
Il mena donc une expédition pour prendre les terres, mais il fût repousser, et beaucoup tombèrent dans cette expédition.
Ceux qui ne souhaitaient pas y prendre part n'y allèrent pas.
Au retour de défaite certains accusèrent ceux qui n'avaient pas voulu monter de lâcheté, d'autres disaient qu'ils étaient trop grand et trop fort; pour que cela changea quoi que ce soit.

Mo i ché vint me voir et me dit:
- Tu as peut être raison: dieu m'a abandonné: as tu un conseil?
- Va donc faire un petit tour dans les montagnes plus au sud, loin du peuple.
- Bien je ferais ainsi me répondit il.

Ainsi nous commencions notre chemin vers le sud.

Nous marchâmes jusqu'à une certaine montagne; il y a là de l'herbe et de l'eau pour le bétail.
Il y a même une petite forêt.

Ensemble nous faisions le socle d'esprit, il y a avait 12 recommandations quand cela fût terminé. Nous n'arrivions pas à en faire moins..
Qu'est ce que la liberté? Comment vivre heureux les uns avec les autres? nous avions pleins de questions, d'autres avaient beaucoup de réponses. Et recommencèrent quelques uns des rites égyptiens; de sacrifice du bétail. Avec quelques uns nous essayions de mettre fin à ça; mais rien n'y fit.

Mo i ché, partit alors dans les montagnes; il disparut de la vue des autres, qui prirent peur que leur dieu les ai abandonné...
J'en profitait pour faire passer le message de la première recommandation, en leur disant: le corps humains c'est comme de l'argile! vos esprits! un socle d'esprit!

Alors ils répondirent: que devons nous faire pour que dieu nous soutiennes?
Je leur répondait: il suffit d'écouter...
Mais tu as vu mo i ché? dieu l'écoute lui!
En êtes vous sûrs?
Mais tu n'a pas vu ce qu'il a fait?
Quand bien même: te le mettre sur la tête fait il de toi un homme libre?
Au moins avec lui nous sommes en sécurité!

Vous savez: j'ai l'impression que vous vous trompez à propos de la sécurité...;

Comme ils ne mettaient pas fin à ces sacrifices, j'eu l'idée de leur dire: donner moi votre or et votre métal: et puis nous ferons un tabernacle pour y faire reposer les recommandations.

Etrangement: ils n'eurent aucune difficulté à se séparer de leur or et de leur métal... Les recommandations au nombre de 12 venaient de se faire enterrer.

Je leur faisait faire de l'orfèvrerie pour qu'ils évitent de les enterrer, mais non, rien n'y fît ils les enterrèrent...

Ils avaient vraiment besoin de rites et de rituels... au moins: cela leur éviterai peut être de sacrifier inutilement des animaux...
Puis mo i ché revint de la montagne; il organisa une grande fêtes, pleine d'holocaustes et de sacrifices: car dieu lui avait encore parlé; d'ailleurs les mots qui sortaient de sa bouche étaient tout simplement devenus ceux de dieu; il organisa aussi l'abattage de la forêt pour faire un grand feu; afin que personne ne voit que c'était lui qui parlait .. il ordonna aussi que personne ne s'approcha de la montagne une fois le feu bien avancé.

Il prît un exemplaire des 12 commandements, mais comme il n'avait toujours pas appris à lire, il ne garda que le premier et en annonça 9 autres...
Quand il descendit de la montagne: il dit: voyez vous qui dieu a choisi?
Et beaucoup se prosternèrent devant Moïse, celui qui les avait sauvé des eaux grâce à son feu...
Et Aaron garda le silence en apparence; certains se levaient dans la foule.

Par la suite, j'essayait de mettre à profit l'obsession pour les sacrifices; en en faisant des repas de fêtes, où il faut toujours laisser des plats pour les gens de passage; surtout ceux qui paraissent;
Moïse organisait quelques holocaustes complets au nom de dieu, celui de la grande flamme...;

Haré vînt alors me voir, et elle me dit:
C'est toi raron qui a commencé la marche, pourquoi ne prends tu pas la tête du peuple? pourquoi ne fait tu pas ce que fait moïse?
Je soupirais, profondément; nous nous sommes rendu devant la tente de moïse; alors haré parla à moïse:
Ce n'est pas toi qui devrait guider le peuple, c'est raron!
Alors une grande flamme jaillit devant nous 3: moïse est mon serviteur, je parle avec lui bouche à bouche;
je commençais à rigoler haré se trouvait à ma droite; et la lèpre tomba sur elle et sur moïse aussi; j'allais dire - t'entends haré? serviteur, lui aussi j'essaye de le redresser -
Alors elle regarda moïse atteint de la lèpre lui aussi comme elle, et moïse dit: ô éternel exauce ton serviteur et guéris ma lèpre; et sa lèpre disparue.
Haré se jeta alors à ses pieds; et moïse essaya la même invocation, mais la lèpre d'Haré ne fût pas guérie. moïse enchaîna en disant, je vais prier l'éternel pour tu guérisses plus tard.

Comme je ne me trouvais pas atteint par cette lèpre; je dis à haré allons dans notre tente, veux tu?
Et nous nous y sommes rendus; à l'intérieur je lui posais une question:
est ce que tu crois en moi?
elle me répondit oui, je crois en toi
Alors je posais ma main droite sur sa tête; et sa lèpre guéris 2 jours plus tard.

Puis elle alla voir moïse pour le remercier de ses prières et que l'éternel l'avait exaucé...;
Peu de temps après moïse fût atteint de la lèpre de nouveau, sans pouvoir s'en séparer et commença à se cacher du peuple.

Bien que je ne comprennes pas vraiment comment tout cela fonctionne; je me demandais comment faire pour déterrer les 12 commandements qui avait été enterrés..;
Mais déjà des tables de la loi avaient été gravé et on les mettais sur les parchemins contenant les 12 recommandations...

Nous allions plus sud; notre séparation avec Haré étant quelque peu consommé, là bas moïse 1er mourut de la lèpre accompagnée d'une bonne gonohorée.
Il avait laisser tout pouvoir à un successeur; bien que l'on m'est proposé le poste, j'avais refusé.
Nous arrivions donc près des mines de cuivre dans le sud du sinaï; nous faisions du commerce avec l'éthiopie relativement épargné par les désastres, et apprenions, venant du nord que des peuples venaient nombreux pour piller les côtes, et prendre possession des territoires.

Ce second moïse, car désormais il s'agissait d'un titre;donna beaucoup d'ordres, pour mettre en place une armée afin de prendre possession des territoires convoités par le 1er moïse. Celui là ne faisait plus de flamme comme le précédent.

Aussi, comme il n'était pas du goût de tout le monde de travailler dans les mines de cuivre; moïse 2nd s'apprêtais à forcer certains à y travailler, par roulement.
Avec quelques uns; nous avons trouver que de telles actions mèneraient à notre perte définitive. Je commençais à boiter, j'avançais en âge, et mon corps perdais de sa robustesse;

Puis quelqu'un vint me remémorer l'arche. Que beaucoup nommait sanctuaire, j'avais insister pour ce nom; car c'est dedans qu'avait été enterré les 12 recommandations pour les quels beaucoup d'entre nous avaient travaillé.

Puis nous avons, inventer le cours du cycle du sanctuaire. Le cycle était le nom de la monnaie que nous utilisions pour faciliter nos échanges.
Nous inventions ainsi les salaires et modifions les salaires pour les oeuvres d'intérêt commun en augmentant les revenus en cycles des travaux peu attrayant, mais nécessaire pour les projets du groupe.
Je laissais avec d'autres, une "sorte de mode d'emploi": à n'utiliser qu'en cas de projet d'intérêt commun. Mais trop peu savaient lire encore à cette époque;
Ainsi les armes furent forgé, nous survivions de la pêche, mais nous étions si nombreux, qu'il était impossible de ne pas tout dépouiller dans nos pêches; aussi la musique chantait: "il faut laisser de la vie"; ainsi, nous avions interdit de manger de certaines choses, afin qu'après notre départ: la vie puisse se multiplier de nouveau; nous avons été aidé en cela par le fait que le cuivre extrait s'échangeait très bien avec les produits nourriciers de l'éthiopie.

Pendant une nuit; je m'endormit

Et puis
Alors: que penses tu de la liberté? me demandait la voix qui n'est pas la mienne.
Qu'est ce que j'en pense? nous avons échanger un tyran pour un autre malgré tout les efforts..
En es tu sûr?
Il y a bien quelques trucs nouveaux qui sont apparues...

Intitulé: Qu'est ce que la liberté?
:hi: NOUS SOMMES LES UNS AVEC LES AUTRES

Comme les multiples feuilles de l'arbre... :)
Unir l'humanité. Un seul Dieu. Les grandes religions de Dieu. Femmes, hommes sont égaux. Tous les préjugés sont destructeurs et doivent être abandonnés. Chercher la vérité par nous-mêmes. La science et la religion en harmonie. Nos problèmes économiques sont liés à des problèmes spirituels. La famille et son unité sont très importantes.

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Re: Nous Sommes les uns avec les autres

Ecrit le 28 déc.16, 22:04

Message par Prophètedel'éternel »

nous sommes les uns avec les autres, cher david... n'est pas un ; arbre.

c'est une forêt d''arbres de vie, dit l'éternel , arbres de vie, expression utilisée pour décrire ce que tu connais ou pas. -et cesse cette chose que tu fais, je te prie...- c'est irritant, dit l'éternel des armées.
http://www.lire-des-livres.com/alice-au ... erveilles/ ( celui là se commence au commencement )

http://www.lire-des-livres.com/de-lautr ... du-miroir/ ( celui là se commence par la fin )

Constater que de l'autre coté du miroir le style change légèrement.

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