Sans doute parce lorsqu'un érudit examine une traduction ou une autre, il peut y déceler des erreurs plus ou moins importantes, ou des variantes qu'il serait opportun de considérer, et vouloir alors apporter des corrections dans sa propre version de la Sainte Bible.Jean Moulin a écrit :La Bible oui, mais laquelle ? Le livre de Alfred Kuen "Une Bible et tant de versions" pose deux questions très pertinentes :
"Pourquoi tant de versions ?"
D'autre part, il suffit de consulter une traduction du XIXe siècle ou même du début du XXe siècle pour se rendre compte à quel point certains termes sont devenus abscons pour un lecteur moderne de la Bible. Il est donc nécessaire de faire évoluer le langage biblique pour qu'il conserve toute sa force dans un monde qui a besoin plus que jamais d'entendre et de lire la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu.