Les actions à petite échelle sont vouées à l'échec au vu de l'océan de croyances dans lequel nous baignons.
Il n'est pas question ici d'imposer un point de vue, je pense que nous sommes d'accord mais donner à tous la possibilité de choisir en connaissance de cause la vie qu'il souhaite mener et sous quels guides philosophiques.
Il faudra peut-etre un jour, voire rapidement avoir une représentation et une parole forte dans un monde où les religions ont déjà une tribune ouverte et largement relayée par les médias.
Les libres-penseurs et athées sont voués à se taire si l'on suit la majorité bien-pensante prétendant à une laïcité qui au fond n'est que de façade et ne fait que servir les interet des prélats religieux pour perpétuer leur pouvoir et conserver le monde sans changement, avec une population soumise et vidée du savoir et de l'esprit critique lui permettant l'insoumission...
L'attitude athée de ne pas vouloir se mettre en groupement ne fait que nous désservir.
Nous avons mis à l'épreuve nos raisonnements et l'inexistence de dieux est quasiment certaine.
Alors, oui, c'est décourageant et nous devons encore affuter nos arguments pour qu'il soient plus percutants à l'image de Vicomte et d'autres mais seule une organisation structurée nous permettra de combattre l'ignorance et se libérer du joug des religions écrasant la pensée humaine, telle l'initiative des universités populaires de Michel Onfray...
yuna a écrit :L'amour ne fait pas tout dans un couple. Il faut y ajouter de l'objectivité.
La véritable question est: comment seront ces enfants issus d'un tel couple ?
Si la réponse est satisfaisante, il faut foncer, dans le cas contraire, passer sa route.
Si on aime l'autre on respecte ses convictions, quelles qu'elles soient sans jugement aucun. Jusqu'où est -t-on capable d'aller et que sommes nous capable de céder...
Si les parents aiment leurs enfants, ils leur enseignent ce qu'ils sont et laissent leurs enfants faire leur choix eux-même...
En tout cas, il semblerait que ce soit acceptable pour un athée d'aimer une croyante mais l'inverse semble interdit par la culture et la religion qui la sous-tend. En conclusion, les religions snont moins tolérantes que l'athéisme...