Tarik le marchand de tapis
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Ecrit le 17 juin06, 07:18
Bon comme d'habitude, il l'as pas dit donc on en sais rien...
c'est des suppositions et de tout façon il a led roit de s'exprimé
comme il le souhaite tant qu'il fait pas du negatiosnisme ou l'idéologie du génocide, la liberté offre pas mal de liberté et c'est bien que des gens comme ça puisque s'exprimé car ça fait prendre conscience au gens à quoi s'attendre.
Maitenant il te faut arrêter de craindre.
les gens ne laisseront pas faire.
et même si une personne du genre était élue, elle ne pourrait pas imposer la dictature aux reste de la population.
Chez moi en suisse on as Blocher l'equivalent de Le Pen, il a été élue
mais ça pas été la fin du monde.
il était sous le feux des projecteurs des media et de l'opposition
à chaque faut pas il s'en prends plein la gueule donc t'as pas grands choses à craindre.
Pas contre depuis qu'être à l'extrème droite n'est plus un tabou, les quotat des membres on augmenter en flêches, tout ça parce qu'avec notre peur on leur fait tellement de publicité et on les oblige à s'expliquer qu'il font des émules, donc faudrais pas non plus accorder trop d'importance à des gens qui ont des idées qui ne le mérite pas.
c'est des suppositions et de tout façon il a led roit de s'exprimé
comme il le souhaite tant qu'il fait pas du negatiosnisme ou l'idéologie du génocide, la liberté offre pas mal de liberté et c'est bien que des gens comme ça puisque s'exprimé car ça fait prendre conscience au gens à quoi s'attendre.
Maitenant il te faut arrêter de craindre.
les gens ne laisseront pas faire.
et même si une personne du genre était élue, elle ne pourrait pas imposer la dictature aux reste de la population.
Chez moi en suisse on as Blocher l'equivalent de Le Pen, il a été élue
mais ça pas été la fin du monde.
il était sous le feux des projecteurs des media et de l'opposition
à chaque faut pas il s'en prends plein la gueule donc t'as pas grands choses à craindre.
Pas contre depuis qu'être à l'extrème droite n'est plus un tabou, les quotat des membres on augmenter en flêches, tout ça parce qu'avec notre peur on leur fait tellement de publicité et on les oblige à s'expliquer qu'il font des émules, donc faudrais pas non plus accorder trop d'importance à des gens qui ont des idées qui ne le mérite pas.
- diogene
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Ecrit le 17 juin06, 07:35
Je suis d'accord avec toi sur le fait qu'il ne faut diaboliser à outrance...
Je veux juste montrer que derrière le discours il y a l'idéologie...
Mais je n'ai pas peur vraiment des islamistes.. mais plutôt des réactions extrèmes à ce genre de propagande...
pour ce texte... outre mes références tirés de sadri khiadri comme je l'ai cité... je me réfère à son livre Les Musulmans d’Occident et l’avenir de l’islam, Sindbad, Actes Sud, 2003, ainsi que son livre "Islam, le face à face des civilisations. Quel projet pour quelle modernité ?", 2001
Je veux juste montrer que derrière le discours il y a l'idéologie...
Mais je n'ai pas peur vraiment des islamistes.. mais plutôt des réactions extrèmes à ce genre de propagande...
pour ce texte... outre mes références tirés de sadri khiadri comme je l'ai cité... je me réfère à son livre Les Musulmans d’Occident et l’avenir de l’islam, Sindbad, Actes Sud, 2003, ainsi que son livre "Islam, le face à face des civilisations. Quel projet pour quelle modernité ?", 2001
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Ecrit le 17 juin06, 07:41
J'en sais rien quand on intéroge Tariq sur le sujet il s'en défendsdiogene a écrit : Je veux juste montrer que derrière le discours il y a l'idéologie...
donc à moins d'être dans sa tête c'est comme les crop circle, improuvable
et pure spéculation.
bâh s'il font les cons, y'auras assez de monde pour aller leur foutre sur la gueule.Mais je n'ai pas peur vraiment des islamistes.. mais plutôt des réactions extrèmes à ce genre de propagande...
- le Ksatriya
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Re: Tarik le marchand de tapis
Ecrit le 13 févr.17, 03:32Lina Murr Nehmé autopsie trois imposteurs : Ramadan, Oubrou et Boubakeur
Publié le 12 février 2017 - par Malek Sibali - 7 commentaires - 1 178 vues
Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur profitent de toutes les occasions pour obtenir un passage devant les médias. Une fois sur le plateau, ils parlent et cachent l’essentiel. Cela leur permet de faire passer leur message en prétendant que c’est la vérité. Ils se moquent de leur audience. Ils mélangent fleurs et fumiers, tant et si bien qu’il devient difficile pour le public de distinguer entre les mauvaises odeurs et le parfum, entre le bon grain et l’ivraie. Être « cachottier », voilà un drôle de métier qui permet de faire carrière.
Ils ressemblent à des caméléons. Ils s’adaptent à tous les événements, à toutes les circonstances. Ils savent parler de tout. Ils savent défendre le mal et le bien, justifier le vice, la vertu et le crime avec un sang-froid froid, une éloquence chaude, une intelligence tortueuse et une débrouillardise de saltimbanques. Sans scrupules, sans pudeur. Et pour distribuer leurs demi-vérités enveloppant des mensonges, ils profitent de l’inculture des uns et de la candeur, de la naïveté et du bon cœur des autres. Il profitent même de l’ignorance de leurs détracteurs souvent peu familiers avec les ruses des spécialistes des textes islamiques.
L’historienne franco-libanaise Lina Murr Nehmé, également spécialiste de l’islam, analyse, décortique et illustre brillamment ce phénomène scandaleux et ses intrigues dans une nouvelle étude bien documentée, intitulée Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur : ce qu’ils cachent. Vu sa culture, ses recherches et son expérience, elle fait partie du peu d’intellectuels assez compétents pour oser faire une enquête sur ce crime presque parfait.
Ainsi, un commandement d’Allah interdit au musulman d’obéir aux versets coraniques les plus anciens, s’ils ont été abrogés par des nouveaux. Et quiconque enfreint ce précepte, s’enlise dans l’égarement et la mécréance. La charia le condamne même à mort s’il obéit à certains versets abrogés. Mais pour embellir l’islam, Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur passent outre ces textes fondamentaux. Ces cachottiers profitent de l’absence de toute autorité suprême osant, en France, demander des comptes à ceux qui incitent à la haine ou au meurtre. L’islamophobie est un délit, l’incitation au meurtre ne l’est pas.
Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur exploitent les beaux versets qui se trouvent dans la partie du Coran datant de la période mecquoise. Ils cachent à leurs auditeurs le fait que les plus beaux de ces versets ont été supprimés depuis le 7ème siècle, et remplacés par des versets médinois qui les contredisent. Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur ainsi que beaucoup de leurs semblables savent que ces versets sont invalides. Mais ils bénéficient du droit de recourir à la dissimulation ou taqiya. Ils maquillent l’islam et donnent une douce apparence à ses enseignements. Ils citent ces beaux versets et s’en servent très souvent devant les « mécréants » ou leurs adversaires, occultant ainsi la face cachée et ténébreuse de l’arbre. Ils citent par exemple le verset « Pas de contrainte en religion », alors qu’ils savent qu’il a été abrogé par le verset « Tuez les polythéistes partout où vous les trouverez. Capturez-les, assiégez-les, dressez-leur toute embuscade possible. S’ils se repentent [de leur mécréance] et font les prières et paient les zakats [c’est-à-dire s’ils deviennent musulmans], relâchez-les, Allah est celui qui pardonne et fait miséricorde. » (Coran, 9,5)
Dans Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur : ce qu’ils cachent, Lina Murr Nehmé démystifie cette stratégie et met à nu ses auteurs qui se plaisent à parler dans les médias en France sans rencontrer de personnes capables de les démasquer. Et voilà une femme qui ose s’interroger quant aux raisons qui conduisent ces trois cachottiers à citer si souvent des versets coraniques abrogés, comme s’ils étaient toujours valables, et pourquoi ils répètent si souvent que Daech n’a aucun rapport avec l’islam.
Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur connaissent très bien les nombreux autres versets coraniques qui sont condamnables, intolérables, incompatibles avec les lois occidentales et la Charte universelle des Droits de l’Homme. Mais ils s’abstiennent d’en parler dans leurs interventions publiques ou dans leurs écrits en langues européennes.
Il s’agit surtout de ces versets coraniques xénophobes, raciaux, belliqueux qui ont abrogé les versets pacifistes, mais qui, du coup, incitent à la violence, à la guerre[1], enseignent l’hypocrisie (Coran 16,106), justifient l’irrespect des pactes et des serments (Coran 2,225), autorisent le pillage, le vol, la capture des femmes et des enfants et leur réduction en esclavage (Coran 8,41 et 69), légitiment le mensonge et la pratique de la taqiya (Coran 5,89 ; 16,106), promeuvent la polygamie, la débauche (Coran 4,3 ; 2,230 et 236 ; 33,50 ; 56,16-23), motivent la haine et le combat des Juifs et des Chrétiens (Coran 9,32-33 ; 9,36).
La lecture du livre de Lina Murr Nehmé permet de deviner quel traitement ces cachottiers de Tariq Ramadan et Tareq Oubrou réserveraient aux « mécréants » français si ceux-ci tombaient entre leurs mains. Ils y font allusion de temps en temps. Mais ils sont tellement habiles à citer des textes gentils, que les gens ne remarquent rien, faute de connaître les textes. Ce livre leur démasque les tricheries de ces trois menteurs dans leur manière de présenter l’islam, le Coran et leur prophète à un public non éclairé.
Lina Murr Nehmé a enrichi son livre de documents, de références et de détails très subtils. Elle nous ouvre les yeux pour découvrir les insinuations et détecter les sous-entendus et les arrière-pensées de chacun de ces trois cachottiers.
Le premier cachottier, Tariq Ramadan, est le petit-fils de Hassan Al-Banna, fondateur des Frères Musulmans – cette organisation terroriste interdite dans plusieurs pays musulmans. Tariq Ramadan affirme que la pensée politique de son grand-père est pour lui « une référence de cœur et d’intelligence ». Il dit aussi qu’il ne veut pas expurger l’islam, le Coran et la charia de leurs aberrations. Plutôt, il veut réformer l’intelligence du lecteur. L’objectif de Tariq Ramadan est de formater les esprits et de les initier à cette doctrine dont il s’est imbibé et qu’il présente de façon crédible pour pousser les musulmans à vivre l’islam tel qu’il le lit dans les textes et à le prêcher partout dans le monde. C’est ainsi que Tariq Ramadan cherche, d’une part, à sanctifier le texte coranique qui est illisible, déconcertant et dangereux, et de l’autre, à manipuler l’intelligence humaine en la forçant à s’y adapter. Un gourou hors pair ! Il a demandé un moratoire contre la lapidation ? Ne le croyez pas ! Ses propres paroles que cite Lina Murr Nehmé, prouvent le contraire !
Quant au deuxième cachottier, « l’éminent imam » de Bordeaux, Tariq Oubrou, il est disciple de Hassan Al-Banna et membre de sa confrérie. Lina Murr Nehmé dévoile, à la lumière de ses activités, de ses écrits, de ses déclarations publiques et officieuses, l’art et le génie de la force de manipulation et de dissimulation d’Oubrou, et l’habileté avec laquelle il escamote son propre passé, ses relations et ses convictions. Son affiliation aux Frères Musulmans est prouvée, et il ne la nie d’ailleurs pas. Il préfère plutôt dire du bien de cette organisation, et les médias se laissent embobiner par ce cachottier.
Le troisième imposteur concerné dans ce livre, c’est Dalil Boubakeur, actuellement recteur de la mosquée de Paris. Après chaque attentat terroriste perpétré par ses coreligionnaires, il sert aux médias de belles déclarations dédouanant l’islam de toute violence. Et pourtant, un seul exemple tiré de la charte sur « l’islam de France », qu’il a présentée en 1995 au ministère de l’Intérieur suffit pour dévoiler le mensonge. Dalil Boubakeur demande ainsi aux musulmans en France « un comportement moral inspiré de la conduite exemplaire du prophète Mahomet ». Cela veut dire qu’ils doivent tuer les intellectuels qui critiquent Mahomet, car Mahomet faisait cela. Cela veut dire qu’ils doivent persécuter et tuer les apostats car Mahomet faisait cela. Cela veut dire qu’ils doivent se préparer à égorger les mécréants et les juifs de France comme « le messager d’Allah » avait lui-même égorgé 600 à 900 jeunes et adultes juifs de la tribu de Korayza. En vantant la « charte » qui contient cette phrase, est-ce que Dalil Boubakeur invite les musulmans de France à procéder à l’invasion armée des villes de leur pays d’accueil, comme avait fait leur prophète durant les dix dernières années de sa vie à Médine ? L’attentat du Bataclan que Daech qualifiait de « notre invasion de Paris » n’était-il pas une façon d’imiter Mahomet ? Et j’en passe, car le registre est très long.
Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur et les nombreux autres de leur espèce, cherchent à redorer le blason de Mahomet, du Coran et de l’islam. Ils disent que les crimes commis au nom de Mahomet et de l’islam n’ont rien à faire avec l’islam et l’enseignement de Mahomet. Ils nient cette réalité criante, palpable, vécue quotidiennement et lue dans les livres de l’islam. Cette réalité, c’est que les actes de Daech et consorts, ne sont qu’une application stricto sensu de l’islam et des enseignements barbares de leur prophète et de ses successeurs. Et ces enseignements, on les apprend à la mosquée de Paris, chez Dalil Boubakeur, comme on les apprend à Médine, avec la même interprétation.
Le lecteur trouvera dans ce livre-phare une analyse du cursus de l’institut pour imams que vante tellement Dalil Boubakeur, et des passages incroyables. Il nous dit comment Boubakeur enseigne à ces futurs imams de France, de Belgique, de Suisse et du Canada, la philosophie de l’Occident, et de quelle façon il leur enseigne la religion chrétienne, religion de la majorité des Français. Il nous fait comprendre pourquoi ces gens pratiquent la taqiya en Occident. Pourquoi ils mentent. Pourquoi Boubakeur a réclamé les églises de France pour en faire des mosquées. Et en général, pourquoi les islamistes veulent plus de mosquées en France, en Suisse, en Belgique, en Angleterre. Il nous produit les textes et les fac-similés qui expliquent comment les pétrodollars de l’Algérie participent à endoctriner et à endormir les Français, et pourquoi les pays occupés par l’islam régressent dans tous les domaines. Il nous explique comment Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur pratiquent le djihad contre la France.
Qui paie pour doter la France d’imams fanatiques ? Nos politiciens, opportunistes et carriéristes, concluent des « pactes avec le diable » au détriment des Français, de leur culture et de leurs valeurs.
Bravo encore à cette courageuse grande dame qui sonne le tocsin et contribue à secouer l’inconscience de l’Occident à l’égard de l’islam. En espérant qu’elle sera écoutée. Son livre doit être lu d’abord par les intellectuels, la classe politique et la hiérarchie religieuse de tout bord qui traitent ceux qui disent la vérité de populistes, d’islamophobes et de haineux, tout en disant du bien de Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur. Ils croient pouvoir les utiliser, eux et leurs semblables, à calmer les banlieues, au nom de leur « modération » !
Il est temps de soumettre l’islam au feu de la critique rationnelle dans tous les médias de la République. Nos élites et tout citoyen français doivent apprendre comment, par quels moyens, avec quels mots Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur et les autres représentants de « l’islam de France » les trompent et les cuisinent. Ils doivent apprendre que l’islam autorise ces cachottiers à mentir et que Mahomet leur ordonne même de mentir aux « mécréants » quand ils sont en guerre contre eux, disant : « La guerre est une affaire de tromperie ».
Malek Sibali
Voir l’ensemble des versets de guerre et de violence compilés dans mon ouvrage, L’Islam, sacrée violence – Textes fondateurs.
Publié le 12 février 2017 - par Malek Sibali - 7 commentaires - 1 178 vues
Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur profitent de toutes les occasions pour obtenir un passage devant les médias. Une fois sur le plateau, ils parlent et cachent l’essentiel. Cela leur permet de faire passer leur message en prétendant que c’est la vérité. Ils se moquent de leur audience. Ils mélangent fleurs et fumiers, tant et si bien qu’il devient difficile pour le public de distinguer entre les mauvaises odeurs et le parfum, entre le bon grain et l’ivraie. Être « cachottier », voilà un drôle de métier qui permet de faire carrière.
Ils ressemblent à des caméléons. Ils s’adaptent à tous les événements, à toutes les circonstances. Ils savent parler de tout. Ils savent défendre le mal et le bien, justifier le vice, la vertu et le crime avec un sang-froid froid, une éloquence chaude, une intelligence tortueuse et une débrouillardise de saltimbanques. Sans scrupules, sans pudeur. Et pour distribuer leurs demi-vérités enveloppant des mensonges, ils profitent de l’inculture des uns et de la candeur, de la naïveté et du bon cœur des autres. Il profitent même de l’ignorance de leurs détracteurs souvent peu familiers avec les ruses des spécialistes des textes islamiques.
L’historienne franco-libanaise Lina Murr Nehmé, également spécialiste de l’islam, analyse, décortique et illustre brillamment ce phénomène scandaleux et ses intrigues dans une nouvelle étude bien documentée, intitulée Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur : ce qu’ils cachent. Vu sa culture, ses recherches et son expérience, elle fait partie du peu d’intellectuels assez compétents pour oser faire une enquête sur ce crime presque parfait.
Ainsi, un commandement d’Allah interdit au musulman d’obéir aux versets coraniques les plus anciens, s’ils ont été abrogés par des nouveaux. Et quiconque enfreint ce précepte, s’enlise dans l’égarement et la mécréance. La charia le condamne même à mort s’il obéit à certains versets abrogés. Mais pour embellir l’islam, Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur passent outre ces textes fondamentaux. Ces cachottiers profitent de l’absence de toute autorité suprême osant, en France, demander des comptes à ceux qui incitent à la haine ou au meurtre. L’islamophobie est un délit, l’incitation au meurtre ne l’est pas.
Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur exploitent les beaux versets qui se trouvent dans la partie du Coran datant de la période mecquoise. Ils cachent à leurs auditeurs le fait que les plus beaux de ces versets ont été supprimés depuis le 7ème siècle, et remplacés par des versets médinois qui les contredisent. Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur ainsi que beaucoup de leurs semblables savent que ces versets sont invalides. Mais ils bénéficient du droit de recourir à la dissimulation ou taqiya. Ils maquillent l’islam et donnent une douce apparence à ses enseignements. Ils citent ces beaux versets et s’en servent très souvent devant les « mécréants » ou leurs adversaires, occultant ainsi la face cachée et ténébreuse de l’arbre. Ils citent par exemple le verset « Pas de contrainte en religion », alors qu’ils savent qu’il a été abrogé par le verset « Tuez les polythéistes partout où vous les trouverez. Capturez-les, assiégez-les, dressez-leur toute embuscade possible. S’ils se repentent [de leur mécréance] et font les prières et paient les zakats [c’est-à-dire s’ils deviennent musulmans], relâchez-les, Allah est celui qui pardonne et fait miséricorde. » (Coran, 9,5)
Dans Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur : ce qu’ils cachent, Lina Murr Nehmé démystifie cette stratégie et met à nu ses auteurs qui se plaisent à parler dans les médias en France sans rencontrer de personnes capables de les démasquer. Et voilà une femme qui ose s’interroger quant aux raisons qui conduisent ces trois cachottiers à citer si souvent des versets coraniques abrogés, comme s’ils étaient toujours valables, et pourquoi ils répètent si souvent que Daech n’a aucun rapport avec l’islam.
Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur connaissent très bien les nombreux autres versets coraniques qui sont condamnables, intolérables, incompatibles avec les lois occidentales et la Charte universelle des Droits de l’Homme. Mais ils s’abstiennent d’en parler dans leurs interventions publiques ou dans leurs écrits en langues européennes.
Il s’agit surtout de ces versets coraniques xénophobes, raciaux, belliqueux qui ont abrogé les versets pacifistes, mais qui, du coup, incitent à la violence, à la guerre[1], enseignent l’hypocrisie (Coran 16,106), justifient l’irrespect des pactes et des serments (Coran 2,225), autorisent le pillage, le vol, la capture des femmes et des enfants et leur réduction en esclavage (Coran 8,41 et 69), légitiment le mensonge et la pratique de la taqiya (Coran 5,89 ; 16,106), promeuvent la polygamie, la débauche (Coran 4,3 ; 2,230 et 236 ; 33,50 ; 56,16-23), motivent la haine et le combat des Juifs et des Chrétiens (Coran 9,32-33 ; 9,36).
La lecture du livre de Lina Murr Nehmé permet de deviner quel traitement ces cachottiers de Tariq Ramadan et Tareq Oubrou réserveraient aux « mécréants » français si ceux-ci tombaient entre leurs mains. Ils y font allusion de temps en temps. Mais ils sont tellement habiles à citer des textes gentils, que les gens ne remarquent rien, faute de connaître les textes. Ce livre leur démasque les tricheries de ces trois menteurs dans leur manière de présenter l’islam, le Coran et leur prophète à un public non éclairé.
Lina Murr Nehmé a enrichi son livre de documents, de références et de détails très subtils. Elle nous ouvre les yeux pour découvrir les insinuations et détecter les sous-entendus et les arrière-pensées de chacun de ces trois cachottiers.
Le premier cachottier, Tariq Ramadan, est le petit-fils de Hassan Al-Banna, fondateur des Frères Musulmans – cette organisation terroriste interdite dans plusieurs pays musulmans. Tariq Ramadan affirme que la pensée politique de son grand-père est pour lui « une référence de cœur et d’intelligence ». Il dit aussi qu’il ne veut pas expurger l’islam, le Coran et la charia de leurs aberrations. Plutôt, il veut réformer l’intelligence du lecteur. L’objectif de Tariq Ramadan est de formater les esprits et de les initier à cette doctrine dont il s’est imbibé et qu’il présente de façon crédible pour pousser les musulmans à vivre l’islam tel qu’il le lit dans les textes et à le prêcher partout dans le monde. C’est ainsi que Tariq Ramadan cherche, d’une part, à sanctifier le texte coranique qui est illisible, déconcertant et dangereux, et de l’autre, à manipuler l’intelligence humaine en la forçant à s’y adapter. Un gourou hors pair ! Il a demandé un moratoire contre la lapidation ? Ne le croyez pas ! Ses propres paroles que cite Lina Murr Nehmé, prouvent le contraire !
Quant au deuxième cachottier, « l’éminent imam » de Bordeaux, Tariq Oubrou, il est disciple de Hassan Al-Banna et membre de sa confrérie. Lina Murr Nehmé dévoile, à la lumière de ses activités, de ses écrits, de ses déclarations publiques et officieuses, l’art et le génie de la force de manipulation et de dissimulation d’Oubrou, et l’habileté avec laquelle il escamote son propre passé, ses relations et ses convictions. Son affiliation aux Frères Musulmans est prouvée, et il ne la nie d’ailleurs pas. Il préfère plutôt dire du bien de cette organisation, et les médias se laissent embobiner par ce cachottier.
Le troisième imposteur concerné dans ce livre, c’est Dalil Boubakeur, actuellement recteur de la mosquée de Paris. Après chaque attentat terroriste perpétré par ses coreligionnaires, il sert aux médias de belles déclarations dédouanant l’islam de toute violence. Et pourtant, un seul exemple tiré de la charte sur « l’islam de France », qu’il a présentée en 1995 au ministère de l’Intérieur suffit pour dévoiler le mensonge. Dalil Boubakeur demande ainsi aux musulmans en France « un comportement moral inspiré de la conduite exemplaire du prophète Mahomet ». Cela veut dire qu’ils doivent tuer les intellectuels qui critiquent Mahomet, car Mahomet faisait cela. Cela veut dire qu’ils doivent persécuter et tuer les apostats car Mahomet faisait cela. Cela veut dire qu’ils doivent se préparer à égorger les mécréants et les juifs de France comme « le messager d’Allah » avait lui-même égorgé 600 à 900 jeunes et adultes juifs de la tribu de Korayza. En vantant la « charte » qui contient cette phrase, est-ce que Dalil Boubakeur invite les musulmans de France à procéder à l’invasion armée des villes de leur pays d’accueil, comme avait fait leur prophète durant les dix dernières années de sa vie à Médine ? L’attentat du Bataclan que Daech qualifiait de « notre invasion de Paris » n’était-il pas une façon d’imiter Mahomet ? Et j’en passe, car le registre est très long.
Tariq Ramadan, Tareq Oubrou et Dalil Boubakeur et les nombreux autres de leur espèce, cherchent à redorer le blason de Mahomet, du Coran et de l’islam. Ils disent que les crimes commis au nom de Mahomet et de l’islam n’ont rien à faire avec l’islam et l’enseignement de Mahomet. Ils nient cette réalité criante, palpable, vécue quotidiennement et lue dans les livres de l’islam. Cette réalité, c’est que les actes de Daech et consorts, ne sont qu’une application stricto sensu de l’islam et des enseignements barbares de leur prophète et de ses successeurs. Et ces enseignements, on les apprend à la mosquée de Paris, chez Dalil Boubakeur, comme on les apprend à Médine, avec la même interprétation.
Le lecteur trouvera dans ce livre-phare une analyse du cursus de l’institut pour imams que vante tellement Dalil Boubakeur, et des passages incroyables. Il nous dit comment Boubakeur enseigne à ces futurs imams de France, de Belgique, de Suisse et du Canada, la philosophie de l’Occident, et de quelle façon il leur enseigne la religion chrétienne, religion de la majorité des Français. Il nous fait comprendre pourquoi ces gens pratiquent la taqiya en Occident. Pourquoi ils mentent. Pourquoi Boubakeur a réclamé les églises de France pour en faire des mosquées. Et en général, pourquoi les islamistes veulent plus de mosquées en France, en Suisse, en Belgique, en Angleterre. Il nous produit les textes et les fac-similés qui expliquent comment les pétrodollars de l’Algérie participent à endoctriner et à endormir les Français, et pourquoi les pays occupés par l’islam régressent dans tous les domaines. Il nous explique comment Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur pratiquent le djihad contre la France.
Qui paie pour doter la France d’imams fanatiques ? Nos politiciens, opportunistes et carriéristes, concluent des « pactes avec le diable » au détriment des Français, de leur culture et de leurs valeurs.
Bravo encore à cette courageuse grande dame qui sonne le tocsin et contribue à secouer l’inconscience de l’Occident à l’égard de l’islam. En espérant qu’elle sera écoutée. Son livre doit être lu d’abord par les intellectuels, la classe politique et la hiérarchie religieuse de tout bord qui traitent ceux qui disent la vérité de populistes, d’islamophobes et de haineux, tout en disant du bien de Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur. Ils croient pouvoir les utiliser, eux et leurs semblables, à calmer les banlieues, au nom de leur « modération » !
Il est temps de soumettre l’islam au feu de la critique rationnelle dans tous les médias de la République. Nos élites et tout citoyen français doivent apprendre comment, par quels moyens, avec quels mots Tariq Ramadan, Tareq Oubrou, Dalil Boubakeur et les autres représentants de « l’islam de France » les trompent et les cuisinent. Ils doivent apprendre que l’islam autorise ces cachottiers à mentir et que Mahomet leur ordonne même de mentir aux « mécréants » quand ils sont en guerre contre eux, disant : « La guerre est une affaire de tromperie ».
Malek Sibali
Voir l’ensemble des versets de guerre et de violence compilés dans mon ouvrage, L’Islam, sacrée violence – Textes fondateurs.
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Re: Tarik le marchand de tapis
Ecrit le 19 mars17, 02:41La République face à l'islamisme : faut-il débattre avec Tariq Ramadan ?
Par Gilles Platret Publié le 17/03/2017 à 19:15
http://i.f1g.fr/media/figaro/805x453_cr ... b64fe4.jpg[/img]
FIGAROVOX/TRIBUNE- Face aux violentes réactions suscitées par l'annonce de son débat avec Tariq Ramadan, le maire de Chalon-sur-Saône Gilles Platret a décidé d'annuler. Il déplore de ne pas avoir pu débattre face-à-face avec un islamologue dont il condamne la vision.
Gilles Platret est maire de Chalon-sur-Saône.
«Qui ignore la nature du terrain ne pourra faire avancer ses troupes», écrivait Sun Tzu dans son magistral Art de la Guerre. Cette maxime vaut pour tous les combats, y compris idéologiques.
Il y a quelques mois, une proposition est parvenue à l'office des congrès de Chalon-sur-Saône d'accueillir pour une conférence l'islamologue Tariq Ramadan. Depuis 2014, sous mon égide, la Ville de Chalon s'est dressée devant la poussée communautariste. C'est là qu'en mars 2015, j'ai pris une décision qui fit date afin de rétablir la laïcité dans les cantines scolaires. C'est Chalon, qui, dès janvier 2016, fut l'une des premières villes de France à instituer une cellule municipale d'alerte sur la radicalisation. Ma réaction première à la proposition de Ramadan -je devrais même dire mon réflexe immédiat- fut de m'élever contre cette idée. Comment! Le rusé professeur, suffisamment explicite pour abreuver les salafistes et autres stipendiés des Frères musulmans, suffisamment fourbe pour se vêtir des dehors du plus pur républicanisme, aurait table ouverte dans la cité que j'administre? C'était tout bonnement inenvisageable.
Mais, poussant plus loin la réflexion, la proposition qui nous était arrivée ouvrait aussi le champ de l'analyse sur la réaction que les républicains de France doivent opposer à ce qui apparaît indéniablement comme les progrès galopants de l'islamisme dans les têtes et dans les rues.
Un maire est au contact quotidien du terrain ; il est par conséquent en position d'opposer la réalité pratique aux penseurs islamistes.
Partant du principe que notre démocratie se grandit et se fortifie du débat d'idées, même avec ses adversaires les plus coriaces, l'éventualité d'une confrontation publique entre Ramadan et moi fut bientôt soulevée. L'intéressé reçut ce débat contradictoire comme la condition sine qua non de sa présence à Chalon. Il l'accepta et la rencontre fut programmée pour le 10 avril. Ce face-à-face devait me permettre de contribuer, modestement, après d'autres et avant d'autres, en partant de ma vision d'élu au contact des réalités du terrain, à démasquer une partie des arguments fallacieux de celui que je considère comme un ennemi particulièrement habile de nos institutions républicaines. Un maire est au contact quotidien du terrain ; il est par conséquent en position d'opposer la réalité pratique aux penseurs islamistes qui se servent de leurs constructions théoriques pour endormir l'opinion publique.
Or, depuis quelques jours, l'annonce de cet événement a ouvert les vannes de la haine. On eût dit que les trois derniers cercles de l'Enfer se vidaient des personnages les plus déchaînés de Dante. Tout ce que l'extrême droite compte de pire s'excita à grand renfort de tweets. Ah! Le tweet: l'arme par excellence du manque de courage, la grande balle en caoutchouc des guerriers d'opérette qui, comme on l'affirme parfois chez moi, ont plus de gueule que de tripes et livrent bataille sur la toile plutôt que de monter sur le ring.
Au demeurant, la polémique s'annonçait juteuse: un élu Républicain, soutien de François Fillon, offrait une tribune à l'égérie des islamistes, tout ça à deux semaines du premier tour des élections présidentielles… Peu importait de savoir si cette tribune était d'abord celle de la dénonciation des thèses de Ramadan. Aux yeux de mes contempteurs, il ne s'agissait évidemment pas de défendre la République, mais de faire, une fois encore, de la petite politique sur le dos des problèmes les plus graves.
Il y eut également les mises en garde sincères de certains de mes amis m'alertant contre le double risque encouru : récupération par les islamistes, instrumentalisation par l'extrême droite.
L'instrumentalisation était évidente et, disons-le tout net, difficilement évitable. Et puis, je ne veux pas le négliger, il y eut également les mises en garde sincères de certains de mes amis m'alertant contre le double risque encouru: récupération par les islamistes, instrumentalisation par l'extrême droite.
Il devenait de plus en plus évident que, dans ce contexte précis, mon objectif de démasquer Ramadan par un témoignage de terrain était assurément appelé à passer au second plan au profit de la polémique politicienne. Dès lors, décidé à ne pas gêner le candidat que je soutiens parce qu'il est le seul à porter un programme de redressement pour notre pays et qu'il a eu, contrairement à beaucoup d'autres, le courage de désigner l'adversaire islamiste, j'ai décidé d'annuler le face-à-face du 10 avril.
Ce n'est certes pas sans un certain regret. Car, enfin, parviendrons-nous à opposer à l'islamisation des idées une digue efficace si nous ne descendons pas dans l'arène pour la combattre? Lorsqu'en 1905, la majorité parlementaire vota la grande loi de Laïcité, qui n'a par ailleurs pas fini de faire sentir sa nécessité contemporaine, a-t-elle fait la fine bouche en refusant de débattre avec les partisans du pouvoir romain? Les joutes furent publiques et virulentes. Aurions-nous moins de cœur au combat que nos devanciers d'il y a un siècle et plus?
Les pressions sont constantes sur les musulmans modérés afin qu'ils forcent leur pratique dans un sens rigoriste et finissent par rompre culturellement avec la France.
Le contexte de l'élection présidentielle, qui confine au plus indescriptible chahut depuis bientôt deux mois, n'aide évidemment pas à forger une vision toujours claire de la conduite à tenir. Mais ne perdons jamais de vue que le sentiment que nous avons des avancées dans notre population d'une conception dangereuse de l'islam politique sera constamment inférieur à la réalité des choses. Je le mesure chaque jour sur le terrain. Les pressions sont constantes sur les musulmans modérés afin qu'ils forcent leur pratique dans un sens rigoriste et finissent par rompre culturellement avec la France. Prétendre que les filles et femmes voilées le sont toutes de bon cœur est une aberration, un odieux mensonge, que les islamo-gauchistes cultivent à dessein. Et pas qu'eux, si, comme l'a récemment exhumé Malika Sorel-Sutter, on relève qu'en janvier 1958, le député Jean-Marie Le Pen affirmait crânement à l'Assemblée que «sur l'essentiel, les préceptes de la religion musulmane sont les même que la religion chrétienne»!...
Trouver le juste terrain pour combattre l'islamisme, voilà la question préalable car nous sentons le danger, coincés que sont les vrais patriotes, les républicains sincères, entre les salafistes qui détournent le débat démocratique et les extrémistes qui l'hystérisent en période électorale.
J'ai la conviction qu'en la matière, l'État aura besoin de s'appuyer une fois encore sur les communes. L'échelon de proximité est en effet particulièrement pertinent pour développer tout à la fois des actions de pédagogie républicaine pour permettre l'assimilation et de prévention de la radicalisation islamique pour imposer le respect de la Loi. C'est dans la rue, au plus près de la population, qu'une large part du grand combat doit se jouer. La France a un devoir de protection vis-à-vis de ses citoyens, qu'elle doit arracher aux griffes du prosélytisme le plus liberticide. C'est à cette condition seulement que le double langage des Tariq Ramadan de tout acabit finira par produire sa vraie musique: il sonnera creux.
Gilles Platret
Par Gilles Platret Publié le 17/03/2017 à 19:15
http://i.f1g.fr/media/figaro/805x453_cr ... b64fe4.jpg[/img]
FIGAROVOX/TRIBUNE- Face aux violentes réactions suscitées par l'annonce de son débat avec Tariq Ramadan, le maire de Chalon-sur-Saône Gilles Platret a décidé d'annuler. Il déplore de ne pas avoir pu débattre face-à-face avec un islamologue dont il condamne la vision.
Gilles Platret est maire de Chalon-sur-Saône.
«Qui ignore la nature du terrain ne pourra faire avancer ses troupes», écrivait Sun Tzu dans son magistral Art de la Guerre. Cette maxime vaut pour tous les combats, y compris idéologiques.
Il y a quelques mois, une proposition est parvenue à l'office des congrès de Chalon-sur-Saône d'accueillir pour une conférence l'islamologue Tariq Ramadan. Depuis 2014, sous mon égide, la Ville de Chalon s'est dressée devant la poussée communautariste. C'est là qu'en mars 2015, j'ai pris une décision qui fit date afin de rétablir la laïcité dans les cantines scolaires. C'est Chalon, qui, dès janvier 2016, fut l'une des premières villes de France à instituer une cellule municipale d'alerte sur la radicalisation. Ma réaction première à la proposition de Ramadan -je devrais même dire mon réflexe immédiat- fut de m'élever contre cette idée. Comment! Le rusé professeur, suffisamment explicite pour abreuver les salafistes et autres stipendiés des Frères musulmans, suffisamment fourbe pour se vêtir des dehors du plus pur républicanisme, aurait table ouverte dans la cité que j'administre? C'était tout bonnement inenvisageable.
Mais, poussant plus loin la réflexion, la proposition qui nous était arrivée ouvrait aussi le champ de l'analyse sur la réaction que les républicains de France doivent opposer à ce qui apparaît indéniablement comme les progrès galopants de l'islamisme dans les têtes et dans les rues.
Un maire est au contact quotidien du terrain ; il est par conséquent en position d'opposer la réalité pratique aux penseurs islamistes.
Partant du principe que notre démocratie se grandit et se fortifie du débat d'idées, même avec ses adversaires les plus coriaces, l'éventualité d'une confrontation publique entre Ramadan et moi fut bientôt soulevée. L'intéressé reçut ce débat contradictoire comme la condition sine qua non de sa présence à Chalon. Il l'accepta et la rencontre fut programmée pour le 10 avril. Ce face-à-face devait me permettre de contribuer, modestement, après d'autres et avant d'autres, en partant de ma vision d'élu au contact des réalités du terrain, à démasquer une partie des arguments fallacieux de celui que je considère comme un ennemi particulièrement habile de nos institutions républicaines. Un maire est au contact quotidien du terrain ; il est par conséquent en position d'opposer la réalité pratique aux penseurs islamistes qui se servent de leurs constructions théoriques pour endormir l'opinion publique.
Or, depuis quelques jours, l'annonce de cet événement a ouvert les vannes de la haine. On eût dit que les trois derniers cercles de l'Enfer se vidaient des personnages les plus déchaînés de Dante. Tout ce que l'extrême droite compte de pire s'excita à grand renfort de tweets. Ah! Le tweet: l'arme par excellence du manque de courage, la grande balle en caoutchouc des guerriers d'opérette qui, comme on l'affirme parfois chez moi, ont plus de gueule que de tripes et livrent bataille sur la toile plutôt que de monter sur le ring.
Au demeurant, la polémique s'annonçait juteuse: un élu Républicain, soutien de François Fillon, offrait une tribune à l'égérie des islamistes, tout ça à deux semaines du premier tour des élections présidentielles… Peu importait de savoir si cette tribune était d'abord celle de la dénonciation des thèses de Ramadan. Aux yeux de mes contempteurs, il ne s'agissait évidemment pas de défendre la République, mais de faire, une fois encore, de la petite politique sur le dos des problèmes les plus graves.
Il y eut également les mises en garde sincères de certains de mes amis m'alertant contre le double risque encouru : récupération par les islamistes, instrumentalisation par l'extrême droite.
L'instrumentalisation était évidente et, disons-le tout net, difficilement évitable. Et puis, je ne veux pas le négliger, il y eut également les mises en garde sincères de certains de mes amis m'alertant contre le double risque encouru: récupération par les islamistes, instrumentalisation par l'extrême droite.
Il devenait de plus en plus évident que, dans ce contexte précis, mon objectif de démasquer Ramadan par un témoignage de terrain était assurément appelé à passer au second plan au profit de la polémique politicienne. Dès lors, décidé à ne pas gêner le candidat que je soutiens parce qu'il est le seul à porter un programme de redressement pour notre pays et qu'il a eu, contrairement à beaucoup d'autres, le courage de désigner l'adversaire islamiste, j'ai décidé d'annuler le face-à-face du 10 avril.
Ce n'est certes pas sans un certain regret. Car, enfin, parviendrons-nous à opposer à l'islamisation des idées une digue efficace si nous ne descendons pas dans l'arène pour la combattre? Lorsqu'en 1905, la majorité parlementaire vota la grande loi de Laïcité, qui n'a par ailleurs pas fini de faire sentir sa nécessité contemporaine, a-t-elle fait la fine bouche en refusant de débattre avec les partisans du pouvoir romain? Les joutes furent publiques et virulentes. Aurions-nous moins de cœur au combat que nos devanciers d'il y a un siècle et plus?
Les pressions sont constantes sur les musulmans modérés afin qu'ils forcent leur pratique dans un sens rigoriste et finissent par rompre culturellement avec la France.
Le contexte de l'élection présidentielle, qui confine au plus indescriptible chahut depuis bientôt deux mois, n'aide évidemment pas à forger une vision toujours claire de la conduite à tenir. Mais ne perdons jamais de vue que le sentiment que nous avons des avancées dans notre population d'une conception dangereuse de l'islam politique sera constamment inférieur à la réalité des choses. Je le mesure chaque jour sur le terrain. Les pressions sont constantes sur les musulmans modérés afin qu'ils forcent leur pratique dans un sens rigoriste et finissent par rompre culturellement avec la France. Prétendre que les filles et femmes voilées le sont toutes de bon cœur est une aberration, un odieux mensonge, que les islamo-gauchistes cultivent à dessein. Et pas qu'eux, si, comme l'a récemment exhumé Malika Sorel-Sutter, on relève qu'en janvier 1958, le député Jean-Marie Le Pen affirmait crânement à l'Assemblée que «sur l'essentiel, les préceptes de la religion musulmane sont les même que la religion chrétienne»!...
Trouver le juste terrain pour combattre l'islamisme, voilà la question préalable car nous sentons le danger, coincés que sont les vrais patriotes, les républicains sincères, entre les salafistes qui détournent le débat démocratique et les extrémistes qui l'hystérisent en période électorale.
J'ai la conviction qu'en la matière, l'État aura besoin de s'appuyer une fois encore sur les communes. L'échelon de proximité est en effet particulièrement pertinent pour développer tout à la fois des actions de pédagogie républicaine pour permettre l'assimilation et de prévention de la radicalisation islamique pour imposer le respect de la Loi. C'est dans la rue, au plus près de la population, qu'une large part du grand combat doit se jouer. La France a un devoir de protection vis-à-vis de ses citoyens, qu'elle doit arracher aux griffes du prosélytisme le plus liberticide. C'est à cette condition seulement que le double langage des Tariq Ramadan de tout acabit finira par produire sa vraie musique: il sonnera creux.
Gilles Platret
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Re: Tarik le marchand de tapis
Ecrit le 21 oct.17, 01:19Tariq Ramadan dans l'eau chaude
La nouvelle vient de tomber en France. L’islamologue suisse Tariq Ramadan, rock star internationale de l’islamisme, petit-fils du fondateur des Frères musulmans, professeur à Oxford et spécialiste du double discours Islam-occident, est visé par une plainte « pour des faits criminels de viol, d’agressions sexuelles, de violences volontaires, de harcèlement et d’intimidation ».
La plainte vient de Henda Avari, une ex-islamiste qui milite aujourd’hui pour la laïcité et les droits des femmes.
Elle avait raconté une agression sexuelle aux mains d’un certain Zoubeyr dans son livre J’ai choisi d’être libre. Elle dévoile aujourd’hui sa véritable identité.
Le journal Le Monde rapporte les paroles d’un de ses avocats, Jonas Haddad: ‘ Henda Ayari n’avait pas envie de communiquer sur ce sujet, par peur. Avec la libération de la parole à laquelle on assiste depuis quelques jours, elle a décidé de dire ce qu’elle a subi et d’en tirer les conséquences judiciaires ».
Le mouvement de dénonciations a traversé l’Atlantique.
Face à ce tsunami d'allégations, je mettrais ma main au feu que bien des hommes connaissent des problèmes de sommeil ces jours-ci.
================================================
Accusé de viol , Tariq Ramadan porte plainte pour “dénonciation calomnieuse”
Face aux accusations de viol et d’agression sexuelle proférées contre lui par Henda Ayari, 40 ans, une ancienne salafiste devenue présidente de l’association Libératrices, Tariq Ramadan a réagi par le biais de son avocat, Me Yassine Bouzrou, un ténor du barreau de Paris. Selon Le Parisien, il compte riposter en déposant plainte à son tour. Dans un communiqué, Me Bouzrou, affirme qu’une « plainte pour dénonciation calomnieuse sera transmise au procureur de la République de Rouen dès lundi. »
Rappelons qu’une plainte pour viol a été déposée par Henda Ayari, vendredi 20 octobre, contre Tariq Ramadan, auprès du parquet de Rouen.
La nouvelle vient de tomber en France. L’islamologue suisse Tariq Ramadan, rock star internationale de l’islamisme, petit-fils du fondateur des Frères musulmans, professeur à Oxford et spécialiste du double discours Islam-occident, est visé par une plainte « pour des faits criminels de viol, d’agressions sexuelles, de violences volontaires, de harcèlement et d’intimidation ».
La plainte vient de Henda Avari, une ex-islamiste qui milite aujourd’hui pour la laïcité et les droits des femmes.
Elle avait raconté une agression sexuelle aux mains d’un certain Zoubeyr dans son livre J’ai choisi d’être libre. Elle dévoile aujourd’hui sa véritable identité.
Le journal Le Monde rapporte les paroles d’un de ses avocats, Jonas Haddad: ‘ Henda Ayari n’avait pas envie de communiquer sur ce sujet, par peur. Avec la libération de la parole à laquelle on assiste depuis quelques jours, elle a décidé de dire ce qu’elle a subi et d’en tirer les conséquences judiciaires ».
Le mouvement de dénonciations a traversé l’Atlantique.
Face à ce tsunami d'allégations, je mettrais ma main au feu que bien des hommes connaissent des problèmes de sommeil ces jours-ci.
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Accusé de viol , Tariq Ramadan porte plainte pour “dénonciation calomnieuse”
Face aux accusations de viol et d’agression sexuelle proférées contre lui par Henda Ayari, 40 ans, une ancienne salafiste devenue présidente de l’association Libératrices, Tariq Ramadan a réagi par le biais de son avocat, Me Yassine Bouzrou, un ténor du barreau de Paris. Selon Le Parisien, il compte riposter en déposant plainte à son tour. Dans un communiqué, Me Bouzrou, affirme qu’une « plainte pour dénonciation calomnieuse sera transmise au procureur de la République de Rouen dès lundi. »
Rappelons qu’une plainte pour viol a été déposée par Henda Ayari, vendredi 20 octobre, contre Tariq Ramadan, auprès du parquet de Rouen.
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Re: Tarik le marchand de tapis
Ecrit le 27 oct.17, 22:40Tariq Ramadan, la chute annoncée d'un tartufe islamiste
C'était en 2009, à la veille de mon fameux débat avec Tariq Ramadan chez Frédéric Taddeï. La presse l'avait annoncé. Une première femme m'a contactée pour me dire ce qu'elle avait vécu. Je me méfiais. Un faux témoignage pour me pousser à la faute ? Avec Tariq Ramadan, il faut toujours s'attendre à tout. Au début, je n'ai pas répondu. Ses écrits devenaient précis. Pour en avoir le cœur net, j'ai fini par la voir. Elle m'a montré des SMS puis des photos édifiantes. Elle m'a également mise en relation avec d'autres filles. Toutes avaient vécu à peu près la même histoire. Une demande de conseil religieux transformé en relation sexuelle compulsive, parfois consentie, souvent violente et très humiliante, avant de finir en menaces. L'une d'elles avait subi un traitement pouvant faire l'objet d'une plainte. Je l'ai présentée à un juge.
Mais Tariq Ramadan lui faisait trop peur. Elle se sentait suivie. Elle était clairement trop fragile pour persévérer. Ma conscience refusait de la pousser sur un chemin dont je craignais qu'elle ne sorte déchiquetée. Je suis bien placée pour connaître la violence des réseaux des Frères musulmans quand on tient tête à « frère Tariq ». J'entends des donneurs de leçons se gausser sur le mode « tout le monde savait et n'a rien dit ». Ils sont loin d'imaginer la tornade qui se serait abattue sur cette jeune femme si elle avait osé briser l'omerta à l'époque. Maintenant que Henda Ayari a eu ce courage, c'est différent. Mon devoir est d'inviter toutes celles qui le peuvent à témoigner. Dans la presse ou à son procès. Pour ne pas l'abandonner, seule, face à la meute"
Caroline Fourest
https://youtu.be/5fiRbH9QnE8
C'était en 2009, à la veille de mon fameux débat avec Tariq Ramadan chez Frédéric Taddeï. La presse l'avait annoncé. Une première femme m'a contactée pour me dire ce qu'elle avait vécu. Je me méfiais. Un faux témoignage pour me pousser à la faute ? Avec Tariq Ramadan, il faut toujours s'attendre à tout. Au début, je n'ai pas répondu. Ses écrits devenaient précis. Pour en avoir le cœur net, j'ai fini par la voir. Elle m'a montré des SMS puis des photos édifiantes. Elle m'a également mise en relation avec d'autres filles. Toutes avaient vécu à peu près la même histoire. Une demande de conseil religieux transformé en relation sexuelle compulsive, parfois consentie, souvent violente et très humiliante, avant de finir en menaces. L'une d'elles avait subi un traitement pouvant faire l'objet d'une plainte. Je l'ai présentée à un juge.
Mais Tariq Ramadan lui faisait trop peur. Elle se sentait suivie. Elle était clairement trop fragile pour persévérer. Ma conscience refusait de la pousser sur un chemin dont je craignais qu'elle ne sorte déchiquetée. Je suis bien placée pour connaître la violence des réseaux des Frères musulmans quand on tient tête à « frère Tariq ». J'entends des donneurs de leçons se gausser sur le mode « tout le monde savait et n'a rien dit ». Ils sont loin d'imaginer la tornade qui se serait abattue sur cette jeune femme si elle avait osé briser l'omerta à l'époque. Maintenant que Henda Ayari a eu ce courage, c'est différent. Mon devoir est d'inviter toutes celles qui le peuvent à témoigner. Dans la presse ou à son procès. Pour ne pas l'abandonner, seule, face à la meute"
Caroline Fourest
https://youtu.be/5fiRbH9QnE8
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Re: Tarik le marchand de tapis
Ecrit le 29 oct.17, 00:52Affaire Tariq Ramadan et ce qu'elle dit de la communauté musulmane française
Cette vidéo dresse le cruel constat des réactions des thuriféraires de Tariq Ramadan, ce qui en dit long sur l'état de dépravation et de dégénérescence de la "communauté" musulmane française, si communauté il y a ! 30 ans de prêches pour en arriver à lire des commentaires de soutien grossiers et vulgaires de racailles mal élevées, qui font honte. La réaction des pom-poms girls de Tariq Ramadan est encore plus humiliante que les accusations portées contre lui, car elle touche des milliers de jeunes totalement perdus, sans repères et sans aucune éducation. Il sera également question des origines occultes de la fraternité crypto-maçonnique des Frères Musulmans, de leurs liens avec la CIA, les loges maçonniques, ainsi que du sabbataïsme... Nous évoquerons enfin la stratégie actuelle de Tariq Ramadan qui n'est rien d'autre qu'une volonté clairement affirmée de sécularisation de l'islam puisqu'il est pour le gender, la laïcité, l'euthanasie, l'avortement, les banques... On parlera aussi des scandales sexuels des années 40 au sein de la fraternité musulmane égyptienne qui avaient fait grand scandale ! Pour plus d'infos, lisez le livre de Ian Johnson, "Une mosquée à Munich - Les nazis, la CIA et la montée des Frères Musulmans en Occident" (2010). Éditions JC Lattès, 22€90.
https://youtu.be/dZBfs77bDfY
Cette vidéo dresse le cruel constat des réactions des thuriféraires de Tariq Ramadan, ce qui en dit long sur l'état de dépravation et de dégénérescence de la "communauté" musulmane française, si communauté il y a ! 30 ans de prêches pour en arriver à lire des commentaires de soutien grossiers et vulgaires de racailles mal élevées, qui font honte. La réaction des pom-poms girls de Tariq Ramadan est encore plus humiliante que les accusations portées contre lui, car elle touche des milliers de jeunes totalement perdus, sans repères et sans aucune éducation. Il sera également question des origines occultes de la fraternité crypto-maçonnique des Frères Musulmans, de leurs liens avec la CIA, les loges maçonniques, ainsi que du sabbataïsme... Nous évoquerons enfin la stratégie actuelle de Tariq Ramadan qui n'est rien d'autre qu'une volonté clairement affirmée de sécularisation de l'islam puisqu'il est pour le gender, la laïcité, l'euthanasie, l'avortement, les banques... On parlera aussi des scandales sexuels des années 40 au sein de la fraternité musulmane égyptienne qui avaient fait grand scandale ! Pour plus d'infos, lisez le livre de Ian Johnson, "Une mosquée à Munich - Les nazis, la CIA et la montée des Frères Musulmans en Occident" (2010). Éditions JC Lattès, 22€90.
https://youtu.be/dZBfs77bDfY
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Tarik le marchand de tapis
Ecrit le 31 oct.17, 02:11En terre d'islam, même le voile ne protège pas du viol. Une femme dans la rue est une proie pour les prédateurs sexuels et même les petits garçons.Soit vous êtes voilée, soit vous êtes violée "Le Parisien"
Vous pouvez trouver sur Youtube la vidéo d'un petit garçon violé à l'intérieur d'une mosquée
Tarik Ramadan a toujours été un Tartuffe, il y a même un livre sur ça
Tartufe fait ramadan
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Re: Tarik le marchand de tapis
Ecrit le 01 nov.17, 05:443 éme plainte contre Tarik Ramadan
Une Belge accuse Tariq Ramadan de violences sexuelles
Les langues se délient de plus en plus après les révélations concernant le producteur américain Harvey Weinstein. C'est désormais l'islamologue Tariq Ramadan qui fait l'objet d'au moins deux plaintes pour viol. La RTBF a recueilli le témoignage d'une Belge qui a accepté de s'exprimer pour la première fois au sujet de sa relation avec Tariq Ramadan.
Islamologue, conférencier, professeur à Oxford et régulièrement au cœur de controverses, Tariq Ramadan est visé par au moins deux plaintes pour viol et agression sexuelle en France. Mais il aurait aussi sévi en Belgique.
Cette femme belge, que l'on appellera Sara, explique avoir été contactée par Tariq Ramadan via Facebook, alors qu'elle était en situation de détresse. "C'est une relation qui débute en confiance, doucement, et au fur et à mesure, des demandes perverses, qu'il peut même imposer comme conditions à la suite de la relation, explique-t-elle. Il peut être très, très violent, vous agripper très violemment, attendre de vous n'importe quelle pratique sexuelle et le demande assez agressivement. Et puis ça redescend, mais ces moments là sont très difficiles à vivre".
J'ai eu peur pour ma vie
Sarah explique avoir ensuite souhaité rompre après plusieurs mois de relation. Mais d'après la jeune femme, cela n'a pas été simple: "Il promet de vous détruire, de faire de votre vie un cauchemar, il est très menaçant, et à ce moment là on prend peur. Moi j'ai eu peur pour ma vie". Aujourd'hui, Sarah réfléchit à porter plainte. Jusqu'à présent, elle n'a pas été entendue par son entourage musulman.
Une autre femme a quant à elle gardé le silence pendant cinq ans, avant de porter plainte il y a quelques jours. Mariée très jeune à un islamiste radical, Henda Ayari avait décidé fin 2011 de quitter ce mari qui, dit-elle, la retenait prisonnière. Elle abandonne le voile, et se met en contact avec Tariq Ramadan pour lui demander conseil. L'islamologue lui donne rendez-vous dans un hôtel parisien.
"La situation que je pensais être très agréable et sympathique s'est transformée en cauchemar, raconte-telle. Il m'a littéralement sauté dessus. Je l'ai repoussé mais comme il est plus fort que moi, il m'a forcé puis il m'a frappé. Il m'a ensuite étranglé, j'ai vraiment cru mourir ce soir-là. Ensuite, il m'a violée. J'ai pleuré et il s'est moqué de moi en me disant: "pauvre petite fille! Tu ne savais pas ce qu'était un homme, et bien maintenant tu sais. C'est ce que tu voulais, non?". Il m'a insulté et m'a dit qu'une femme qui n'est pas voilée mérite d'être violée".
S'estimant la cible d'une campagne de calomnie, Tariq Ramadan annonce sur sa page facebook qu'il va déposer plainte pour dénonciation calomnieuse.
Une Belge accuse Tariq Ramadan de violences sexuelles
Les langues se délient de plus en plus après les révélations concernant le producteur américain Harvey Weinstein. C'est désormais l'islamologue Tariq Ramadan qui fait l'objet d'au moins deux plaintes pour viol. La RTBF a recueilli le témoignage d'une Belge qui a accepté de s'exprimer pour la première fois au sujet de sa relation avec Tariq Ramadan.
Islamologue, conférencier, professeur à Oxford et régulièrement au cœur de controverses, Tariq Ramadan est visé par au moins deux plaintes pour viol et agression sexuelle en France. Mais il aurait aussi sévi en Belgique.
Cette femme belge, que l'on appellera Sara, explique avoir été contactée par Tariq Ramadan via Facebook, alors qu'elle était en situation de détresse. "C'est une relation qui débute en confiance, doucement, et au fur et à mesure, des demandes perverses, qu'il peut même imposer comme conditions à la suite de la relation, explique-t-elle. Il peut être très, très violent, vous agripper très violemment, attendre de vous n'importe quelle pratique sexuelle et le demande assez agressivement. Et puis ça redescend, mais ces moments là sont très difficiles à vivre".
J'ai eu peur pour ma vie
Sarah explique avoir ensuite souhaité rompre après plusieurs mois de relation. Mais d'après la jeune femme, cela n'a pas été simple: "Il promet de vous détruire, de faire de votre vie un cauchemar, il est très menaçant, et à ce moment là on prend peur. Moi j'ai eu peur pour ma vie". Aujourd'hui, Sarah réfléchit à porter plainte. Jusqu'à présent, elle n'a pas été entendue par son entourage musulman.
Une autre femme a quant à elle gardé le silence pendant cinq ans, avant de porter plainte il y a quelques jours. Mariée très jeune à un islamiste radical, Henda Ayari avait décidé fin 2011 de quitter ce mari qui, dit-elle, la retenait prisonnière. Elle abandonne le voile, et se met en contact avec Tariq Ramadan pour lui demander conseil. L'islamologue lui donne rendez-vous dans un hôtel parisien.
"La situation que je pensais être très agréable et sympathique s'est transformée en cauchemar, raconte-telle. Il m'a littéralement sauté dessus. Je l'ai repoussé mais comme il est plus fort que moi, il m'a forcé puis il m'a frappé. Il m'a ensuite étranglé, j'ai vraiment cru mourir ce soir-là. Ensuite, il m'a violée. J'ai pleuré et il s'est moqué de moi en me disant: "pauvre petite fille! Tu ne savais pas ce qu'était un homme, et bien maintenant tu sais. C'est ce que tu voulais, non?". Il m'a insulté et m'a dit qu'une femme qui n'est pas voilée mérite d'être violée".
S'estimant la cible d'une campagne de calomnie, Tariq Ramadan annonce sur sa page facebook qu'il va déposer plainte pour dénonciation calomnieuse.
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Re: Tarik le marchand de tapis
Ecrit le 03 nov.17, 23:05On est en Europe, on n'est pas en pays d'islam, on est en Occident, ces femmes même aliénées par la RATP, témoigneront contre Tarik l'imposteur.
https://youtu.be/fXZPacXRqJo
https://youtu.be/fXZPacXRqJo
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Re: Tarik le marchand de tapis
Ecrit le 05 nov.17, 02:12"La Tribune de Genève" accuse Tariq Ramadan d'avoir couché avec des mineures
Professeur de français dans un collège à Genève en 1980-1990, l'islamologue aurait eu des relations sexuelles avec au moins trois adolescentes.
Par notre correspondant à Genève Ian Hamel
Publié le 04/11/2017 à 17:42 | Le Point.fr
Tariq Ramadan à Bordeaux, le 26 mars 2016, lors d'une conférence sur les clefs du vivre ensemble, organisée par l'association In Peace Event...
Tariq Ramadan à Bordeaux, le 26 mars 2016, lors d'une conférence sur les clefs du vivre ensemble, organisée par l'association In Peace Event... © MAXPPP / IP3 PRESS/MAXPPP
Une semaine à peine avant qu'une plainte pour viol ne soit déposée contre Tariq Ramadan, Jean-Michel Olivier, enseignant et écrivain suisse, prix Interallié en 2010 pour L'Amour nègre, publiait sur sa page Facebook un texte assez peu charitable sur Tariq Ramadan, son ancien collègue de collège, à Genève. « J'ai lu deux livres de TR, aussi mauvais l'un que l'autre [Mon intime conviction et De l'islam et des musulmans] », commentait-il. Jean-Michel Olivier ajoutait, parlant toujours de Tariq Ramadan : « Nous avons travaillé dans le même collège et collaboré souvent ensemble. Jusqu'à ce qu'il se fasse virer pour les raisons que vous savez… »
Depuis des décennies, la vie privée de l'actuel professeur d'islamologie à Oxford est l'objet de suspicions dans la très prude Cité de Calvin. Certes, Tariq Ramadan pourra toujours démentir les propos de Jean-Michel Olivier, jurant qu'il n'a pas été licencié, mais qu'il a démissionné de l'enseignement. Mais, sur les bords du lac Léman, personne n'est dupe. En revanche, le prédicateur aura davantage de mal pour se défendre contre les accusations portées aujourd'hui contre lui dans La Tribune de Genève et 24 Heures par quatre de ses anciennes élèves, âgées de 14 à 18 ans. Même si les faits sont prescrits, les griefs sont particulièrement graves.
Il « abusait de la confiance de ses élèves »
Quatre anciennes élèves témoignent. Elles ne sont pas musulmanes. La plus jeune, alors âgée de 14 ans, affirme avoir refusé de coucher avec Tariq Ramadan. « Il a mis sa main sur ma cuisse en me disant qu'il savait que je pensais à lui le soir avant de m'endormir […] C'était de la manipulation. Il disait qu'il pensait à moi mais qu'il était marié. J'étais mal, mais je ne pouvais rien dire. C'était mon prof. » L'élève résiste et doit alors subir les foudres de ce professeur de français « possessif et jaloux ». L'ancienne élève parle d'un « homme tordu, intimidant, qui usait de stratagèmes relationnels et pervers et abusait de la confiance de ses élèves ».
En revanche, une autre ancienne élève, aujourd'hui mère de famille, reconnaît avoir été « abusée et violentée ». « Cela s'est passé trois fois, notamment dans sa voiture. C'était consenti mais très violent. J'ai eu des bleus sur tout le corps. Il m'a toujours fait croire que je l'avais cherché », déclare-t-elle. Les autres témoignages recueillis par Sophie Roselli dans La Tribune de Genève vont dans le même sens : « J'avais 17 ans quand on a commencé à s'embrasser et 18 ans quand on a eu des rapports sexuels […] Il me prenait, me jetait, instaurait une relation de dépendance. Il a créé les bases d'une relation malsaine », affirme une autre de ses anciennes élèves et maîtresses. Le Point.fr a contacté Julie Granier et Yassine Bouzrou, deux des avocats de Tariq Ramadan, sans résultat. La Tribune de Genève n'a pas non plus reçu de réponse à ses appels.
Une mosquée, propriété des Ramadan
L'attitude de Tariq Ramadan n'échappe ni à sa famille (il a quatre frères et une sœur) ni à son épouse Isabelle, une institutrice franco-suisse convertie à l'islam. D'autres anciennes maîtresses ont confié au Point.fr qu'elles leur ont écrit des lettres recommandées pour dénoncer le comportement « pervers » de l'islamologue. « J'ai parlé avec Hani Ramadan, son frère aîné, directeur du Centre islamique de Genève, il m'a répondu que tout ce que j'entreprendrai contre Tariq se retournera contre moi », raconte une jeune femme, qui redoute encore, vingt ans plus tard, les menaces de la famille Ramadan et des Frères musulmans.
Contrairement aux autres mosquées dans le monde, le Centre islamique de Genève est une propriété exclusive des Ramadan. Il ne compte dans son Conseil de direction que des membres de la famille : Wafa, la fille aînée d'Hassan Al-Banna, le fondateur des Frères musulmans en Égypte, et ses six enfants, Aymen, Yasser, Bilal, Hani, Tariq et Arwa. Parrainé et financé par les Saoudiens, ce Centre a été créé en janvier 1961 par Saïd Ramadan, le gendre d'Hassan Al-Banna, décédé en 1995. Personnalité très influente au sein de la Confrérie, lors de son arrivée en Europe, à la fin des années 50, le père de Tariq Ramadan va, une décennie plus tard, être mis à l'écart et sombrer dans une très grande solitude.
La marginalisation du père de Tariq Ramadan
L'islamologue allemand Reinhard Schulze parle d'un « homme seul, déçu, qui avait perdu presque tous ses compagnons. […] En fait, Saïd Ramadan a été marginalisé par d'autres intellectuels musulmans, plus brillant que lui » (1). Sylvain Besson, rédacteur en chef adjoint du quotidien suisse Le Temps, évoque un homme vivant seul dans un studio minable, séparé de sa femme et de ses enfants. « L'Islamistan imaginé des décennies plus tôt se réduit à une chambre où s'entassent un poste de radio, des coupures de presse, des livres, et des lettres venues du monde entier. » (2)
Pourquoi cette déchéance ? Saïd Ramadan aurait peu à peu succombé aux charmes de l'Occident et sa vie privée n'aurait pas été aussi irréprochable que celle qu'il prônait dans ses conférences. Résultat, ses généreux donateurs, et notamment les Saoudiens, lui auraient coupé les vivres. Pour toutes ces raisons, l'image des Ramadan en suisse francophone n'est pas forcément très positive.
Tariq Ramadan va l'apprendre à ses dépens quand il crée en septembre 1994 Musulmans, Musulmanes de Suisse (MMS). Le premier congrès, trois mois plus tard à Genève, vire au fiasco total. Les musulmans de Suisse ne sont pas au rendez-vous. Pour remplir la salle communale de Plainpalais, l'islamologue est contraint de faire venir par cars entiers des militants de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), notamment Hassan Iquioussen et Malika Dif. Mais la supercherie est découverte. Le magazine L'Hebdo de Lausanne titre : « Les musulmans de Suisse… étaient français ». Un échec qui pousse alors Tariq Ramadan à se montrer moins présent dans les cantons helvétiques et plus actif dans les cités françaises, à commencer par Lyon. On connaît la suite.
(1) La Vérité sur Tariq Ramadan. Sa famille, ses réseaux, sa stratégie. Éditions Favre, 358 pages.
(2) La conquête de l'Occident, le projet secret des islamistes, Seuil, 226 pages.
Professeur de français dans un collège à Genève en 1980-1990, l'islamologue aurait eu des relations sexuelles avec au moins trois adolescentes.
Par notre correspondant à Genève Ian Hamel
Publié le 04/11/2017 à 17:42 | Le Point.fr
Tariq Ramadan à Bordeaux, le 26 mars 2016, lors d'une conférence sur les clefs du vivre ensemble, organisée par l'association In Peace Event...
Tariq Ramadan à Bordeaux, le 26 mars 2016, lors d'une conférence sur les clefs du vivre ensemble, organisée par l'association In Peace Event... © MAXPPP / IP3 PRESS/MAXPPP
Une semaine à peine avant qu'une plainte pour viol ne soit déposée contre Tariq Ramadan, Jean-Michel Olivier, enseignant et écrivain suisse, prix Interallié en 2010 pour L'Amour nègre, publiait sur sa page Facebook un texte assez peu charitable sur Tariq Ramadan, son ancien collègue de collège, à Genève. « J'ai lu deux livres de TR, aussi mauvais l'un que l'autre [Mon intime conviction et De l'islam et des musulmans] », commentait-il. Jean-Michel Olivier ajoutait, parlant toujours de Tariq Ramadan : « Nous avons travaillé dans le même collège et collaboré souvent ensemble. Jusqu'à ce qu'il se fasse virer pour les raisons que vous savez… »
Depuis des décennies, la vie privée de l'actuel professeur d'islamologie à Oxford est l'objet de suspicions dans la très prude Cité de Calvin. Certes, Tariq Ramadan pourra toujours démentir les propos de Jean-Michel Olivier, jurant qu'il n'a pas été licencié, mais qu'il a démissionné de l'enseignement. Mais, sur les bords du lac Léman, personne n'est dupe. En revanche, le prédicateur aura davantage de mal pour se défendre contre les accusations portées aujourd'hui contre lui dans La Tribune de Genève et 24 Heures par quatre de ses anciennes élèves, âgées de 14 à 18 ans. Même si les faits sont prescrits, les griefs sont particulièrement graves.
Il « abusait de la confiance de ses élèves »
Quatre anciennes élèves témoignent. Elles ne sont pas musulmanes. La plus jeune, alors âgée de 14 ans, affirme avoir refusé de coucher avec Tariq Ramadan. « Il a mis sa main sur ma cuisse en me disant qu'il savait que je pensais à lui le soir avant de m'endormir […] C'était de la manipulation. Il disait qu'il pensait à moi mais qu'il était marié. J'étais mal, mais je ne pouvais rien dire. C'était mon prof. » L'élève résiste et doit alors subir les foudres de ce professeur de français « possessif et jaloux ». L'ancienne élève parle d'un « homme tordu, intimidant, qui usait de stratagèmes relationnels et pervers et abusait de la confiance de ses élèves ».
En revanche, une autre ancienne élève, aujourd'hui mère de famille, reconnaît avoir été « abusée et violentée ». « Cela s'est passé trois fois, notamment dans sa voiture. C'était consenti mais très violent. J'ai eu des bleus sur tout le corps. Il m'a toujours fait croire que je l'avais cherché », déclare-t-elle. Les autres témoignages recueillis par Sophie Roselli dans La Tribune de Genève vont dans le même sens : « J'avais 17 ans quand on a commencé à s'embrasser et 18 ans quand on a eu des rapports sexuels […] Il me prenait, me jetait, instaurait une relation de dépendance. Il a créé les bases d'une relation malsaine », affirme une autre de ses anciennes élèves et maîtresses. Le Point.fr a contacté Julie Granier et Yassine Bouzrou, deux des avocats de Tariq Ramadan, sans résultat. La Tribune de Genève n'a pas non plus reçu de réponse à ses appels.
Une mosquée, propriété des Ramadan
L'attitude de Tariq Ramadan n'échappe ni à sa famille (il a quatre frères et une sœur) ni à son épouse Isabelle, une institutrice franco-suisse convertie à l'islam. D'autres anciennes maîtresses ont confié au Point.fr qu'elles leur ont écrit des lettres recommandées pour dénoncer le comportement « pervers » de l'islamologue. « J'ai parlé avec Hani Ramadan, son frère aîné, directeur du Centre islamique de Genève, il m'a répondu que tout ce que j'entreprendrai contre Tariq se retournera contre moi », raconte une jeune femme, qui redoute encore, vingt ans plus tard, les menaces de la famille Ramadan et des Frères musulmans.
Contrairement aux autres mosquées dans le monde, le Centre islamique de Genève est une propriété exclusive des Ramadan. Il ne compte dans son Conseil de direction que des membres de la famille : Wafa, la fille aînée d'Hassan Al-Banna, le fondateur des Frères musulmans en Égypte, et ses six enfants, Aymen, Yasser, Bilal, Hani, Tariq et Arwa. Parrainé et financé par les Saoudiens, ce Centre a été créé en janvier 1961 par Saïd Ramadan, le gendre d'Hassan Al-Banna, décédé en 1995. Personnalité très influente au sein de la Confrérie, lors de son arrivée en Europe, à la fin des années 50, le père de Tariq Ramadan va, une décennie plus tard, être mis à l'écart et sombrer dans une très grande solitude.
La marginalisation du père de Tariq Ramadan
L'islamologue allemand Reinhard Schulze parle d'un « homme seul, déçu, qui avait perdu presque tous ses compagnons. […] En fait, Saïd Ramadan a été marginalisé par d'autres intellectuels musulmans, plus brillant que lui » (1). Sylvain Besson, rédacteur en chef adjoint du quotidien suisse Le Temps, évoque un homme vivant seul dans un studio minable, séparé de sa femme et de ses enfants. « L'Islamistan imaginé des décennies plus tôt se réduit à une chambre où s'entassent un poste de radio, des coupures de presse, des livres, et des lettres venues du monde entier. » (2)
Pourquoi cette déchéance ? Saïd Ramadan aurait peu à peu succombé aux charmes de l'Occident et sa vie privée n'aurait pas été aussi irréprochable que celle qu'il prônait dans ses conférences. Résultat, ses généreux donateurs, et notamment les Saoudiens, lui auraient coupé les vivres. Pour toutes ces raisons, l'image des Ramadan en suisse francophone n'est pas forcément très positive.
Tariq Ramadan va l'apprendre à ses dépens quand il crée en septembre 1994 Musulmans, Musulmanes de Suisse (MMS). Le premier congrès, trois mois plus tard à Genève, vire au fiasco total. Les musulmans de Suisse ne sont pas au rendez-vous. Pour remplir la salle communale de Plainpalais, l'islamologue est contraint de faire venir par cars entiers des militants de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF), notamment Hassan Iquioussen et Malika Dif. Mais la supercherie est découverte. Le magazine L'Hebdo de Lausanne titre : « Les musulmans de Suisse… étaient français ». Un échec qui pousse alors Tariq Ramadan à se montrer moins présent dans les cantons helvétiques et plus actif dans les cités françaises, à commencer par Lyon. On connaît la suite.
(1) La Vérité sur Tariq Ramadan. Sa famille, ses réseaux, sa stratégie. Éditions Favre, 358 pages.
(2) La conquête de l'Occident, le projet secret des islamistes, Seuil, 226 pages.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Tarik le marchand de tapis
Ecrit le 07 nov.17, 02:19Tarik Ramadan agit conformément à l’éthique islamique, il agit comme PBSL, c'est de l'hypocrisie de le lui reprocher.
Autant reprocher à PBSL de s'être marié âgé de 49 ans avec une petite fille de six ans.
Pour ma part, je souhaite que Tarik Ramadan apostasie la Religion d'Amour de Tolérance et de Paix et vient nous rejoindre au forum des apostats de l'islam qu'il présidera étant donné ses qualités intellectuelles indiscutables.
Je lui donne l’adresse:
http://apostats-de-lislam.xooit.org/portal.php
Je suis à peu près sûr qu'Arlitto fera la même chose en ce qui le concerne.
http://arlitto.forumprod.com/tarik-rama ... tml#p48405
Autant reprocher à PBSL de s'être marié âgé de 49 ans avec une petite fille de six ans.
Pour ma part, je souhaite que Tarik Ramadan apostasie la Religion d'Amour de Tolérance et de Paix et vient nous rejoindre au forum des apostats de l'islam qu'il présidera étant donné ses qualités intellectuelles indiscutables.
Je lui donne l’adresse:
http://apostats-de-lislam.xooit.org/portal.php
Je suis à peu près sûr qu'Arlitto fera la même chose en ce qui le concerne.
http://arlitto.forumprod.com/tarik-rama ... tml#p48405
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Re: Tarik le marchand de tapis
Ecrit le 10 nov.17, 00:48La direction du Collège avait été alertée Affaire RamadanAlors qu’il enseignait à Genève, l’attitude de Tariq Ramadan avait été dénoncée. Mes Bonnant et Hayat assurent sa défense.
Le célèbre islamologue Tariq Ramadan (photo) est défendu désormais, à Genève, par Me Marc Bonnant et Me Yaël Hayat.
e nouveaux témoignages révèlent que l’encadrement scolaire avait eu connaissance d’un comportement inapproprié de Tariq Ramadan envers des élèves, lorsqu’il enseignait au Collège de Saussure au début des années 90. À Genève, sa ville natale et son fief familial, Tariq Ramadan organise désormais sa défense avec Me Marc Bonnant et Me Yaël Hayat.
Depuis que l’affaire Weinstein aux États-Unis a libéré la parole de nombreuses femmes agressées sexuellement, deux Françaises ont porté plainte pour viol contre Tariq Ramadan. Par la suite, quatre Suissesses ont confié dans nos colonnes (notre édition du 5 novembre) que Tariq Ramadan avait abusé de sa position de professeur pour les séduire et les amener à entretenir avec lui des relations sexuelles. Elles décrivent toutes un homme d’une grande intelligence, fascinant, manipulateur, intimidant, ayant une forte emprise psychologique sur elles.
«J’avais tout raconté»
Alors que ses agissements alimentaient la rumeur, au début des années 90, une information très précise a été communiquée à la direction du Collège de Saussure, a appris la Tribune de Genève. «À l’époque, j’ai compris que deux élèves de Tariq Ramadan avaient eu des relations sexuelles avec lui. Elles étaient complètement sous son emprise et en souffraient. J’en avais directement parlé avec l’intéressé, qui avait nié et s’était montré menaçant verbalement avec moi. C’était grave! J’avais donc décidé de tout raconter à une doyenne, dans les détails», témoigne un ancien élève. Si ce Genevois s’exprime aujourd’hui, c’est pour que tout sorte enfin. «Tariq Ramadan avait fait quelque chose d’interdit, en contradiction totale avec son éthique professionnelle et sa morale. Peu importe sa religion et ce qu’il est devenu, il a commis une faute.»
Les faits sont bel et bien remontés jusqu’au directeur du Collège de Saussure de l’époque. Celui-ci, âgé actuellement de 75 ans, confirme: «J’ai le souvenir que quelqu’un s’était adressé à une doyenne pour lui parler d’une jeune fille majeure, âgée de 18 ans, qui avait eu, selon lui, des relations sexuelles avec ce professeur. Mais elle n’avait pas dénoncé les faits. Nous n’avions donc pas ouvert de procédure.» Pourquoi cette jeune fille n’a-t-elle pas été entendue par la direction, dans la foulée, pour éclaircir les faits? Le retraité ne s’en souvient plus, mais il indique que «lorsqu’une dénonciation était faite par une victime ou ses parents, la direction agissait». Il confie avoir surtout veillé à ce que Tariq Ramadan, nommé doyen par son prédécesseur, ne mélange pas la religion à son enseignement. En tous les cas, cette histoire n’a jamais été portée à la connaissance du Département de l’instruction publique.
Normal? Dominique Föllmi, ancien conseiller d’État chargé de l’Instruction publique entre 1989 et 1993, n’a pas pu être joint ce soir. Informée par nos soins de ces nouveaux éléments, l’ancienne conseillère d’État Martine Brunschwig Graf, en poste entre 1993 et 2003, réagit fermement: «Normalement, la victime aurait dû être contactée et entendue par la direction mise au courant, même à cette époque. Et le département aurait bien sûr dû être informé.»
Face à tant de témoignages, elle «regrette de constater qu’autant de personnes se déclarent aujourd’hui avoir été au courant sans juger bon d’en informer l’autorité».
«Propos calomnieux»
Suite aux révélations samedi de la Tribune de Genève, Tariq Ramadan a annoncé lundi sur Twitter qu’il allait réagir sur le plan judiciaire. Pour sa «défense générale en Suisse», il a choisi deux ténors du barreau: Yaël Hayat et Marc Bonnant. Ce dernier annonce: «Une plainte contre X pour diffamation sera déposée dans les jours qui viennent. Cela fera partie des actes de défense.» Cette procédure vise «dans un premier temps à débusquer les quatre accusatrices aux propos calomnieux et diffamatoires et dans un deuxième temps à déterminer si elles ont été instrumentalisées, si elles servent une cause, comment elles sont devenues des victimes vingt-cinq ans après les faits supposés et ce qu’elles recherchent aujourd’hui».
Réagissant aux derniers rebondissements, il tempère: «Je peux comprendre le silence des vraies victimes. Un débat existe sur ce qui libère leur parole. En revanche, le silence de ceux qui savent, sans vivre un traumatisme, et qui se taisent, me paraît infiniment criticable et suspect. Ils ont donc tu ce qu’ils ne savaient pas.» (TDG)
https://www.youtube.com/embed/iaRWFsotSFM
[youtube]http://www.youtube.com/embed/iaRWFsotSFM[/youtube]
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