islam et misogynie : un fait, une réalité.
Re: islam et misogynie : un fait, une réalité.
Ecrit le 13 juil.16, 09:51Et donc je ne vois pas de haine...et j'en suis pas surpris car ça fait parti de la loi islamique.
Re: islam et misogynie : un fait, une réalité.
Ecrit le 13 juil.16, 23:40Erdnaxel a écrit :Et donc je ne vois pas de haine...et j'en suis pas surpris car ça fait parti de la loi islamique.
Épouser quatre femmes, ce n'est pas de la haine
Les traiter de champs de labour, ce n'est pas de la haine
Les lapider en cas d'adultère, ce n'est pas de la haine
Les battre, ce n'est pas de la haine
Les voiler, ce n'est pas de la haine
Les traiter comme des mineures à vie, ce n'est pas de la haine
Les forcer au mariage dès l'âge de 6 ans, ce n'est pas de la haine
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: islam et misogynie : un fait, une réalité.
Ecrit le 14 juil.16, 01:21Non c'est de la polygamie.yacoub a écrit :Épouser quatre femmes, ce n'est pas de la haine
Non c'est de l'insulte.yacoub a écrit :Les traiter de champs de labour, ce n'est pas de la haine
Les hommes aussi sont lapider en cas d'adultère, et il n'y a pas de haine: juste ça fait partie des commandements de Allah et dans les hadiths Muhammad fixe 4 règles sur la lapidation.yacoub a écrit :Les lapider en cas d'adultère, ce n'est pas de la haine
C'est dans le Coran et non les musulmans ne tapent pas leur femme par haine mais parce que Allah leur demande (selon la condition donné dans le coran).yacoub a écrit :Les battre, ce n'est pas de la haine
Non, c'est juste que dans l'islam la femme est considérée comme un esclave et que le viole n'est pas considéré comme un crime.yacoub a écrit :Les voiler, ce n'est pas de la haine
Non, c'est juste que dans l'islam la femme est considérée comme un esclave.yacoub a écrit :Les traiter comme des mineures à vie, ce n'est pas de la haine
Non ce n'est pas de la haine: Muhammad aussi s'est marié avec Aicha (une gamine de 6 ans) et il est demandé d'imiter le prophète.yacoub a écrit :Les forcer au mariage dès l'âge de 6 ans, ce n'est pas de la haine
Modifié en dernier par Erdnaxel le 14 juil.16, 09:56, modifié 1 fois.
Re: islam et misogynie : un fait, une réalité.
Ecrit le 14 juil.16, 01:41La polygamie ça concerne les deux sexes. Une femme peut épouser plusieurs hommes, un homme plusieurs femmes.
Les sociétés d'islam ne permettent pas à une femme d'épouser 4 hommes, il faut donc parler de polygynie.
Il y a des sociétés polyandriques mais ce ne sont pas des sociétés islamiques.
Pour le reste, je ne commente pas, je te laisse à ta conscience.
Les sociétés d'islam ne permettent pas à une femme d'épouser 4 hommes, il faut donc parler de polygynie.
Il y a des sociétés polyandriques mais ce ne sont pas des sociétés islamiques.
Pour le reste, je ne commente pas, je te laisse à ta conscience.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: islam et misogynie : un fait, une réalité.
Ecrit le 14 juil.16, 02:05Quelle curieuse remarque.yacoub a écrit :Pour le reste, je ne commente pas, je te laisse à ta conscience.
Re: islam et misogynie : un fait, une réalité.
Ecrit le 14 juil.16, 02:24Non ce n'est pas de la haine: Muhammad aussi c'est marié avec Aicha (une gamine de 6 ans) et il est demander d'imiter le prophète.
PBSL n'est pas un prophète, c'est un charlatan qui a créé une idéologie politico-religieuse , PBSL l'a dit lui même dans un Noble Hadith, permis de satisfaire son ventre et son bas ventre.
PBSL s'est tapé la petite Aïcha 6 ans ainsi que la femme Zeyneb de son fils Zeyd.
PBSL a sucé les raisins secs de ses petits fils et a sodomisé le futur calife Omar soi-disant pour des raisons médicales.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: islam et misogynie : un fait, une réalité.
Ecrit le 14 juil.16, 10:04Merci d'avoir rectifié mes fautes d'orthographes
________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Sinon comme à la base, je n'ai aucun doute que les trois religions abrahamiques sont fausses et mauvaises: tu ne m'apportes pas grand chose avec ces arguments.
Et au final ça confirme ce que je dis, il n'y a pas de haines envers les femmes dans l'islam (coran, sunna, sira). Par contre, il y a de la haine ou de l'incitation à de la haine envers les juifs.
________________________________________________________________________________________________________________________________________________
Sinon comme à la base, je n'ai aucun doute que les trois religions abrahamiques sont fausses et mauvaises: tu ne m'apportes pas grand chose avec ces arguments.
Et au final ça confirme ce que je dis, il n'y a pas de haines envers les femmes dans l'islam (coran, sunna, sira). Par contre, il y a de la haine ou de l'incitation à de la haine envers les juifs.
Re: islam et misogynie : un fait, une réalité.
Ecrit le 24 févr.17, 06:32Malika Sorel-Sutter
Essayiste, ancien membre du Haut Conseil à l'Intégration.
Vous étiez invitée sur un plateau d’i>Télé pour parler des récents propos polémiques d’Emmanuel Macron sur la colonisation française en Algérie. Qu’étiez-vous venue défendre ?
Comme beaucoup de Français, je ne supporte plus la mise en accusation permanente de la France, rendue responsable et coupable de tous les maux. Tous les bienfaits dont elle a été – ou est encore – à l’origine sont soigneusement tus. Un réquisitoire soutenu par nombre de médias et des hordes d’idiots utiles. Réquisitoire des plus dangereux, puisqu’il entretient un climat hostile à l’égard de la France et des Français. J’ai également souhaité dénoncer l’injustice faite à des générations de militaires et appelés du contingent dont nul ne prenait la défense, alors même qu’ils sont les premiers visés par la charge très lourde portée par Emmanuel Macron. Son accusation de « crime contre l’humanité » perd tout fondement si on analyse la croissance démographique algérienne entre 1830 et 1962.
Vous avez regretté, sur le plateau, d’être la seule à défendre votre position contre trois avis identiques et contraires au vôtre. Pensez-vous que, sur ce sujet comme sur d’autres, le déséquilibre médiatique est (quasi) systématique ?
Oui, c’est malheureusement le cas. Il m’est arrivé de refuser certaines émissions, préférant m’effacer car il me paraissait clair que j’eusse été la caution du débat. Je ne veux pas me rendre, malgré moi, complice de cette entreprise qui tend à faire croire à la population qu’elle a accès à des débats équilibrés. Ce genre de configuration m’est par ailleurs particulièrement pénible. Lorsque je me retrouve face à des Français de souche qui font preuve d’une injustice profonde envers la France, je suis parfois saisie d’un haut-le-cœur…
Vous avez ensuite parlé de « procès contre la France » en évoquant cette émission, mais également la manière dont l’Histoire est enseignée dans les manuels scolaires. Quel est ce procès sans cesse fait à la France ?
L’enseignement ne devrait transmettre que des faits. Or, certains manuels portent des jugements sur des périodes ou des événements historiques, les adjectivent.
L’histoire est analysée au travers de la perception des sociétés d’aujourd’hui. L’évolution de la signification des mots à travers les époques n’est pas prise en compte. Prenons l’exemple du terme « race ». Pendant longtemps, il n’avait pas la signification et encore moins la connotation qu’on lui donne aujourd’hui. On brandit pourtant des déclarations très anciennes pour les verser à l’instruction du procès intenté à la France. Des pans de l’Histoire se retrouvent enlaidis. D’autres, qui pourraient donner motif de fierté, passent à la trappe ou deviennent optionnels. Des chapitres entiers traitent, et de manière orientée, des pages d’Histoire qui s’écrivent actuellement sous nos yeux, telle celle des flux migratoires extra-européens. C’est du lavage de cerveau façon 1984, de George Orwell. Il faut assainir ce climat. L’enjeu est aussi la pacification des salles de classes, pour permettre aux enseignants d’exercer de nouveau pleinement leur mission.
Quel est le discours qu’il faudrait selon vous tenir sur la colonisation afin que les relations s’apaisent enfin ?
Dans un récent entretien au Point, l’écrivain Kamel Daoud dit que tout le récit national algérien est tissé autour de l’histoire coloniale. Il ne faut donc pas s’attendre à ce que la classe politique, de l’autre côté de la Méditerranée, abandonne l’approche de culpabilisation de la France qui lui permet, justement, d’obtenir la soumission d’un certain nombre d’hommes politiques français avec, à la clé, concessions et avantages. Il serait salutaire pour toutes les parties en présence de construire une relation d’égal à égal. Plus que des discours, ce sont en réalité les comportements qu’il faut changer en combattant, en France, cette idéologie qui est hautement toxique. Comme je le développe dans mes livres, elle a largement contribué à rendre presque impossible l’intégration culturelle des enfants de l’immigration, avec les conséquences que nous connaissons.
Essayiste, ancien membre du Haut Conseil à l'Intégration.
Vous étiez invitée sur un plateau d’i>Télé pour parler des récents propos polémiques d’Emmanuel Macron sur la colonisation française en Algérie. Qu’étiez-vous venue défendre ?
Comme beaucoup de Français, je ne supporte plus la mise en accusation permanente de la France, rendue responsable et coupable de tous les maux. Tous les bienfaits dont elle a été – ou est encore – à l’origine sont soigneusement tus. Un réquisitoire soutenu par nombre de médias et des hordes d’idiots utiles. Réquisitoire des plus dangereux, puisqu’il entretient un climat hostile à l’égard de la France et des Français. J’ai également souhaité dénoncer l’injustice faite à des générations de militaires et appelés du contingent dont nul ne prenait la défense, alors même qu’ils sont les premiers visés par la charge très lourde portée par Emmanuel Macron. Son accusation de « crime contre l’humanité » perd tout fondement si on analyse la croissance démographique algérienne entre 1830 et 1962.
Vous avez regretté, sur le plateau, d’être la seule à défendre votre position contre trois avis identiques et contraires au vôtre. Pensez-vous que, sur ce sujet comme sur d’autres, le déséquilibre médiatique est (quasi) systématique ?
Oui, c’est malheureusement le cas. Il m’est arrivé de refuser certaines émissions, préférant m’effacer car il me paraissait clair que j’eusse été la caution du débat. Je ne veux pas me rendre, malgré moi, complice de cette entreprise qui tend à faire croire à la population qu’elle a accès à des débats équilibrés. Ce genre de configuration m’est par ailleurs particulièrement pénible. Lorsque je me retrouve face à des Français de souche qui font preuve d’une injustice profonde envers la France, je suis parfois saisie d’un haut-le-cœur…
Vous avez ensuite parlé de « procès contre la France » en évoquant cette émission, mais également la manière dont l’Histoire est enseignée dans les manuels scolaires. Quel est ce procès sans cesse fait à la France ?
L’enseignement ne devrait transmettre que des faits. Or, certains manuels portent des jugements sur des périodes ou des événements historiques, les adjectivent.
L’histoire est analysée au travers de la perception des sociétés d’aujourd’hui. L’évolution de la signification des mots à travers les époques n’est pas prise en compte. Prenons l’exemple du terme « race ». Pendant longtemps, il n’avait pas la signification et encore moins la connotation qu’on lui donne aujourd’hui. On brandit pourtant des déclarations très anciennes pour les verser à l’instruction du procès intenté à la France. Des pans de l’Histoire se retrouvent enlaidis. D’autres, qui pourraient donner motif de fierté, passent à la trappe ou deviennent optionnels. Des chapitres entiers traitent, et de manière orientée, des pages d’Histoire qui s’écrivent actuellement sous nos yeux, telle celle des flux migratoires extra-européens. C’est du lavage de cerveau façon 1984, de George Orwell. Il faut assainir ce climat. L’enjeu est aussi la pacification des salles de classes, pour permettre aux enseignants d’exercer de nouveau pleinement leur mission.
Quel est le discours qu’il faudrait selon vous tenir sur la colonisation afin que les relations s’apaisent enfin ?
Dans un récent entretien au Point, l’écrivain Kamel Daoud dit que tout le récit national algérien est tissé autour de l’histoire coloniale. Il ne faut donc pas s’attendre à ce que la classe politique, de l’autre côté de la Méditerranée, abandonne l’approche de culpabilisation de la France qui lui permet, justement, d’obtenir la soumission d’un certain nombre d’hommes politiques français avec, à la clé, concessions et avantages. Il serait salutaire pour toutes les parties en présence de construire une relation d’égal à égal. Plus que des discours, ce sont en réalité les comportements qu’il faut changer en combattant, en France, cette idéologie qui est hautement toxique. Comme je le développe dans mes livres, elle a largement contribué à rendre presque impossible l’intégration culturelle des enfants de l’immigration, avec les conséquences que nous connaissons.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
-
- 44 Réponses
- 1697 Vues
-
Dernier message par florence.yvonne
-
- 82 Réponses
- 4155 Vues
-
Dernier message par respect
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : J'm'interroge, ronronladouceur et 2 invités