[Catholique] Eglise et évolution des moeurs
- persephone
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[Catholique] Eglise et évolution des moeurs
Ecrit le 22 avr.05, 18:24En résumé, Christian est un catholique contestataire et progressiste, qui aimerait voir son Eglise changer un peu.
Alliance est sorti du cadre de la religion chrétienne pour trouver une voie problablement plus syncrétique (mâtinée de new-age, spiritisme, pensée orientale, peut-être) et après tout, pourquoi pas ...
Love est un chrétien pour qui l'autorité des Ecritures prime sur toute tradition.
Quant à moi ... je fais partie comme Christian des catholiques pratiquants, je suis très engagée dans mon Eglise locale au service des jeunes.
Ce qui nous différencie, peut-être, (tu me diras ce que tu en penses, Christian) c'est la vision de notre Eglise : Je pense que le pape n'a PAS à suivre systématiquement toutes les réformes laïques et l'évolution des moeurs.
Parce que le pape est le gardien d'une "autre" morale.
C'est bien de savoir que dans ce monde-ci, où tout bouge, où des mouvements de mode se succèdent, lassent, passent ... il existe une instance immuable, fidèle à une Ecriture millénaire.
J'ai besoin de cet ancrage-là, et je ne suis pas la seule chrétienne dans ce cas.
En revanche, je pense que sur certains sujets, l'Eglise devrait faire une petite avancée :
Je vois la souffrance des divorcés remariés, dont certains se donnent vraiment au service de la communauté tout en étant "exclus" de l'Eucharistie.
La clémence s'impose, et les prêtres "de terrain" le savent bien.
Un prêtre de ma paroisse a décidé, l'an dernier, de laisser "libre" l'accès à l'autel : Que chacun examine sa conscience, individuellement, et s'approche ou non de la Sainte Table.
Bien sûr, le divorcé remarié a rompu une union consacrée par Dieu, donc eternelle.
Qu'on ne puisse pas recevoir DEUX fois le sacrement du mariage, je suis plutôt d'accord aussi.
Mais accorder aux divorcés remariés civilement la table de l'Eucharistie, je pense que ça, ce serait bien, vraiment ...
Je suis plutôt pour le mariage des prêtres, et surtout, ce qui me tient à coeur, c'est l'unité des chrétiens, la reconnaissance et le dialogue avec les autres religions.
Comme tous les catholiques du monde, je ne fais aucun pronostic sur le pontificat de Benoït XVI, j'accueille mon pape (Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !) et j'attends ...
Bonne journée !
Alliance est sorti du cadre de la religion chrétienne pour trouver une voie problablement plus syncrétique (mâtinée de new-age, spiritisme, pensée orientale, peut-être) et après tout, pourquoi pas ...
Love est un chrétien pour qui l'autorité des Ecritures prime sur toute tradition.
Quant à moi ... je fais partie comme Christian des catholiques pratiquants, je suis très engagée dans mon Eglise locale au service des jeunes.
Ce qui nous différencie, peut-être, (tu me diras ce que tu en penses, Christian) c'est la vision de notre Eglise : Je pense que le pape n'a PAS à suivre systématiquement toutes les réformes laïques et l'évolution des moeurs.
Parce que le pape est le gardien d'une "autre" morale.
C'est bien de savoir que dans ce monde-ci, où tout bouge, où des mouvements de mode se succèdent, lassent, passent ... il existe une instance immuable, fidèle à une Ecriture millénaire.
J'ai besoin de cet ancrage-là, et je ne suis pas la seule chrétienne dans ce cas.
En revanche, je pense que sur certains sujets, l'Eglise devrait faire une petite avancée :
Je vois la souffrance des divorcés remariés, dont certains se donnent vraiment au service de la communauté tout en étant "exclus" de l'Eucharistie.
La clémence s'impose, et les prêtres "de terrain" le savent bien.
Un prêtre de ma paroisse a décidé, l'an dernier, de laisser "libre" l'accès à l'autel : Que chacun examine sa conscience, individuellement, et s'approche ou non de la Sainte Table.
Bien sûr, le divorcé remarié a rompu une union consacrée par Dieu, donc eternelle.
Qu'on ne puisse pas recevoir DEUX fois le sacrement du mariage, je suis plutôt d'accord aussi.
Mais accorder aux divorcés remariés civilement la table de l'Eucharistie, je pense que ça, ce serait bien, vraiment ...
Je suis plutôt pour le mariage des prêtres, et surtout, ce qui me tient à coeur, c'est l'unité des chrétiens, la reconnaissance et le dialogue avec les autres religions.
Comme tous les catholiques du monde, je ne fais aucun pronostic sur le pontificat de Benoït XVI, j'accueille mon pape (Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !) et j'attends ...
Bonne journée !
- nuage
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Ecrit le 22 avr.05, 21:13
persephone,
J'espère ne pas me tromper, mais il me semble que Benoît XVI vient d'accorder le droit aux personnes divorcées de venir à la communion...
D'après les infos françaises
J'espère ne pas me tromper, mais il me semble que Benoît XVI vient d'accorder le droit aux personnes divorcées de venir à la communion...
D'après les infos françaises
Le chemin de la sagesse ou de la liberté est un chemin qui mène au centre de son propre être.
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Ecrit le 22 avr.05, 22:40
J'ai aussi entendu parler de çà, mais soyons prudents : c'est peut-être de l'intox.nuage a écrit :persephone,
J'espère ne pas me tromper, mais il me semble que Benoît XVI vient d'accorder le droit aux personnes divorcées de venir à la communion...
D'après les infos françaises
Mais qui est mieux placé pour faire des réformes qu'un pape décrit comme ultra-conservateur ?
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sanctification !
Ecrit le 23 avr.05, 03:15Chère Perséphone,
"En résumé, Christian est un catholique contestataire et progressiste, qui aimerait voir son Eglise changer un peu. "
Plus simplement, je suis un chrétien catholique qui met son grain de sel dans la vie de son église afin qu'il vienne notre Seigneur Jésus-Christ.
Je prend par exemple le cas de la communion des divorcés ! J'ai depuis longtemps affirmer haut et fort, ma différence, c'est-à-dire qu'il y a une incohérence entre l'esprit de la communion, et l'exclusion des divorcés de la communion.
Je crois que la fraternité n'est pas de penser tous pareil donc comme le chef, mais de penser justement, afin de NOUS "sanctifier" ensemble. Quand un chrétien décèle une "injustice" il est préférable qu'il proclame sa différence plutôt que se soumettre bêtement à cette injustice.
Qu'en penses-tu ?
"En résumé, Christian est un catholique contestataire et progressiste, qui aimerait voir son Eglise changer un peu. "
Plus simplement, je suis un chrétien catholique qui met son grain de sel dans la vie de son église afin qu'il vienne notre Seigneur Jésus-Christ.
Je prend par exemple le cas de la communion des divorcés ! J'ai depuis longtemps affirmer haut et fort, ma différence, c'est-à-dire qu'il y a une incohérence entre l'esprit de la communion, et l'exclusion des divorcés de la communion.
Je crois que la fraternité n'est pas de penser tous pareil donc comme le chef, mais de penser justement, afin de NOUS "sanctifier" ensemble. Quand un chrétien décèle une "injustice" il est préférable qu'il proclame sa différence plutôt que se soumettre bêtement à cette injustice.
Qu'en penses-tu ?
- persephone
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Ecrit le 23 avr.05, 07:57
Oui, tout à fait, Christian, je suis d'accord !
L'Eglise est une communauté.
Elle est ce que ses membres (donc nous) font d'elle.
Et il ne faut pas hésiter à exprimer ce qui ne va franchement pas.
Je sais que le pape Jean-Paul II est resté inflexible quant aux divorcés remariés.
J'imagine la souffrance qu'on peut ressentir quand on est un "chrétien au rabais" : on peut faire partie de l'assemblée, mais on est interdit de sacrement, donc exclu du coeur de la vie de l'Eglise ...
J'ai connu des catéchistes qui restaient assises sur leur banc à la messe, parce qu'elles ne pouvaient pas communier avec les enfants.
C'est une injustice ...
Finalement, la décision de s'avancer vers la communion, est-ce que ce n'est pas quelque chose à faire dans son for intérieur, seul à seul avec sa conscience et devant Dieu ?
Et sans frapper personne d'interdit ...
Tu ne penses pas ?
L'Eglise est une communauté.
Elle est ce que ses membres (donc nous) font d'elle.
Et il ne faut pas hésiter à exprimer ce qui ne va franchement pas.
Je sais que le pape Jean-Paul II est resté inflexible quant aux divorcés remariés.
J'imagine la souffrance qu'on peut ressentir quand on est un "chrétien au rabais" : on peut faire partie de l'assemblée, mais on est interdit de sacrement, donc exclu du coeur de la vie de l'Eglise ...
J'ai connu des catéchistes qui restaient assises sur leur banc à la messe, parce qu'elles ne pouvaient pas communier avec les enfants.
C'est une injustice ...
Finalement, la décision de s'avancer vers la communion, est-ce que ce n'est pas quelque chose à faire dans son for intérieur, seul à seul avec sa conscience et devant Dieu ?
Et sans frapper personne d'interdit ...
Tu ne penses pas ?
- Christian C
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les solutions bancales ?
Ecrit le 23 avr.05, 08:52Chère Perséphone,
"Finalement, la décision de s'avancer vers la communion, est-ce que ce n'est pas quelque chose à faire dans son for intérieur, seul à seul avec sa conscience et devant Dieu ?"
c'est une question difficile. Se pose la question de la relation du Je personnel au Je divin.
La question que je me pose est celle-ci :
Est ce que le Je divin ne passe pas par le NOUS (la communion écclésiale) pour s'exprimer ?
Par exemple, le fait d'autoriser celui qui est considéré comme pécheur (le divorcé remarié) à communier pose un gros problème de contradiction.
Normalement, l'exigence de la communion éccésiale serait qu'il reconnaisse son péché et donc qu'il renonce à sa nouvelle vie conjugale.
Personnellement, je ne lis pas l'enseignement de l'évangile comme une juridiction sur le mariage indissoluble, mais comme un enseignement spirituel afin que l'amour conjugal demeure éternel.
Le fait est que l'amour conjugale est fragile, et que l'amour entre deux êtres peut s'user, au point de rendre la vie ensemble impossible.
Je suis un homme marié ! Et je peux te dire, que vivre en couple, ce n'est pas de tout confort. Je pense que c'est une exigence de vie, un don de soi , c'est un chemin d'ascèse difficile bien plus difficile que de demeurer célibataire.
Je connais des conjoints qui ont véçu pendant 20 ans ensemble, et qui ne pouvaient plus vivre une heure ensemble sans se disputer. Ils ont pourtant tout essayer pour sauver leur amour. Finalement ils ont décidé au bout de 20 ans de se séparer. Ils sont toujours de bons amis, mais chacun a reconstruit un couple ailleurs.
Faut-il condamner ces personnes ? Non, bien sûr, peut-on les considérer comme pécheurs et donc leur demander de cesser leur nouvelle vie conjugale ? Non, bien sûr.
Alors, je pense que la proposition de nos frères chrétiens orthodoxes qui examinent chaque cas particulier et tolèrent certains divorces et remariage, est préférable à toutes nos solutions bancales.
Qu'en penses-tu ?
"Finalement, la décision de s'avancer vers la communion, est-ce que ce n'est pas quelque chose à faire dans son for intérieur, seul à seul avec sa conscience et devant Dieu ?"
c'est une question difficile. Se pose la question de la relation du Je personnel au Je divin.
La question que je me pose est celle-ci :
Est ce que le Je divin ne passe pas par le NOUS (la communion écclésiale) pour s'exprimer ?
Par exemple, le fait d'autoriser celui qui est considéré comme pécheur (le divorcé remarié) à communier pose un gros problème de contradiction.
Normalement, l'exigence de la communion éccésiale serait qu'il reconnaisse son péché et donc qu'il renonce à sa nouvelle vie conjugale.
Personnellement, je ne lis pas l'enseignement de l'évangile comme une juridiction sur le mariage indissoluble, mais comme un enseignement spirituel afin que l'amour conjugal demeure éternel.
Le fait est que l'amour conjugale est fragile, et que l'amour entre deux êtres peut s'user, au point de rendre la vie ensemble impossible.
Je suis un homme marié ! Et je peux te dire, que vivre en couple, ce n'est pas de tout confort. Je pense que c'est une exigence de vie, un don de soi , c'est un chemin d'ascèse difficile bien plus difficile que de demeurer célibataire.
Je connais des conjoints qui ont véçu pendant 20 ans ensemble, et qui ne pouvaient plus vivre une heure ensemble sans se disputer. Ils ont pourtant tout essayer pour sauver leur amour. Finalement ils ont décidé au bout de 20 ans de se séparer. Ils sont toujours de bons amis, mais chacun a reconstruit un couple ailleurs.
Faut-il condamner ces personnes ? Non, bien sûr, peut-on les considérer comme pécheurs et donc leur demander de cesser leur nouvelle vie conjugale ? Non, bien sûr.
Alors, je pense que la proposition de nos frères chrétiens orthodoxes qui examinent chaque cas particulier et tolèrent certains divorces et remariage, est préférable à toutes nos solutions bancales.
Qu'en penses-tu ?
- persephone
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Ecrit le 24 avr.05, 03:19
Oui, c'est un problème, au niveau doctrinal, parfaitement insoluble :
Etre divorcé remarié, c'est être adultère, donc en état de péché. Confesser se péché implique un repentir immédiat, donc se séparer de son conjoint.
Je pense que c'est peut-être une solution de "facilité", ce que j'emettais hier soir : on examine sa conscience ... Et on décide dans son for intérieur.
Au moment, tu sais, où intimement, face à Dieu, nous prononçons ce " Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir ..."
Je connais une paroisse où, bravant l'avis de Rome, les divorcés remariés ont décidé de n'écouter que leur conscience et de prendre la communion à nouveau.
C'est très, très délicat ... Le prêtre (progressiste) qui les accompagne m'avait dit :
- De quel droit, j'irais, MOI, refuser la communion à quelqu'un ?
Je ne le fais que dans une seule situation : si je me trouve devant une personne en état d'ébriété ! Autrement, ça ne me regarde pas.
Mais si je réfléchis, je crois aussi, comme tu le dis, Christian, que le JE divin passe forcément par le NOUS ecclesial, puisque l'Eglise est un corps unique.
C'est un défi pour le nouveau pape, ou son successeur peut-être ...
Ne pas claquer la porte, et ouvrir prudemment le dialogue, peut-être ?
Comme le dit l'article de la Croix, la notion de couple, de famille a tant changé, et si vite ... Autant je souhaite que l'Eglise garde son identité et sa rigueur (le roc immuable contre vents et marées et contre les modes ...) autant je pense qu'elle doit répondre à ce malaise-là ...
Je suis mariée, aussi !! Je sais comme c'est difficile, comme chaque jour demande ses efforts. Les années qui passent, les enfants, les décisions à prendre en commun, l'usure de l'habitude, et j'en passe ...
Etre divorcé remarié, c'est être adultère, donc en état de péché. Confesser se péché implique un repentir immédiat, donc se séparer de son conjoint.
Je pense que c'est peut-être une solution de "facilité", ce que j'emettais hier soir : on examine sa conscience ... Et on décide dans son for intérieur.
Au moment, tu sais, où intimement, face à Dieu, nous prononçons ce " Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir ..."
Je connais une paroisse où, bravant l'avis de Rome, les divorcés remariés ont décidé de n'écouter que leur conscience et de prendre la communion à nouveau.
C'est très, très délicat ... Le prêtre (progressiste) qui les accompagne m'avait dit :
- De quel droit, j'irais, MOI, refuser la communion à quelqu'un ?
Je ne le fais que dans une seule situation : si je me trouve devant une personne en état d'ébriété ! Autrement, ça ne me regarde pas.
Mais si je réfléchis, je crois aussi, comme tu le dis, Christian, que le JE divin passe forcément par le NOUS ecclesial, puisque l'Eglise est un corps unique.
C'est un défi pour le nouveau pape, ou son successeur peut-être ...
Ne pas claquer la porte, et ouvrir prudemment le dialogue, peut-être ?
Comme le dit l'article de la Croix, la notion de couple, de famille a tant changé, et si vite ... Autant je souhaite que l'Eglise garde son identité et sa rigueur (le roc immuable contre vents et marées et contre les modes ...) autant je pense qu'elle doit répondre à ce malaise-là ...
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Ecrit le 26 avr.05, 06:47
Jésus a répondu ceci à la question du divorce: Matthieu 5:32 Mais moi, je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour cause d'infidélité, l'expose à devenir adultère, et que celui qui épouse une femme répudiée commet un adultère.
Donc chez nous, si un des conjoints ( l'homme ou la femme ) quitte l'autre pour cause d'infidèlité, celui ou celle qui n'est pas la cause, peut se remarier devant Dieu, mais ne pourrat pas devenir pasteur, mais peut prendre la communion et jouir des autres ministères à sa disposition. Il est bien évident que si le pasteur a la chance de parler au couple il tentera de plaider le pardon par la victime envers le ou la coupable, et de continuer de vivre en couple, en consultant le pasteur régulièrement afin d'aider le couple dans la réconciliation, ce qui se fait bien sur dans la prière.
Les autres cas de divorce telque: violence conjugal, et autres sont juger par le pasteur individuellement. LOVE
Donc chez nous, si un des conjoints ( l'homme ou la femme ) quitte l'autre pour cause d'infidèlité, celui ou celle qui n'est pas la cause, peut se remarier devant Dieu, mais ne pourrat pas devenir pasteur, mais peut prendre la communion et jouir des autres ministères à sa disposition. Il est bien évident que si le pasteur a la chance de parler au couple il tentera de plaider le pardon par la victime envers le ou la coupable, et de continuer de vivre en couple, en consultant le pasteur régulièrement afin d'aider le couple dans la réconciliation, ce qui se fait bien sur dans la prière.
Les autres cas de divorce telque: violence conjugal, et autres sont juger par le pasteur individuellement. LOVE
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Re: [Catholique] Eglise et évolution des moeurs
Ecrit le 09 mars17, 12:19Ce moment où j'ai pas d'avis spécifique sur la question mais où je suis contente de voir que les débats progressistes existent dans le catholicisme aujourd'hui !
"La réalité est inséparable des médiations par lesquelles on s'en saisit." (J.Breschand)
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Re: [Catholique] Eglise et évolution des moeurs
Ecrit le 11 mars17, 06:44Tu as déterré un fil ouvert il y a douze ans !
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