Nzr a écrit :Yacoub, le Coran, ne contient pas de sadisme, ni d'incohérence, ni de contradiction, ni d'erreur scientifique, ni d'erreur historique, ni d'erreur théologique.
Lis d'abord le Coran moderne en arabe, s'il te plaît.
Et on en reparle ensuite, en bilinguisme français/arabe.
Marmhonie.
Le Coran, plagia de la Bible et du Talmud
Le Coran moderne
Le Coran moderne actuel fut écrit autour du Xème siècle et pour rappel, le prétendu prophète surnommé "le béni", Mahomet, serait mort en 632 donc on peut penser que les Califes avaient d'autres préocupations que la parole d'Allah et c'est pour ces raison que les paroles du Coran construit autour du X siècle sont si peu pacifiques.
Absence de documents historiques
Il n’existe aucun document historique attestant l’existence de l’islam en tant que religion avant le neuvième siècle, soit deux cents ans après Mahomet (mort en 632). Il y a bien eu une biographie de Mahomet rédigée par Ibn Ishaq vers 750, c’est-à-dire 118 ans après la mort du prophète, mais le texte original est perdu et il n’est que partiellement restitué dans des versions revues et modifiées par des historiens ultérieurs comme Ibn Hisham (mort en 834) et surtout Al Tabari (mort en 923). Comme c'est dommage, dirait un chrétien conciliaire adepte de toutes les inepties, pourvu qu'il n'y ait plus de guerre en ce monde. Comme si donc l'Islam pouvait se dissoudre ou se calmer : impossible !
Ne tendez ni votre joue, ni votre cou, le Coran annule le christianisme
Le contraste avec le christianisme est frappant si l’on considère que pas moins de vingt-cinq mille manuscrits du nouveau testament ont été découverts ou conservés dès le premier siècle, soit à peine quelques dizaines d’années après le début de la mission évangélique. Et tout cela aurait été "falsifié" en même temps dans mille endroits différents du monde ?
La fabrication de cet islam
Pour soutenir la comparaison avec le judaïsme et le christianisme, les savants musulmans se devaient de donner à l’islam des assises et des caractéristiques similaires, Mahomet, dont l’image était largement négative, a été élevé au rang de Moïse. Attention, de l'hébreu Moïse, pas du juif Jésus-Christ qui n'est pas toléré seulement qu'on respecte son nom dans "le noble Coran". Îsa, jeu de mot talmudique railleur, allait tellement mieux.
La Hijra (l’émigration de Mahomet et de ses compagnons de la Mecque à Médine) est devenue l’équivalent de l’Exode des hébreux, le mont Hira où Mahomet a été visité par l’ange Gabriel est devenu le pendant du mont Sinaï où Moïse a reçu les tables de la loi, le sanctuaire de la Mecque est devenu l’équivalent du temple de Jérusalem, le coran a été confirmé comme la parole incréée d’Allah à l’égal et encore plus que la Torah.
Et pas, pas une seule fois, jamais, le nom de la Mecque n'apparaît dans ce Coran. Tant mieux, cette ville n'existait pas encore sortie des sables au VII siècle.
...Afin d’assurer la suprématie de l’islam
Les patriarches et les prophètes d’Abraham à Jésus ont été récupérés et qualifiés de musulmans....
L'Islam repose sur les cendres des civilisations qu'elle récupère
À défaut d’un concept original, l’islam s’est approprié des éléments tirés des autres religions pour les mettre au service de l’empire et ainsi assurer sa stabilité. Le dogme une fois établi, tous les sujets de l’empire devaient s’y soumettre sans discussion...
Une idéologie sans état d'âme ni démocratie
L’idéologie religieuse conçue pour soutenir l’arbitraire des califes et imposer à leurs sujets la soumission ne pouvait avoir pour fondateur un prophète pacifique et humble, voilà pourquoi les califes se sont donné un prophète à leur image.
Une compilation de rêve devenu infernal à vivre
Il est peu probable que Mahomet soit l’auteur ou l’inspirateur principal du coran, cet écrit a de multiples sources, la Bible, le Talmud, la littérature rabbinique, les évangiles apocryphes, les textes hérétiques chrétiens, les textes de la liturgie syriaque, les contes et les légendes grecques et syriennes, les récits mythologiques zoroastriens, les légendes arabes, la poésie arabe préislamique etc.
Sans haine, à quoi bon la Charia et le Djihad !
D’autre part les versets haineux et intolérants, les menaces de l’enfer, les appels au meurtre des incroyants, les dispositions légales et les châtiments barbares peuvent être attribués, du moins en partie, à Hajjaj ibn Yousuf gouverneur de l’Irak sous le règne du calife omeyade Abd-el-Malik.