.L'enseignement islamique se situe donc à l'opposé d'un enseignement de pédophile
Evidemment non puisque la pédophilie ne concerne pas que la maturité physique mais aussi (et surtout) un minimum de maturité psychologique. Ainsi avoir des relations sexuelles avec un(e)adolescent(e) à peine pubère de moins 15 ans relève bien de la pédophilie puisque la loi, s'inspirant des conclusions de la médecine moderne, définit que cet adolescent n'a pas la capacité d'avoir un comportement responsable face à la sexualité et que par conséquent il peut être abuser par un adulte ou un autre mineur.
Dans le cas de l'islam, le mariage ne déroge pas à l'abus des mineurs mais au contraire le légalise et plus encore le promeut par l'exemple de son créateur. Rappelons ici que le mariage selon la loi française est fixé à l'âge de la majorité légale soit 18 ans pour les 2 sexes sans distinction de données biologiques.
Parlons d'autre chose, que dites-vous de la persistance de l'esclavage comme l'illustre si bien Daech de nos jours ou le Soudan et la Mauritanie où cette tradition bien que, désormais, interdite demeure encore. Pourquoi donc, d'ailleurs l'interdire puisqu'elle elle a été pratiquée par votre prophète et est institutionnalisée dans le coran lui-même. le prophète se serait-il trompé? Mais vous savez bien, pourquoi l'esclavage, à la lumière de la modernité, ne peut être qu'honteux par le fait même qu'il hiérarchise l'humanité définissant le supérieur, celui qui asservit, et l'inférieur, celui qui est asservi, au mépris de toute notion d'égalité de liberté et de fraternité envers son semblable sinon son prochain. Si donc l'esclavage était vertueux il serait pérenne or il a pratiquement disparu car contraire l'humanité sauf à réapparaitre au gré des résurgences sataniques. Mohamed s'est donc trompé ou plutôt a laissé continuer un concept délétère , en cela il est faillible et sa parole l'est tout autant.
Allons plus loin dans le principe d'inégalité prôné par l'islam, la femme n'est pas l'égale de l'homme; ce dernier pouvant la battre et en posséder plusieurs, sans parler de la valeur du témoignage, du droit restreint à l'héritage, mais là encore il n'y a pas de réciprocité ni de symétrie.
Que dire encore sur le fait que l'islam dans le coran (3: 110)accorde au musulman le droit de définir de façon péremptoire le "bien" et le "mal" au mépris du bien commun et du "vivre ensemble" autrement dit directement contre les principes démocratiques et les valeurs républicaines.
Qui veut détruire l'islam? personne, sinon quelques fous qui pensent encore qu'on peut lutter contre le mal avec le mal, et qui n'ont pas compris que le seul remède au mal est l'amour et tout ce qui en découle. Face à cela, l'islam se délitera de lui-même comme d'autres idéologies sont mortes d'avoir été vectrices d'injustice et d'inhumanité.