marco ducercle a écrit :
C'est normal, ce ne sont pas des êtres humains mais des animaux.
Oui, c'est ce que disaient nos pères des Lumières (on l'a dit avec cynisme et peut-être avec humour sur la personne de Dieudonné), après, il existe des versions aseptisées :
"Etre nègre n'est pas une race, c'est une maladie"
Jules Michelet - Histoire du XIXe siècle, tome 1
Des chercheurs contemporains courageux, comme Marion Sigaut, dévoilent avec succès l’imposture de ce grand philosophe français (Voltaire), sauf que, malheureusement, il n’est pas le seul à souffrir de ce genre de symptômes :
Martin Luther (Fondateur du protestantisme ; dans Les juifs et leurs mensonges (Von den Juden und ihren lügen) et les dernières paroles de David)
Parlant des juifs :
« C’est un peuple abominable, qui ruine tous les autres par l’usure … il n’y a rien à tirer de ces malheureux, qui ne veulent pas écouter la parole divine et se contentent de leurs propres idées.
« Si un juif vient me demander le baptême, je le lui donnerai ; mais je le mènerai aussitôt sur le pont de l’Elbe, lui accrocherai une meule de moulin au cou et le jetterai à l’eau.
« Qu’on brûle leurs synagogues et leurs écoles ! ce qui ne veut pas brûler, qu’on le couvre de terre ! Qu’on l’ensevelisse d’une telle façon que jamais plus personne n’en trouve pierre sur pierre ni un déchet ! Qu’on enfonce et démolisse leurs maisons ! Qu’on leur enlève tous leurs livres de prière et leurs talmuds ! Qu’on interdisse à leur rabbins sous peine de mort, de prodiguer leur enseignement ! qu’on refuse aux juifs tout droit d’escorte et de protection publique ! qu’on leur défende de faire du commerce ! Qu’on leur prenne leurs économies, leurs bijoux, leur or et leur argent ! … et si ce n’est pas suffisant, qu’on les chasse de toutes parts comme des chiens enragés ! »
Ceci a été écrit et lu en Allemagne, en 1542
David Hume (1711-1776), économiste anglais influent écrivit à son époque (dans Sur les caractères nationaux, Vol III) :
« Je suspecte les Nègres et en général les autres espèces humaines d’être naturellement inférieurs à la race blanche. Il n’y a jamais eu de nation civilisée d’une autre couleur que la couleur blanche, ni d’individu illustre par ses actions ou par sa capacité de réflexion... Il n’y a chez eux ni engins manufacturés, ni art, ni science. Sans faire mention de nos colonies, il y a des Nègres esclaves dispersés à travers l’Europe, on n’a jamais découvert chez eux le moindre signe d’intelligence. »
Emmanuel Kant (1724-1804), d'ajouter (dans "Essai sur les maladies de la tête, Observation sur le sentiment du beau et du sublime, éd. Flammarion, 1990") :
« La nature n’a doté le nègre d’Afrique d’aucun sentiment qui ne s’élève au-dessus de la niaiserie (...) Les Noirs (...) sont si bavards qu'il faut les séparer et les disperser à coups de bâton. »
Le zoologiste, G. Cuvier d'écrire à son tour (dans Recherches sur les ossements fossiles, Volume 1, Paris, Deterville, 1812) :
« La race nègre est confinée au midi de l'Atlas, son teint est noir, ses cheveux crépus, son crâne comprimé et son nez écrasé ; son museau saillant et ses grosses lèvres la rapprochent manifestement des singes : les peuplades qui la composent sont toujours restées barbares (...) la plus dégradée des races humaines, dont les formes s'approchent le plus de la brute, et dont l'intelligence ne s'est élevée nulle part au point d'arriver à un gouvernement régulier. »
Puis Montesquieu (dans L'esprit des Lois) en 1748 :
« On ne peut se mettre dans l'idée que Dieu, qui est un être sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. (...) Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous mêmes chrétiens. »
Puis sous la plume de Hegel (dans La raison dans l'histoire, Paris, Plon, 1965) :
« Les Africains, en revanche, ne sont pas encore parvenus à cette reconnaissance de l'universel. Leur nature est le repliement en soi. Ce que nous appelons religion, état, réalité existant en soi et pour soi, valable absolument, tout cela n'existe pas encore pour eux. Les abondantes relations des missionnaires mettent ce fait hors de doute (...) Ce qui caractérise en effet les nègres, c'est précisément que leur conscience n'est pas parvenue à la contemplation d'une objectivité solide, comme par exemple Dieu, la loi, à laquelle puisse adhérer la volonté de l'homme, et par laquelle il puisse parvenir à l'intuition de sa propre essence » Et de continuer en disant que l'Afrique est : « un monde anhistorique non développé, entièrement prisonnier de l'esprit naturel et dont la place se trouve encore au seuil de l'histoire de l'universel. »
Hegel signe et persiste : « Le nègre représente l’homme naturel dans toute sa barbarie et son absence de discipline. Pour le comprendre, nous devons abandonner toutes nos façons de voir européennes. Nous ne devons penser ni à un Dieu personnel ni à une loi morale ; nous devons faire abstraction de tout esprit de respect et de moralité, de tout ce qui s’appelle sentiment, si nous voulons saisir sa nature… on ne peut rien trouver dans son caractère qui s’accorde à l’humain. »[1]
Alexis de Tocqueville (Abolitionniste !), Œuvres complètes, tome III, Paris, 1962, P. 105
« Quelque respectable que soit la position des Noirs, quelque sainte que doive être à nos yeux leur infortune, qui est notre ouvrage, il serait injuste et imprudent de ne se préoccuper que d’eux seuls. Si les Nègres ont droit à devenir libres, il est incontestable que les colons ont droit à n’être pas ruinés par la liberté des Nègres. »
Puis, on continue avec Ernest Renan (dans le Discours sur la nation) :
« La nature a fait une race d'ouvrier, c'est la race chinoise (...) une race de travailleur de la terre, c'est le nègre (...) une race de maîtres et de soldats, c'est la race européenne. »
Théodore Roosevelt (1858-1919, Président des USA, lettre du 3/1/1913)
« Je souhaiterais beaucoup que l’on empêchât entièrement les gens de catégorie inférieure de se reproduire, et quand la nature malfaisante de ces gens est suffisamment manifeste, des mesures devraient être prises en ce sens. Les criminels devraient être stérilisés et il devrait être interdit aux personnes faibles d’esprit de laisser des rejetons après elles… »
Georg W. F. Hegel : La raison dans l’histoire. Introduction à la philosophie de l’histoire, Paris, Éd.10/18, 1965, p. 234 et 251.