Al Sîra : La clé du Coran
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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Al Sîra : La clé du Coran
Ecrit le 27 sept.05, 21:01Al Sîra : La clé du Coran
La première version condensée en français d'Al Sîra, la Chronique de la vie de Mahomet vue par ses compagnons, corpus indispensable à la compréhension du Coran, sort ce mois-ci chez Grasset. Est-ce un hasard ? Ses traducteurs sont des politologues égyptiens.
Propos recueillis par Catherine Golliau
Interview de Bahgat Einadi et Adel Rifaat, alias Mahmoud Hussein, anciens directeurs du Courrier de l'Unesco et auteurs de cette traduction d'Al Sîra. Ils ont également écrit « Arabes et Israéliens, un premier dialogue » (Seuil, avec Jean Lacouture et Saül Friedlander).
Le Point : Cette version d'Al Sîravous a pris dix ans de votre vie pourla condenser et la traduire de l'arabe au français. Pourquoi s'être attaquéà une telle tâche ?
Nous nous sommes rendu compte qu'il était impossible de comprendre l'islam sans passer par la lecture d'Al Sîra. C'est le seul texte canonique qui permette de contextualiser la révélation des versets du Coran. Le Coran, en effet, n'a pas été transmis en une seule fois, mais sur une période de plus de vingt ans, dans des circonstances très diverses et pour répondre à des interrogations précises. Al Sîra replace le processus dans son contexte. Mais, rédigée par différents chroniqueurs, Al Sîra est un corpus énorme, confus, bourré de répétitions et de références parfois obscures, à la langue arabe difficile. Il en existe au départ quatre versions. Un musulman n'en connaît généralement que des bribes apprises ici ou là, ce qui permet toutes les manipulations. Il existait bien jusqu'ici des sélections de textes, qui censuraient beaucoup de ses aspects, et des commentaires apologétiques. Nous avons voulu le rendre accessible au plus grand nombre en en faisant un condensé sans ajout et sans censure.
Quel type d'informations apporteAl Sîra ?
Des récits imagés, des chronologies, des notations concrètes sur la manière dont le Prophète a formulé telle ou telle opinion. C'est là que l'on découvre, par exemple, que s'il a bien donné l'ordre de lapider un couple adultère (pas seulement la femme !), c'était un couple juif, à la demande de notables juifs, et que, les Arabes ne connaissant pas la lapidation, il s'est fondé sur un châtiment prévu dans la Bible ! Après sa mort, sa décision a fait jurisprudence alors que le Coran lui-même ne mentionne pas ce châtiment. Il dispose que l'homme adultère ne peut épouser qu'une femme adultère, ce qui implique qu'ils soient tous les deux vivants...
Ces textes montrent un Mahometdont l'avis est parfois contredit parle Coran.
C'est vrai. Ainsi, quand l'un de ses compagnons vient lui demander quel serait le sort, le jour du Jugement dernier, de prêtres chrétiens dont la piété l'avait impressionné, il répond : « Les flammes de l'enfer », opinion rectifiée peu après par la sourate II, 67 du Coran : « Ceux qui croient en Dieu et au Jugement dernier... les juifs, les chrétiens trouveront leur récompense auprès de leur Seigneur. » Ces Chroniques humanisent le personnage du Prophète. Mahomet ne cessait d'ailleurs de répéter : « Je suis un être humain comme vous, à qui il arrive de se tromper comme vous. »
Son enseignement est-il donccontestable ?
La parole du Coran est sacrée, mais dans le texte lui-même il y a des versets qui se contredisent, certains étant abrogés par d'autres. Ce n'est pas un problème en soi, puisque le Coran lui-même l'admet. Une religion ne peut survivre et se développer qu'en acceptant les contradictions. Elle a besoin de débats pour évoluer. Du IXe au XIe siècle (au XIIe en Andalousie), pendant la période dite de l'Ijtihad, quand s'élabore Al Sîra, on débattait de tout, y compris de la nature de Dieu. La stimulation intellectuelle entre juifs, chrétiens et Arabes a alors atteint son apogée. Rien à voir avec la fermeture et la pudibonderie actuelles. Depuis vingt ans, le wahhabisme saoudien a donné une version réductrice de l'islam. Or, dans aucune religion, la parole de Dieu ne peut être enfermée dans une seule interprétation
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La première version condensée en français d'Al Sîra, la Chronique de la vie de Mahomet vue par ses compagnons, corpus indispensable à la compréhension du Coran, sort ce mois-ci chez Grasset. Est-ce un hasard ? Ses traducteurs sont des politologues égyptiens.
Propos recueillis par Catherine Golliau
Interview de Bahgat Einadi et Adel Rifaat, alias Mahmoud Hussein, anciens directeurs du Courrier de l'Unesco et auteurs de cette traduction d'Al Sîra. Ils ont également écrit « Arabes et Israéliens, un premier dialogue » (Seuil, avec Jean Lacouture et Saül Friedlander).
Le Point : Cette version d'Al Sîravous a pris dix ans de votre vie pourla condenser et la traduire de l'arabe au français. Pourquoi s'être attaquéà une telle tâche ?
Nous nous sommes rendu compte qu'il était impossible de comprendre l'islam sans passer par la lecture d'Al Sîra. C'est le seul texte canonique qui permette de contextualiser la révélation des versets du Coran. Le Coran, en effet, n'a pas été transmis en une seule fois, mais sur une période de plus de vingt ans, dans des circonstances très diverses et pour répondre à des interrogations précises. Al Sîra replace le processus dans son contexte. Mais, rédigée par différents chroniqueurs, Al Sîra est un corpus énorme, confus, bourré de répétitions et de références parfois obscures, à la langue arabe difficile. Il en existe au départ quatre versions. Un musulman n'en connaît généralement que des bribes apprises ici ou là, ce qui permet toutes les manipulations. Il existait bien jusqu'ici des sélections de textes, qui censuraient beaucoup de ses aspects, et des commentaires apologétiques. Nous avons voulu le rendre accessible au plus grand nombre en en faisant un condensé sans ajout et sans censure.
Quel type d'informations apporteAl Sîra ?
Des récits imagés, des chronologies, des notations concrètes sur la manière dont le Prophète a formulé telle ou telle opinion. C'est là que l'on découvre, par exemple, que s'il a bien donné l'ordre de lapider un couple adultère (pas seulement la femme !), c'était un couple juif, à la demande de notables juifs, et que, les Arabes ne connaissant pas la lapidation, il s'est fondé sur un châtiment prévu dans la Bible ! Après sa mort, sa décision a fait jurisprudence alors que le Coran lui-même ne mentionne pas ce châtiment. Il dispose que l'homme adultère ne peut épouser qu'une femme adultère, ce qui implique qu'ils soient tous les deux vivants...
Ces textes montrent un Mahometdont l'avis est parfois contredit parle Coran.
C'est vrai. Ainsi, quand l'un de ses compagnons vient lui demander quel serait le sort, le jour du Jugement dernier, de prêtres chrétiens dont la piété l'avait impressionné, il répond : « Les flammes de l'enfer », opinion rectifiée peu après par la sourate II, 67 du Coran : « Ceux qui croient en Dieu et au Jugement dernier... les juifs, les chrétiens trouveront leur récompense auprès de leur Seigneur. » Ces Chroniques humanisent le personnage du Prophète. Mahomet ne cessait d'ailleurs de répéter : « Je suis un être humain comme vous, à qui il arrive de se tromper comme vous. »
Son enseignement est-il donccontestable ?
La parole du Coran est sacrée, mais dans le texte lui-même il y a des versets qui se contredisent, certains étant abrogés par d'autres. Ce n'est pas un problème en soi, puisque le Coran lui-même l'admet. Une religion ne peut survivre et se développer qu'en acceptant les contradictions. Elle a besoin de débats pour évoluer. Du IXe au XIe siècle (au XIIe en Andalousie), pendant la période dite de l'Ijtihad, quand s'élabore Al Sîra, on débattait de tout, y compris de la nature de Dieu. La stimulation intellectuelle entre juifs, chrétiens et Arabes a alors atteint son apogée. Rien à voir avec la fermeture et la pudibonderie actuelles. Depuis vingt ans, le wahhabisme saoudien a donné une version réductrice de l'islam. Or, dans aucune religion, la parole de Dieu ne peut être enfermée dans une seule interprétation
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Propos recueillis par Catherine Golliau
Interview de Bahgat Einadi et Adel Rifaat, alias Mahmoud Hussein, anciens directeurs du Courrier de l'Unesco et auteurs de cette traduction d'Al Sîra. Ils ont également écrit « Arabes et Israéliens, un premier dialogue » (Seuil, avec Jean Lacouture et Saül Friedlander).
Le Point : Cette version d'Al Sîravous a pris dix ans de votre vie pourla condenser et la traduire de l'arabe au français. Pourquoi s'être attaquéà une telle tâche ?
Nous nous sommes rendu compte qu'il était impossible de comprendre l'islam sans passer par la lecture d'Al Sîra. C'est le seul texte canonique qui permette de contextualiser la révélation des versets du Coran. Le Coran, en effet, n'a pas été transmis en une seule fois, mais sur une période de plus de vingt ans, dans des circonstances très diverses et pour répondre à des interrogations précises. Al Sîra replace le processus dans son contexte. Mais, rédigée par différents chroniqueurs, Al Sîra est un corpus énorme, confus, bourré de répétitions et de références parfois obscures, à la langue arabe difficile. Il en existe au départ quatre versions. Un musulman n'en connaît généralement que des bribes apprises ici ou là, ce qui permet toutes les manipulations. Il existait bien jusqu'ici des sélections de textes, qui censuraient beaucoup de ses aspects, et des commentaires apologétiques. Nous avons voulu le rendre accessible au plus grand nombre en en faisant un condensé sans ajout et sans censure.
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Des récits imagés, des chronologies, des notations concrètes sur la manière dont le Prophète a formulé telle ou telle opinion. C'est là que l'on découvre, par exemple, que s'il a bien donné l'ordre de lapider un couple adultère (pas seulement la femme !), c'était un couple juif, à la demande de notables juifs, et que, les Arabes ne connaissant pas la lapidation, il s'est fondé sur un châtiment prévu dans la Bible ! Après sa mort, sa décision a fait jurisprudence alors que le Coran lui-même ne mentionne pas ce châtiment. Il dispose que l'homme adultère ne peut épouser qu'une femme adultère, ce qui implique qu'ils soient tous les deux vivants...
Ces textes montrent un Mahometdont l'avis est parfois contredit parle Coran.
C'est vrai. Ainsi, quand l'un de ses compagnons vient lui demander quel serait le sort, le jour du Jugement dernier, de prêtres chrétiens dont la piété l'avait impressionné, il répond : « Les flammes de l'enfer », opinion rectifiée peu après par la sourate II, 67 du Coran : « Ceux qui croient en Dieu et au Jugement dernier... les juifs, les chrétiens trouveront leur récompense auprès de leur Seigneur. » Ces Chroniques humanisent le personnage du Prophète. Mahomet ne cessait d'ailleurs de répéter : « Je suis un être humain comme vous, à qui il arrive de se tromper comme vous. »
Son enseignement est-il donccontestable ?
La parole du Coran est sacrée, mais dans le texte lui-même il y a des versets qui se contredisent, certains étant abrogés par d'autres. Ce n'est pas un problème en soi, puisque le Coran lui-même l'admet. Une religion ne peut survivre et se développer qu'en acceptant les contradictions. Elle a besoin de débats pour évoluer. Du IXe au XIe siècle (au XIIe en Andalousie), pendant la période dite de l'Ijtihad, quand s'élabore Al Sîra, on débattait de tout, y compris de la nature de Dieu. La stimulation intellectuelle entre juifs, chrétiens et Arabes a alors atteint son apogée. Rien à voir avec la fermeture et la pudibonderie actuelles. Depuis vingt ans, le wahhabisme saoudien a donné une version réductrice de l'islam. Or, dans aucune religion, la parole de Dieu ne peut être enfermée dans une seule interprétation
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La première version condensée en français d'Al Sîra, la Chronique de la vie de Mahomet vue par ses compagnons, corpus indispensable à la compréhension du Coran, sort ce mois-ci chez Grasset. Est-ce un hasard ? Ses traducteurs sont des politologues égyptiens.
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Interview de Bahgat Einadi et Adel Rifaat, alias Mahmoud Hussein, anciens directeurs du Courrier de l'Unesco et auteurs de cette traduction d'Al Sîra. Ils ont également écrit « Arabes et Israéliens, un premier dialogue » (Seuil, avec Jean Lacouture et Saül Friedlander).
Le Point : Cette version d'Al Sîravous a pris dix ans de votre vie pourla condenser et la traduire de l'arabe au français. Pourquoi s'être attaquéà une telle tâche ?
Nous nous sommes rendu compte qu'il était impossible de comprendre l'islam sans passer par la lecture d'Al Sîra. C'est le seul texte canonique qui permette de contextualiser la révélation des versets du Coran. Le Coran, en effet, n'a pas été transmis en une seule fois, mais sur une période de plus de vingt ans, dans des circonstances très diverses et pour répondre à des interrogations précises. Al Sîra replace le processus dans son contexte. Mais, rédigée par différents chroniqueurs, Al Sîra est un corpus énorme, confus, bourré de répétitions et de références parfois obscures, à la langue arabe difficile. Il en existe au départ quatre versions. Un musulman n'en connaît généralement que des bribes apprises ici ou là, ce qui permet toutes les manipulations. Il existait bien jusqu'ici des sélections de textes, qui censuraient beaucoup de ses aspects, et des commentaires apologétiques. Nous avons voulu le rendre accessible au plus grand nombre en en faisant un condensé sans ajout et sans censure.
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Des récits imagés, des chronologies, des notations concrètes sur la manière dont le Prophète a formulé telle ou telle opinion. C'est là que l'on découvre, par exemple, que s'il a bien donné l'ordre de lapider un couple adultère (pas seulement la femme !), c'était un couple juif, à la demande de notables juifs, et que, les Arabes ne connaissant pas la lapidation, il s'est fondé sur un châtiment prévu dans la Bible ! Après sa mort, sa décision a fait jurisprudence alors que le Coran lui-même ne mentionne pas ce châtiment. Il dispose que l'homme adultère ne peut épouser qu'une femme adultère, ce qui implique qu'ils soient tous les deux vivants...
Ces textes montrent un Mahometdont l'avis est parfois contredit parle Coran.
C'est vrai. Ainsi, quand l'un de ses compagnons vient lui demander quel serait le sort, le jour du Jugement dernier, de prêtres chrétiens dont la piété l'avait impressionné, il répond : « Les flammes de l'enfer », opinion rectifiée peu après par la sourate II, 67 du Coran : « Ceux qui croient en Dieu et au Jugement dernier... les juifs, les chrétiens trouveront leur récompense auprès de leur Seigneur. » Ces Chroniques humanisent le personnage du Prophète. Mahomet ne cessait d'ailleurs de répéter : « Je suis un être humain comme vous, à qui il arrive de se tromper comme vous. »
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La parole du Coran est sacrée, mais dans le texte lui-même il y a des versets qui se contredisent, certains étant abrogés par d'autres. Ce n'est pas un problème en soi, puisque le Coran lui-même l'admet. Une religion ne peut survivre et se développer qu'en acceptant les contradictions. Elle a besoin de débats pour évoluer. Du IXe au XIe siècle (au XIIe en Andalousie), pendant la période dite de l'Ijtihad, quand s'élabore Al Sîra, on débattait de tout, y compris de la nature de Dieu. La stimulation intellectuelle entre juifs, chrétiens et Arabes a alors atteint son apogée. Rien à voir avec la fermeture et la pudibonderie actuelles. Depuis vingt ans, le wahhabisme saoudien a donné une version réductrice de l'islam. Or, dans aucune religion, la parole de Dieu ne peut être enfermée dans une seule interprétation
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(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
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Ecrit le 30 sept.05, 07:08
Foutaise ! ! !le wahhabisme saoudien a donné une version réductrice de l'islam. Or, dans aucune religion, la parole de Dieu ne peut être enfermée dans une seule interprétation
« Je vous ai laissé sur une voie claire de nuit comme de jour,
ne s’en égare que celui qui est voué à la perdition. »
Rapporté par Ahmed et ibn Majah
ou encore !
« Un groupe (Ta-ifat) de ma communauté (Oumma) sera toujours assisté par la victoire, sans se soucier de ceux qui lui nuisent jusqu’à la dernière heure »
Sahih, rapporté par Ahmad.
de plus, le wahabsime comme disent les anglophone, n'ont rien donné, car cette vision, c'est la voie des gens de "Ahlou sounnah wa jam3a," ou de la salafya ( La Voie des Pieux predecesseur), qui suivent le Coran et la sounnah, a la Lettre, et dont le Monde musulman est entrain de revenir,
Pratqiuer Un Texte Pur, et une Tradition Pur, excluant Toutes Innovations !
voila par quoi le Monde Musulman reviendra !
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Ecrit le 30 sept.05, 08:31
Sans aucun doute... et de wahabismepatlek a écrit :Tu as des problémes de vue abou??
Voici la confirmation des contradictions que l'on discute bien plus que souvent:
Son enseignement est-il donc contestable ?
La parole du Coran est sacrée, mais dans le texte lui-même il y a des versets qui se contredisent, certains étant abrogés par d'autres. Ce n'est pas un problème en soi, puisque le Coran lui-même l'admet.
Re: Al Sîra : La clé du Coran
Ecrit le 01 oct.05, 00:55hé oui, et contrairement au Christmedico a écrit :......
Mahomet ne cessait d'ailleurs de répéter : « Je suis un être humain comme vous, à qui il arrive de se tromper comme vous. » ........
1Pierre 2:
21 ... Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces,
22 Lui qui n’a point commis de péché, Et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraude;
23 lui qui, injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement;
24 lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris.
Ecrit le 01 oct.05, 01:08
Jean 14:10 (Jésus dit)evans a écrit :au fait ta un verset de la bible ou juesus dit je suis dieu?
Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c’est lui qui fait les oeuvres.
Jean 10:30 (Jésus dit)
Moi et le Père nous sommes un.
Jean 14:9
Jésus lui dit: Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe! Celui qui m’a vu a vu le Père; comment dis -tu: Montre -nous le Père?
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Re: Al Sîra : La clé du Coran
Ecrit le 01 oct.05, 03:51fredo a écrit :
fredo
c'est pas moi qui est écrit ça!
(Isaïe 30:15) Votre force résidera en ceci : dans le fait de rester calmes et [aussi] dans la confiance . AM - JW - Les Témoins de Jéhovah
Ecrit le 01 oct.05, 06:22
Oui et dans un autre verset Jésus dit qu'il est est dans les apôtres, donc les apôtres aussi sont "Dieu".fredo a écrit :
Jean 14:10 (Jésus dit)
Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même; et le Père qui demeure en moi, c’est lui qui fait les oeuvres.
Jean 10:30 (Jésus dit)
Moi et le Père nous sommes un.
Jean 14:9
Jésus lui dit: Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne m’as pas connu, Philippe! Celui qui m’a vu a vu le Père; comment dis -tu: Montre -nous le Père?
Ecrit le 01 oct.05, 10:44
Moi ce que je veux comprendre c'est pourquoi en prendre un à la lettre et l'autre ne pas le prendre à la lettre.fredo a écrit : C'est ce qui forme l'Eglise ... mais ça doit assez difficile à comprendre pour certains
C'est ce que la Bible appelle "Un seul et même Esprit"
Pourquoi quand il est dit que Dieu est en Jésus(p), vous le prenez à la lettre, c'est à dire il est dans lui, et quand il est dit que jésus(p) est dans les apôtres vous ne le prenez pas à la lettre et vous considérez que Jésus et les apôtres sont des personnes différentes.
Maintenant si tu me dit que c'est une question de foi, alors d'accord, mais alors cette foi ne repose pas sur l'évangile, car car quand on le lit on arrive pas à comprendre cela.
Ecrit le 02 oct.05, 02:31
Peut-être que tu trouveras la réponse dans ce texte:Mustapha a écrit : Moi ce que je veux comprendre c'est pourquoi en prendre un à la lettre et l'autre ne pas le prendre à la lettre.
Pourquoi quand il est dit que Dieu est en Jésus(p), vous le prenez à la lettre, c'est à dire il est dans lui, et quand il est dit que jésus(p) est dans les apôtres vous ne le prenez pas à la lettre et vous considérez que Jésus et les apôtres sont des personnes différentes.
Maintenant si tu me dit que c'est une question de foi, alors d'accord, mais alors cette foi ne repose pas sur l'évangile, car car quand on le lit on arrive pas à comprendre cela.
Colossiens 1:
15 Il (Jésus) est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.
16 Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.
17 Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui.
18 Il est la tête du corps de l’Eglise; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier.
19 Car Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui.
Christ, l'image du Dieu invisible, étant la tête de l'église, les membres font aussi partie du corps (un = unité)
Ce qui veut dire que Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit (qui font UN) c'est la TÊTE de l'église. Et l'église est UNIE à Christ (la tête).
Ecrit le 02 oct.05, 04:44
c' faux ausi, car DIEU dit en genèse:fredo a écrit : Peut-être que tu trouveras la réponse dans ce texte:
Colossiens 1:
15 Il (Jésus) est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.
16 Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.
17 Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui.
18 Il est la tête du corps de l’Eglise; il est le commencement, le premier-né d’entre les morts, afin d’être en tout le premier.
19 Car Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui.
Christ, l'image du Dieu invisible, étant la tête de l'église, les membres font aussi partie du corps (un = unité)
Ce qui veut dire que Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint-Esprit (qui font UN) c'est la TÊTE de l'église. Et l'église est UNIE à Christ (la tête).
faisons l'homme(adam) a notre image selon notre ressemblance
adam serait t'il DIEU?
si jésus est le premier de la création, il est évident qu'il ne peut être DIEU, car DIEU est incréer
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