http://www.forum-religion.org/post1166268.html#p1166268prisca a écrit :Peux tu expliquer ce que tu comprends des versets qui ont été compris par la personne que tu cites et que tu approuves et dont l'explication est celle que tu agrées et j'aurais souhaité que tu m'expliques l'explication des versets.
Le Coran affirme que Jésus est Dieu
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
Re: Le Coran affirme que Jésus est Dieu
Ecrit le 13 juin17, 23:19Il faut d'abord avoir raison. Une idée fausse est une idée fausse.
Re: Le Coran affirme que Jésus est Dieu
Ecrit le 14 juin17, 00:32prisca a écrit :Peux tu expliquer ce que tu comprends des versets qui ont été compris par la personne que tu cites et que tu approuves et dont l'explication est celle que tu agrées et j'aurais souhaité que tu m'expliques l'explication des versets.
Seleucide a écrit : http://www.forum-religion.org/post1166268.html#p1166268
Tu peux m'expliquer l'évidence qu'Adam est le calife, m'expliquer toi pas dupont durand yacoub plick plock non Seleucide stp. Merci.Seleucide a écrit : Il est évident que dans les versets, Adam est le calife, peu importe le sens que l'on donne à ce terme dans le Coran.
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
Re: Le Coran affirme que Jésus est Dieu
Ecrit le 14 juin17, 00:41Il suffit de suivre le récit coranique :yacoub a écrit :Tu peux m'expliquer l'évidence qu'Adam est le calife, m'expliquer toi pas dupont durand yacoub plick plock non Seleucide stp. Merci.
- 30. Lorsque Ton Seigneur confia aux Anges: «Je vais établir sur la terre un vicaire «Khalifa»(8). Ils dirent: «Vas-Tu y désigner un qui y mettra le désordre et répandra le sang, quand nous sommes là à Te sanctifier et à Te glorifier?» - Il dit: «En vérité, Je sais ce que vous ne savez pas!».
31. Et Il apprit à Adam tous les noms (de toutes choses), puis Il les présenta aux Anges(9) et dit: «Informez-Moi des noms de ceux-là, si vous êtes véridiques!» (dans votre prétention que vous êtes plus méritants qu’Adam).
32. - Ils dirent: «Gloire à Toi! Nous n’avons de savoir que ce que Tu nous a appris. Certes c’est Toi l’Omniscient, le Sage».
33. Il dit: «Ô Adam, informe-les de ces noms(10) ;» Puis quand celui-ci les eut informés de ces noms, Allah dit: «Ne vous ai-Je pas dit que Je connais les mystères des cieux et de la terre, et que Je sais ce que vous divulguez et ce que vous cachez?»
Le verset trente est relatif aux versets suivants, lesquels parlent de la création de l'homme, donc d'Adam.
Témoigne également de cela le récit midrashique juif précédemment cité qui est rigoureusement de la même forme.
Il faut d'abord avoir raison. Une idée fausse est une idée fausse.
Re: Le Coran affirme que Jésus est Dieu
Ecrit le 14 juin17, 01:52Ce n'est pas parce que tu rencontres le nom "Adam" qu'il s'agit de parler de la création. C'est simpliste.Seleucide a écrit :Il suffit de suivre le récit coranique :
Le verset trente est relatif aux versets suivants, lesquels parlent de la création de l'homme, donc d'Adam.
Témoigne également de cela le récit midrashique juif précédemment cité qui est rigoureusement de la même forme.
30. Lorsque Ton Seigneur confia aux Anges: «Je vais établir sur la terre un vicaire «Khalifa»(8). Ils dirent: «Vas-Tu y désigner un qui y mettra le désordre et répandra le sang, quand nous sommes là à Te sanctifier et à Te glorifier?» - Il dit: «En vérité, Je sais ce que vous ne savez pas!».
Je comprend que Dieu a dit aux Anges qu'il établira sur terre un vicaire "khalifa". Un vicaire est un remplaçant, un suppléant. C'est un religieux qui remplace le supérieur absent dans certaines communautés. Tout comme dans le Catholicisme on peut dire que le Pape exerce le pouvoir de Vicaire au Nom de Jésus, si on transpose ce mot en Islam, le vicaire est celui qui exerce le pouvoir au Nom de Dieu, et c'est le Khalifa qui a pris ce rôle là, puisque le Khalifa a établi des règles qu'il puise dans le Coran pour les exercer sur le peuple, car il joue le double rôle, religieux et politique qu'on lui connaît. Le vicaire ne peut pas être Adam, Adam n'est pas un suppléant de Dieu, Adam est l'incarnation du premier homme sur la terre, et il est tout comme nous, sauf qu'il fut lui le premier, ni plus ni moins. De plus les anges disent que ce vicaire Khalifa va mettre le désordre et répandra le sang. Adam n'est pas l'homme par excellence qui répand le chaos et le sang, il est l'homme qui donne naissance à des hommes qui eux seront de toutes les coutures, des bons et des mauvais, bons par Abel qui symbolise la sainteté, et Cain qui symbolise le diable. Et les anges s'étonnent que Dieu puisse accepter que le Khalifa prendra racine en justement répandant sang et chaos alors qu'eux les anges s'évertuent à rendre hommage à Dieu, à glorifier Dieu. Dieu dit aux anges que Dieu sait ce que les anges ignorent, qu'en somme, Dieu sait ce qu'il fait, et ce n'est pas à eux anges à se porter juges.
31. Et Il apprit à Adam tous les noms (de toutes choses), puis Il les présenta aux Anges(9) et dit: «Informez-Moi des noms de ceux-là, si vous êtes véridiques!» (dans votre prétention que vous êtes plus méritants qu’Adam).
Je comprend par ce verset suivant, que pour expliquer aux anges que lui Dieu sait tout et eux ne savent rien et ne doivent pas se porter juges, Dieu a donné à Adam la connaissance de toutes les choses, Adam est parfait connaisseur donc, et plus encore que les anges, Adam sait très bien toutes les choses, alors qu'eux qui se portent juges savent moins de choses.
32. - Ils dirent: «Gloire à Toi! Nous n’avons de savoir que ce que Tu nous a appris. Certes c’est Toi l’Omniscient, le Sage».
Les anges dirent donc à Dieu "Gloire à Dieu" nous comprenons que nous ne pouvons savoir que ce qui nous a été enseigné, et c'est toi Dieu qui est connaisseur en toutes choses pour les avoir enseignées à Adam.
33. Il dit: «Ô Adam, informe-les de ces noms(10) ;» Puis quand celui-ci les eut informés de ces noms, Allah dit: «Ne vous ai-Je pas dit que Je connais les mystères des cieux et de la terre, et que Je sais ce que vous divulguez et ce que vous cachez?»
Et Dieu dit à Adam de dire aux anges tout ce qu'il sait, et quand Adam a dit tout ce qu'il savait Dieu dit aux Anges qu'il faut qu'ils portent leur confiance en Dieu, car qui mieux que Dieu sait ce qu'il se cache dans les cœurs.
Il faut continuer, la compréhension ne tient pas en ces premiers versets.
34. "Et lorsque Nous demandâmes aux Anges de se prosterner devant Adam, ils se prosternèrent à l'exception d'Iblis qui refusa, s'enfla d'orgueil et fut parmi les infidèles. "
Dieu demanda aux anges de se mettre à l'évidence qu'Adam peut prétendre à savoir plus de choses qu'eux puisqu'il a acquis la connaissance par Dieu qui l'a instruit. Les anges se sont soumis à l'évidence, se sont prosternés devant Adam, mais seul Iblis n'a pas voulu se prosterner devant Adam. Iblis est donc distinct d'Adam, Adam n'est pas celui qui répand le sang et le chaos, puisque s'oppose à lui Iblis qui est bien celui qui est de ceux qui répandent sang et chaos. Iblis est l'esprit incarné qui refuse de reconnaître que Adam est connaisseur en toutes choses, il fait preuve de jalousie envers Adam, l'orgueil dont il est question est un péché qui l'empêche de se soumettre à Dieu puisque Adam a recueilli de Dieu tout ce qu'il sait et par extension Iblis refuse de se soumettre à dire : MOI JE NE SAIS QUE CE QUE DIEU DIT.
Iblis est l'homme rotor, celui qui dit "non" à tout, qui se porte juge de Dieu alors que les anges ont convenu qu'eux ne savaient rien, malgré les APPARENCES.
Bien entendu il s'agit du Coran lui même qui est objet de diffamation, car les hommes qui disent qu'eux ont porté leur jugement en disant du mal sont tout comme Iblis qui refuse de se soumettre à Dieu.
Donc le Khalifa est celui qui répand le sang et le chaos.
Ma question à ton intention : est ce que tu n'as pas le sentiment que le Khalifa porte le sang et le chaos ?
Mon autre question : tu n'as pas l'impression que tous vous dites la même chose à savoir que tout ce qui transparait du Coran n'est que désolation et vous vous portez juge, comme le font les anges ?
Est ce que ce n'est pas à longueur de temps que j'entend le discours qui consiste à dire comment pouvons nous croire au Coran alors qu'il y a des gens qui répandent le sang et le chaos, et ces gens sont bien issus du Khalifa puisqu'ils se portent dans l'échelle de la responsabilité de ce qui arrive au plus haut dans les dignitaires qui ont fait main basse sur le devenir des hommes en Islam ?
Vous basez vos jugements à partir des faits eux mêmes en regardant les terroristes lesquels sont les bras armés des califes, et vous faites comme Iblis qui refuse de se soumettre à l'idée que DIEU EST OMNIPOTENT et DIEU SAIT ce que vous vous ignorez.
En somme, quand bien même DIEU A UN PLAN ayez au moins l'obligeance de reconnaître que vous ne savez rien vous, DIEU SAIT CE QU'IL FAIT.
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
Re: Le Coran affirme que Jésus est Dieu
Ecrit le 14 juin17, 02:24Qui lui a succédé par exemple. Que dit le coran au sujet du Califat ? Qu'il doit passer ou doit perdurer ?prisca a écrit : Tu peux m'expliquer l'évidence qu'Adam est le calife
Re: Le Coran affirme que Jésus est Dieu
Ecrit le 14 juin17, 03:09Un article au hasard du net explique bien où se situe le califat depuis qu'il est apparu.
Retour du « Califat » ? Contre toutes les oppressions, la démocratie
Publié le 21 avril 2016 | 2 Commentaires
Abd al-Rahmân al-Kawâkibî, Syrien (1849-1902), ne jouit sans doute pas, dans nos contrées, d’une grande reconnaissance ni même d’une connaissance. Son essai, « Du despotisme », publié en 1902 au Caire, vient juste d’être traduit. Il faut lui reconnaître le statut d’un grand texte fondateur. Avec d’autres, il défend la venue du nationalisme arabe, la construction d’Etat-Nation, Etats de droit, pour combattre l’asservissement des populations qui prive le monde arabe de la force vive de l’intelligence et de la réflexion. L’argumentation qu’il utilise est étrange pour l’Occidental laïque. Il s’appuie sur les sourates du prophète, qu’il veut débarrasser de ses exégèses, pour justifier la nécessité de mettre fin à la tyrannie qui s’appuie sur une lecture du Coran qui permettrait de la justifier. Dans le même mouvement, il s’appuie sur les philosophes français, des « Lumières », pour indiquer un chemin, pour le monde arabo-musulman, d’entrée dans la modernité. Il s’oppose, de ce fait, au « panarabisme » pour permettre les avancées démocratiques et sociales.
Les chapitres s’organisent autour des tares du despotisme dans tous les domaines. Cette dénonciation n’appartient pas totalement au passé. Tous les régimes dictatoriaux se reconnaîtront. Les « printemps arabes » pourraient trouver dans ce livre de quoi alimenter leur volonté démocratique. Al-Kawâkibî ne prône pas la sécularisation mais la séparation de la religion et de l’Etat tout en reconnaissant une place à la « société civile » comme on dit aujourd’hui. Il propose que, à l’image de la papauté, le Califat soit relégué dans une enclave sans peser sur les gouvernements.
Ce fantasme du Califat revient en force avec Daesh, acronyme de l’« Etat Islamique en Irak et au Levant ». Le 29 juin 2014, le monde a découvert le nouveau calife, sous le nom de « Ibrahim » pour indiquer un lien de parenté avec Mahomet. Le « Califat » remonte aux premiers temps de l’Islam, après la mort du Prophète. Pour les « monarques » de ces temps, il fallait trouver une source de légitimation. La seule possibilité était la référence au religieux. Comme partout. Le Roi de France était aussi l’oint du Seigneur. Au cours de l’Histoire, la notion même de Califat et son contenu ont évolué pour s’arrêter à l’Empire Ottoman. Sa fin officielle a été proclamée en 1929 par Mustapha Kemal. Nabil Mouline, dans « Le Califat, histoire politique de l’Islam », propose une analyse qui s’inscrit à la fois dans « le cadre de la sociologie historique et de l’histoire sociologique », comme dans celui de « l’histoire connectée » pour appréhender la place de cette utopie. Il reprend aussi tous ces penseurs qui, comme al-Kawâkibî, ont défendu, à la fin du 19e siècle, une conception de la démocratie. Il insiste particulièrement sur le wahhabisme comme idéologie justifiant tous les intégrismes et barbaries… Un ouvrage de référence.
https://entreleslignesentrelesmots.word ... emocratie/
En ce qui concerne ta question : est ce qu'il doit perdurer ou passer.
Je suis comme Adam, et au seuil de ma connaissance, je ne suis pas comme les Anges à me poser des questions sur le bien fondé de l'existence du califat, ni même je me pose la question est ce qu'il disparaitra, car IL VA DE SOI qu'il disparaitra du fait que Dieu sait ce qu'il fait tandis que nous, nous savons que la fin indubitablement tendra vers la répression des sanguinaires qui auront du fil à retordre, le Coran est très éloquent sur cela, leur répression et leur disparition bien entendu, nous le savons parce que nous mettons notre confiance en Dieu qui sait tout alors que nous nous ne savons rien.
Le Coran n'a pas vu le jour pour que le Califat s'en inspire et qu'il persiste, mais bien le piège lui est tendu pour qu'il disparaisse bel et bien.
Retour du « Califat » ? Contre toutes les oppressions, la démocratie
Publié le 21 avril 2016 | 2 Commentaires
Abd al-Rahmân al-Kawâkibî, Syrien (1849-1902), ne jouit sans doute pas, dans nos contrées, d’une grande reconnaissance ni même d’une connaissance. Son essai, « Du despotisme », publié en 1902 au Caire, vient juste d’être traduit. Il faut lui reconnaître le statut d’un grand texte fondateur. Avec d’autres, il défend la venue du nationalisme arabe, la construction d’Etat-Nation, Etats de droit, pour combattre l’asservissement des populations qui prive le monde arabe de la force vive de l’intelligence et de la réflexion. L’argumentation qu’il utilise est étrange pour l’Occidental laïque. Il s’appuie sur les sourates du prophète, qu’il veut débarrasser de ses exégèses, pour justifier la nécessité de mettre fin à la tyrannie qui s’appuie sur une lecture du Coran qui permettrait de la justifier. Dans le même mouvement, il s’appuie sur les philosophes français, des « Lumières », pour indiquer un chemin, pour le monde arabo-musulman, d’entrée dans la modernité. Il s’oppose, de ce fait, au « panarabisme » pour permettre les avancées démocratiques et sociales.
Les chapitres s’organisent autour des tares du despotisme dans tous les domaines. Cette dénonciation n’appartient pas totalement au passé. Tous les régimes dictatoriaux se reconnaîtront. Les « printemps arabes » pourraient trouver dans ce livre de quoi alimenter leur volonté démocratique. Al-Kawâkibî ne prône pas la sécularisation mais la séparation de la religion et de l’Etat tout en reconnaissant une place à la « société civile » comme on dit aujourd’hui. Il propose que, à l’image de la papauté, le Califat soit relégué dans une enclave sans peser sur les gouvernements.
Ce fantasme du Califat revient en force avec Daesh, acronyme de l’« Etat Islamique en Irak et au Levant ». Le 29 juin 2014, le monde a découvert le nouveau calife, sous le nom de « Ibrahim » pour indiquer un lien de parenté avec Mahomet. Le « Califat » remonte aux premiers temps de l’Islam, après la mort du Prophète. Pour les « monarques » de ces temps, il fallait trouver une source de légitimation. La seule possibilité était la référence au religieux. Comme partout. Le Roi de France était aussi l’oint du Seigneur. Au cours de l’Histoire, la notion même de Califat et son contenu ont évolué pour s’arrêter à l’Empire Ottoman. Sa fin officielle a été proclamée en 1929 par Mustapha Kemal. Nabil Mouline, dans « Le Califat, histoire politique de l’Islam », propose une analyse qui s’inscrit à la fois dans « le cadre de la sociologie historique et de l’histoire sociologique », comme dans celui de « l’histoire connectée » pour appréhender la place de cette utopie. Il reprend aussi tous ces penseurs qui, comme al-Kawâkibî, ont défendu, à la fin du 19e siècle, une conception de la démocratie. Il insiste particulièrement sur le wahhabisme comme idéologie justifiant tous les intégrismes et barbaries… Un ouvrage de référence.
https://entreleslignesentrelesmots.word ... emocratie/
En ce qui concerne ta question : est ce qu'il doit perdurer ou passer.
Je suis comme Adam, et au seuil de ma connaissance, je ne suis pas comme les Anges à me poser des questions sur le bien fondé de l'existence du califat, ni même je me pose la question est ce qu'il disparaitra, car IL VA DE SOI qu'il disparaitra du fait que Dieu sait ce qu'il fait tandis que nous, nous savons que la fin indubitablement tendra vers la répression des sanguinaires qui auront du fil à retordre, le Coran est très éloquent sur cela, leur répression et leur disparition bien entendu, nous le savons parce que nous mettons notre confiance en Dieu qui sait tout alors que nous nous ne savons rien.
Le Coran n'a pas vu le jour pour que le Califat s'en inspire et qu'il persiste, mais bien le piège lui est tendu pour qu'il disparaisse bel et bien.
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
Re: Le Coran affirme que Jésus est Dieu
Ecrit le 14 juin17, 04:11Le califat est mort avec la fin de l'empire ottoman en 1924. Il y a des fous qui veulent le ressusciter mais c'est impossible.RT2 a écrit : Qui lui a succédé par exemple. Que dit le coran au sujet du Califat ? Qu'il doit passer ou doit perdurer ?
Dar el islam est très divisé et jamais il ne s'accordera sur un calife.
57 pays qui ne s'accordent que sur leur haine d'Israël qu(il voudrait faire disparaitre de la terre pour un énième pays mahométan.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
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