Farore97 a écrit :1) Celle là ;
"C'est normal que tu ne comprennes pas. Ton attention est tournée vers les niveaux superficiels de la vie.
1) Je t'ai dit que mon attention est entièrement dévoué à l'autre et au bonheur de sa personne. Et tu dis que mon attention est tourné vers les niveaux superficiels de la vie.
Donc la personne est superficiel pour toi.
Ta conclusion est encore une fois erronée."
En quoi ce raisonnement déductif est il erroné ?
Les niveaux superficiels de la vie, c'est la recherche de la satisfaction de tes besoins matériels et émotionnels. Les niveaux plus profonds, c'est la recherche du soi.
Farore97 a écrit :2) Ils se réjouissent de la mort d'un de leur proche parce que pour eux la vie est souffrance et le fait de la quitter lui permet d'entrer dans un état d'éveil ou elle n'existe plus.
Il ne s'agit juste que de personne qui pense comme toute autres religion qu'un monde meilleur les attend après cela.
Comme toute légende d'un paradis après la vie, il ne s'agit la que de contes pour enfant qui ont peur du noir.
Les hindous en particulier veulent éliminer la souffrance de leur existence, éliminer la passion qui qui conduit aussi a la souffrance... Bref tout ce qui conduit a la souffrance.
Ils en ont peur et la fuit. Et pour cela ils renient le désir de vivre qui en est la source même.
Alors qu'en réalité ils ne voient pas le grand et tout puissant potentiel qui peu s'acquérir par l'effort et la souffrance grâce a la vie !
Il pense que tout ce qui est lié a la vie est matériel et parce que matériel mne permettant qu'un bonheur éphémère et une souffrance éternelle. Je montre le contraire en illustrant le fait que l'homme a créer l'idée de justice, l'idée de démocratie, (etc) qui permet de vivre en harmonie a plus d'un dans ce monde.
L'amitié est par ailleurs tout ce qu'il y a de plus immatériel au monde et dire qu'on s'attache a l'individu lorsque de tel sentiment sont éprouvé est absolument faux !
Mais c'est sûr, les hommes ont aussi créer cette idée de castes présente dans la religion hindou qui provoque la souffrance car le sentiment de sentir en bas de la hiérarchie et être considérer comme un moins que rien.
Au final, c'est leur mental qui commande leurs émotions. Selon leurs croyances ou leurs expériences.
Farore97 a écrit :Je répète la phrase que je t'ai dit.
La vie n'est pas dans l'intérêt de l'individu qui en profite mais de la personne qui en naît.
Le fait de grandir, se fait dans la douleur pour mieux prendre conscience du monde dans lequel on vit et pour mieux l'apprécier.
Et tant que nous souffrons cela prouve que nous sommes encore des enfants et que nous manquons de sagesse.
Mais ce n'est pas parce que tu ne souffre plus, et que tu n'es plus malheureux que tu peux te dire ne plus être enfant.
Car l'enfant peut ne plus souffrir mais peut perpétuer le souffrance autour de soi inconsciemment.
Dans ta conception du monde, personne ne devient jamais adulte. C'est marrant !
Il ne suffit pas simplement de supprimer la souffrance, mais d'aller vers la plus grande joie, la plus grande paix, le plus grand amour.
Farore97 a écrit :Tu pense être seul a penser ainsi mais tu n'es en rien la première personne que je rencontre avec cette mentalité.
Tu es persuader de ton individualité et d'être différent du reste.
Seulement vois tu ; ces paroles "je te laisse libre et tu me laisses libre" sont sorti de la bouche de personne qui aujourd'hui sont de vrai peau de vache. Pour l'anonymat je n'en citerai aucun nom. Mais tous étais persuader comme toi.
Au cas ou tu n'aurai pas bien saisi, cette mentalité n'est faite pour être finale ! Elle te convient peut être tel quel mais convient elle a l'autre ?
Il convient à chacun de trouver sa propre voie. Je te l'ai dit ! Mais je ne vois pas comment tu peux éprouver la plus grande joie, la plus grande paix, et le plus amour si tu es "peau de vache" et si tu fais du mal aux autres. Ces gens là ont dû louper quelque chose au passage.
Farore97 a écrit :Je vais te dire une histoire. Ça ne s'est pas fait sur un être humain mais sur un animal, un chat, que tout les jours on nourri sinon il meurt de faim.
Il appartient à nos voisins a la base. Mais ils ne s'en sont pas occupé et ils ne la nourrisse que très rarement. Pourquoi ?
Parce qu'ils estimaient que ce n'étais qu'un accessoires. Mais ils la laissaient faire ce qu'elle voulait, ils en avaient rien a cirer.
Un chat après tout c'est indépendant selon les mentalité populaire.
Bref ! Il l'a laissait libre et elle les laissait libre.
Mais cependant elle mourrai tout doucement de faims et nous avons decider de lui donner a manger même si elle ne nous appartenait pas.
Et pourtant je peux te dire que nous ne nous sommes pas posé la question une seule seconde, en voyant ceci.
Je vis la même chose. Le chat du voisin que l'on nourrit et que l'on soigne parce que le voisin ne s'en occupe pas ou que très rarement. Il a fini par nous adopter. Et puis, il y a aussi une chatte qui s'est égarée quand elle était toute petite. Elle venait manger dans le repas du chat d'une autre voisine. Et quand ce chat est mort, et bien elle n'avait plus grand chose à bouffer. Et finalement, elle s'est retrouvée pleine (les chats du quartier ne l'ont pas loupé les voyous). Et on a jugé qu'on ne pouvait pas la laisser mener sa grossesse sans manger correctement. Alors on l'a nourrit, et on continue de la nourrir, même si elle est farouche et ne se laisse même pas approcher. Elle a eut ses marmots entre temps (4). Résultat, on nourrit 2 chats... En plus du nôtre. Et un autre chat roux qui a suivit le plan, vient aussi se pointer aux heures de repas tout affamé qu'il est.
Alors vois tu, si je suis capable de nourrir des chats qui ne m'appartiennent même pas, ce n'est pas à des humains que je ne viendrais pas en aide.
Farore97 a écrit :Te serai tu poser la question une seule seconde toi en voyant cette misère ?
Je sais ! Ce n'est qu'un chat et pas un Homme. Mais alors imagine si cela est un Homme.
Je pense que tu as la réponse. Si tu veux, je t'envoie leurs photos.
Farore97 a écrit :Un monde meilleur pourrai naitre d'un travail qui vise a aider son prochain et non soit même pour que jamais plus la souffrance ne reviennent.
On aimerait toujours avoir quelqu'un a nos côté pour l'affronter alors c'est la moindre des choses que l'on puisse faire.
Ce monde conçu par nos ancêtres et dont nous héritons progressivement doit dès lors se preparer à etre léguer aux futurs générations.
Dans ce monde, il y a ceux qui vont se contenter de vivre cet héritage jusqu'à leur mort et il y a ceux qui vont tenter de le conserver ou voir même de l'amplifier.
Pourquoi ? Après tout quel importance puisque la logique (celle de l'athée en tout cas qui me parait la plus raisonnable) voudrait que nous retournions a poussière ?
Il y a que, grâce a ce travail, nous puissions rester d'une certaine manière immortel dans la mémoire de nos descendants et leur apporter une forme de force, de savoir que nous avons laissé des traces et que nous ne les avons pas laissé a l'abandon dans la nature.
Parce que moi je sais que j'aurai été content de vivre dans un monde pareil et quand je dis je, je parle de vous.
Je ne croix pas être si indépendant de mon camarade chinois a l'autre bout de la terre, ni même de mon frère (sens figurer) Égyptien un peu moins loin, ni même de mon ami Américain.
Nous sommes tout à fait d'accord. Je compte bien laisser un monde meilleur derrière moi et je m'y emploie tous les jours.
Farore97 a écrit :Ta spiritualité importe peu face a l'immensité du monde, et s'éteindra aussi vite qu'elle est apparu.
Pour la ÉNIÈME fois je te le répète, le monde est en interdépendance alors si tu pense que tes actes n'engage que toi et pas l'avenir des autres tu te met le doigt dans l'œil.
Je ne t'ai jamais dit que mes actes n'engageaient que moi. C'est justement pour ça que je fais en sorte que mes actions soient positives ou neutres. Seulement, ces mêmes actions du point de vue des autres peuvent paraître autrement. A qui faire confiance ? A moi même ou aux autres ? A moi même bien sûr ! Car ce qui est bon pour moi est bon pour les autres, même si ils ne le comprennent pas.
Farore97 a écrit :3) Veux tu parler de Socrate qui a chercher tout comme son élève Platon a étudier l'essence de l'Homme, tout comme Nietzsche, Schopenhauer, ou encore Marx ?
Comment Sidartha selon toi est devenu Bouddha?
Grâce à l'autre ! Il est passé de prince a ascète, impulser par diverse mentalité qui lui ont permis de trouver sa voie.
Il a vu la pauvreté de son peuple puis la souffrance inutile de l'ascétisme.
De quel manière Jésus revendique t il le fait d'être mort sut la croix ?
Comme un simple Humain. Comme un autre !
Il n'a en rien revendiqué sa singularité ni même son individualité. Les écrit le revendiquent mais lui n'a aspiré qu'à être humble.
C'est en observant le monde autour qu'ils ont trouvé le bonheur ainsi qu'une philosophie de la vie et le bonheur.
C'est la base de tout.
Ce que je dit est factuellement vrai !
C'est bien de l'autre que je grandi en sagesse et que je connais le bonheur. Le reste de l'opinion n'engage visiblement pas que moi...
Tant mieux pour toi si tu trouves ton bonheur ainsi. Pour moi, comme je te l'ai dit, l'autre est un paramètre de mon expérience, et non la pierre angulaire.
Farore97 a écrit :3) L'Homme a besoin d'une direction dans laquelle agir.
Le bien et le mal, notion aujourd'hui obsolète, lui a permis de savoir sur quel axe il doit miser ses forces et donner un sens a sa vie.
Aujourd'hui nous avons pu constater qu'elle etait relative.
Mais n'existe t il pas un Mal et un Bien aux yeux de l'humanité ?
Il ne sert a rien de dire que le mal et le bien sont subjectif. Cela paralyse l'homme dans ses actes et brouille le raisonnement.
Je n'impose rien. Mais selon ce que je vois, il se voudrait qu'un bien et un mal universel existent.
Ils se définissent par rapport au fait de nuire ou de contribuer à l'autre.
Lui nuire c'est le mal. Lui contribuer c'est le bien.
Pour l'instant c'est la notion la plus ouverte de toute.
Elle donne non loin sans faux sur plein de situations qui entraine des paradoxe et des compromis (dont la tragédie) mais représente actuellement le plus notre mentalité.
Telle est l'éthique Universelle humaine que nous suivons tous aussi bien dans le bon sens que dans le mauvais...
Pour moi, c'est beaucoup plus simple : ce qui me sert est bien, et ce qui me dessert est mal. C'est donc tout relatif, mais basé sur mon appréciation, et non sur celle des autres.
On peut nuire à quelqu'un tout en faisant le bien, et faire le bien tout en nuisant à l'autre. C'est pourquoi cette notion est aussi fragile. Si je tue un djihadiste qui allait se faire exploser, je lui nuis, et pourtant, ce faisant, je fais le bien. Mais si ce criminel se fait exploser au nom de son dieu, de son point de vue, il nuit à des innocents, mais fait le bien pour son dieu (selon sa croyance bien sûr). C'est donc tout relatif !
Farore97 a écrit :4) MLP !
Jésus n'a absolument rien promis d'exterminer du tout, au même que son Dieu. Mais pour cela, il faut savoir ne pas lire au pied de la lettre
Bref ! ... C'est bien ce qui me semblait. La différence semble t'echapper.
Essaye encore...
Désolé, mais je sais encore lire. Et quand on sait comment le père faisait, exterminant à foison tous ses opposants, vu que le fils agit pour le père, le résultat sera le même. Je veux bien ne pas le prendre au pied de la lettre, mais alors montre moi dans la Bible que YHWH le père supposé de Jésus n'exterminait pas réellement ceux qui lui désobéissaient, tout comme ses ennemis.
Farore97 a écrit :6) C'est exactement ça que je veux te montrer ! On apprend tous de tout le monde dans diverse domaine. De ce fait, le maitre et l'élève n'existe pas puisque ce sont des notions relatives.
Et loin de moi cette idée de penser que je suis u' maitre de quoique se soit mais que grâce a mon point de vue, je peux ouvrir les yeux de d'autres personnes et vice versa.
Il faut qu'il y ait maître et disciple, sinon, la connaissance sera dispersée et plus personne ne connaîtra la vérité.
Farore97 a écrit :7) Nous avons tous une part de responsabilité dans ce qui arrive a ce monde. Quelques fois nous en sommes conscient et quelques fois pas.
Le mieux est de l'etre.
Le monde est un système chaotique.
Autrement dit l'effet papillon.
Il ne sert a rien de dire qu'on a rien a se reprocher.
C'est comme si un enfant ralait pour pas aider sa mère a ramasser les débris d'un vase casser tout en disant "j'y suis pour rien", " c'est pas moi".
Évidemment que ce n'est pas toi mais tu te rend coupable d'une certaine manière de ne pas aider l'autre. C'est tout.
Je n'assume que la responsabilité de mes propres actes, et c'est déjà pas mal. Je ne vais pas en plus assumer les responsabilités des autres.
Mais évidemment que tes actions ont de l'influence sur le monde, à petite ou grande échelle. Mais la responsabilité, c'est autre chose. Il faut une corrélation certaine entre mon action et le résultat.
Farore97 a écrit :8) L'action n'est pas utile puisqu'elle vise le monde extérieur qui t'influence.
N'est ce pas cela que de vivre pleinemt ta spiritualité ?
Je t'ai dit que la vie était un jeu de création. C'est donc bien dans la monde extérieur que tu construis ce que tu as imaginé à l'intérieur.
Farore97 a écrit :9) Je ne te reproche pas de ne pas mener un combat contre la misère.
Je te reproche défendre tes fesses et uniquement tes fesses.
Quand c'est nécessaire ! Tout comme je peux défendre les fesses des autres. Ca dépend ! Mais ça doit être positif : pas de conflit, de colère ou de violence.
Farore97 a écrit :10) Je suis DSL mais la phrase " Ce qui est bon pour moi est bon pour l'autre" est une ignominie de première.
Tu as eu juste assez énormément d'égo pour sortir cette phrase et la penser.
Libre à toi de le penser, mais je persiste et je signe. Si tu arrives à me prouver que ce qui est bon pour moi n'est pas bon pour les autres, je te tire mon chapeau.
Farore97 a écrit :11) Je ne comprend pas ton histoire d'unité a la face claire ou obscure.
Je t'ai juste dit que ta notion d'unité que tu t'es fait est restreint a l'individu que tu es ; ce qui je trouve est un peu mégalomane de ta part.
Tu fais partie d'un TOUT. Penser à moi revient donc à penser aux autres. Et penser aux autres revient à penser à moi. Ce que je fais pour moi, je le fais pour les autres. Et ce que je fais pour les autres, je le fais pour moi. Ainsi, l'unité est toujours conservée. C'est quand tu te dépouilles pour l'autre qu'il n'y a plus d'unité.
Farore97 a écrit :12) Si tu te contente d'aider autrui par l'intermédiaire de t'occuper de ton propre bonheur, c'est que tu n'es qu'un pur égocentrique c'est tout !!!
Je peux aider de bien des manières.
Farore97 a écrit :13) A la différence une automobile les Hommes ne se répare pas mais guerisse. Il meurt ou devient plus fort.
L'un est une machine et l'autre un être organique vivant même si quand tout deux fument c'est qu'il va y avoir un problème...
Tu ne peux guérir que si tu es malade ou blessé. Mais ton mental produira de la souffrance pour toi et pour les autres si il est mal réglé. Si tu es jaloux et possessif, tu feras du mal, à toi et aux autres. Tu n'es pourtant ni malade, ni blessé. Tu n'as pas besoin de guérir. Tu as seulement besoin de changer ta façon de penser.
Farore97 a écrit :14) Écoute ! Le fait que tu prennes la blessure comme un signe d'esclavage en dit long sur ton passé.
Te blesser n'a pas pour but de faire de toi un esclave mais au contraire de détruire l'imperfection que l'autre décèle en toi et qui pourrait être exploité a mauvaise essient par d'autre.
Te faire esclave au contraire serai que l'on te caresse dans le bon sens du poil tout le long de ta vie et que tu te sente heureux alors que dans l'ombre les autres tirent profit en abusant de toi !
Je te donne la base qui te permet de constater toi même que tu es vulnérable et que tu ne sera pas éternellement serein. A toi de l'accepter ou de la refuser.
Ce n'est pas la blessure qui est un signe d'esclavage, mais le fait que l'autre puisse te contrôler. Si quelqu'un te blesse, il peut te contrôler. Ca veut dire que tu lui accordes suffisamment d'importance pour qu'il puisse te nuire émotionnellement. Si quelqu'un ne peut pas te blesser, il ne peut pas te nuire, et quoi qu'il fasse, tu seras hors de son contrôle.
Farore97 a écrit :Mais une chose est sûr.
Tu n'aura plus la même mentalité et tu serai forcer de la changer, de l'adapter de jour en jour. Et qui sait, celle que tu construiras sera t elle meilleur que la mienne me forçant donc a en trouver une autre ?...
Ainsi grandi l'homme. Il se construit l'opposition (comme ci dessus) ou dans la cohésion (ce que je t'explique depuis le début de mon intervention sur ce topic).
Je suis déjà arrivé à un haut niveau d'invulnérabilité. Pourquoi voudrais tu que je devienne plus faible ? Je te l'ai dit : plus de joie, plus de paix, plus de bonheur, plus d'amour. Si ce que je fais ne va pas dans ce sens, je n'en vois pas l'intérêt. Voilà pourquoi ce qui est bon pour moi est bon pour les autres. Car la paix, la joie, le bonheur et l'amour ne peuvent rien produire de négatif.