Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherché
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Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherché
Ecrit le 08 oct.16, 11:39Projet d'attentat: un Syrien, qui serait en lien avec Daesh, activement recherché en Allemagne
Des matériaux "hautement explosifs" ont été retrouvés chez le suspect, âgé de 22 ans. Une véritable chasse à l'homme est en cours.
La police allemande était engagée samedi soir dans une vaste opération dans l'est du pays pour retrouver un Syrien de 22 ans soupçonné de préparer un attentat à la bombe, avec des contrôles renforcés dans les aéroports et gares de la capitale Berlin.
Sécurité renforcée dans les aéroports
La police traque dans la ville de Chemnitz et aux alentours Jaber Albakr, né en janvier 1994, vêtu d'un "sweat à capuche noir orné d'un gros motif" et "soupçonné de préparation d'un attentat à la bombe". Le suspect aurait des liens avec l'organisation Daesh (EI), selon l'agence de presse allemande DPA, qui cite des sources des services de sécurité.
Arrivé en Allemagne l'an dernier comme réfugié, le jeune Syrien était surveillé par les renseignements intérieurs depuis un certain temps. Il est soupçonné d'être en train de préparer un attentat contre un aéroport allemand, affirme le site internet du magazine Focus.
Dans ce contexte, la sécurité dans les deux aéroports berlinois, Tegel et Schönefeld, et dans les gares de la capitale, a été renforcée. Chemnitz est située à 260 km au sud de Berlin.
Une substance encore plus dangereuse que la TNT
"Plusieurs centaines de grammes" d'une "substance explosive bien plus dangereuse que la TNT" ont été retrouvés dans le logement du suspect à Chemnitz, dont la police a forcé l'entrée à l'explosif. "Rien qu'une petite quantité de cette substance peut provoquer d'énormes dégâts", a précisé la police.
Une centaine de riverains ont été évacués, le temps que les forces de l'ordre détruisent ces matériaux explosifs dans des trous spécialement creusés dans la terre non loin de là.
Le quartier périphérique de Chemnitz où s'est déroulé l'opération policière est composé d'immeubles HLM datant de l'époque de la RDA communiste, où vivent un certain nombre de réfugiés. Samedi après-midi, des policiers habillés de noir et lourdement armés patrouillaient sous la pluie, le quartier ayant été bouclé et les résidents invités à ne pas sortir de chez eux.
"Soyez prudents"
"Actuellement, nous ne savons où (le suspect) se trouve ni ce qu'il transporte. Soyez prudents", a tweeté la police locale, qui a interpellé trois personnes à Chemnitz, des "connaissances du suspect recherché".
La gare de la ville a été bouclée pendant plusieurs heures à la suite de la découverte d'un bagage suspect, qui s'est révélé inoffensif à la suite d'une vérification par un robot.
Le mois dernier, trois porteurs de papiers syriens, arrivés en Allemagne par la même filière que les auteurs des attentats du 13 novembre à Paris, ont été arrêtés dans des foyers de réfugiés et un demandeur d'asile syrien de 16 ans, soupçonné de préparer un attentat pour le compte de Daesh, a été interpellé à Cologne (ouest).
"523 assaillants potentiels"
Selon la police allemande, il y a actuellement 523 personnes identifiées comme étant des "assaillants potentiels" pour le pays en matière d'attentat, dont la moitié se trouve en Allemagne. L'autre moitié est essentiellement constituée d'Allemands ou bi-nationaux partis à l'étranger, en Syrie notamment, et pouvant être dangereux à leur retour.
Le gouvernement a aussi admis à plusieurs reprises s'inquiéter à la fois du phénomène "d'auto-radicalisation" chez certains jeunes réfugiés et du fait qu'ils soient approchés par des mouvements jihadistes cherchant à recruter. Quelque 890.000 demandeurs d'asile sont arrivés en Allemagne l'an dernier.
BFMTV
Des matériaux "hautement explosifs" ont été retrouvés chez le suspect, âgé de 22 ans. Une véritable chasse à l'homme est en cours.
La police allemande était engagée samedi soir dans une vaste opération dans l'est du pays pour retrouver un Syrien de 22 ans soupçonné de préparer un attentat à la bombe, avec des contrôles renforcés dans les aéroports et gares de la capitale Berlin.
Sécurité renforcée dans les aéroports
La police traque dans la ville de Chemnitz et aux alentours Jaber Albakr, né en janvier 1994, vêtu d'un "sweat à capuche noir orné d'un gros motif" et "soupçonné de préparation d'un attentat à la bombe". Le suspect aurait des liens avec l'organisation Daesh (EI), selon l'agence de presse allemande DPA, qui cite des sources des services de sécurité.
Arrivé en Allemagne l'an dernier comme réfugié, le jeune Syrien était surveillé par les renseignements intérieurs depuis un certain temps. Il est soupçonné d'être en train de préparer un attentat contre un aéroport allemand, affirme le site internet du magazine Focus.
Dans ce contexte, la sécurité dans les deux aéroports berlinois, Tegel et Schönefeld, et dans les gares de la capitale, a été renforcée. Chemnitz est située à 260 km au sud de Berlin.
Une substance encore plus dangereuse que la TNT
"Plusieurs centaines de grammes" d'une "substance explosive bien plus dangereuse que la TNT" ont été retrouvés dans le logement du suspect à Chemnitz, dont la police a forcé l'entrée à l'explosif. "Rien qu'une petite quantité de cette substance peut provoquer d'énormes dégâts", a précisé la police.
Une centaine de riverains ont été évacués, le temps que les forces de l'ordre détruisent ces matériaux explosifs dans des trous spécialement creusés dans la terre non loin de là.
Le quartier périphérique de Chemnitz où s'est déroulé l'opération policière est composé d'immeubles HLM datant de l'époque de la RDA communiste, où vivent un certain nombre de réfugiés. Samedi après-midi, des policiers habillés de noir et lourdement armés patrouillaient sous la pluie, le quartier ayant été bouclé et les résidents invités à ne pas sortir de chez eux.
"Soyez prudents"
"Actuellement, nous ne savons où (le suspect) se trouve ni ce qu'il transporte. Soyez prudents", a tweeté la police locale, qui a interpellé trois personnes à Chemnitz, des "connaissances du suspect recherché".
La gare de la ville a été bouclée pendant plusieurs heures à la suite de la découverte d'un bagage suspect, qui s'est révélé inoffensif à la suite d'une vérification par un robot.
Le mois dernier, trois porteurs de papiers syriens, arrivés en Allemagne par la même filière que les auteurs des attentats du 13 novembre à Paris, ont été arrêtés dans des foyers de réfugiés et un demandeur d'asile syrien de 16 ans, soupçonné de préparer un attentat pour le compte de Daesh, a été interpellé à Cologne (ouest).
"523 assaillants potentiels"
Selon la police allemande, il y a actuellement 523 personnes identifiées comme étant des "assaillants potentiels" pour le pays en matière d'attentat, dont la moitié se trouve en Allemagne. L'autre moitié est essentiellement constituée d'Allemands ou bi-nationaux partis à l'étranger, en Syrie notamment, et pouvant être dangereux à leur retour.
Le gouvernement a aussi admis à plusieurs reprises s'inquiéter à la fois du phénomène "d'auto-radicalisation" chez certains jeunes réfugiés et du fait qu'ils soient approchés par des mouvements jihadistes cherchant à recruter. Quelque 890.000 demandeurs d'asile sont arrivés en Allemagne l'an dernier.
BFMTV
L'Angleterre est un cloaque. L'Angleterre est le vivier fertile des fondamentalistes musulmans. Son raisonnement social est de permettre a toutes les religions de prêcher ouvertement. Mais cela est déraisonnable puisque aucune des autres religions ne prêchent la violence apocalyptique. Pourtant, l'Angleterre le permet...-Wole Soyinka
Re: Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherc
Ecrit le 20 déc.16, 02:43Drame à Berlin : la tragédie du marché de Noël en images
VIDÉOS. À minuit, le camion qui avait foncé sur la foule a fait au moins 9 morts et une cinquantaine de blessés. La police aurait interpellé le chauffeur présumé.
Le Point.fr (avec AFP)
Modifié le 20/12/2016 à 06:08 - Publié le 19/12/2016 à 20:58 | Le Point.fr
Le camion a foncé sur la foule dans un marché de Noël populaire de Berlin. © AP/SIPA
Un camion a foncé dans un marché de Noël. Il y aurait plusieurs victimes, selon la police. L'agence allemande DPA, cité par l'Agence France-Presse, évoque un attentat. Des images circulent sur les réseaux sociaux montrant la carlingue du poids lourd encastrée dans un chalet, le pare-brise brisé par le choc. Les premières vidéos des témoins commencent à être diffusées et montrent l'ampleur des dégâts. Les secours sont sur place.
Le conducteur du poids lourd a roulé sur un trottoir de ce marché de Noël où se trouvaient des badauds, dans un quartier très touristique de la capitale allemande, Breitscheidplatz Square, selon un porte-parole de la police. La police de Berlin évoquait à minuit au moins neuf morts et « de nombreux blessés ». Le chauffeur du camion est en fuite, selon les médias allemands. La police dit avoir « interpellé » le conducteur présumé et un passager a été retrouvé mort, sans plus de précision.
« Nous sommes en deuil et espérons que les nombreux blessés vont pouvoir recevoir de l'aide », a indiqué le porte-parole d'Angela Merkel, Steffen Seibert, sur son compte Twitter, évoquant les « nouvelles effroyables » qui parvenaient de Berlin.
==========================================
Attentat de Berlin : le point sur l'enquête
© Tobias Schwarz, AFP | Le camion qui a foncé sur la foule sur le marché de Noël de Berlin, le 19 décembre, était immatriculé en Pologne.
Texte par FRANCE 24
Dernière modification : 20/12/2016
Un camion immatriculé en Pologne a foncé "intentionnellement" sur la foule de l'un des marchés de Noël de Berlin lundi soir, faisant au moins 12 morts et 48 blessés. La chancelière allemande a qualifié le drame d'acte terroriste.
Au lendemain de l'attaque d'un camion sur un marché de Noël à Berlin, la chancelière allemande, Angela Merkel, a estimé pouvoir "supposer qu'il s'agit d'un attentat terroriste". Le ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière, a précisé que 18 blessés sont encore dans un état grave.
Que sait-on du déroulement de l'attentat ?
Lundi 19 décembre, vers 20 heures, un camion a traversé sur 50 à 80 mètres un des marchés de Noël les plus visités à Berlin, dans l'ouest de la capitale allemande. Selon la correspondante de France 24 à Berlin, Anne Mailliet, qui était sur place deux heures avant le drame, "le lieu était très fréquenté ce soir-là à l'approche des fêtes", à la fois par les Berlinois mais aussi par les touristes. Le dernier bilan provisoire de la police fait état de 12 morts et de 48 blessés dont 18 dans un état grave. Selon la presse locale, les personnes hospitalisées souffrent de fractures diverses et d'hémorragies internes, causées par la violence du choc. Un témoin australien a indiqué que des enfants et personnes âgées figuraient parmi les personnes gisant au sol après le passage du camion. Le ministre de l’Intérieur a indiqué de pas avoir connaissance pour l’instant d’une revendication de la part du groupe État islamique.
>> À lire : J'ai juste vu ce gigantesque camion foncer sur nous
Que sait-on du conducteur du poids lourd ?
Un homme a été interpellé deux kilomètres plus loin par la police, guidée par un témoin de l'attentat qui l’a poursuivi à travers le parc Tiergarten, selon les médias allemands. Le ministre de l’Intérieur a déclaré, lors d’une conférence de presse, que le suspect, a priori pakistanais, niait toute implication dans l’attentat. Il a précisé qu’avant l’attaque, le suspect avait formulé une demande d’asile qui n’avait pas été accordée. L’homme n’était pas connu des services de police. Selon des sources au sein des services de sécurité citées par l'agence de presse allemande DPA, il serait arrivé en Allemagne le 31 décembre 2015. Cependant, un responsable de la police a indiqué aux médias que le suspect interpellé n'était pas l'auteur des faits.
D'où vient le camion ?
Le poids lourd appartient à une société de transport polonaise, qui n'a plus de nouvelles de son chauffeur. La police allemande pense qu'il a été volé. Un corps sans vie, portant trace d’un coup de feu, a été retrouvé dans la cabine du camion après le drame, sans qu’on puisse trouver l’arme responsable. Le propriétaire de la société à qui appartenait le véhicule a confirmé à l'AFP la disparition de son chauffeur. "On n'a pas de contact avec lui depuis cet après-midi. Je ne sais pas ce qui lui arrive. C'est mon cousin, je le connais depuis l'enfance. Je me porte garant de lui", a déclaré Ariel Zurawski.
Selon les dirigeants de l'entreprise, le véhicule était chargé de 25 tonnes de produits métallurgiques en provenance d'Italie. Le routier se préparait à passer la nuit à Berlin, la société berlinoise qui devait prendre le chargement n'ayant pas pu le recevoir lundi.
Avec AFP
VIDÉOS. À minuit, le camion qui avait foncé sur la foule a fait au moins 9 morts et une cinquantaine de blessés. La police aurait interpellé le chauffeur présumé.
Le Point.fr (avec AFP)
Modifié le 20/12/2016 à 06:08 - Publié le 19/12/2016 à 20:58 | Le Point.fr
Le camion a foncé sur la foule dans un marché de Noël populaire de Berlin. © AP/SIPA
Un camion a foncé dans un marché de Noël. Il y aurait plusieurs victimes, selon la police. L'agence allemande DPA, cité par l'Agence France-Presse, évoque un attentat. Des images circulent sur les réseaux sociaux montrant la carlingue du poids lourd encastrée dans un chalet, le pare-brise brisé par le choc. Les premières vidéos des témoins commencent à être diffusées et montrent l'ampleur des dégâts. Les secours sont sur place.
Le conducteur du poids lourd a roulé sur un trottoir de ce marché de Noël où se trouvaient des badauds, dans un quartier très touristique de la capitale allemande, Breitscheidplatz Square, selon un porte-parole de la police. La police de Berlin évoquait à minuit au moins neuf morts et « de nombreux blessés ». Le chauffeur du camion est en fuite, selon les médias allemands. La police dit avoir « interpellé » le conducteur présumé et un passager a été retrouvé mort, sans plus de précision.
« Nous sommes en deuil et espérons que les nombreux blessés vont pouvoir recevoir de l'aide », a indiqué le porte-parole d'Angela Merkel, Steffen Seibert, sur son compte Twitter, évoquant les « nouvelles effroyables » qui parvenaient de Berlin.
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Attentat de Berlin : le point sur l'enquête
© Tobias Schwarz, AFP | Le camion qui a foncé sur la foule sur le marché de Noël de Berlin, le 19 décembre, était immatriculé en Pologne.
Texte par FRANCE 24
Dernière modification : 20/12/2016
Un camion immatriculé en Pologne a foncé "intentionnellement" sur la foule de l'un des marchés de Noël de Berlin lundi soir, faisant au moins 12 morts et 48 blessés. La chancelière allemande a qualifié le drame d'acte terroriste.
Au lendemain de l'attaque d'un camion sur un marché de Noël à Berlin, la chancelière allemande, Angela Merkel, a estimé pouvoir "supposer qu'il s'agit d'un attentat terroriste". Le ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière, a précisé que 18 blessés sont encore dans un état grave.
Que sait-on du déroulement de l'attentat ?
Lundi 19 décembre, vers 20 heures, un camion a traversé sur 50 à 80 mètres un des marchés de Noël les plus visités à Berlin, dans l'ouest de la capitale allemande. Selon la correspondante de France 24 à Berlin, Anne Mailliet, qui était sur place deux heures avant le drame, "le lieu était très fréquenté ce soir-là à l'approche des fêtes", à la fois par les Berlinois mais aussi par les touristes. Le dernier bilan provisoire de la police fait état de 12 morts et de 48 blessés dont 18 dans un état grave. Selon la presse locale, les personnes hospitalisées souffrent de fractures diverses et d'hémorragies internes, causées par la violence du choc. Un témoin australien a indiqué que des enfants et personnes âgées figuraient parmi les personnes gisant au sol après le passage du camion. Le ministre de l’Intérieur a indiqué de pas avoir connaissance pour l’instant d’une revendication de la part du groupe État islamique.
>> À lire : J'ai juste vu ce gigantesque camion foncer sur nous
Que sait-on du conducteur du poids lourd ?
Un homme a été interpellé deux kilomètres plus loin par la police, guidée par un témoin de l'attentat qui l’a poursuivi à travers le parc Tiergarten, selon les médias allemands. Le ministre de l’Intérieur a déclaré, lors d’une conférence de presse, que le suspect, a priori pakistanais, niait toute implication dans l’attentat. Il a précisé qu’avant l’attaque, le suspect avait formulé une demande d’asile qui n’avait pas été accordée. L’homme n’était pas connu des services de police. Selon des sources au sein des services de sécurité citées par l'agence de presse allemande DPA, il serait arrivé en Allemagne le 31 décembre 2015. Cependant, un responsable de la police a indiqué aux médias que le suspect interpellé n'était pas l'auteur des faits.
D'où vient le camion ?
Le poids lourd appartient à une société de transport polonaise, qui n'a plus de nouvelles de son chauffeur. La police allemande pense qu'il a été volé. Un corps sans vie, portant trace d’un coup de feu, a été retrouvé dans la cabine du camion après le drame, sans qu’on puisse trouver l’arme responsable. Le propriétaire de la société à qui appartenait le véhicule a confirmé à l'AFP la disparition de son chauffeur. "On n'a pas de contact avec lui depuis cet après-midi. Je ne sais pas ce qui lui arrive. C'est mon cousin, je le connais depuis l'enfance. Je me porte garant de lui", a déclaré Ariel Zurawski.
Selon les dirigeants de l'entreprise, le véhicule était chargé de 25 tonnes de produits métallurgiques en provenance d'Italie. Le routier se préparait à passer la nuit à Berlin, la société berlinoise qui devait prendre le chargement n'ayant pas pu le recevoir lundi.
Avec AFP
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Re: Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherc
Ecrit le 20 déc.16, 07:10Dans combien de temps ce sera à notre tour (canada) faut régler le cas de ses foutu terroristes avant qu'eux s'occupent de nous. S'appliquer
Je suis maintenant Catholique romain
- joeblow
Re: Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherc
Ecrit le 20 déc.16, 08:00Nous sommes déjà au boulot Nous nous y appliquons. Chaque jour que le soleil se lève.Chrétien de Troyes a écrit :Dans combien de temps ce sera à notre tour (canada) faut régler le cas de ses foutu terroristes avant qu'eux s'occupent de nous. S'appliquer
Y'a de quoi s'inquiéter, mais bon, nous tentons de faire tout ce qui est possible de faire.
Merci de nous faire confiance.
Mais les terroristes comme les mafieux, dans le fond ils sont de la même race de racailles... ne sont pas facile à piéger et mettre en échec.....
Re: Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherc
Ecrit le 20 déc.16, 23:21Le Canada a déjà été touché par des attentats terroristes islamiques et même l’Australie et l'Argentine
https://youtu.be/i6ix_XcCE8c
Attentat de Berlin : les réponses à vos questions
Enquête, victimes, conséquences politiques… Nos réponses à vos questions.
image: http://s2.lemde.fr/image/2016/12/20/534 ... d1ee54.jpg
Douze personnes ont été tuées lundi 19 décembre dans un attentat contre un marché de Noël à Berlin.
Vous êtes très nombreux à nous poser des questions dans les directs que nous avons ouverts pour couvrir l’attentat qui a touché Berlin, lundi 19 décembre. Nous répondons ici à vos questions les plus récurrentes.
Lire aussi : Le déroulé de la journée au lendemain de l’attentat de Berlin
Si le conducteur officiel du camion a été tué par balle, a-t-il été tué par la police ou pour se faire voler son camion ?
Le poids lourd utilisé dans l’attentat appartenait à une société de transport polonaise, qui n’avait plus de nouvelles de son chauffeur depuis lundi. La police allemande pense qu’il a été volé. Le corps sans vie du chauffeur polonais, tué par balle, a été retrouvé dans le camion après le drame, a indiqué Thomas de Maizière, ministre de l’intérieur. Mais l’arme qui a été utilisée pour l’abattre a en revanche disparu.
Lire aussi : Le déroulé de la journée au lendemain de l’attentat de Berlin
Y a-t-il eu une revendication ?
Dans la soirée, mardi, l’organisation Etat Islamique (EI) a annoncé dans un communiqué, publié par le canal de son agence Aamaq, que l’attaque au camion à Berlin a été menée par « un soldat de l’Etat islamique ».
Angela Merkel avait confirmé mardi matin qu’il s’agissait d’une « attaque terroriste ». La police berlinoise a quant à elle annoncé que le conducteur du poids lourd avait « délibérément » foncé sur la foule. L’enquête s’oriente vers une attaque au camion bélier, similaire dans ses circonstances à celle de Nice.
Par ailleurs, le suspect de nationalité pakistanaise, un temps soupçonné par la police d’être le conducteur du poids lourd, a été remis en liberté mardi soir a annoncé le parquet fédéral allemand. « Les résultats de l’enquête n’ont à l’heure actuelle pas mis au jour d’éléments confirmant des soupçons concrets » à son encontre, a fait savoir le parquet dans un communiqué.
Pourquoi l’Allemagne serait-elle visée ? Participe-t-elle à la coalition anti-Daech en Syrie, Irak ?
L’Allemagne participe en effet à la coalition contre l’EI en Syrie, les députés ayant voté pour une intervention en décembre 2015. Quelque 900 soldats devaient être envoyés, essentiellement pour des missions de reconnaissance et de protection.
Comme de nombreux pays européens, l’Allemagne a vu des centaines de ses habitants partir en Irak ou en Syrie – un peu plus de 800 personnes au total auraient ainsi quitté le pays pour rallier le territoire contrôlé par l’EI, dont les deux tiers environ seraient de nationalité allemande.
Ce phénomène, les Allemands en avaient véritablement pris conscience en août 2015. A l’époque, une vidéo avait été diffusée, dans laquelle deux djihadistes s’adressaient en allemand à leurs « frères et sœurs » pour les inciter soit à rejoindre l’Irak et la Syrie, soit à commettre des attentats en Allemagne en attaquant « les mécréants dans leurs propres maisons ».
Les autorités ont-elles communiqué sur l’identité des victimes ? Et leur nationalité ?
Holger Münch, le président du bureau criminel fédéral allemand, a déclaré que six des personnes tuées sont allemandes. Le passager du camion, qui a été retrouvé mort, tué par balle, est lui de nationalité polonaise.
Quelles conséquences politiques à court et moyen terme pour Angela Merkel ? D’autant plus si la piste de « réfugiés » se confirme ?
L’attentat constitue en effet une épreuve pour la chancelière allemande, qui brigue un quatrième mandat en septembre 2017. Elle le sait : pour être réélue, il lui faut réussir à conserver l’image qui a longtemps été la sienne, celle de la chancelière protectrice, en démontrant qu’elle est autant capable d’assurer la sécurité du pays face à la menace terroriste que de défendre son économie face à la crise de la zone euro.
Or, depuis un an, cette image s’est fortement écornée. Un événement, de ce point de vue, a joué le rôle de traumatisme fondateur : les agressions sexuelles dont 1 200 femmes ont été victimes pendant la nuit de la Saint-Sylvestre, principalement à Cologne et à Hambourg.
Lire aussi : Attentat de Berlin : une épreuve pour Merkel à dix mois des élections
L’Allemagne, et plus particulièrement Berlin, faisait-elle l’objet d’une menace terroriste ? Des dispositifs de sécurité particuliers avaient-ils été mis en place, notamment sur les marchés de Noël ?
En Allemagne, l’année 2016 a été marquée par de multiples attaques et opérations antiterroristes dans tout le pays. Il y a eu trois attaques revendiquées par l’EI et cinq attentats ou tentatives non revendiqués.
Lire aussi : En 2016, une série d’attaques ont choqué l’Allemagne
Le président du bureau criminel fédéral, Holger Münch, a précisé au cours d’une conférence de presse, mardi, que la crainte que les marchés de Noël soient « particulièrement visés » existait. « Notre évaluation du risque était juste. Le niveau de la menace n’a pas changé. »
Le ministre de l’intérieur allemand, Thomas de Maizière, a par ailleurs annoncé, mardi, que les marchés de Noël ne seront pas annulés mais que des « mesures de sécurité adéquates » seront mises en place.
Quelles sont les réactions en Allemagne ?
La chancelière allemande a prononcé un discours mardi. « Je suis, comme des millions de personnes à travers l’Allemagne, horrifiée, choquée et très triste à propos de ce qu’il s’est passé hier soir à Berlin. »
Le Monde.fr Journaliste au Monde
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https://youtu.be/i6ix_XcCE8c
Attentat de Berlin : les réponses à vos questions
Enquête, victimes, conséquences politiques… Nos réponses à vos questions.
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Douze personnes ont été tuées lundi 19 décembre dans un attentat contre un marché de Noël à Berlin.
Vous êtes très nombreux à nous poser des questions dans les directs que nous avons ouverts pour couvrir l’attentat qui a touché Berlin, lundi 19 décembre. Nous répondons ici à vos questions les plus récurrentes.
Lire aussi : Le déroulé de la journée au lendemain de l’attentat de Berlin
Si le conducteur officiel du camion a été tué par balle, a-t-il été tué par la police ou pour se faire voler son camion ?
Le poids lourd utilisé dans l’attentat appartenait à une société de transport polonaise, qui n’avait plus de nouvelles de son chauffeur depuis lundi. La police allemande pense qu’il a été volé. Le corps sans vie du chauffeur polonais, tué par balle, a été retrouvé dans le camion après le drame, a indiqué Thomas de Maizière, ministre de l’intérieur. Mais l’arme qui a été utilisée pour l’abattre a en revanche disparu.
Lire aussi : Le déroulé de la journée au lendemain de l’attentat de Berlin
Y a-t-il eu une revendication ?
Dans la soirée, mardi, l’organisation Etat Islamique (EI) a annoncé dans un communiqué, publié par le canal de son agence Aamaq, que l’attaque au camion à Berlin a été menée par « un soldat de l’Etat islamique ».
Angela Merkel avait confirmé mardi matin qu’il s’agissait d’une « attaque terroriste ». La police berlinoise a quant à elle annoncé que le conducteur du poids lourd avait « délibérément » foncé sur la foule. L’enquête s’oriente vers une attaque au camion bélier, similaire dans ses circonstances à celle de Nice.
Par ailleurs, le suspect de nationalité pakistanaise, un temps soupçonné par la police d’être le conducteur du poids lourd, a été remis en liberté mardi soir a annoncé le parquet fédéral allemand. « Les résultats de l’enquête n’ont à l’heure actuelle pas mis au jour d’éléments confirmant des soupçons concrets » à son encontre, a fait savoir le parquet dans un communiqué.
Pourquoi l’Allemagne serait-elle visée ? Participe-t-elle à la coalition anti-Daech en Syrie, Irak ?
L’Allemagne participe en effet à la coalition contre l’EI en Syrie, les députés ayant voté pour une intervention en décembre 2015. Quelque 900 soldats devaient être envoyés, essentiellement pour des missions de reconnaissance et de protection.
Comme de nombreux pays européens, l’Allemagne a vu des centaines de ses habitants partir en Irak ou en Syrie – un peu plus de 800 personnes au total auraient ainsi quitté le pays pour rallier le territoire contrôlé par l’EI, dont les deux tiers environ seraient de nationalité allemande.
Ce phénomène, les Allemands en avaient véritablement pris conscience en août 2015. A l’époque, une vidéo avait été diffusée, dans laquelle deux djihadistes s’adressaient en allemand à leurs « frères et sœurs » pour les inciter soit à rejoindre l’Irak et la Syrie, soit à commettre des attentats en Allemagne en attaquant « les mécréants dans leurs propres maisons ».
Les autorités ont-elles communiqué sur l’identité des victimes ? Et leur nationalité ?
Holger Münch, le président du bureau criminel fédéral allemand, a déclaré que six des personnes tuées sont allemandes. Le passager du camion, qui a été retrouvé mort, tué par balle, est lui de nationalité polonaise.
Quelles conséquences politiques à court et moyen terme pour Angela Merkel ? D’autant plus si la piste de « réfugiés » se confirme ?
L’attentat constitue en effet une épreuve pour la chancelière allemande, qui brigue un quatrième mandat en septembre 2017. Elle le sait : pour être réélue, il lui faut réussir à conserver l’image qui a longtemps été la sienne, celle de la chancelière protectrice, en démontrant qu’elle est autant capable d’assurer la sécurité du pays face à la menace terroriste que de défendre son économie face à la crise de la zone euro.
Or, depuis un an, cette image s’est fortement écornée. Un événement, de ce point de vue, a joué le rôle de traumatisme fondateur : les agressions sexuelles dont 1 200 femmes ont été victimes pendant la nuit de la Saint-Sylvestre, principalement à Cologne et à Hambourg.
Lire aussi : Attentat de Berlin : une épreuve pour Merkel à dix mois des élections
L’Allemagne, et plus particulièrement Berlin, faisait-elle l’objet d’une menace terroriste ? Des dispositifs de sécurité particuliers avaient-ils été mis en place, notamment sur les marchés de Noël ?
En Allemagne, l’année 2016 a été marquée par de multiples attaques et opérations antiterroristes dans tout le pays. Il y a eu trois attaques revendiquées par l’EI et cinq attentats ou tentatives non revendiqués.
Lire aussi : En 2016, une série d’attaques ont choqué l’Allemagne
Le président du bureau criminel fédéral, Holger Münch, a précisé au cours d’une conférence de presse, mardi, que la crainte que les marchés de Noël soient « particulièrement visés » existait. « Notre évaluation du risque était juste. Le niveau de la menace n’a pas changé. »
Le ministre de l’intérieur allemand, Thomas de Maizière, a par ailleurs annoncé, mardi, que les marchés de Noël ne seront pas annulés mais que des « mesures de sécurité adéquates » seront mises en place.
Quelles sont les réactions en Allemagne ?
La chancelière allemande a prononcé un discours mardi. « Je suis, comme des millions de personnes à travers l’Allemagne, horrifiée, choquée et très triste à propos de ce qu’il s’est passé hier soir à Berlin. »
Le Monde.fr Journaliste au Monde
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Re: Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherc
Ecrit le 22 déc.16, 01:35Attentat de Berlin : des empreintes d'Anis Amri retrouvées dans le camion
Faits divers|22 décembre 2016, 10h40 | MAJ : 22 décembre 2016, 12h35|7
Selon le New York Times de ce jeudi, Anis Amri, suspecté d'être l'auteur de l'attentat de Berlin, était connu des services américains pour avoir été en contact avec Daech et pour avoir fait des recherches sur internet afin de fabriquer des explosifs.
Faits diversBerlinAttentat de BerlinBreitscheidplatzMarché de NoëlAnis Amri
Une chasse à l'homme à l'échelle européenne est en cours plus de deux jours après l'attentat de Berlin, qui a fait 12 morts sur un marché de Noël. La justice allemande a lancé un mandat d'arrêt sur tout le continent contre Anis Amri, un demandeur d'asile débouté de 24 ans, suspecté d'avoir conduit le camion qui a foncé dans la foule. Selon nos informations, ses empreintes digitales ont été retrouvées dans le véhicule.
Six victimes sont allemandes. Une septième a été identifiée comme étant une ressortissante israélienne, ont annoncé les autorités de son pays jeudi. L'acte a été revendiqué par le groupe Etat islamique (EI).
Trois jours après l'attaque au camion-bélier, la police semble n'avoir aucune idée du lieu où peut se cacher le fugitif. Une récompense de 100.000 euros est même proposée. Probablement armé, Amri «a pris le large», pronostique un enquêteur sous couvert d'anonymat dans le quotidien Die Welt. «Des recherches et investigations sont évidemment menées dans l'ensemble du pays», indique un porte-parole du Parquet antiterroriste.
Jeudi matin, la police anti-terroriste allemande a procédé à quatre interpellations à Dortmund, probablement en lien avec la recherche du suspect. Deux appartements ont été perquisitionnés et la police a procédé à «quatre interpellations», indique la chaîne de télévision WDR sur son site internet. La chaîne d'information en continu N-TV indique que les quatre personnes sont des proches du suspect tunisien, qui ont été contact avec lui en début d'année.
Par ailleurs, selon l'agence allemande DPA, une centaine de policiers ont mené jeudi une seconde perquisition, après celle de mercredi, dans un foyer de réfugiés d'Emmerich, dans l'ouest du pays, où Amri a séjourné il y a quelques mois. Mercredi soir, deux appartements avaient été fouillés à Berlin, là encore en vain.
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http://www.leparisien.fr/images/2016/12 ... bvzm9b.jpg
L'avis de recherche diffusé par le BKA, la police criminelle allemande.
Le retard pris par la traque du terroriste présumé a provoqué un début de polémique en Allemagne. Les enquêteurs se sont d'abord focalisés sur un suspect pakistanais, finalement mis hors de cause. La police allemande concentre maintenant ses recherches sur le Tunisien, dont on a découvert un document d'identité à bord du poids-lourd meurtrier.
Bien connu de la police, Anis Amri avait fait l'objet d'une surveillance policière, notamment à Berlin. Il était soupçonné de préparer un cambriolage pour financer l'achat d'armes automatiques et un attentat. L'enquête avait été abandonnée par le parquet en septembre faute d'éléments probants. Sa demande d'asile avait par ailleurs aussi été rejetée mais son expulsion a été bloquée par son pays d'origine.
Selon le New York Times de ce jeudi, il était également connu des autorités américaines pour avoir au moins une fois été en contact avec les djihadistes de Daech et pour avoir fait des recherches sur internet afin de fabriquer des explosifs.
Malgré tout, un semblant de normalité reprenait ses droits à Berlin. La police a autorisé la réouverture du marché de Noël en fin de matinée ce jeudi.
Faits divers|22 décembre 2016, 10h40 | MAJ : 22 décembre 2016, 12h35|7
Selon le New York Times de ce jeudi, Anis Amri, suspecté d'être l'auteur de l'attentat de Berlin, était connu des services américains pour avoir été en contact avec Daech et pour avoir fait des recherches sur internet afin de fabriquer des explosifs.
Faits diversBerlinAttentat de BerlinBreitscheidplatzMarché de NoëlAnis Amri
Une chasse à l'homme à l'échelle européenne est en cours plus de deux jours après l'attentat de Berlin, qui a fait 12 morts sur un marché de Noël. La justice allemande a lancé un mandat d'arrêt sur tout le continent contre Anis Amri, un demandeur d'asile débouté de 24 ans, suspecté d'avoir conduit le camion qui a foncé dans la foule. Selon nos informations, ses empreintes digitales ont été retrouvées dans le véhicule.
Six victimes sont allemandes. Une septième a été identifiée comme étant une ressortissante israélienne, ont annoncé les autorités de son pays jeudi. L'acte a été revendiqué par le groupe Etat islamique (EI).
Trois jours après l'attaque au camion-bélier, la police semble n'avoir aucune idée du lieu où peut se cacher le fugitif. Une récompense de 100.000 euros est même proposée. Probablement armé, Amri «a pris le large», pronostique un enquêteur sous couvert d'anonymat dans le quotidien Die Welt. «Des recherches et investigations sont évidemment menées dans l'ensemble du pays», indique un porte-parole du Parquet antiterroriste.
Jeudi matin, la police anti-terroriste allemande a procédé à quatre interpellations à Dortmund, probablement en lien avec la recherche du suspect. Deux appartements ont été perquisitionnés et la police a procédé à «quatre interpellations», indique la chaîne de télévision WDR sur son site internet. La chaîne d'information en continu N-TV indique que les quatre personnes sont des proches du suspect tunisien, qui ont été contact avec lui en début d'année.
Par ailleurs, selon l'agence allemande DPA, une centaine de policiers ont mené jeudi une seconde perquisition, après celle de mercredi, dans un foyer de réfugiés d'Emmerich, dans l'ouest du pays, où Amri a séjourné il y a quelques mois. Mercredi soir, deux appartements avaient été fouillés à Berlin, là encore en vain.
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http://www.leparisien.fr/images/2016/12 ... bvzm9b.jpg
L'avis de recherche diffusé par le BKA, la police criminelle allemande.
Le retard pris par la traque du terroriste présumé a provoqué un début de polémique en Allemagne. Les enquêteurs se sont d'abord focalisés sur un suspect pakistanais, finalement mis hors de cause. La police allemande concentre maintenant ses recherches sur le Tunisien, dont on a découvert un document d'identité à bord du poids-lourd meurtrier.
Bien connu de la police, Anis Amri avait fait l'objet d'une surveillance policière, notamment à Berlin. Il était soupçonné de préparer un cambriolage pour financer l'achat d'armes automatiques et un attentat. L'enquête avait été abandonnée par le parquet en septembre faute d'éléments probants. Sa demande d'asile avait par ailleurs aussi été rejetée mais son expulsion a été bloquée par son pays d'origine.
Selon le New York Times de ce jeudi, il était également connu des autorités américaines pour avoir au moins une fois été en contact avec les djihadistes de Daech et pour avoir fait des recherches sur internet afin de fabriquer des explosifs.
Malgré tout, un semblant de normalité reprenait ses droits à Berlin. La police a autorisé la réouverture du marché de Noël en fin de matinée ce jeudi.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherc
Ecrit le 23 déc.16, 03:19Attentat de Berlin: Anis Amri a été abattu à Milan (direct)
Rédaction en ligne
Mis en ligne il y a 8 minutes
Attentat de Berlin
Le ministre italien de l’Intérieur a confirmé l’information « sans l’ombre d’un doute ».
Anis Amri, le principal suspect de l’attentat de Berlin a été tué à Milan « sans l’ombre d’un doute ». L’homme était suspecté d’avoir commis un attentat au camion-bélier dans un marché de Noël de Berlin, tuant au moins 12 personnes et en blessant 48 autres. Marco Minniti, le ministre italien de l’Intérieur a confirmé l’information lors d’une conférence de presse.
Selon les médias italiens, rapportant des informations policières, Anis Amri a été arrêté à bord d’une voiture vers 3h vendredi matin lors d’un contrôle de routine. Il a sorti une arme et a été abattu par la police, après avoir blessé un policier.
Rédaction en ligne
Mis en ligne il y a 8 minutes
Attentat de Berlin
Le ministre italien de l’Intérieur a confirmé l’information « sans l’ombre d’un doute ».
Anis Amri, le principal suspect de l’attentat de Berlin a été tué à Milan « sans l’ombre d’un doute ». L’homme était suspecté d’avoir commis un attentat au camion-bélier dans un marché de Noël de Berlin, tuant au moins 12 personnes et en blessant 48 autres. Marco Minniti, le ministre italien de l’Intérieur a confirmé l’information lors d’une conférence de presse.
Selon les médias italiens, rapportant des informations policières, Anis Amri a été arrêté à bord d’une voiture vers 3h vendredi matin lors d’un contrôle de routine. Il a sorti une arme et a été abattu par la police, après avoir blessé un policier.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherc
Ecrit le 27 déc.16, 01:50Une émission présentée par Jean Yves le Gallou et Hervé Grandchamp Berlin : concert médiatique autour d’un « camion fou » Lundi 19 décembre, attentat à Berlin, un jihadiste précipite un 35 tonnes au milieu d’un marché de Noël. Les gros titres et les dépêches médiatiques font disparaitre le djihadiste en personnifiant le camion devenu "fou". I-Média décrypte. Le Zapping d’I-Média « Times Magazine » et « C dans l’air » présentent une photo d' allemands traversant un pont détruit en 1945. Cette image est censé nous rappeler qu’il y a peu les européens étaient eux aussi des "migrants". Cette idée est une désinformation par la novlangue : car le mot « migrant » ne pouvait être utilisé puisqu’il s’agissait d’allemand qui se déplaçaient à l’intérieur du territoire allemand... Berlin : dérapages des « experts » Quelques heures après l’attentat il faut donner la parole aux différents « experts » pour comprendre et décrypter. C’est aussi l’heure des dérapages des poids lourd de l’expertise : Pour Mathieu Guidère l’attentat de Berlin s’explique par la « frustration des migrants », pour le député Michel Pouzol la plupart des attentats en France viennent de français de souche. I-Média réinforme. Les tweets de la semaine : Propagande transgenre avec la Une de « National Geographic » qui affiche en couverture Avery Jackson une « fille » trans de 9 ans. Séquence émotionnelle pour la propagande de guerre en Une du « Monde » : Un père dit adieu à son fils. Dans le reflet d’un car, un couple semble en instance de séparation. « Migrants » : la désintox en pleine intox Le 08 décembre « Libération » publiait dans sa rubrique « Désintox » un article intitulé « Migrant : comment la fachosphère intoxique en recyclant des données publiques », en cause un article paru sur le site Fdesouche intitulé « la preuve que les ONG sont complices des passeurs ». Quand la désintox devient l’arroseur arrosé, i-Média décrypte.
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Qui est Anis Amri, le suspect tunisien recherché pour l'attentat de Berlin?
Montage de portraits du suspect de l'attentat de Berlin, le Tunisien Anis Amri, diffusé le 21 décembre 2016 par la police fédérale allemand
Montage de portraits du suspect de l'attentat de Berlin, le Tunisien Anis Amri, diffusé le 21 décembre 2016 par la police fédérale allemand
afp.com/Handout
Toutes les polices européennes recherchent désormais ce Tunisien de 24 ans, après l'attentat de Berlin qui a fait 12 morts lundi. Une récompense de 100 000 euros est offerte pour sa capture.
Anis Amri a été abattu à Milan dans la nuit de jeudi à vendredi. La veille, la justice antiterroriste allemande avait émis un avis de recherche européen contre le Tunisien. Après l'attaque au camion-bélier sur un marché de Noël de Berlin, revendiquée par le groupe Etat islamique (EI), un avis de recherche européen a été émis contre lui. Anis Amri, 24 ans, mesure 1m78 et pèse environ 75 kilos. "Il pourrait être dangereux et armé", poursuit le parquet dans un communiqué, précisant qu'une récompense de 100 000 euros est offerte.
LIRE AUSSI >> Attentat de Berlin: les dernières heures du chauffeur polonais
Une pièce d'identité a été retrouvée dans un portefeuille sous le siège du camion. Il s'agit d'un document remis à un migrant dont la demande d'asile a été rejetée, sans pour autant qu'il puisse être expulsé. Il a été délivré en avril 2016 dans le district de Clèves, près de la frontière néerlandaise, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
Soupçonné, avant l'attaque de Berlin, de préparer un attentat
"Il y a un nouveau suspect, on le recherche", a déclaré à la presse à Berlin le ministre allemand de l'Intérieur Thomas de Maizière, à la mi-journée. "Un avis de recherche a été émis à minuit pour l'Allemagne, mais aussi pour l'espace Schengen, c'est-à-dire en Europe".
L'homme était déjà soupçonné, avant l'attaque de Berlin, de préparer un attentat, a ajouté le ministre. "Il s'agit d'un individu classé dangereux, que les services de sécurité connaissaient et qui appartenait à la scène islamiste-salafiste", a précisé le député Stephan Mayer, spécialiste des questions de sécurité et présent au côté du ministre.
Plusieurs identités
Anis Amri est né en 1992 à Tataouine, d'après le site du Spiegel. Il se serait fait connaître sous au moins sept identités, selon l'avis de recherche. Il se faisait appeler Ahmed Zaghloul, Anis Amir, Ahmad Zarzour, Ahmed Almasri ou Mohamed Hassa. Selon ses alias, Anis Amri évoquait une nationalité égyptienne, tunisienne ou libanaise.
"Quand j'ai vu la photo de mon frère dans les médias, je n'en ai pas cru mes yeux (...) Je ne peux croire que c'est lui qui a commis ce crime", a réagi de puis la Tunisie son frère, Abdelkader Amri. Mais "s'il s'avère qu'il est coupable, il mérite alors toutes les condamnations. Nous rejetons le terrorisme et les terroristes et nous n'avons aucune relation avec les terroristes."
Radicalisé en prison en Italie?
Le père du suspect a confié, dans une interview accordée à Mosaïque FM, qu'il n'avait "quasiment plus de nouvelles" de son fils depuis qu'il était en Europe. "Il ne m'appelle pas, je ne sais pas ce qu'il fait comme travail, je vous le jure. Ca fait 7 ans qu'il est parti, je n'ai même pas son numéro de téléphone", a-t-il assuré, précisant toutefois que son fils était en contact régulier avec ses frères.
"Lorsqu'il était encore ici en Tunisie, il étudiait. Il n'a jamais travaillé. Il a eu un BAC+2 mais ça ne marchait pas fort. Les études ne lui plaisaient pas, il refusait d'être assidu", poursuit-il. Son fils, précise-t-il, a quitté la Tunisie pour entrer clandestinement en Europe il y a sept ans. Il est d'abord passé par l'Italie où il a purgé sa peine de quatre ans de prison "pour vol et pour avoir brûlé une école".
Anis Amri s'est-il radicalisé lors de sa détention en Italie? Son frère Walid a confié au Wall Street Journal que son frère, qui a purgé une peine de 4 ans ferme en Italie, avait "changé en prison". "Les codétenus qu'il a fréquentés en prison ont modifié sa façon de penser", insiste-t-il.
Après avoir purgé sa peine, Anis Amri se serait directement rendu en Allemagne. "Tout ce que je sais c'est que ça fait un an qu'il était en Allemagne", se rappelle son père.
Une reconduite à la frontière qui n'a jamais abouti
D'après des informations de Bild et de la Allgemeine Zeitung, il faisait déjà l'objet d'une enquête en Allemagne pour soupçon de préparation d'attentat. Considéré comme dangereux, cet homme est soupçonné de liens avec le groupe Etat islamique (EI), selon le Spiegel. L'EI a revendiqué mardi soir l'attentat de Berlin.
Le suspect devait être reconduit à la frontière, après le rejet, en juin dernier, de sa demande d'asile, mais "la Tunisie a d'abord nié que l'homme était tunisien", selon Thomas de Maiziere, et donc refusé toute expulsion sur son territoire. Tunis n'a reconnu sa nationalité que ce mercredi et fourni un document de voyage permettant son expulsion, mais il ne s'agirait d'une simple coïncidence chronologique.
Lié à la mouvance salafiste
Les médias allemands indiquent qu'il fréquentait un islamiste radical, Ahmad Abdulaziz Abdullah. Cet Irakien, connu sous le nom d'Abu Walaa, a été arrêté le mois dernier pour son rôle dans le recrutement de combattants pour l'EI. Selon Bild, Anis Amri aurait aussi tenté de recruter des complices, il y a plusieurs mois, afin de commettre un attentat.
En novembre encore, il avait fait l'objet d'un signalement, avant de disparaître. Malgré cette longue liste de suspicions établie aussi bien au niveau fédéral que dans les Etats-régions de Berlin et de Rhénanie du Nord-Westphalie (ouest), il a été laissé en liberté par manque de preuve. La presse outre-Rhin se demande ce jeudi comment les policiers et les procureurs ont pu rater autant de signaux d'alerte.
Des preuves ADN?
La police a indiqué qu'elle était en train d'examiner plus de 500 indices, parmi lesquels des traces ADN retrouvées dans le camion, des images de vidéo-surveillance et des témoignages divers. Selon la chaîne RBB, l'homme pourrait être blessé. La police aurait fouillé tous les hôpitaux de la région dans le cadre de cette chasse à l'homme.
Mercredi, environ 150 policiers ont perquisitionné un foyer de réfugiés dans l'ouest de l'Allemagne, à Emmerich, où l'homme a séjourné il y a quelques mois, selon des médias allemands. Faute de résultat, les autorités se sont donc résolues à publier un avis de recherche à l'échelle européenne.
LIRE AUSSI >> Attentat de Berlin: les autorités critiquées pour avoir laissé filer Anis Amri
+ Plus d'actualité sur : Attentat à Berlin au camion-bélier sur un marché de Noël
Attentat de Berlin: une pétition pour honorer "l'héroïsme" du chauffeur polonais
Le terroriste de Berlin aperçu sur les caméras de la gare de Lyon-Part-Dieu
Attentat de Berlin: arrestation en Tunisie de trois individus liés à Anis Amri
+ Et aussi :
Anis Amri, Tunisien suspecté d'être l'auteur de l'attentat de Berlin
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Rajout du 28 décembre 2016
Un pois chiche dans la tête
Claude Picard
27 décembre 2016
Poing de vue
17 Commentaires
Toutes les doctrines politiques ou religieuses sont portées par une idéologie qui se veut la plus cohérente et la plus efficace possible. Pour avoir le plus d’adeptes, elles préconisent plutôt l’entraide, le respect, l’empathie et l’amour des autres. C’est avec ces principes que l’humanité a pu se bâtir. Pourtant, deux idéologies dérogent à la règle : la théorie politique du nazisme qui exhortait à la pureté de la race, à l’extermination des Juifs et de tous les déviants sexuels, et d’autre part, les préceptes religieux de l’islam qui prêchent la haine des autres, … l’extermination des Juifs, des incroyants, des déviants sexuels… Évidemment, les spécialistes de l’islam rétorqueront, très justement, que le Coran peut se lire de diverses façons et que les radicaux islamistes sont dans l’erreur d’appréciation. Certes, mais, différence qui en dit long sur les dérives de l’islam, les intégristes des autres religions n’appellent jamais au meurtre de ceux qui ne pensent pas comme eux. En tout cas, ils ne passent pas à l’acte et restent apparemment civilisés, contrairement aux adeptes de l’islam radical qui pratiquent, allègrement, le terrorisme et la communication idéologique par des mises en scènes macabres et barbares.
La haine de l’islamiste contre tous ceux qui ne lui ressemble pas, avant le passage au meurtre pour les plus fanatiques, peut se traduire de mille façons différentes. Toujours bêtement ou violemment, mais à chaque fois avec son « pauvre cerveau devenu comme un pois chiche ; quand il marchait dans la rue, ça sonnait comme un grelot de bicyclette » pour parodier une célèbre réplique écrite par Marcel Pagnol pour sa trilogie. Sauf que chez l’islamiste kamikaze, sa cervelle ratatinée par une idéologie mortifère, ne fait pas « grelin, grelin » pour nous avertir. C’est plutôt l’inverse : l’art de la dissimulation est chez lui, un art de guerre, comme une seconde nature. C’est bien la seule intelligence qu’on peut lui reconnaître et qui, malheureusement, lui permet de faire beaucoup de victimes collatérales.
Confortés par le laxisme ambiant des bisounours professionnels, ayant eux aussi, un pois chiche dans la tête, les islamistes de base qui veulent affirmer leur croyance, profèrent, en toute impunité, des arguments haineux inconcevables pour le commun des mortels un peu évolué. Quelques exemples récents et significatifs, relatés par voie de presse, peuvent étayer l’indigence de leurs raisonnements ou l’incurie des autorités : à Montpellier, dans un cabinet médical, une islamiste bouscule violemment et menace de mort la secrétaire parce qu’elle ne porte pas le voile… Interpellée, peu après, elle nie et assure, contrairement aux témoins ayant assisté à l’altercation, que c’est elle qui a été malmenée… Toujours la même méthode usitée par les islamistes : « ce n’est pas moi, c’est l’autre qui a commencé »… Deuxième exemple : Smaïn Aït Ali Belkacem, 48 ans, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour les attentats de 1995 à Paris, particulièrement surveillé pour avoir, avec son ami d’Amedy Coulibaly, le terroriste de l’Hyper Cacher, fait deux tentatives d’évasion, a pu recevoir au parloir de la centrale d’Alençon-Condé-sur-Sarthe (Orne) son épouse, Aïcha, arrivant d’Algérie, titulaire d’un permis de visite et d’un permis de séjour… alors qu’elle est interdite de séjour en France, par arrêté du ministère de l’Intérieur… Autre exemple : Nicolas Moreau, français de souche converti à l’islam, déjà condamné 14 fois, comparaît devant la 16e chambre du tribunal correctionnel pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste »… Sa stratégie de défense : « si vous me relâchez pas, moi, je vous promets, je vais pas me laisser faire. Je reprends les armes ! »… En prison, il est, ce que l’on appelle un détenu difficile : la dernière fois qu’il a menacé un surveillant, il déclara : « Je nique la France et les sales Français ! »… Lui, à la place du cerveau, il a quoi ?
La France et les pays occidentaux subissent une pression insoutenable de la part d’individus et de groupes décérébrés, soumis à une doctrine de haine et devenus incapables d’avoir le moindre recul raisonnable par rapport à des textes écrits au septième siècle. Cette pression ne serait rien si elle ne s’exerçait pas de manière massivement récurrente et trop souvent sanglante. Et nous interpelle sur une question cruciale : quand les pouvoirs publics vont-ils comprendre que nos lois démocratiques ne sont pas adaptées aux ignominies islamistes et que pour contrer des sauvages sans foi ni loi, ayant un pois chiche à la place du cerveau, il faudra adapter un arsenal juridique et judiciaire particulier ? En temps de guerre, mesures de guerre !
Claude Picard
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Qui est Anis Amri, le suspect tunisien recherché pour l'attentat de Berlin?
Montage de portraits du suspect de l'attentat de Berlin, le Tunisien Anis Amri, diffusé le 21 décembre 2016 par la police fédérale allemand
Montage de portraits du suspect de l'attentat de Berlin, le Tunisien Anis Amri, diffusé le 21 décembre 2016 par la police fédérale allemand
afp.com/Handout
Toutes les polices européennes recherchent désormais ce Tunisien de 24 ans, après l'attentat de Berlin qui a fait 12 morts lundi. Une récompense de 100 000 euros est offerte pour sa capture.
Anis Amri a été abattu à Milan dans la nuit de jeudi à vendredi. La veille, la justice antiterroriste allemande avait émis un avis de recherche européen contre le Tunisien. Après l'attaque au camion-bélier sur un marché de Noël de Berlin, revendiquée par le groupe Etat islamique (EI), un avis de recherche européen a été émis contre lui. Anis Amri, 24 ans, mesure 1m78 et pèse environ 75 kilos. "Il pourrait être dangereux et armé", poursuit le parquet dans un communiqué, précisant qu'une récompense de 100 000 euros est offerte.
LIRE AUSSI >> Attentat de Berlin: les dernières heures du chauffeur polonais
Une pièce d'identité a été retrouvée dans un portefeuille sous le siège du camion. Il s'agit d'un document remis à un migrant dont la demande d'asile a été rejetée, sans pour autant qu'il puisse être expulsé. Il a été délivré en avril 2016 dans le district de Clèves, près de la frontière néerlandaise, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
Soupçonné, avant l'attaque de Berlin, de préparer un attentat
"Il y a un nouveau suspect, on le recherche", a déclaré à la presse à Berlin le ministre allemand de l'Intérieur Thomas de Maizière, à la mi-journée. "Un avis de recherche a été émis à minuit pour l'Allemagne, mais aussi pour l'espace Schengen, c'est-à-dire en Europe".
L'homme était déjà soupçonné, avant l'attaque de Berlin, de préparer un attentat, a ajouté le ministre. "Il s'agit d'un individu classé dangereux, que les services de sécurité connaissaient et qui appartenait à la scène islamiste-salafiste", a précisé le député Stephan Mayer, spécialiste des questions de sécurité et présent au côté du ministre.
Plusieurs identités
Anis Amri est né en 1992 à Tataouine, d'après le site du Spiegel. Il se serait fait connaître sous au moins sept identités, selon l'avis de recherche. Il se faisait appeler Ahmed Zaghloul, Anis Amir, Ahmad Zarzour, Ahmed Almasri ou Mohamed Hassa. Selon ses alias, Anis Amri évoquait une nationalité égyptienne, tunisienne ou libanaise.
"Quand j'ai vu la photo de mon frère dans les médias, je n'en ai pas cru mes yeux (...) Je ne peux croire que c'est lui qui a commis ce crime", a réagi de puis la Tunisie son frère, Abdelkader Amri. Mais "s'il s'avère qu'il est coupable, il mérite alors toutes les condamnations. Nous rejetons le terrorisme et les terroristes et nous n'avons aucune relation avec les terroristes."
Radicalisé en prison en Italie?
Le père du suspect a confié, dans une interview accordée à Mosaïque FM, qu'il n'avait "quasiment plus de nouvelles" de son fils depuis qu'il était en Europe. "Il ne m'appelle pas, je ne sais pas ce qu'il fait comme travail, je vous le jure. Ca fait 7 ans qu'il est parti, je n'ai même pas son numéro de téléphone", a-t-il assuré, précisant toutefois que son fils était en contact régulier avec ses frères.
"Lorsqu'il était encore ici en Tunisie, il étudiait. Il n'a jamais travaillé. Il a eu un BAC+2 mais ça ne marchait pas fort. Les études ne lui plaisaient pas, il refusait d'être assidu", poursuit-il. Son fils, précise-t-il, a quitté la Tunisie pour entrer clandestinement en Europe il y a sept ans. Il est d'abord passé par l'Italie où il a purgé sa peine de quatre ans de prison "pour vol et pour avoir brûlé une école".
Anis Amri s'est-il radicalisé lors de sa détention en Italie? Son frère Walid a confié au Wall Street Journal que son frère, qui a purgé une peine de 4 ans ferme en Italie, avait "changé en prison". "Les codétenus qu'il a fréquentés en prison ont modifié sa façon de penser", insiste-t-il.
Après avoir purgé sa peine, Anis Amri se serait directement rendu en Allemagne. "Tout ce que je sais c'est que ça fait un an qu'il était en Allemagne", se rappelle son père.
Une reconduite à la frontière qui n'a jamais abouti
D'après des informations de Bild et de la Allgemeine Zeitung, il faisait déjà l'objet d'une enquête en Allemagne pour soupçon de préparation d'attentat. Considéré comme dangereux, cet homme est soupçonné de liens avec le groupe Etat islamique (EI), selon le Spiegel. L'EI a revendiqué mardi soir l'attentat de Berlin.
Le suspect devait être reconduit à la frontière, après le rejet, en juin dernier, de sa demande d'asile, mais "la Tunisie a d'abord nié que l'homme était tunisien", selon Thomas de Maiziere, et donc refusé toute expulsion sur son territoire. Tunis n'a reconnu sa nationalité que ce mercredi et fourni un document de voyage permettant son expulsion, mais il ne s'agirait d'une simple coïncidence chronologique.
Lié à la mouvance salafiste
Les médias allemands indiquent qu'il fréquentait un islamiste radical, Ahmad Abdulaziz Abdullah. Cet Irakien, connu sous le nom d'Abu Walaa, a été arrêté le mois dernier pour son rôle dans le recrutement de combattants pour l'EI. Selon Bild, Anis Amri aurait aussi tenté de recruter des complices, il y a plusieurs mois, afin de commettre un attentat.
En novembre encore, il avait fait l'objet d'un signalement, avant de disparaître. Malgré cette longue liste de suspicions établie aussi bien au niveau fédéral que dans les Etats-régions de Berlin et de Rhénanie du Nord-Westphalie (ouest), il a été laissé en liberté par manque de preuve. La presse outre-Rhin se demande ce jeudi comment les policiers et les procureurs ont pu rater autant de signaux d'alerte.
Des preuves ADN?
La police a indiqué qu'elle était en train d'examiner plus de 500 indices, parmi lesquels des traces ADN retrouvées dans le camion, des images de vidéo-surveillance et des témoignages divers. Selon la chaîne RBB, l'homme pourrait être blessé. La police aurait fouillé tous les hôpitaux de la région dans le cadre de cette chasse à l'homme.
Mercredi, environ 150 policiers ont perquisitionné un foyer de réfugiés dans l'ouest de l'Allemagne, à Emmerich, où l'homme a séjourné il y a quelques mois, selon des médias allemands. Faute de résultat, les autorités se sont donc résolues à publier un avis de recherche à l'échelle européenne.
LIRE AUSSI >> Attentat de Berlin: les autorités critiquées pour avoir laissé filer Anis Amri
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Attentat de Berlin: une pétition pour honorer "l'héroïsme" du chauffeur polonais
Le terroriste de Berlin aperçu sur les caméras de la gare de Lyon-Part-Dieu
Attentat de Berlin: arrestation en Tunisie de trois individus liés à Anis Amri
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Anis Amri, Tunisien suspecté d'être l'auteur de l'attentat de Berlin
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Rajout du 28 décembre 2016
Un pois chiche dans la tête
Claude Picard
27 décembre 2016
Poing de vue
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Toutes les doctrines politiques ou religieuses sont portées par une idéologie qui se veut la plus cohérente et la plus efficace possible. Pour avoir le plus d’adeptes, elles préconisent plutôt l’entraide, le respect, l’empathie et l’amour des autres. C’est avec ces principes que l’humanité a pu se bâtir. Pourtant, deux idéologies dérogent à la règle : la théorie politique du nazisme qui exhortait à la pureté de la race, à l’extermination des Juifs et de tous les déviants sexuels, et d’autre part, les préceptes religieux de l’islam qui prêchent la haine des autres, … l’extermination des Juifs, des incroyants, des déviants sexuels… Évidemment, les spécialistes de l’islam rétorqueront, très justement, que le Coran peut se lire de diverses façons et que les radicaux islamistes sont dans l’erreur d’appréciation. Certes, mais, différence qui en dit long sur les dérives de l’islam, les intégristes des autres religions n’appellent jamais au meurtre de ceux qui ne pensent pas comme eux. En tout cas, ils ne passent pas à l’acte et restent apparemment civilisés, contrairement aux adeptes de l’islam radical qui pratiquent, allègrement, le terrorisme et la communication idéologique par des mises en scènes macabres et barbares.
La haine de l’islamiste contre tous ceux qui ne lui ressemble pas, avant le passage au meurtre pour les plus fanatiques, peut se traduire de mille façons différentes. Toujours bêtement ou violemment, mais à chaque fois avec son « pauvre cerveau devenu comme un pois chiche ; quand il marchait dans la rue, ça sonnait comme un grelot de bicyclette » pour parodier une célèbre réplique écrite par Marcel Pagnol pour sa trilogie. Sauf que chez l’islamiste kamikaze, sa cervelle ratatinée par une idéologie mortifère, ne fait pas « grelin, grelin » pour nous avertir. C’est plutôt l’inverse : l’art de la dissimulation est chez lui, un art de guerre, comme une seconde nature. C’est bien la seule intelligence qu’on peut lui reconnaître et qui, malheureusement, lui permet de faire beaucoup de victimes collatérales.
Confortés par le laxisme ambiant des bisounours professionnels, ayant eux aussi, un pois chiche dans la tête, les islamistes de base qui veulent affirmer leur croyance, profèrent, en toute impunité, des arguments haineux inconcevables pour le commun des mortels un peu évolué. Quelques exemples récents et significatifs, relatés par voie de presse, peuvent étayer l’indigence de leurs raisonnements ou l’incurie des autorités : à Montpellier, dans un cabinet médical, une islamiste bouscule violemment et menace de mort la secrétaire parce qu’elle ne porte pas le voile… Interpellée, peu après, elle nie et assure, contrairement aux témoins ayant assisté à l’altercation, que c’est elle qui a été malmenée… Toujours la même méthode usitée par les islamistes : « ce n’est pas moi, c’est l’autre qui a commencé »… Deuxième exemple : Smaïn Aït Ali Belkacem, 48 ans, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour les attentats de 1995 à Paris, particulièrement surveillé pour avoir, avec son ami d’Amedy Coulibaly, le terroriste de l’Hyper Cacher, fait deux tentatives d’évasion, a pu recevoir au parloir de la centrale d’Alençon-Condé-sur-Sarthe (Orne) son épouse, Aïcha, arrivant d’Algérie, titulaire d’un permis de visite et d’un permis de séjour… alors qu’elle est interdite de séjour en France, par arrêté du ministère de l’Intérieur… Autre exemple : Nicolas Moreau, français de souche converti à l’islam, déjà condamné 14 fois, comparaît devant la 16e chambre du tribunal correctionnel pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste »… Sa stratégie de défense : « si vous me relâchez pas, moi, je vous promets, je vais pas me laisser faire. Je reprends les armes ! »… En prison, il est, ce que l’on appelle un détenu difficile : la dernière fois qu’il a menacé un surveillant, il déclara : « Je nique la France et les sales Français ! »… Lui, à la place du cerveau, il a quoi ?
La France et les pays occidentaux subissent une pression insoutenable de la part d’individus et de groupes décérébrés, soumis à une doctrine de haine et devenus incapables d’avoir le moindre recul raisonnable par rapport à des textes écrits au septième siècle. Cette pression ne serait rien si elle ne s’exerçait pas de manière massivement récurrente et trop souvent sanglante. Et nous interpelle sur une question cruciale : quand les pouvoirs publics vont-ils comprendre que nos lois démocratiques ne sont pas adaptées aux ignominies islamistes et que pour contrer des sauvages sans foi ni loi, ayant un pois chiche à la place du cerveau, il faudra adapter un arsenal juridique et judiciaire particulier ? En temps de guerre, mesures de guerre !
Claude Picard
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherc
Ecrit le 28 déc.16, 00:58salut yacoub -- serieux on @ encore trouver la piece d'identité on nous prend vraiment pour des mouton lolll mais peut etre le sommes nous....
Aime ton prochain comme toi-même
Re: Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherc
Ecrit le 28 déc.16, 07:13Le recherché a pris une balle en pleine tête en Italie, abattu pour ce qu'il n'était : qu'une immonde bête vouée à Al'lah.Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherché
À dégager.
Re: Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherc
Ecrit le 29 juil.17, 00:27Allemagne : ce que l'on sait de l'assaillant du supermarché de Hambourg
La sénatrice écologiste australienne Larissa Waters, qui s'était rendue célèbre en allaitant son enfant en pleine séance parlementaire, a été contrainte de démissionner, le 18 juillet dernier, après avoir découvert qu'elle possédait aussi la nationalité canadienne.
Un suspect de 26 ans a été arrêté après l'attaque qui a fait un mort et six blessés, vendredi. Franceinfo vous résume les éléments dont on dispose sur lui.
Beaucoup de zones d'ombre subsistent, au lendemain de l'attaque au couteau survenue dans un supermarché de Hambourg (Allemagne), vendredi 28 juillet. Le profil de l'assaillant, qui a tué une personne et en a blessé six autres, pose question. Pour l'heure, la police n'écarte aucune piste.
Un demandeur d'asile de 26 ans
L'attaque a été commise par un homme de 26 ans, originaire des Emirats arabes unis. Il était en instance d'expulsion après que sa demande d'asile a été refusée. Mais il n'a pas pu être reconduit à la frontière faute de documents d'identité en règle.
D'après le Spiegel (en allemand), l'individu a vécu dans un camp de réfugiés de Hambourg. Une perquisition y a été menée . "Si nous avions trouvé quelque chose, nous ne pourrions pas vous le donner pour l'instant", a déclaré un porte-parole de la police, samedi matin.
Des liens avec les milieux islamistes ?
Des témoins rapportent que l'assaillant a crié "Allah Akbar" pendant l'attaque. Certains médias allemands évoquent aussi des liens avec les milieux islamistes. Sur ce point, les autorités allemandes n'ont pour l'heure rien confirmé.
En tout cas, si la piste islamiste se confirmait, son profil rappellerait celui d'Anis Amri, l'auteur de l'attentat sur le marché de Noël de Berlin. L'attaque avait fait douze morts en décembre 2016. Le Tunisien était dans une situation juridique similaire : sa demande d'asile avait été rejetée mais il était resté sur le territoire allemand car il n'avait pas de papiers.
Des problèmes mentaux
De son côté, l e Spiegel croit savoir que l'individu souffre de troubles mentaux et qu'il consomme régulièrement de la drogue. Ce qui laisse des zones d'ombre sur ses motivations. La police a jusqu'ici dit enquêter "dans toutes les directions".
La sénatrice écologiste australienne Larissa Waters, qui s'était rendue célèbre en allaitant son enfant en pleine séance parlementaire, a été contrainte de démissionner, le 18 juillet dernier, après avoir découvert qu'elle possédait aussi la nationalité canadienne.
Un suspect de 26 ans a été arrêté après l'attaque qui a fait un mort et six blessés, vendredi. Franceinfo vous résume les éléments dont on dispose sur lui.
Beaucoup de zones d'ombre subsistent, au lendemain de l'attaque au couteau survenue dans un supermarché de Hambourg (Allemagne), vendredi 28 juillet. Le profil de l'assaillant, qui a tué une personne et en a blessé six autres, pose question. Pour l'heure, la police n'écarte aucune piste.
Un demandeur d'asile de 26 ans
L'attaque a été commise par un homme de 26 ans, originaire des Emirats arabes unis. Il était en instance d'expulsion après que sa demande d'asile a été refusée. Mais il n'a pas pu être reconduit à la frontière faute de documents d'identité en règle.
D'après le Spiegel (en allemand), l'individu a vécu dans un camp de réfugiés de Hambourg. Une perquisition y a été menée . "Si nous avions trouvé quelque chose, nous ne pourrions pas vous le donner pour l'instant", a déclaré un porte-parole de la police, samedi matin.
Des liens avec les milieux islamistes ?
Des témoins rapportent que l'assaillant a crié "Allah Akbar" pendant l'attaque. Certains médias allemands évoquent aussi des liens avec les milieux islamistes. Sur ce point, les autorités allemandes n'ont pour l'heure rien confirmé.
En tout cas, si la piste islamiste se confirmait, son profil rappellerait celui d'Anis Amri, l'auteur de l'attentat sur le marché de Noël de Berlin. L'attaque avait fait douze morts en décembre 2016. Le Tunisien était dans une situation juridique similaire : sa demande d'asile avait été rejetée mais il était resté sur le territoire allemand car il n'avait pas de papiers.
Des problèmes mentaux
De son côté, l e Spiegel croit savoir que l'individu souffre de troubles mentaux et qu'il consomme régulièrement de la drogue. Ce qui laisse des zones d'ombre sur ses motivations. La police a jusqu'ici dit enquêter "dans toutes les directions".
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Allemagne: Un attentat déjoué; trois arrêtés, un recherc
Ecrit le 30 juil.17, 01:02L'agresseur de Hambourg était connu comme «islamiste»
La police allemande fait état de «motivations religieuses» mais rappelle que le demandeur d'asile débouté était «psychologiquement instable». En Allemagne, la polémique sur l'accueil des réfugiés reprend
L'home de de 26 ans qui a tué au couteau une personne et en a blessé plusieurs autres vendredi à Hambourg en Allemagne était connu de la police comme «islamiste», a révélé samedi le ministre de l'Intérieur de la ville.
«Il était connu comme islamiste mais pas comme jihadiste» des services de sécurité, a déclaré à la presse Andy Grote, soulignant qu'il était considéré comme «un cas suspect» suite à «des éléments montrant une radicalisation» religieuse. Le ministre de la ville-Etat du nord de l'Allemagne a fait état, à ce stade de l'enquête, de «liens avec des motivations religieuses, islamistes» pour le passage à l'acte.
Mais dans le même temps, il a fait état d'une «instabilité psychologique» de cet homme originaire des Emirats arabes unis. Au final la situation reste «confuse» et il n'est pas encore possible de savoir «lequel des éléments a constitué l'élément déclencheur», a souligné Andy Grote.
veille, l'assaillant avait attaqué des gens qui faisaient leurs courses ou se promenaient dans une rue très commerçante d'un quartier du nord de Hambourg. Selon la police, il a pénétré dans un supermarché, a volé un couteau de cuisine avec une lame de 20 centimètres et s'est jeté sur un homme de 50 ans en le poignardant mortellement. Il a ensuite blessé deux autres clients à l'intérieur du magasin puis a pris la fuite dans la rue, où il a blessé à coups de couteau d'autres passants.
La police allemande fait état de «motivations religieuses» mais rappelle que le demandeur d'asile débouté était «psychologiquement instable». En Allemagne, la polémique sur l'accueil des réfugiés reprend
L'home de de 26 ans qui a tué au couteau une personne et en a blessé plusieurs autres vendredi à Hambourg en Allemagne était connu de la police comme «islamiste», a révélé samedi le ministre de l'Intérieur de la ville.
«Il était connu comme islamiste mais pas comme jihadiste» des services de sécurité, a déclaré à la presse Andy Grote, soulignant qu'il était considéré comme «un cas suspect» suite à «des éléments montrant une radicalisation» religieuse. Le ministre de la ville-Etat du nord de l'Allemagne a fait état, à ce stade de l'enquête, de «liens avec des motivations religieuses, islamistes» pour le passage à l'acte.
Mais dans le même temps, il a fait état d'une «instabilité psychologique» de cet homme originaire des Emirats arabes unis. Au final la situation reste «confuse» et il n'est pas encore possible de savoir «lequel des éléments a constitué l'élément déclencheur», a souligné Andy Grote.
veille, l'assaillant avait attaqué des gens qui faisaient leurs courses ou se promenaient dans une rue très commerçante d'un quartier du nord de Hambourg. Selon la police, il a pénétré dans un supermarché, a volé un couteau de cuisine avec une lame de 20 centimètres et s'est jeté sur un homme de 50 ans en le poignardant mortellement. Il a ensuite blessé deux autres clients à l'intérieur du magasin puis a pris la fuite dans la rue, où il a blessé à coups de couteau d'autres passants.
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