Qui est Muhammad SAW ?
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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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- morpheus777
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 18 août17, 00:29Mahomet était un assassin http://islamvouscache.unblog.fr/2011/02 ... -assassin/
Cor 1:18 Car la prédication de la croix est une folie pour ceux qui périssent ; mais pour nous qui sommes sauvés, elle est une puissance de Dieu. gonzalo malaga statuto
fabrice
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 18 août17, 00:54MAHOMET : LE "PROPHETE" ASSASSIN
MAHOMET : LE PROPHETE ASSASSIN Ce qu’on n’ose pas dire c’est que l’assassinat et le martyre sont justifiés et
justifiables à partir des seuls textes fondateurs de l’Islam, le Coran et la Sunna. Ainsi sourate 3, V. 163/169 :
« Et ne crois point que sont morts ceux qui ont été tués dans le chemin d’Allah ! Au contraire ! Ils sont vivants auprès de leur Seigneur, pourvu de biens ».
Ceux qui exécutent des attentats se pensent martyrs, vivant auprès de leur Seigneur. De plus, d’après le comportement du Prophète à Médine, l’assassinat politique est tout à fait licite. Il suffit de se référer à la chronique de Tabari ou à la biographie du Prophète pour le constater. Voici comment Tabari raconte quelques-uns des assassinats, au retour de la bataille de Badr, une merveilleuse victoire pour les musulmans mais qui semble n’avoir été qu’un coup de main réussi :
« Il y avait une femme du nom d’Asmâ bint Marwan. Elle faisait des vers particulièrement insultants pour le prophète de l’islam. Quand ces vers furent rapportés à Mahomet, il dit tout haut : « Est-ce que personne ne me débarrassera de la fille de Marwan ? ». Il y avait un homme du clan de la poétesse, ‘Omayr Ibn ‘Adi. Il n’avait pas été à Badr. Bonne raison pour faire preuve de zèle. Le soir même il s’introduisit chez elle. Elle dormait au milieu de ses enfants. Le dernier, encore au sein, sommeillait sur sa poitrine. Il la transperça de son épée et le lendemain alla trouver l’Envoyé de Dieu. Il dit : « Envoyé de Dieu je l’ai tuée ! ». « Tu as secouru Allah et son Envoyé ô ‘Omayr », répondit celui-ci. ‘Omayr demanda : « Est-ce que je supporterais quelque chose à cause d’elle, Envoyé d’Allah ? ». Il dit : « Deux chèvres ne choqueront pas leurs cornes pour elle ! ». ‘Omayr retourna alors dans son clan où ce jour-là, il y avait une grosse émotion au sujet de la fille de Marwan. Elle avait cinq fils et la vengeance pouvait être demandée.
‘Omayr s’adressa à son clan : « Ô Banû Khatma ! J’ai tué la fille de Marwan. Tramez quelque chose contre moi mais ne me faites pas attendre (cette phrase est une citation du Coran).
Personne ne bougea. » L’analyste poursuit : « Ce jour-là fut le premier où l’Islam se montra puissant chez les Banû Khatma ». Le coup avait réussi. L’exploit de ‘Omayr est classé par les chroniqueurs musulmans parmi « les expéditions du Prophète ». Le mois suivant, le poète centenaire Abou ‘Afak fut tué pendant son sommeil, à cause de quatre vers contre Mahomet. Le Prophète avait prononcé négligemment : « Qui me fera justice de cette crapule ? » Quelqu’un se chargea de l’opération.
Mais l’assassinat politique le plus connue est celui de Kaab Ibn Achraf. C’était un poète de Médine, juif par sa mère, qui n’avait cessé de tourner le prophète de l’Islam en dérision.
Lorsqu’il apprit le succès de Badr, il se rendit à la Mecque pour inciter les Mecquois à la vengeance. Et là, Mahomet, excédé, ordonne son assassinat, mais de manière détournée,
comme un parrain qui lance un contrat sur quelqu’un : « Qui veut me délivrer de Kaab Ibn Achraf ? ». La plus ancienne biographie de Mahomet, celle d’Ibn Ishâq , traite longuement des campagnes et expéditions des musulmans à l’époque du prophète. Et parmi l e s expéditions, on trouve « l e s assassinats politiques » . Le premier assassinat perpétré sur l’ordre de Mahomet est ce que le traducteur, Abdul Rahman Badawi, intitule « le meurtre de Kaab b. Al-Ashraf ». Kaab était un homme de la tribu de Tayy et sa mère était des Banû al-Nadîr. C’était un poète. Il détestait Mahomet et ne comprenait pas que le réfugié de la Mecque ait fait tuer à Badr des nobles Quraychites. Il ne cessait d’exciter les Mecquois à la vengeance.
Il composait des poèmes érotiques visant à détruire la réputation des femmes musulmanes. Alors l’Envoyé d’Allah dit : « Qui me débarrasserait d’Ibn Al-Ashraf ? ». Muhammad b Maslamah répondit : « Moi, ô Envoyé d’Allah, je m’en chargerai, je le tuerai. » L’Envoyé de Dieu lui dit : « Fais-le si tu peux. » Ibn Maslamah dit : « Ô Envoyé d’Allah ! Nous serons obligés de dire des paroles trompeuses. » L’Envoyé d’Allah répondit : « Dites ce que vous voulez : cela est permis. »
Et l’assassinat se prépare. L’épisode largement développé par Ibn Ishâq est ici résumé tant les détails sont insoutenables par leur inconsciente cruauté. « Plusieurs hommes s’étaient associés pour tuer Kaab. La nuit ils se promenèrent avec le poète. Un poète, Abu Nâ’ilah se montrait fort gentil avec Kaab. Il introduisait sa main dans ses cheveux en disant : « Je n’ai jamais senti un meilleur parfum. » Ils marchaient pendant plusieurs heures, ceci pour mettre en confiance le poète juif. Puis soudain Abu Nâ’ilah saisit les cheveux de la tête de Kaab en disant : « frappez cet ennemi de Dieu ! » Ils le frappèrent et leurs épées qui se croisaient sur Kaab ne pouvaient cependant l’achever. Muhammad b. Maslamah dit : « Quand je vis que nos épées ne serviraient à rien, je me suis souvenu d’un couteau attaché à mon épée. Je le pris et l’enfonçai dans son bas-ventre et je me pressai sur lui jusqu’à ce que j’atteigne le pubis. Alors Kaab tomba par terre. » L’assassinat du poète juif est largement traité sur sept longues pages (p.18 à 25) et le récit de cet acte est justifié par Ibn Ishâq qui cite les vers de Hassan b. Thâbit : « Ils cherchaient la victoire pour la religion de leur prophète regardant comme peu de chose tout acte inique ».
Les cas de meurtres recensés par Ibn Ishâq sont nombreux et ils occupent une partie importante du deuxième volume. C’est le cas par exemple de l’assassinat du juif Satam b. Abî Al-Huqayq qui se trouvait dans la ville de Khaybar. La tribu arabe médinoise des Aw avant la bataille de Uhud, avait tué Kaab Ibn Al-Ashraf. La tribu médinoise arabe des Khazraj, qui ne veut pas être en reste, demande à Mahomet la permission de tuer un juif qui comme Kaab était un ennemi de Mahomet. L’Envoyé d’Allah leur en donna la permission. Là encore, l’assassinat fut collectif et perpétré par ruse : cinq hommes de la tribu des Khazraj allèrent à Khaybar pour exécuter le plan. Ils se font passer pour des acheteurs. « La femme d’Al-Huqayq demanda : « Qui êtes-vous ? » Ils répliquèrent : « Nous sommes des Arabes et nous cherchons de l’approvisionnement en grains. » La femme dit : « Voilà votre homme, entrez chez lui. » Quand ils entrèrent ils fermèrent la porte et avec leurs épées ils l’attaquèrent alors qu’il était sur son lit. L’ayant déjà poignardé, Abd Allah b. ‘Unays lui enfonça encore son épée dans le ventre de telle sorte qu’elle ressortit de l’autre côté. Ils retournèrent à Médine. Ils entrèrent chez Mahomet et l’informèrent de la mort du juif. Mais chacun prétendait l’avoir tué.
Alors l’Envoyé d’Allah dit : « Apportez-moi vos épées. » Ils les lui apportèrent. Il regarda et se référent à l’épée de ‘Abd Allah b. ‘Unays il dit : « Celle-ci l’a tuée car j’y vois la trace de la nourriture. » » Mais il est un autre assassinat politique que l’on ne saurait oublier. Il s’agit de celui de Kinânah b.al-Rabî’, un juif important de Khaybar. Chez lui était censé se trouver le trésor des Banû al- Nadîr, la tribu juive chassée de médine. L’Envoyé d’Allah lui demanda où était ce trésor.
Kinânah refusait de répondre. Après avoir trouvé une partie du trésor des Juifs, le prophète demanda à Kinânah où se trouvait le reste. Mais ce dernier refusa de l’indiquer. L’Envoyé
d’Allah ordonna alors à Al-Zubayr de le torturer : « Al-Zubayr se mit à brûler sa poitrine, jusqu’à ce que Kinânah fût sur le point de mourir. Puis l’Envoyé d’Allah le livra à Muhammad b.Maslamah ; celui-ci lui coupa le cou, pour venger son frère Mahmûd b. Maslamah. » C’est la femme de Kinânah, Safiyya, que le Prophète prit comme épouse. Il n’eut pas la patience d’attendre le retour à Médine pour consommer le mariage. Un partisan de Mahomet, resté toute la nuit de noces à veiller, avec son épée, près de leur tente, dira au Prophète : « Je craignais la réaction de cette femme à ton égard. C’est une femme dont tu as tué le père, le mari et le peuple. »
Dans son livre sur Mahomet (Editions du Seuil , 1961), Rodinson parle des assassinats politiques. Ainsi au retour de Badr la rancune du Prophète se déchaîna contre deux prisonniers mecquois qui avaient dirigé contre lui des attaques intellectuelles. Ils s’étaient informés à des sources juives et iraniennes, lui avaient posé des questions difficiles. Ils s’étaient moqués de lui et de ses messages divins. Mahomet ordonna de les exécuter. L’un d’eux lui dit : « Et qui s’occupera de mes garçons Muhammad ? » Il répondit : « L’Enfer ! »
En fait l’assassinat fait partie des moyens utilisés par Mahomet pour émerger dans cette politique tribale et arriver à être suffisamment puissant pour qu’on ne songea pas à tirer vengeance de lui et de ses fidèles. Des partisans fanatiques entourent le prophète, prêt à exécuter les basses besognes. M ais c’est Mahomet qui « l ance le contrat » . Faire peur, sipeur que personne n’osera plus rien tenter contre lui, c’est la stratégie du prophète de l’Islam. Faire peur mais seulement quand il faut. Ainsi on lui rapporta des propos insultants tenus par Ibn Ubayy, le chef noble de la tribu arabe des Khazraj, le converti du bout des lèvres qui déteste Mahomet qui n’est pour lui qu’un vil. Omar lui dit : « Ordonne à Abbad Ibn Bishr de le tuer ! » Mahomet répondit : « Comment cela Omar ? Et les gens diront que Mahomet tue ses compagnons ! » Ibn Ubayy, là-dessus, vint tout nier avec serment à l’appui.
Les Médinois le soutinrent et Mahomet passa l’éponge. Plus tard Ibn Ubayy se comporta de telle façon que les Médinois le désapprouvèrent. Alors Mahomet dit à Omar : « Qu’en dis-tu, si je l’avais tué, par Allah, le jour où tu me l’as conseillé, les chefs médinois en auraient tremblé de rage et maintenant si je leur ordonnais de le tuer, ils le tueraient. »
Alors comment s’étonner des assassinats politiques au nom de l’Islam ? Le 29 juin 1992, le président algérien Mohammed Boudiaf est assassiné à Annaba par un jeune officier de sa garde de sécurité. Déjà en octobre 1981, il y avait eu l’assassinat d’Anouar al-Sadate. Les deux assassins étaient de jeunes officiers d’élite gagnés aux idées islamistes. L’assassin égyptien s’appelle Khalidal-Istambuli ; l’assassin algérien Lembarek Boumaarafi. L’exemple égyptien a nourri l’imaginaire des militants, d’Alger à Téhéran et d’Istanbul à Djakarta. Khalid al- Istambuli a ses boulevards dans la république islamique d’Iran. Son frère est un orateur très demandé dans les milieux religieux. En 1992, l’essayiste laïque Farag Foda a fini par être assassiné au printemps. Mais en gardant à l’esprit l’exemple du prophète, on n’est pas surpris par le comportement de ces musulmans qui débarrassent la communauté de ses « corrupteurs ». Sourate IX intitulé (humour noir ?) L’immunité, versets 3 et suivants…
« Proclamation d’Allah et de son Prophète Adressée aux hommes le jour du Pèlerinage :
« Allah et son Prophète désavouent les polythéistes. Si vous vous repentez,
Ce sera un bien pour vous ; Mais si vous vous en détournez,
Sachez que vous ne réduirez pas Allah à l’impuissance » Annonce un châtiment douloureux aux incrédules,
A l’exception des polythéistes Avec lesquels vous avez conclu un pacte ;
De ceux qui ne vous ont pas ensuite causé de tort Et qui n’ont aidé personne à lutter contre vous.
Respectez pleinement le pacte conclu avec eux, jusqu’au terme convenu. -Allah aime ceux qui le craignent-
Après que les mois sacrés se seront écoulés, tuez les polythéistes, partout où vous les trouverez ;
Capturez-les, assiégez-les, Dressez-leur des embuscades.
Mais s’ils se repentent, S’ils s’acquittent de la prière, s’ils font l’aumône, Laissez-les libres. -Allah est celui qui pardonne, il est miséricordieux.- »
MAHOMET : LE PROPHETE ASSASSIN Ce qu’on n’ose pas dire c’est que l’assassinat et le martyre sont justifiés et
justifiables à partir des seuls textes fondateurs de l’Islam, le Coran et la Sunna. Ainsi sourate 3, V. 163/169 :
« Et ne crois point que sont morts ceux qui ont été tués dans le chemin d’Allah ! Au contraire ! Ils sont vivants auprès de leur Seigneur, pourvu de biens ».
Ceux qui exécutent des attentats se pensent martyrs, vivant auprès de leur Seigneur. De plus, d’après le comportement du Prophète à Médine, l’assassinat politique est tout à fait licite. Il suffit de se référer à la chronique de Tabari ou à la biographie du Prophète pour le constater. Voici comment Tabari raconte quelques-uns des assassinats, au retour de la bataille de Badr, une merveilleuse victoire pour les musulmans mais qui semble n’avoir été qu’un coup de main réussi :
« Il y avait une femme du nom d’Asmâ bint Marwan. Elle faisait des vers particulièrement insultants pour le prophète de l’islam. Quand ces vers furent rapportés à Mahomet, il dit tout haut : « Est-ce que personne ne me débarrassera de la fille de Marwan ? ». Il y avait un homme du clan de la poétesse, ‘Omayr Ibn ‘Adi. Il n’avait pas été à Badr. Bonne raison pour faire preuve de zèle. Le soir même il s’introduisit chez elle. Elle dormait au milieu de ses enfants. Le dernier, encore au sein, sommeillait sur sa poitrine. Il la transperça de son épée et le lendemain alla trouver l’Envoyé de Dieu. Il dit : « Envoyé de Dieu je l’ai tuée ! ». « Tu as secouru Allah et son Envoyé ô ‘Omayr », répondit celui-ci. ‘Omayr demanda : « Est-ce que je supporterais quelque chose à cause d’elle, Envoyé d’Allah ? ». Il dit : « Deux chèvres ne choqueront pas leurs cornes pour elle ! ». ‘Omayr retourna alors dans son clan où ce jour-là, il y avait une grosse émotion au sujet de la fille de Marwan. Elle avait cinq fils et la vengeance pouvait être demandée.
‘Omayr s’adressa à son clan : « Ô Banû Khatma ! J’ai tué la fille de Marwan. Tramez quelque chose contre moi mais ne me faites pas attendre (cette phrase est une citation du Coran).
Personne ne bougea. » L’analyste poursuit : « Ce jour-là fut le premier où l’Islam se montra puissant chez les Banû Khatma ». Le coup avait réussi. L’exploit de ‘Omayr est classé par les chroniqueurs musulmans parmi « les expéditions du Prophète ». Le mois suivant, le poète centenaire Abou ‘Afak fut tué pendant son sommeil, à cause de quatre vers contre Mahomet. Le Prophète avait prononcé négligemment : « Qui me fera justice de cette crapule ? » Quelqu’un se chargea de l’opération.
Mais l’assassinat politique le plus connue est celui de Kaab Ibn Achraf. C’était un poète de Médine, juif par sa mère, qui n’avait cessé de tourner le prophète de l’Islam en dérision.
Lorsqu’il apprit le succès de Badr, il se rendit à la Mecque pour inciter les Mecquois à la vengeance. Et là, Mahomet, excédé, ordonne son assassinat, mais de manière détournée,
comme un parrain qui lance un contrat sur quelqu’un : « Qui veut me délivrer de Kaab Ibn Achraf ? ». La plus ancienne biographie de Mahomet, celle d’Ibn Ishâq , traite longuement des campagnes et expéditions des musulmans à l’époque du prophète. Et parmi l e s expéditions, on trouve « l e s assassinats politiques » . Le premier assassinat perpétré sur l’ordre de Mahomet est ce que le traducteur, Abdul Rahman Badawi, intitule « le meurtre de Kaab b. Al-Ashraf ». Kaab était un homme de la tribu de Tayy et sa mère était des Banû al-Nadîr. C’était un poète. Il détestait Mahomet et ne comprenait pas que le réfugié de la Mecque ait fait tuer à Badr des nobles Quraychites. Il ne cessait d’exciter les Mecquois à la vengeance.
Il composait des poèmes érotiques visant à détruire la réputation des femmes musulmanes. Alors l’Envoyé d’Allah dit : « Qui me débarrasserait d’Ibn Al-Ashraf ? ». Muhammad b Maslamah répondit : « Moi, ô Envoyé d’Allah, je m’en chargerai, je le tuerai. » L’Envoyé de Dieu lui dit : « Fais-le si tu peux. » Ibn Maslamah dit : « Ô Envoyé d’Allah ! Nous serons obligés de dire des paroles trompeuses. » L’Envoyé d’Allah répondit : « Dites ce que vous voulez : cela est permis. »
Et l’assassinat se prépare. L’épisode largement développé par Ibn Ishâq est ici résumé tant les détails sont insoutenables par leur inconsciente cruauté. « Plusieurs hommes s’étaient associés pour tuer Kaab. La nuit ils se promenèrent avec le poète. Un poète, Abu Nâ’ilah se montrait fort gentil avec Kaab. Il introduisait sa main dans ses cheveux en disant : « Je n’ai jamais senti un meilleur parfum. » Ils marchaient pendant plusieurs heures, ceci pour mettre en confiance le poète juif. Puis soudain Abu Nâ’ilah saisit les cheveux de la tête de Kaab en disant : « frappez cet ennemi de Dieu ! » Ils le frappèrent et leurs épées qui se croisaient sur Kaab ne pouvaient cependant l’achever. Muhammad b. Maslamah dit : « Quand je vis que nos épées ne serviraient à rien, je me suis souvenu d’un couteau attaché à mon épée. Je le pris et l’enfonçai dans son bas-ventre et je me pressai sur lui jusqu’à ce que j’atteigne le pubis. Alors Kaab tomba par terre. » L’assassinat du poète juif est largement traité sur sept longues pages (p.18 à 25) et le récit de cet acte est justifié par Ibn Ishâq qui cite les vers de Hassan b. Thâbit : « Ils cherchaient la victoire pour la religion de leur prophète regardant comme peu de chose tout acte inique ».
Les cas de meurtres recensés par Ibn Ishâq sont nombreux et ils occupent une partie importante du deuxième volume. C’est le cas par exemple de l’assassinat du juif Satam b. Abî Al-Huqayq qui se trouvait dans la ville de Khaybar. La tribu arabe médinoise des Aw avant la bataille de Uhud, avait tué Kaab Ibn Al-Ashraf. La tribu médinoise arabe des Khazraj, qui ne veut pas être en reste, demande à Mahomet la permission de tuer un juif qui comme Kaab était un ennemi de Mahomet. L’Envoyé d’Allah leur en donna la permission. Là encore, l’assassinat fut collectif et perpétré par ruse : cinq hommes de la tribu des Khazraj allèrent à Khaybar pour exécuter le plan. Ils se font passer pour des acheteurs. « La femme d’Al-Huqayq demanda : « Qui êtes-vous ? » Ils répliquèrent : « Nous sommes des Arabes et nous cherchons de l’approvisionnement en grains. » La femme dit : « Voilà votre homme, entrez chez lui. » Quand ils entrèrent ils fermèrent la porte et avec leurs épées ils l’attaquèrent alors qu’il était sur son lit. L’ayant déjà poignardé, Abd Allah b. ‘Unays lui enfonça encore son épée dans le ventre de telle sorte qu’elle ressortit de l’autre côté. Ils retournèrent à Médine. Ils entrèrent chez Mahomet et l’informèrent de la mort du juif. Mais chacun prétendait l’avoir tué.
Alors l’Envoyé d’Allah dit : « Apportez-moi vos épées. » Ils les lui apportèrent. Il regarda et se référent à l’épée de ‘Abd Allah b. ‘Unays il dit : « Celle-ci l’a tuée car j’y vois la trace de la nourriture. » » Mais il est un autre assassinat politique que l’on ne saurait oublier. Il s’agit de celui de Kinânah b.al-Rabî’, un juif important de Khaybar. Chez lui était censé se trouver le trésor des Banû al- Nadîr, la tribu juive chassée de médine. L’Envoyé d’Allah lui demanda où était ce trésor.
Kinânah refusait de répondre. Après avoir trouvé une partie du trésor des Juifs, le prophète demanda à Kinânah où se trouvait le reste. Mais ce dernier refusa de l’indiquer. L’Envoyé
d’Allah ordonna alors à Al-Zubayr de le torturer : « Al-Zubayr se mit à brûler sa poitrine, jusqu’à ce que Kinânah fût sur le point de mourir. Puis l’Envoyé d’Allah le livra à Muhammad b.Maslamah ; celui-ci lui coupa le cou, pour venger son frère Mahmûd b. Maslamah. » C’est la femme de Kinânah, Safiyya, que le Prophète prit comme épouse. Il n’eut pas la patience d’attendre le retour à Médine pour consommer le mariage. Un partisan de Mahomet, resté toute la nuit de noces à veiller, avec son épée, près de leur tente, dira au Prophète : « Je craignais la réaction de cette femme à ton égard. C’est une femme dont tu as tué le père, le mari et le peuple. »
Dans son livre sur Mahomet (Editions du Seuil , 1961), Rodinson parle des assassinats politiques. Ainsi au retour de Badr la rancune du Prophète se déchaîna contre deux prisonniers mecquois qui avaient dirigé contre lui des attaques intellectuelles. Ils s’étaient informés à des sources juives et iraniennes, lui avaient posé des questions difficiles. Ils s’étaient moqués de lui et de ses messages divins. Mahomet ordonna de les exécuter. L’un d’eux lui dit : « Et qui s’occupera de mes garçons Muhammad ? » Il répondit : « L’Enfer ! »
En fait l’assassinat fait partie des moyens utilisés par Mahomet pour émerger dans cette politique tribale et arriver à être suffisamment puissant pour qu’on ne songea pas à tirer vengeance de lui et de ses fidèles. Des partisans fanatiques entourent le prophète, prêt à exécuter les basses besognes. M ais c’est Mahomet qui « l ance le contrat » . Faire peur, sipeur que personne n’osera plus rien tenter contre lui, c’est la stratégie du prophète de l’Islam. Faire peur mais seulement quand il faut. Ainsi on lui rapporta des propos insultants tenus par Ibn Ubayy, le chef noble de la tribu arabe des Khazraj, le converti du bout des lèvres qui déteste Mahomet qui n’est pour lui qu’un vil. Omar lui dit : « Ordonne à Abbad Ibn Bishr de le tuer ! » Mahomet répondit : « Comment cela Omar ? Et les gens diront que Mahomet tue ses compagnons ! » Ibn Ubayy, là-dessus, vint tout nier avec serment à l’appui.
Les Médinois le soutinrent et Mahomet passa l’éponge. Plus tard Ibn Ubayy se comporta de telle façon que les Médinois le désapprouvèrent. Alors Mahomet dit à Omar : « Qu’en dis-tu, si je l’avais tué, par Allah, le jour où tu me l’as conseillé, les chefs médinois en auraient tremblé de rage et maintenant si je leur ordonnais de le tuer, ils le tueraient. »
Alors comment s’étonner des assassinats politiques au nom de l’Islam ? Le 29 juin 1992, le président algérien Mohammed Boudiaf est assassiné à Annaba par un jeune officier de sa garde de sécurité. Déjà en octobre 1981, il y avait eu l’assassinat d’Anouar al-Sadate. Les deux assassins étaient de jeunes officiers d’élite gagnés aux idées islamistes. L’assassin égyptien s’appelle Khalidal-Istambuli ; l’assassin algérien Lembarek Boumaarafi. L’exemple égyptien a nourri l’imaginaire des militants, d’Alger à Téhéran et d’Istanbul à Djakarta. Khalid al- Istambuli a ses boulevards dans la république islamique d’Iran. Son frère est un orateur très demandé dans les milieux religieux. En 1992, l’essayiste laïque Farag Foda a fini par être assassiné au printemps. Mais en gardant à l’esprit l’exemple du prophète, on n’est pas surpris par le comportement de ces musulmans qui débarrassent la communauté de ses « corrupteurs ». Sourate IX intitulé (humour noir ?) L’immunité, versets 3 et suivants…
« Proclamation d’Allah et de son Prophète Adressée aux hommes le jour du Pèlerinage :
« Allah et son Prophète désavouent les polythéistes. Si vous vous repentez,
Ce sera un bien pour vous ; Mais si vous vous en détournez,
Sachez que vous ne réduirez pas Allah à l’impuissance » Annonce un châtiment douloureux aux incrédules,
A l’exception des polythéistes Avec lesquels vous avez conclu un pacte ;
De ceux qui ne vous ont pas ensuite causé de tort Et qui n’ont aidé personne à lutter contre vous.
Respectez pleinement le pacte conclu avec eux, jusqu’au terme convenu. -Allah aime ceux qui le craignent-
Après que les mois sacrés se seront écoulés, tuez les polythéistes, partout où vous les trouverez ;
Capturez-les, assiégez-les, Dressez-leur des embuscades.
Mais s’ils se repentent, S’ils s’acquittent de la prière, s’ils font l’aumône, Laissez-les libres. -Allah est celui qui pardonne, il est miséricordieux.- »
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
- Pierre-Elie Suzanne
- Christianisme [Catholique]
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 21 août17, 04:40Mahomet est effectivement un psychopathe.
Il suffit de lire le Coran pour le comprendre.
Je vous laisse ce lien dans lequel la psychopathie du faux prophète de l'islam est démontrée par des citations authentiques du Coran :
CLIQUEZ ICI POUR CONNAITRE LES PREUVES DE LA PSYCHOPATHIE DE MAHOMET
Il suffit de lire le Coran pour le comprendre.
Je vous laisse ce lien dans lequel la psychopathie du faux prophète de l'islam est démontrée par des citations authentiques du Coran :
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L'archéologie et la science peuvent-elles nous renseigner sur les monothéismes ?
Télécharger en PDF en cliquant sur HISTOIRE ILLUSTRÉE DES MONOTHÉISMES
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 22 août17, 04:01Il faut que les chrétiens arrêtent de prendre l'islam comme une religion comme les autres.Pierre-Elie Suzanne a écrit :Mahomet est effectivement un psychopathe.
Il suffit de lire le Coran pour le comprendre.
Je vous laisse ce lien dans lequel la psychopathie du faux prophète de l'islam est démontrée par des citations authentiques du Coran :
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Arrêtez le dialogue islamo-chrétien qui ne profite qu'à l'islam.
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 23 août17, 23:45C'est pareil à la Bible, c'est juste un cran au-dessus, l'histoire de la religion catholique jusqu'à nos jours n'est pas très reluisant, combien de mort à ton avis ? Quel genre de psychopathe, toi qui est psychologue spécialiser dans la religion.Pierre-Elie Suzanne a écrit :Mahomet est effectivement un psychopathe.
Il suffit de lire le Coran pour le comprendre.
Je vous laisse ce lien dans lequel la psychopathie du faux prophète de l'islam est démontrée par des citations authentiques du Coran :
CLIQUEZ ICI POUR CONNAITRE LES PREUVES DE LA PSYCHOPATHIE DE MAHOMET
- Gorgonzola
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 14 sept.17, 02:19Et si Mahomet avait tout inventé ?
Finalement, toutes ces polémiques, tous ces livres pour faire tenir le coran et l'islam debout, tous ces meurtres et ces atrocités commis au nom de l'idole Allah, toutes ces vessies qu'on veut montrer comme des lanternes, toutes ces allégeances au service de la mort , tout ce repli sur l'ancien testament lorsqu'on parle de la violence du coran, tous ces rêves de domination, tous ces désirs de se retrouver les seuls en envoyant les autres en enfer, toute cette frustration et cette rage..
Finalement, tout ça ne serait que le fruit de l'imagination ou de la schizophrénie d'un homme qui ne rêvait que d'une seule chose : avoir écrit la bible et être le prophète ultime de Dieu.
Finalement, toutes ces polémiques, tous ces livres pour faire tenir le coran et l'islam debout, tous ces meurtres et ces atrocités commis au nom de l'idole Allah, toutes ces vessies qu'on veut montrer comme des lanternes, toutes ces allégeances au service de la mort , tout ce repli sur l'ancien testament lorsqu'on parle de la violence du coran, tous ces rêves de domination, tous ces désirs de se retrouver les seuls en envoyant les autres en enfer, toute cette frustration et cette rage..
Finalement, tout ça ne serait que le fruit de l'imagination ou de la schizophrénie d'un homme qui ne rêvait que d'une seule chose : avoir écrit la bible et être le prophète ultime de Dieu.
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 18 sept.17, 08:15Je ne suis pas de ton avis... Je pense plutôt que Muhammad a vraiment rencontré un esprit dans la grotte.
Je vois mal Satan rester les bras croisés devant le plan de salut offert par l'Eternel en son fils.
Je vois mal Satan rester les bras croisés devant le plan de salut offert par l'Eternel en son fils.
Allah envoie des diables pour nous égarer à vie, empêchant ainsi toute possibilité de repentir (19.83).
L'Eternel envoie son fils pour nous guider et nous offrir le salut par la repentance (Jean 3:16).
Matthieu 7:15 Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
L'Eternel envoie son fils pour nous guider et nous offrir le salut par la repentance (Jean 3:16).
Matthieu 7:15 Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 18 sept.17, 14:16Du même avis que toi mon frèreEtoiles Célestes a écrit :Je ne suis pas de ton avis... Je pense plutôt que Muhammad a vraiment rencontré un esprit dans la grotte.
Je vois mal Satan rester les bras croisés devant le plan de salut offert par l'Eternel en son fils.
Et à ce titre
Jean 14
14 Si vous me demandez quelque chose en mon nom, je le ferai
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 18 sept.17, 21:28On est en droit de tout penser concernant ce personnage.
Les 2 hypothèses se tiennent et s'entremêlent. On ne saura probablement jamais mais il est clair que la manière d'adorer Allah du coran est ce qui reste des rites païens polythéistes sur un dieu unique avec un refus de repentance de chaque homme. Adorer sans avoir la possibilité de communier avec son dieu car aucun intercesseur.
Les pauvres musulmans sont des marionnettes entre les mains de leur propre dieu imaginaire (dans lequel s'est probablement glissé Satan) qui les rabaisse à une incapacité patente (qu'ils appellent humilité ou soumission) ou les élève au rang de soldat punisseur qu'on manipule comme une arme inerte et sans vie. S'il n'ont aucun but ou aucune raison d'exister, Allah du coran leur en donne une : détruire l'homme et l'humanité. Tombé entre des mains corrompus et malfaisantes, l'islam devient une arme formidable d'oppression et de mort.
Au-delà des versets et de l'histoire des deux religions, on peut aisément discuter des fruits que produisent chacune d'entre-elles :
Au 3ème millénaire :
- L'islam sème confusion et désordre et attend toujours le top départ d'une attaque unifiée
- L'église continue d'envoyer des missions de part le monde pour s'occuper des plus nécessiteux
Dans l'esprit de certains musulmans règne peut-être ce qui ressemble à une miséricorde, une envie de vivre en communauté avec les autres (un islam fantasmé décrit nulle part), mais l'islam du coran et la vie de leur prophète le leur interdit.
Tiraillés entre la miséricorde d'Allah qui n'est autre que la conséquence d'une soumission aveugle et le devoir du djihad, le coran et son Allah bloque et cristallise toute conscience ou réflexion susceptible de se débarrasser de cette emprise qu'ils prennent pour Dieu.
Pour un musulman, Dieu possède et non libère d'où la difficulté d'accepter un Jésus qui libère l'homme de l'emprise du péché. L'idolâtrie est un péché; le musulman se borne à rester sous une emprise et une addiction qui obstrue la canal qui le relierait à Dieu et le rendrait libre. Libre ne voulant pas dire être au-dessus ou supérieur aux autres, mais accepter l'amour de Dieu qui permet la véritable soumission, celle d'être au service de l'autre et non d'essayer de le combattre.
Dieu a fait la sabbat pour l'homme et non l'homme pour le sabbat.
Les 2 hypothèses se tiennent et s'entremêlent. On ne saura probablement jamais mais il est clair que la manière d'adorer Allah du coran est ce qui reste des rites païens polythéistes sur un dieu unique avec un refus de repentance de chaque homme. Adorer sans avoir la possibilité de communier avec son dieu car aucun intercesseur.
Les pauvres musulmans sont des marionnettes entre les mains de leur propre dieu imaginaire (dans lequel s'est probablement glissé Satan) qui les rabaisse à une incapacité patente (qu'ils appellent humilité ou soumission) ou les élève au rang de soldat punisseur qu'on manipule comme une arme inerte et sans vie. S'il n'ont aucun but ou aucune raison d'exister, Allah du coran leur en donne une : détruire l'homme et l'humanité. Tombé entre des mains corrompus et malfaisantes, l'islam devient une arme formidable d'oppression et de mort.
Au-delà des versets et de l'histoire des deux religions, on peut aisément discuter des fruits que produisent chacune d'entre-elles :
Au 3ème millénaire :
- L'islam sème confusion et désordre et attend toujours le top départ d'une attaque unifiée
- L'église continue d'envoyer des missions de part le monde pour s'occuper des plus nécessiteux
Dans l'esprit de certains musulmans règne peut-être ce qui ressemble à une miséricorde, une envie de vivre en communauté avec les autres (un islam fantasmé décrit nulle part), mais l'islam du coran et la vie de leur prophète le leur interdit.
Tiraillés entre la miséricorde d'Allah qui n'est autre que la conséquence d'une soumission aveugle et le devoir du djihad, le coran et son Allah bloque et cristallise toute conscience ou réflexion susceptible de se débarrasser de cette emprise qu'ils prennent pour Dieu.
Pour un musulman, Dieu possède et non libère d'où la difficulté d'accepter un Jésus qui libère l'homme de l'emprise du péché. L'idolâtrie est un péché; le musulman se borne à rester sous une emprise et une addiction qui obstrue la canal qui le relierait à Dieu et le rendrait libre. Libre ne voulant pas dire être au-dessus ou supérieur aux autres, mais accepter l'amour de Dieu qui permet la véritable soumission, celle d'être au service de l'autre et non d'essayer de le combattre.
Dieu a fait la sabbat pour l'homme et non l'homme pour le sabbat.
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 19 sept.17, 04:16Gorgonzola c'est vraiment une empriseGorgonzola a écrit :On est en droit de tout penser concernant ce personnage.
Les 2 hypothèses se tiennent et s'entremêlent. On ne saura probablement jamais mais il est clair que la manière d'adorer Allah du coran est ce qui reste des rites païens polythéistes sur un dieu unique avec un refus de repentance de chaque homme. Adorer sans avoir la possibilité de communier avec son dieu car aucun intercesseur.
Les pauvres musulmans sont des marionnettes entre les mains de leur propre dieu imaginaire (dans lequel s'est probablement glissé Satan) qui les rabaisse à une incapacité patente (qu'ils appellent humilité ou soumission) ou les élève au rang de soldat punisseur qu'on manipule comme une arme inerte et sans vie. S'il n'ont aucun but ou aucune raison d'exister, Allah du coran leur en donne une : détruire l'homme et l'humanité. Tombé entre des mains corrompus et malfaisantes, l'islam devient une arme formidable d'oppression et de mort.
Au-delà des versets et de l'histoire des deux religions, on peut aisément discuter des fruits que produisent chacune d'entre-elles :
Au 3ème millénaire :
- L'islam sème confusion et désordre et attend toujours le top départ d'une attaque unifiée
- L'église continue d'envoyer des missions de part le monde pour s'occuper des plus nécessiteux
Dans l'esprit de certains musulmans règne peut-être ce qui ressemble à une miséricorde, une envie de vivre en communauté avec les autres (un islam fantasmé décrit nulle part), mais l'islam du coran et la vie de leur prophète le leur interdit.
Tiraillés entre la miséricorde d'Allah qui n'est autre que la conséquence d'une soumission aveugle et le devoir du djihad, le coran et son Allah bloque et cristallise toute conscience ou réflexion susceptible de se débarrasser de cette emprise qu'ils prennent pour Dieu.
Pour un musulman, Dieu possède et non libère d'où la difficulté d'accepter un Jésus qui libère l'homme de l'emprise du péché. L'idolâtrie est un péché; le musulman se borne à rester sous une emprise et une addiction qui obstrue la canal qui le relierait à Dieu et le rendrait libre. Libre ne voulant pas dire être au-dessus ou supérieur aux autres, mais accepter l'amour de Dieu qui permet la véritable soumission, celle d'être au service de l'autre et non d'essayer de le combattre.
Dieu a fait la sabbat pour l'homme et non l'homme pour le sabbat.
Au travail , de nuit, j'ai un collègue sénégalais qui est musulman , il fait ça prière dans une salle juste à côté de la cuisine
Le gars répète inlassablement les mêmes rhétoriques dans un arabe incompréhensible , il mange les mots , il ne sais même pas ce qu'il dit en arabe , il a juste appris des phrases type qu' il est incapable de répété correctement , c'est vraiment pathétique , et il le fait machinalement , faut le voir en action et une fois la prière finit il est capable d'ouvrir une conversation impudique sur les femmes ( non pas la sienne ) mais d'autres femmes
C'est incroyable et j'en est vu défilé un paquet de son genre
Jean 14
14 Si vous me demandez quelque chose en mon nom, je le ferai
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 19 sept.17, 04:55En islam, le sexe n'est pas honteux et le sexe fait partie de la religion.Imperiocristo a écrit : Au travail , de nuit, j'ai un collègue sénégalais qui est musulman , il fait ça prière dans une salle juste à côté de la cuisine
Le gars répète inlassablement les mêmes rhétoriques dans un arabe incompréhensible , il mange les mots , il ne sais même pas ce qu'il dit en arabe , il a juste appris des phrases type qu' il est incapable de répété correctement , c'est vraiment pathétique , et il le fait machinalement , faut le voir en action et une fois la prière finit il est capable d'ouvrir une conversation impudique sur les femmes ( non pas la sienne ) mais d'autres femmes
C'est incroyable et j'en est vu défilé un paquet de son genre
Il y a un Noble Hadith qui dit:
La hya fi el Dîn
Il n y a pas de pudeur à observer en religion.
On peut poser toutes les questions que l'on veut.
PBSL a dit aussi que faire l'amour a la beauté des montagnes. Ce n'est pas du tout un acte honteux.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 19 sept.17, 06:02Imperiocristo,
Ce que tu dis me fait penser au hajj. Des prières à un dieu inconnu, qu'ils ne connaissent pas, avec lequel il n'y a aucun retour, juste une voie en sens unique, le vide..
Et si j'en crois une vidéo sur la prière à la mecque, les musulmans demandent la misère aux juifs et chrétiens. Je suis persuadé qu'au niveau des énergies qui circulent autour de la terre, les prières du hajj ont des répercutions négatives. Ces prières ne font que donner de la puissance au mal, puisque souhaiter le mal c'est servir le Mal. Et directement, les musulmans se détruisent eux-mêmes avec leurs prières vers un dieu inexistant.
Ce que tu dis me fait penser au hajj. Des prières à un dieu inconnu, qu'ils ne connaissent pas, avec lequel il n'y a aucun retour, juste une voie en sens unique, le vide..
Et si j'en crois une vidéo sur la prière à la mecque, les musulmans demandent la misère aux juifs et chrétiens. Je suis persuadé qu'au niveau des énergies qui circulent autour de la terre, les prières du hajj ont des répercutions négatives. Ces prières ne font que donner de la puissance au mal, puisque souhaiter le mal c'est servir le Mal. Et directement, les musulmans se détruisent eux-mêmes avec leurs prières vers un dieu inexistant.
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 21 sept.17, 03:25Oui, tu as raison, ce n'est que mon avis, je ne détiens pas la vérité.Gorgonzola a écrit :On est en droit de tout penser concernant ce personnage.
Les 2 hypothèses se tiennent et s'entremêlent. On ne saura probablement jamais
Par contre, je pense qu'on saura le fin mot de l'histoire... une fois au ciel.
Dieu nous révélera tout!
Allah envoie des diables pour nous égarer à vie, empêchant ainsi toute possibilité de repentir (19.83).
L'Eternel envoie son fils pour nous guider et nous offrir le salut par la repentance (Jean 3:16).
Matthieu 7:15 Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
L'Eternel envoie son fils pour nous guider et nous offrir le salut par la repentance (Jean 3:16).
Matthieu 7:15 Gardez-vous des faux prophètes. Ils viennent à vous en vêtement de brebis, mais au dedans ce sont des loups ravisseurs.
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 17 oct.17, 09:11n'oublions pas! le livre saint des chrétiens annoncent l'envoie de Muhammad par cette promesse
Génèse 16.7
L'ange de l'Éternel la trouva près d'une source d'eau dans le désert, près de la source qui est sur le chemin de Schur.
16.8
Il dit : "Agar, servante de Saraï, d'où viens-tu, et où vas-tu ?" Elle répondit : "Je fuis loin de Saraï, ma maîtresse."
16.9
L'ange de l'Éternel lui dit : "Retourne vers ta maîtresse, et humilie-toi sous sa main."
16.10
L'ange de l'Éternel lui dit : "Je multiplierai ta postérité, et elle sera si nombreuse qu'on ne pourra la compter."
16.11
L'ange de l'Éternel lui dit : "Voici, tu es enceinte, et tu enfanteras un fils, à qui tu donneras le nom d'Ismaël; car l'Éternel t'a entendue dans ton affliction."
20A l'égard d'Ismaël, je t'ai exaucé. Voici, je le bénirai, je le rendrai fécond, et je le multiplierai à l'infini; il engendrera douze princes, et je ferai de lui une grande nation. 21J'établirai mon alliance avec Isaac, que Sara t'enfantera à cette époque-ci de l'année prochaine. 22Lorsqu'il eut achevé de lui parler, Dieu s'éleva au-dessus d'Abraham.
Génèse 16.7
L'ange de l'Éternel la trouva près d'une source d'eau dans le désert, près de la source qui est sur le chemin de Schur.
16.8
Il dit : "Agar, servante de Saraï, d'où viens-tu, et où vas-tu ?" Elle répondit : "Je fuis loin de Saraï, ma maîtresse."
16.9
L'ange de l'Éternel lui dit : "Retourne vers ta maîtresse, et humilie-toi sous sa main."
16.10
L'ange de l'Éternel lui dit : "Je multiplierai ta postérité, et elle sera si nombreuse qu'on ne pourra la compter."
16.11
L'ange de l'Éternel lui dit : "Voici, tu es enceinte, et tu enfanteras un fils, à qui tu donneras le nom d'Ismaël; car l'Éternel t'a entendue dans ton affliction."
20A l'égard d'Ismaël, je t'ai exaucé. Voici, je le bénirai, je le rendrai fécond, et je le multiplierai à l'infini; il engendrera douze princes, et je ferai de lui une grande nation. 21J'établirai mon alliance avec Isaac, que Sara t'enfantera à cette époque-ci de l'année prochaine. 22Lorsqu'il eut achevé de lui parler, Dieu s'éleva au-dessus d'Abraham.
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Re: Qui est Muhammad SAW ?
Ecrit le 19 oct.17, 04:15Ken le survivant a écrit :n'oublions pas! le livre saint des chrétiens annoncent l'envoie de Muhammad par cette promesse
Génèse 16.7
L'ange de l'Éternel la trouva près d'une source d'eau dans le désert, près de la source qui est sur le chemin de Schur.
16.8
Il dit : "Agar, servante de Saraï, d'où viens-tu, et où vas-tu ?" Elle répondit : "Je fuis loin de Saraï, ma maîtresse."
16.9
L'ange de l'Éternel lui dit : "Retourne vers ta maîtresse, et humilie-toi sous sa main."
16.10
L'ange de l'Éternel lui dit : "Je multiplierai ta postérité, et elle sera si nombreuse qu'on ne pourra la compter."
16.11
L'ange de l'Éternel lui dit : "Voici, tu es enceinte, et tu enfanteras un fils, à qui tu donneras le nom d'Ismaël; car l'Éternel t'a entendue dans ton affliction."
20A l'égard d'Ismaël, je t'ai exaucé. Voici, je le bénirai, je le rendrai fécond, et je le multiplierai à l'infini; il engendrera douze princes, et je ferai de lui une grande nation. 21J'établirai mon alliance avec Isaac, que Sara t'enfantera à cette époque-ci de l'année prochaine. 22Lorsqu'il eut achevé de lui parler, Dieu s'éleva au-dessus d'Abraham.
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