Le pouvoir et la liberté, c'est à l'intérieur. Tu te projettes toujours à l'extérieur, alors que toute ta vie commence à l'intérieur.Farore97 a écrit :Ce n'est pas parce que tu es libre que tu sera heureux bien que cela soit nécessaire.
Ta confusion entre liberté et pouvoir est grande.
Si tu es libre tu n'as pas forcément de pouvoir. Tu es libre de l'acquérir, mais tu n'as aucune garanti.
Ce n'est pas le mental qui produit les émotions. C'est là où tu fais erreur. Au plus profond de toi, il y a les sentiments, puis les émotions, puis le mental.Farore97 a écrit :2) Ce n'est pas vrai. Les émotions sont première a la formations de ton mental. Cela se passe toujours ainsi.
Tu t'adaptes toujours en fonction de ce que tu ressens afin d'inhiber ou de favoriser ces sensations.
Le mental produit des émotions a cause d'une émotions initiales qui t'as soit plu sois dégoûté voir horrifier. Bref qui était inédite dans ta vie et auquel tu n'étais pas préparer.
Du coup le mental se forgé et s'adapte pour que tu puisse vivre bien.
A partir du moment où tu agis par amour, tu n'as pas à te préoccuper de ce que les autres ressentent. Ce qui est bien pour toi est bien pour les autres, même si ils ne le savent pas.Farore97 a écrit :4) Si ta notion du mal et du bien est relative a l'autre, alors ta phrase " ce qui est bien pour moi est bien pour l'autre" n'a plus de sens puisque c'est relatif aux autres.
Le bien pour toi peut s'avérer mal pour l'autre et vice versa.
Autrement dit en perpétrant le bien selon toi tu peux perpétré le mal pour d'autres. Et ce n'est pas, selon moi, respecter l'autre que d'appliquer un tel dicton.
Tu vois des allégories dans un récit qui clairement montre la cruauté du dieu des hébreux. Ce dieu n'était en rien différent des dieux de Sumer.Farore97 a écrit :5) Fait attention aux extrait que tu relève et renseigne toi avant parce que certain sont issu de l'époque moyen ageuse. Et oui ! Même en ces temps la, la bible était entrain d'être modifier pour mieux manipuler le peuple.
Lucifer, ange dechu par exemple est une figure créé aux 12 ème siècle par exemple.
Donc l'extrait qui ressemble un peu a un jugement dernier a fort probablement deja été ajouté par la suite, biiieeen après ...
L'extrait avec les cailles est ressorti de son contexte. Jéhovah frappe sans raison on ne sait pas pourquoi. Les informations ne sont pas dans l'extrait mais doivent se trouver autour.
Le passage après parlant du voyage après la mer rouge incite ici a se contenter de ce que l'on a. N'oublions pas que le peuple d'Israël vient d'être délivrer de l'esclavage et qu'il aurait pu y rester.
C'est l'ingratitude ici qui est allegorisé (et bien entendu puni)
Le modèle d'amour et de fonctionnement d'une bonne partie de l'humanité est fondé sur celui de ce dieu cruel qui ne t'aime que si tu l'aimes. Ainsi, les gens ont appris que l'amour devait être conditionnel. Mais l'amour est par définition libre.
Oui, mais tu as le choix de la pensée qui émerge face à tels ou tels stimuli. C'est là toute la puissance du mental.Farore97 a écrit :8) La pensée nait a l'intérieur, puis permet une action et tout le reste etc...
Mais tu oublies le principal.
Pourquoi ? Pourquoi la pensee nait-elle ? En réponse a quoi est - elle conçu ? Tu oublie la raison principal de l'existence de la pensée.
Elle est conçu en réponse a des phénomène extérieur qui nous travail mentalement.
Toujours choisir ce qui est bien POUR TOI et ce qui est JUSTE. Même si cela a des conséquences fâcheuses, tu n'auras pas à porter le poids de la culpabilité.Farore97 a écrit :10) La phrase " ce qui est bon pour moi est bon pour toi" a été traité au point n° 4 avec la notion de bien et de mal ; tu sais que pour moi c'est faux.
Pour ce qui est d'un choix. Il n'y a pas forcément toujours la possibilité de la faire par amour et sans peur à la fois.
Un exemple de situation que tous le monde peut s'imaginer.
Tu veux te choisir un chien à la SPA. Tu as un très grand choix.
Au final tu te rend compte que tu dois choisir entre deux chiens car c'est les deux qui sont sorti du lot a tes yeux. Tu n'en prendras qu'un bien-sûr.
Par mégarde tu apprends que ceux là sont a un jours de se faire piquer (euthanasie).
Tu sais des lors que ton choix va décider de la vie ou de la mort de l'un de ces deux chiens.
Je ne vois pas comment tu peux faire ce choix sans peur pour l'un et avec de l'amour pour l'autre.
Et dans le cas ou tu n'en ferai aucun et bien les deux mourront, naturellement !
Je ne vois pas comment cet acte peut être perçu comme bien ou comme mal.
C'est donc pareil avec l'agriculteur. Il doit choisir entre sa famille où celle de millier d'autres.
Qu'aurais tu fais a sa place ?
Il faut plus qu'une prise de conscience. La prise de conscience est un début au changement, mais ne garantit pas le changement. C'est donc bien un réglage mental qu'il faut faire. C'est donc bien la formule mentale qu'il faut changer, de façon à ce que, rentrant les mêmes données, on puisse parvenir à un résultat différent.Farore97 a écrit :12) Ce n'est pas une question de réglage. C'est une question de prise de conscience.
Le mentale fonctionne bien, mais le fait qu'elle intègre une donner supplémentaires change tout le resulta d'une réflexion.
C'est comme si je te disais que dans un calcul tu te rends compte que tu as oublier des composantes mathématiques.
C'est pas des chiffres qui change, c'est pas des paramètre, mais la formule entière.
La calculatrice n'a jamais tort en manipulant les nombres, ce que l'esprit n'a jamais tort en manipulant les idées.
Ce n'est pas un réglages que fait le psychanalyste. Le psychanalyste permet a l'autre de prendre conscience de ce a cote de quoi il est passé, ce qu'il a oublié ou n'a jamais su déceler.
Le psychanalyste n'aide pas pas au réglage. L'esprit le fait tout seul.
C'est comme quand on dresse un chien ou n'importe quel animal. L'humain doit aussi être dressé de la même façon. Le terme est un peu fort, mais le résultat est le même. Il doit apprendre à agir et à réagir selon un modèle qui garantit son bien-être. Les gens sont pour la plupart mal « réglé » ce qui aboutit à des actions et réactions contraires à leurs propres intérêts.