le Coran ne change pas et ne changera jamais contrairement à la bible d'aujourdhui qui a été mainte fois reformé selon les moeurs et les événements de l'époque...
De surcroit n'est pas pour cela qu'il peut etre completement inadapté à la vie d'aujourd'hui?
Si on l'interpretre litterallemnt comme des petits malins veulent faire, alors c'est certain il est completement rétrograde, phallocratrique à souhait, homophobe, maniant l'incitation au crime et à la vengeance.
Meme le ramadan est innaplicable en certains endroits de la terre (là où le soleil ne se couche jamais) simplement parce qu'il a ete ecrit dans des régions à une epoque ou on ne savait pas que cela existait le jour sans nuit pendant des semaines
Si tu considère que le ramadan doit etre une periode d'humilité, de reflexion et de partage c'est magnifique et applicable sur toute la surface de la terre.
Si tu le considère litterallement : d'une part cela prouve que le coran n'est pas universelle
d'autre part , c'est une epreuve physique impossible ou dangeureuse pour la santé dans les pays ou le jour durent entre 18 et 24 heures!!
Cette vision rétrograde de l'islam est en train de détruire toute la beauté de votre religion et de votre culture
Dire que le coran sait tout , à raison en tout, est non seulemnt d'un cretinisme absolue, incite à la négation totale des femmes (voir les talibans : en 1996 il y avait 60 % de femmes à l'université de Kaboul et peu nombreuses sont celles qui la frequentent à nouveau)
Cite un seul etat religieux islamique qui est un symbole de liberté?
Nul part, on esaie de formater la pensée, d'eliminer les subversifs les homos, la science ne peut plus faire aucune avancée puisque les religieux savent tout
(ça vous rapelle rien : "et pourtant, elle tourne..." les femmes ne comptent plus pour rien.
C'est ça que tu vends comme programme avec ton coran qui est la parole de dieu et qui est devient l'unique reference?
Moi j'aime bien l'islam de la liberté, j'aime bien pouvoir dire que les femmes tunisiennes ont eu le droit à l'avortement en 1965 (bien avant les françaises et peut importe que l'on soit contre ou pour , c'est un indice de liberté!!!) J'aimais bien l'islam qui acceuillait les juifs quand l'occident les pourchassait, j'adorais toute la civisilation arabo-andalouse à qui l'Europe doit tant sans le savoir (ou vouloir le reconnaitre
)
Je passe mon temps sur ce forum à dire que l'islam n'est pas mauvais en soi, que ce n'est pas seuleemnt un religion qui interdit, qui deconsiderent, qui bafoue les droits les plus élémentaires de l'homme...
Franchement avec des discours pareils , tu ne lui fais du bien à ta religion!!
Tiens un texte de salmann rusdie que je t'invite à lire.
Extrait:
.../...
Ils essaient de faire en sorte qu'"islam" ne devienne pas synonyme de "terrorisme" dans l'esprit des gens.
"Bien entendu, il n'y a aucun lien intrinsèque entre la religion et la violence. Les croisades ne prouvent pas que le christianisme fut violent. L'Inquisition ne prouve pas que le christianisme torture les gens, mais ce christianisme-là en a torturé. Cet islam-ci est responsable de cette attaque.
Je pense que, pour des raisons tout à fait respectables, il y a un désir de marquer cette dissociation. On peut comprendre ces raisons, mais cela pose un problème de vérité fondamental. Cela me rappelle un peu ce que les socialistes occidentaux disaient à l'époque des pires excès soviétiques. Ils disaient que cela n'avait rien à voir avec le vrai socialisme, que le vrai socialisme était établi sur les bases de la liberté, de la justice sociale, et cetera, mais que le régime tyrannique là-bas, qui était en fait un socialisme en chair et en os, n'était pas marxiste. Le problème, c'était que ce socialisme-là existait. Sa chute entraîna avec elle cette vision idéale du socialisme. Il devint très difficile d'ignorer tous les gens qui détestaient le terme "socialisme" après la chute de l'Union Soviétique car pour eux, c'était synonyme de tyrannie. On commence à entendre le même genre de discours sur l'islam. Pourtant, il existe, à l'heure actuelle, un islam qui n'a rien pour plaire.
Il y a assurément d'autres alternatives. J'ai grandi dans une famille musulmane en Inde, et je sais ce qu'est cet autre islam. Mon grand-père était un homme très pieux. Il est allé à La Mecque pour le Haj et priait cinq fois par jour. Mais c'était la personne la plus tolérante et la plus ouverte que j'aie jamais rencontrée. Allez dans n'importe quel pays musulman, vous serez témoin de ce débat entre l'islam radical et l'islam modéré. Il se situe là-bas, en Orient, il n'a rien à voir avec la perception occidentale de l'Orient. Si vous parlez avec des musulmans en Inde, ils vous raconteront immédiatement cette confrontation avec ces autres musulmans. Par exemple, le genre d'islam que l'on tente d'imposer au Cachemire est très arabisant, et étranger au Cachemire. Il n'y est pas apprécié, car il existe là-bas une tradition plus soufique, qui est plus mystique et plus modérée.
Le problème, c'est comment dire la vérité sans punir ceux qui ne méritent pas d'être punis?"
Si vous étiez le rédacteur des discours de Bush, comment procéderiez-vous?
"Il faudrait présenter cette argumentation. Il faudrait dire: "Tout le monde n'est pas comme cela; mais cela fait partie de l'ensemble." C'est cela qui cloche avec la vérité: elle n'est jamais unidimensionnelle. Elle est parfois contradictoire. Mais la politique, elle, ne tolère pas l'ambiguïté."
Que dire, alors, des réformes démocratiques dans les pays islamiques? Pensez-vous qu'il manque un élément critique à l'islam, afin d'établir une base solide pour la liberté?
"Il y aurait plutôt un élément en trop, qui croit que la religion peut servir de fondement pour un État. C'est plus une question de retirer cet élément que d'en ajouter un. Il y a eu plusieurs moments dans l'histoire du Pakistan où des généraux et les gouvernements civils se sont fortement opposés aux tentatives d'islamisation du pays. Il ne va pas de soi qu'un pays renfermant de nombreux musulmans cherchera nécessairement à islamiser ses structures. Mais à mon avis, il faut que les musulmans de toutes parts comprennent qu'il est impossible de fonder un pays sur les bases de la religion. Le Pakistan en est la preuve. C'est un État fondé sur la religion, qui est tombé en miettes un quart de siècle après sa création, parce que sa glu n'était pas assez forte."
Il existe aussi un débat en Occident sur la meilleure façon de séparer l'Église et l'État. Dans la formule constitutionnelle élaborée par les États-Unis, l'État doit être neutre, et non hostile à la religion. La France et la Turquie vont plus loin, en utilisant l'État pour laïciser le pays. Quelle est votre position quant à l'utilisation de l'État comme moteur de la laïcité?
"Je pense que les Français, sans vouloir offenser qui que ce soit, sont plus ou moins sur la bonne voie. L'idée de la séparation de l'Église et de l'État fut une exportation française dans la Constitution américaine, gracieuseté de Tom Paine. L'idée que l'Église n'a aucune place dans l'État est au cœur de la nation française depuis la Révolution française.
../...