Vous allez vous disputer longtemps comme cela ?
Un peu de respect algol-x... Nous pratiquons une grande philosophie devant le Gohonzon (sujet du post et objet de culte ! ) ,
rien ne vous oblige à apprendre ni à apprécier, mais rien n'ont plus ne vous encourage à ennuyer le sujet.
La Tour aux Trésors
Le bouddhisme pratiqué au sein du mouvement Soka fut établi par Nichiren Daishonin (1222-1282), moine japonais du XIIIe siècle, sur la base du Sûtra du Lotus.
"Je veux donc que ceux qui ont un esprit de recherche se rencontrent et lisent ensemble cette lettre à titre d’encouragement."
Nichiren, Lettre de Sado, Ecrits, 310.
Dans les Enseignements oraux, Nichiren dit : « La grande joie est ce que nous expérimentons quand nous comprenons pour la première fois que notre esprit est depuis le commencement même un Bouddha. Nam-myoho-renge-kyo est la plus grande de toutes les joies. » (OTT, 211-212)
Keisei (1189-1268), moine de la lignée Jimon de l'école japonaise Tendai et frère aîné de Kujo Michi'ie (1193-1252), commenta le sens de la pratique du bodhisattva Jamais-méprisant dans Un ami pour celui qui demeure dans la solitude (Kankyo no tomo) : « D'une manière générale, le cœur du comportement qui consiste à refuser de rabaisser les autres réside dans l’attitude intérieure de s’incliner devant la nature de bouddha existant dans le cœur de tout être vivant. Les êtres dans l’illusion tels que nous, ne sont pas directement conscient de ce principe, mais, avant même d’atteindre l’illumination, nous sommes dotés de la nature de bouddha, et aucune créature, même parmi les plus humbles comme une fourmi ou un grillon, ne mérite d'être méprisée. Même dans les mondes de l’enfer ou des esprits affamés, il n'est pas un seul être qui ne possède la nature de bouddha. Par conséquent, si vous êtes vraiment conscient de ce principe, vous ne manquerez pas de respecter même les oiseaux et les bêtes sauvages. » Par ces mots, Keisei en déduit qu’à l’exemple du prêtre japonais Genjo Shonin qui, dans le passé proche, s'inclinait devant les oiseaux et les bêtes, cette pratique trouve son origine dans l'idée que même les animaux possèdent la nature de bouddha.
http://www.soka-bouddhisme.fr/ressource ... s-extraits
(…) Les Quatre nobles vérités et la Chaîne des douze maillons de l'origine interdépendante représentent les enseignements fondamentaux de Shakyamuni. Mais le Sûtra du Lotus les désigne comme des moyens opportuns à destination des sravakas et des pratyekabuddhas, respectivement. En un mot, ces enseignements sont un moyen d'élever leurs capacités spirituelles afin qu'ils puissent écouter et accepter le Sûtra du Lotus. De ce point de vue, ces deux principes sont critiqués car ils ne visent qu'à libérer les sravakas et les pratyekabuddhas de leurs désirs terrestres. Le Sûtra du Lotus affirme que si ceux qui se considèrent comme des arhats ne recherchent pas davantage l'illumination du Bouddha (c-à-d non seulement la libération des désirs, mais aussi le salut des autres), alors ils ne sont pas de vrais arhats, mais seulement des personnes arrogantes. Comme mentionné ci-dessus, Shakyamuni ne s'est pas satisfait de sa propre libération, mais a consacré sa vie au salut de beaucoup d’autres personnes et à la formation de ses disciples. L'accent est mis ici sur l’idéal de bodhisattva, en tant qu'envoyé du Bouddha. C’est un des traits distinctifs du Sûtra du Lotus, basé sur cette compréhension de la vie de Shakyamuni.
Pour en revenir au Gohonzon , dont chacun ici devrait y mettre une majuscule et merci,
cette Tour aux Trésors, qui n'est nul part autre qu'en chacun de nous,
Que le Gohonzon révèle,
grâce à la méditation,
est puissante.
La clarté du bonheur n'est pas si éloignée de nous à chaque instant !
Algol-x, vous le savez bien... Nous pratiquons avec joie et bonheur. Pas de soucis pour nous donc. Il est une envie de vous faire découvrir cela, mais rien ne vous oblige à croire en vous même, rien ne vous oblige à suivre le sujet.