Pour mettre une croix aux préjugés

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Le dialogue interreligieux est une forme organisée de dialogue entre des religions ou spiritualités différentes. Ultérieurement, la religion a considéré l'autre comme n'étant pas la vérité révélée. C'est ainsi que les premiers contacts entre l'islam et le christianisme furent souvent difficiles, et donnèrent lieu à des guerres impitoyables comme les croisades.
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Citizenkan

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Re: Pour mettre une croix aux préjugés

Ecrit le 17 janv.18, 00:51

Message par Citizenkan »

nausic a écrit : Enviée ? par qui ?
Certainement pas par moi

Allez ..
Sahih al-Bukhari, Volume 1, Book 3, Number 116
Narrated 'Abdullah bin 'Umar:
Once the Prophet led us in the 'Isha' prayer during the last days of his life and after finishing it (the prayer) (with Taslim) he said: "Do you realize (the importance of) this night? Nobody present on the surface of the earth tonight will be living after the completion of one hundred years from this night."

Cela montre bien que Mahomet croyait que la fin du monde se passerait 100 ans après lui .. Mais cela ne s est pas passé

D autre part nous savons qu un des compagnons du prophète vécut 120 ans ( en fait il y en eut plusieurs ) selon votre tradition

SARIYYAH OF SALIM IBN ‘UMAYR

Then occurred the sariyyah of Salim Ibn ‘Umayr al-‘Amri against Abu ‘Afak, the Jew, in Shawwal in the beginning of the twentieth month from the hijrah of the Apostle of Allah, may Allah bless him. Abu ‘Afak, was from Banu ‘Amr Ibn ‘Awf, and was an old man who had attained the age of one hundred and twenty years. He was a Jew, and used to instigate the people against the Apostle of Allah, may Allah bless him, and composed (satirical) verses. Salim Ibn ‘Umayr who was one of the great weepers and who had participated in Badr, said: I take a vow that I shall either kill Abu ‘Afak or die before him. He waited for an opportunity until a hot night came, and Abu ‘Afak slept in an open place. Salim Ibn ‘Umayr knew it, so he placed the sword on his liver and pressed it till it reached his bed. The enemy of Allah screamed and the people, who were his followers rushed to him, took him to his house and interred him. (Ibn Sa'ad's Kitab Al-Tabaqat Al-Kabir)

Ou encore :
Jami` at-Tirmidhi : In-book reference / Book 49, Hadith 3989
"Narrated Abu Zaid bin Akhtab:

"The Messenger of Allah (ﷺ) wiped his hand over my face and supplicated for me." 'Azrah (one of the narrators) said: "Indeed he lived for one-hundred and twenty years, and there weren't upon his head except for a few small grey hairs."



Autre hadith :
Sahih Muslim , Livre 41, Numéro 7053 :

Anas a rapporté: Un jeune garçon de Mughira b. Shu'ba est passé par hasard (le Saint Prophète) et il avait mon âge. Là-dessus, l'apôtre d'Allah (que la paix soit sur lui) a dit: S'il vit suffisamment , il ne deviendra pas très vieux jusqu'à ce que la Dernière Heure vienne

D autre part , le coran dit que Mahomet disait que sa génération contemporaine était la meilleure des génération puis celle d après , puis celle d après . Ce qui fait 3 générations, pas plus . Il n a jamais dit que cela allait plus loin que 3 générations dans le coran .
Or 3 générations font bel et bien approximativement 100 ans
Donc cela confirme qu il croyait bien à une fin du monde imminente à son époque et cela ne s est pas passé
Je note aussi que l une des "meilleures generations" s este entretuér entre Aisha et Ali lors de la "bataille du chameau" et a causé plusieurs dizaine de milliers de morts de musulmans .
On ne peut pas dire que ce fut une belle génération : Une génération qui s est entre-tuée ... Là aussi , c est une fausse prophétie
Il n y avait aucun juif , aucun chrétien , aucun paien , aucun athée dans cette bataille : que des musulmans

Envié par les plus grands érudits, comme l'auteur de majma' el masanid, je ne parlais pas du commun des mortels ignorants, à l'université de Tel-Aviv, un chercheur passionné dépense des fortunes pour avoir accès à des manuscrits,

Ensuite, ramenez ces textes en arabe, car là je sent une erreur grossière, il dit que dans 100 ans il n'y aura plus personne de vivant qui n'est vécu aujourd'hui, en cela, c'est une prophétie qui atteste le contraire de ce qui est voulu démontré, Dieu est grand !

En attendant vos prouesses d'inepties, voici un nouveau passage, heureusement que je suis passé par-là :

Les diverses occupations étrangères n’ont guère mordu sur l’essentiel. Par saint Augustin nous savons que la langue araméenne était à son époque de pratique courante en Afrique du nord ; elle l’était aussi en Espagne et si la langue de la péninsule ibérique est encore si riche de termes arabes, elle ne le doit pas à quelques cavaliers fantômes de Tariq ben Ziyad ; ces cavaliers, quand ils mirent pied à terre, trouvèrent de l’autre côté des colonnes d’Hercule des gens qui parlaient à peu près comme eux, tout comme les Maures, les Numides, les Carthaginois, les Libyens. Saint Augustin, qui s’exprimait lui-même en araméen, sa langue natale, nous apprend qu’interrogés sur eux-mêmes les paysans de son diocèse d’Hippone (aujourd ’hui Bône ou Annaba) se déclaraient originaires de Palestine, de race cananéenne : « interrogati rustici nostri quid sint punice respondent chanani » (1). Il n’y a donc jamais eu ni conquête ni domination arabe ; la vérité est que sous le nom d’Arabes, les peuples de la Méditerranée orientale et méridionale ont recouvré au grand jour une souveraineté politique exercée à partir d’Alexandre et jusqu’au v ii° siècle par des dynasties étrangères à leur sol. Les manuscrits du haut Moyen-Age ne désignent-ils pas sous le nom d’Arabes ou de Sarrazins les populations méditerranéennes non germaniques et de religion autre que celle de Rome ? La chanson de Roland nous décrit à Roncevaux un combat contre les Sarrazins. Or ces Sarrazins étaient des Basques... Très curieusement les Chrétiens d’Afrique et d’Espagne, pour se différencier des Catholiques romains s’appelaient entre eux « Punici christiani », c’est-à-dire « Chrétiens de Palestine ». Il y avait donc à l’époque de Charlemagne, et même après lui, des « Chrétiens arabes » et des « Chrétiens romains ». Voilà qui éclaire vivement des obscurités de l’histoire et remet en cause jusqu’aux fondements de notre enseignement scolaire.

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