La tête brisée en sept morceaux
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Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
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La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 30 mars18, 05:28Titre étrange, mais comme certains s'envoient cette invective à la figure (ca doit les rassurer) !
Illustration par l'exemple !
Considérant qu'Ikeda promettait une santé robuste et rayonnante, une vitalité suprême et la JEUNESSE comme récompense à ceux qui le suivrait, il est ABSOLUMENT pertinent de souligner que la soi-disant «autorité suprême du monde en bouddhisme Nichiren» n'obtient pas les avantages promis en suivant son enseignement.
Aussi, si Ikeda est supposé être le «guide suprême» de tout le monde - et que les publications et les dirigeants de SGI n'aient AUCUN DOUTE que c'est effectivement le cas.
Alors il n'y a AUCUNE EXCUSE pour expliquer pourquoi Ikeda n'a pas été vu en public depuis avril 2010, et aucune explication pourquoi il est gardé loin de la vue de tout le monde.
Il est absolument incroyable que le chef spirituel d'une organisation «disparaisse» ainsi.
En fait, dans le bouddhisme Nichiren, il y a cette croyance que si vous calomniez le Sūtra du Lotus, votre tête sera brisée en 7 morceaux.
Nichiren l'a enseigné. La démence est considérée comme une manifestation de celle-ci.
Donc, si Ikeda montre des signes de démence, c'est un problème pour la SGI, d'autant plus que la propre organisation d'Ikeda a invoqué cet argument contre la Nichiren Shoshu son organisme de tutelle monastique :
Le bouddhisme de Daishonin est strict. Même si vous êtes le grand prêtre, si vous commettez une calomnie, vous ne pouvez pas échapper à l'effet. Sur les côtés droit et gauche du Gohonzon, il y a les inscriptions: «Celui qui fait des offrandes gagnera de la chance surpassant les dix titres honorables [du Bouddha]» et «celui qui calomnie aura la tête brisée en sept morceaux». car le grand prêtre «n'apparaît pas» Esprit Soka
Il doit en ce cas en être de même , pour Daisaku Ikeda " Si Ikeda souffre de démence ou de sénilité, alors sa tête a été brisée en sept morceaux".
Laissez-nous le voir pour que nous puissions en juger par nous-mêmes !
Ce qui expliquerait la situation actuelle d'un leader mis sous le boisseau car il est plus que probable qu’avec un post-AVC (hémisphère gauche) il ne se déplace pas bien.
Devenant une sorte de fantôme que l’on sort juste pour des photos fixes (l'air bizarre), dans des mises en scènes semi-publiques très controlées ou il est vue de loin.
Les problèmes de santé privé sont les mêmes partout. Cependant, dans ce cas particulier toute déclaration publique en faisant état, lancerait le cercle vicieux de l'accusation de la Tête brisée en sept pièces et aussi d'être tombé avant Nikken...)
L'organisation de culte est dans le contrôle d'images orchestrées pour que cela ne nuise pas à son pouvoir et à son influence. Une fois de plus, l'hypocrisie de ce genre de comportement est remarquable et manque d'honnêteté envers les membres, en leur donnant une chance de prier et de soutenir une personne malade, etc.). "
La maladie, la vieillesse et la mort sont tous des aspects normaux de la vie, quelque chose que je croyais que le bouddhisme reconnaissait comme naturel.
Pourquoi prétendre que tout va bien avec un homme de 84 ans qui a eu un accident vasculaire cérébral ? C'est manipulateur et inhumain.
L'ancien grand prêtre Nikken Abe a pris sa retraite en 2006; et il assiste pourtant toujours à une grande fête avec tous les autres moines au temple principal de Taiseki-ji.
Rappelez-vous: les membres de SGI-USA chantaient à un moment pour que le grand prêtre Nikken meure !
Je suis entré dans les années 1980, lorsque la Soka Gakkai était une organisation laïque de la secte Nichiren Shoshu. Dans les années 1990, SGI s'est séparée de Nichiren Shoshu. Ce sont des accusations et des discours haineux des deux côtés, en particulier des membres de la SGI, qui m'ont vraiment fait me demander pourquoi je faisais partie de ce groupe. Certains membres que je connaissais pratiquaient le mantra pour que le grand prêtre de Nichiren Shoshu, Nikken Abe, meure...
Pratiquer pour que son avion s'écrase et tue tout le monde à bord...! Si Nikken va bien malgré qu’il soit de cinq ans l'ainé d’Ikeda... eh bien, il semblerait que la malédiction ait rebondi sur celui qui l'a lancé... n'est-ce pas? C'est un concept que NICHIREN développe à partir du SUTRA DU LOTUS, au cas où vous ne seriez pas familier:
Ainsi leurs malédictions «rebondirent sur l'auteur», et par conséquent le souverain et ses courtisans furent forcés de subir la défaite.
Nichiren, les actions du disciple du Sūtra du Lotus
Supposons avec des malédictions et diverses herbes vénéneuses
Quelqu'un devrait essayer de vous blesser.
Pensez au pouvoir de [Bodhisattva Quan Yin]
et la blessure rebondira sur l'expéditeur.
du LOTUS SUTRA, chapitre 25
Quelque soit la façon dont on le regarde, il semble qu' IKEDA est celui qui est puni ici (si vous croyez dans ces superstitions, comme Ikeda et ses serviteurs le font certainement). PAS NIKKEN!
Si c'était NIKKEN qui avait été retiré de la vue du public et victime de démence etc., Je vous parie tout ce que vous voulez que la Soka Gakkai / SGI danserait gigue de victoire à cette nouvelle !
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... rian_gray/
Superstitions habituelles... !
Illustration par l'exemple !
Considérant qu'Ikeda promettait une santé robuste et rayonnante, une vitalité suprême et la JEUNESSE comme récompense à ceux qui le suivrait, il est ABSOLUMENT pertinent de souligner que la soi-disant «autorité suprême du monde en bouddhisme Nichiren» n'obtient pas les avantages promis en suivant son enseignement.
Aussi, si Ikeda est supposé être le «guide suprême» de tout le monde - et que les publications et les dirigeants de SGI n'aient AUCUN DOUTE que c'est effectivement le cas.
Alors il n'y a AUCUNE EXCUSE pour expliquer pourquoi Ikeda n'a pas été vu en public depuis avril 2010, et aucune explication pourquoi il est gardé loin de la vue de tout le monde.
Il est absolument incroyable que le chef spirituel d'une organisation «disparaisse» ainsi.
En fait, dans le bouddhisme Nichiren, il y a cette croyance que si vous calomniez le Sūtra du Lotus, votre tête sera brisée en 7 morceaux.
Nichiren l'a enseigné. La démence est considérée comme une manifestation de celle-ci.
Donc, si Ikeda montre des signes de démence, c'est un problème pour la SGI, d'autant plus que la propre organisation d'Ikeda a invoqué cet argument contre la Nichiren Shoshu son organisme de tutelle monastique :
Le bouddhisme de Daishonin est strict. Même si vous êtes le grand prêtre, si vous commettez une calomnie, vous ne pouvez pas échapper à l'effet. Sur les côtés droit et gauche du Gohonzon, il y a les inscriptions: «Celui qui fait des offrandes gagnera de la chance surpassant les dix titres honorables [du Bouddha]» et «celui qui calomnie aura la tête brisée en sept morceaux». car le grand prêtre «n'apparaît pas» Esprit Soka
Il doit en ce cas en être de même , pour Daisaku Ikeda " Si Ikeda souffre de démence ou de sénilité, alors sa tête a été brisée en sept morceaux".
Laissez-nous le voir pour que nous puissions en juger par nous-mêmes !
Ce qui expliquerait la situation actuelle d'un leader mis sous le boisseau car il est plus que probable qu’avec un post-AVC (hémisphère gauche) il ne se déplace pas bien.
Devenant une sorte de fantôme que l’on sort juste pour des photos fixes (l'air bizarre), dans des mises en scènes semi-publiques très controlées ou il est vue de loin.
Les problèmes de santé privé sont les mêmes partout. Cependant, dans ce cas particulier toute déclaration publique en faisant état, lancerait le cercle vicieux de l'accusation de la Tête brisée en sept pièces et aussi d'être tombé avant Nikken...)
L'organisation de culte est dans le contrôle d'images orchestrées pour que cela ne nuise pas à son pouvoir et à son influence. Une fois de plus, l'hypocrisie de ce genre de comportement est remarquable et manque d'honnêteté envers les membres, en leur donnant une chance de prier et de soutenir une personne malade, etc.). "
La maladie, la vieillesse et la mort sont tous des aspects normaux de la vie, quelque chose que je croyais que le bouddhisme reconnaissait comme naturel.
Pourquoi prétendre que tout va bien avec un homme de 84 ans qui a eu un accident vasculaire cérébral ? C'est manipulateur et inhumain.
L'ancien grand prêtre Nikken Abe a pris sa retraite en 2006; et il assiste pourtant toujours à une grande fête avec tous les autres moines au temple principal de Taiseki-ji.
Rappelez-vous: les membres de SGI-USA chantaient à un moment pour que le grand prêtre Nikken meure !
Je suis entré dans les années 1980, lorsque la Soka Gakkai était une organisation laïque de la secte Nichiren Shoshu. Dans les années 1990, SGI s'est séparée de Nichiren Shoshu. Ce sont des accusations et des discours haineux des deux côtés, en particulier des membres de la SGI, qui m'ont vraiment fait me demander pourquoi je faisais partie de ce groupe. Certains membres que je connaissais pratiquaient le mantra pour que le grand prêtre de Nichiren Shoshu, Nikken Abe, meure...
Pratiquer pour que son avion s'écrase et tue tout le monde à bord...! Si Nikken va bien malgré qu’il soit de cinq ans l'ainé d’Ikeda... eh bien, il semblerait que la malédiction ait rebondi sur celui qui l'a lancé... n'est-ce pas? C'est un concept que NICHIREN développe à partir du SUTRA DU LOTUS, au cas où vous ne seriez pas familier:
Ainsi leurs malédictions «rebondirent sur l'auteur», et par conséquent le souverain et ses courtisans furent forcés de subir la défaite.
Nichiren, les actions du disciple du Sūtra du Lotus
Supposons avec des malédictions et diverses herbes vénéneuses
Quelqu'un devrait essayer de vous blesser.
Pensez au pouvoir de [Bodhisattva Quan Yin]
et la blessure rebondira sur l'expéditeur.
du LOTUS SUTRA, chapitre 25
Quelque soit la façon dont on le regarde, il semble qu' IKEDA est celui qui est puni ici (si vous croyez dans ces superstitions, comme Ikeda et ses serviteurs le font certainement). PAS NIKKEN!
Si c'était NIKKEN qui avait été retiré de la vue du public et victime de démence etc., Je vous parie tout ce que vous voulez que la Soka Gakkai / SGI danserait gigue de victoire à cette nouvelle !
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... rian_gray/
Superstitions habituelles... !
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 30 mars18, 23:16"Il est écrit dans le Sutra : ceux qui maltraitent le Pratiquant du Sutra du Lotus (Et non le sûtra ) auront la tête brisée en sept morceaux , pas un seul de ceux qui se sont attaqués à Nichiren n'a subi une telle punition. Devons-nous en conclure que Nichiren n'est pas véritablement le Pratiquant du Sutra du Lotus ? " Je répondrai en disant : "Si ce n'est pas Nichiren, qui d'autre désignerez-vous comme le Pratiquant du Sutra du Lotus ? Honen, qui a encouragé le peuple à abandonner ce Sutra ? Kukai, qui a accusé Shakyamuni d'être encore dans l'obscurité ? Shubhakarasimha ou Ennin, qui ont tous deux professé que le Sutra Vairocana et le Sutra du Lotus sont égaux en théorie, mais que le Sutra Vairocana est supérieur du point de vue de la pratique ? Les appelleriez-vous des Pratiquants du Sutra du Lotus ?
Quant à l'expression : "avoir la tête brisée en sept morceaux" , elle ne signifie pas nécessairement que l'on a la tête physiquement coupée en morceaux, comme par un sabre. Au contraire, le Sutra dit : "Exactement comme les branches d'arjaka, dans la tête de chaque être humain il y a sept gouttes de liquide, que sept démons attendent l'occasion de boire. Si les démons boivent une de ces gouttes, la personne aura mal à la tête ; s'ils en boivent trois, sa vie sera en danger ; et si les sept gouttes sont bues, elle mourra." Les gens de notre époque ont tous la tête brisée comme les branches d'arjaka, mais leur mauvais karma est si profond qu'ils ne s'en rendent même pas compte. Ils sont comme des gens blessés, profondément endormis ou en état d'ivresse, qui ne sentent pas encore la douleur de leur blessure.
Plutôt que la tête brisée en sept morceaux , on pourrait dire aussi l'esprit brisé en sept morceaux. Il arrive que la boîte crânienne se fende quand l'esprit est violemment dérangé. Il se peut aussi que parfois la tête ne se fende qu'après la mort. Beaucoup de gens, à une époque récente, ont eu la tête fracassée pendant le grand tremblement de terre de Shoka [1257] ou lorsque apparut l'énorme comète de l'ère de Bun'ei [1264]. Leurs blessures à la tête entraînèrent des troubles respiratoires, leurs cinq organes principaux furent atteints et ils souffrirent de dysenterie. Ne comprirent-ils pas que tout cela était un châtiment dû à leurs calomnies envers le Pratiquant du Sutra du Lotus ?
https://www.nichiren-etudes.net/gosho/a ... tement.htm
Quant à l'expression : "avoir la tête brisée en sept morceaux" , elle ne signifie pas nécessairement que l'on a la tête physiquement coupée en morceaux, comme par un sabre. Au contraire, le Sutra dit : "Exactement comme les branches d'arjaka, dans la tête de chaque être humain il y a sept gouttes de liquide, que sept démons attendent l'occasion de boire. Si les démons boivent une de ces gouttes, la personne aura mal à la tête ; s'ils en boivent trois, sa vie sera en danger ; et si les sept gouttes sont bues, elle mourra." Les gens de notre époque ont tous la tête brisée comme les branches d'arjaka, mais leur mauvais karma est si profond qu'ils ne s'en rendent même pas compte. Ils sont comme des gens blessés, profondément endormis ou en état d'ivresse, qui ne sentent pas encore la douleur de leur blessure.
Plutôt que la tête brisée en sept morceaux , on pourrait dire aussi l'esprit brisé en sept morceaux. Il arrive que la boîte crânienne se fende quand l'esprit est violemment dérangé. Il se peut aussi que parfois la tête ne se fende qu'après la mort. Beaucoup de gens, à une époque récente, ont eu la tête fracassée pendant le grand tremblement de terre de Shoka [1257] ou lorsque apparut l'énorme comète de l'ère de Bun'ei [1264]. Leurs blessures à la tête entraînèrent des troubles respiratoires, leurs cinq organes principaux furent atteints et ils souffrirent de dysenterie. Ne comprirent-ils pas que tout cela était un châtiment dû à leurs calomnies envers le Pratiquant du Sutra du Lotus ?
https://www.nichiren-etudes.net/gosho/a ... tement.htm
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 30 mars18, 23:43Edifiant,...jai constaté ces rétributions chez des personnes qui s'en sont prise à moi violemment à une certaine époque,...récemment l'une a eu un avc d'ailleurs,..je le regrette mais la loi de causalité est implacable...
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 00:26Certes et de plus instrumentalisée pour foutre la trouille au pratiquants, de façon subliminale !zeste de savoir a écrit :Superstitions habituelles... !
Et la Soka Gakkai qui se prétend être le "Bouddhisme" du XXIleme siècle, et qui se base sur des malédictions du moyen âge Japonais, remarquez que pour des gens fragiles, cela peut fonctionner comme une prophétie auto-réalisatrice !Yvon a écrit :"Au contraire, le Sutra dit : "Exactement comme les branches d'arjaka, dans la tête de chaque être humain il y a sept gouttes de liquide, que sept démons attendent l'occasion de boire. Si les démons boivent une de ces gouttes, la personne aura mal à la tête ; s'ils en boivent trois, sa vie sera en danger ; et si les sept gouttes sont bues, elle mourra."
Ce pauvre Ichinen29 est en pleine paranoïa !Ichinen29 a écrit :Edifiant,...jai constaté ces rétributions chez des personnes qui s'en sont prise à moi violemment à une certaine époque,...récemment l'une a eu un avc d'ailleurs,..je le regrette mais la loi de causalité est implacable...
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 00:29Ichinen29 a écrit :Edifiant,...jai constaté ces rétributions chez des personnes qui s'en sont prise à moi violemment à une certaine époque,...récemment l'une a eu un avc d'ailleurs,..je le regrette mais la loi de causalité est implacable...
J'ai connu la même chose , une personne a voulu me voler mon Gohonzon , heureusement mon voisin est intervenu . Par la suite une semaine aprés il a été interné en asile psychiatrique durant 3 mois , il était en plein délire .
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 00:37Ichinen29 a écrit :Edifiant,...jai constaté ces rétributions chez des personnes qui s'en sont prise à moi violemment à une certaine époque,...récemment l'une a eu un avc d'ailleurs,..je le regrette mais la loi de causalité est implacable...
Confusion entre la cause et l'effet, de plus la Soka Gakkai favorise les décompensations de ce type, malheureusement certains se suicident !Yvon a écrit :J'ai connu la même chose , une personne a voulu me voler mon Gohonzon , heureusement mon voisin est intervenu . Par la suite une semaine aprés il a été interné en asile psychiatrique durant 3 mois , il était en plein délire .
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 01:13Les faits sont là . Par la suite cette personne s'est mise à pratiquer sérieusement avec des conseils bien spécifiques par des responsables bienveillants . Il a complètement transformé sa vie il a fait des études , il est devenu ingénieur il s'est marié a eu des enfants et aujourd'hui tout va bien pour lui .
Il a illustré ainsi une autre prase de Nichiren :
Ceux qui croient dans le Sutra du Lotus sont dans une situation comparable à l'hiver qui ne manque jamais de se changer en printemps. Je n'ai jamais vu ni entendu dire que l'hiver retourne à l'automne.
https://www.nichiren-etudes.net/gosho/analyse/hiver.htm
Il a illustré ainsi une autre prase de Nichiren :
Ceux qui croient dans le Sutra du Lotus sont dans une situation comparable à l'hiver qui ne manque jamais de se changer en printemps. Je n'ai jamais vu ni entendu dire que l'hiver retourne à l'automne.
https://www.nichiren-etudes.net/gosho/analyse/hiver.htm
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 01:37Bel exemple de pensée inductive, enfin si ça vous rassure !Yvon a écrit :Les faits sont là . Par la suite cette personne s'est mise à pratiquer sérieusement avec des conseils bien spécifiques par des responsables bienveillants . Il a complètement transformé sa vie il a fait des études , il est devenu ingénieur il s'est marié a eu des enfants et aujourd'hui tout va bien pour lui .
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 01:44A la vue de cet expérience , j'ai pu vérifier que ce que dit Nichiren est vrai .Yvon a écrit :Les faits sont là . Par la suite cette personne s'est mise à pratiquer sérieusement avec des conseils bien spécifiques par des responsables bienveillants . Il a complètement transformé sa vie il a fait des études , il est devenu ingénieur il s'est marié a eu des enfants et aujourd'hui tout va bien pour lui .
Il a illustré ainsi une autre prase de Nichiren :
Ceux qui croient dans le Sutra du Lotus sont dans une situation comparable à l'hiver qui ne manque jamais de se changer en printemps. Je n'ai jamais vu ni entendu dire que l'hiver retourne à l'automne.
https://www.nichiren-etudes.net/gosho/analyse/hiver.htm
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 02:35Qu'est devenu Daisaku Ikeda ?
Le président d’honneur de la Soka Gakkai internationale n’est pas réapparu en public depuis le mois de mai 2010. Alors que courent des rumeurs d’une grave maladie, Madame A, infirmière de son métier, qui s’occupait du patient Ikeda jusqu’en 2014 parle.
Fauteuil roulant, difficultés d’élocution, difficultés de communication… Que ce passe-t-il dans cet hôpital sous haute sécurité ?
« Selon les journaux et les revues de la Soka Gakkai, Ikeda « sensei » est en pleine forme et débordant d’activités. Or, alors que j’étais à son chevet il y a quelques mois, il ne pouvait pas marcher sans difficultés et avait du mal à lire, à écrire et à converser. Des équipes de médecins et d’infirmières se relayaient vingt-quatre heures sur vingt-quatre et un secrétaire posté dans la chambre surveillait son état qui laissait à penser qu’il pouvait se passer quelque chose à tout moment ».
Celle qui parle ainsi en s’exprimant d’une manière tendue est madame A, une infirmière travaillant au Nangen Center, un établissement médical lié à la Soka Gakkai, situé dans le quartier de Shinanomachi à Tokyo.
D’après Madame A, le président Ikeda (84) est toujours hospitalisé dans une chambre spéciale au 4ème et dernier étage de cet établissement. Seules quelques personnes concernées sont au courant de l’état de santé du président d’honneur. Elle-même a été affectée à ses soins pendant plusieurs mois.
« Sensei souffre d’infarctus cérébraux en deux endroits. Dans la mesure où il souffre déjà de diabète, des complications peuvent se produire. Ne pouvant se déplacer par ses propres moyens, il utilise un fauteuil roulant ».
C’est en 2013 que Madame A fut affectée aux soins de Daisaku Ikeda. A l’origine, le Nangen Center est un établissement médical où les employés de la Soka Gakkai affiliés à l’assurance maladie de la Soka Gakkai vont se faire ausculter. Du rez-de-chaussée au 3ème étage, il ne diffère en rien d’un autre hôpital.
« Il est certain que les employés du Nangen Center ignorent la présence au 4ème étage de Sensei. Moi-même, qui travaillait dans les étages inférieures ne pouvait pas l’imaginer, même en rêve ».
Sur ordre de l’infirmière en chef, Madame A se rendit au dernier étage de l’hôpital. A sa sortie de l’ascenseur, elle fut braquée de leur regard perçant par des gardes en uniforme. Tout en ressentant la lourdeur de l’atmosphère de l’étage tout entier, elle ouvrit la porte de la chambre et son odorat fut immédiatement envahi par une odeur d’Ikebana. Et puis, elle vit un vieillard amaigri allongé dans un grand lit.
« C’était Ikeda Sensei. Quelle ne fut pas ma surprise de voir devant moi l’homme que je respecte le plus. J’étais tellement heureuse de l’honneur qui m’était fait que mes larmes furent sur le point de couler.
A l’époque où je pris mon service à ses soins, il était encore en forme. Une fois ou deux par semaine, il sortait de sa chambre pour respirer l’air extérieur ».
Par la suite, l’état de santé de Daisaku Ikeda s’est aggravé au point où il ne fut même plus en mesure de sortir de sa chambre. Madame A raconte.
« Au début, en raison de son état de santé, Sensei avait des problèmes d’élocution. Il était parfois difficile de comprendre ce qu’il disait. Pour autant, il pouvait tenir une conversation. Lorsque des dirigeants venaient lui rendre visite, il leur parlait de diverses choses. Il pouvait également manger seul. Il regardait la grande télévision installée dans la chambre ou lisait.
Je pense qu’il a été capable de monter sur la terrasse ou de lire et écrire jusqu’en janvier de l’année dernière (2013). En raison de son grand âge et de ses infarctus cérébraux, des symptômes de démence se sont développés ».
Un incident s’est produit dans la chambre de Daisaku Ikeda avant le grand séisme de l’est du Japon.
« La chambre était décorée des écrits de Sensei et des photos prises avec les célébrités de ce monde. Au début du mois de février, alors qu’il était assis sur son fauteuil roulant, il se mit à crier d’une voix étrange et a commencé à jeter ses écrits et ses photos. Affolés, le secrétaire et les infirmières l’ont maîtrisé.
Par la suite, il s’avéra dangereux de laisser des choses à sa portée et tous les objets de décoration furent évités. Risquant de briser ses propres lunettes, elles lui furent confisquées ».
Au mois de mars, l’état de santé de Daisaku Ikeda s’aggravait
« Il y avait des jours où il ne reconnaissait plus son entourage. Il avait parfois du mal à communiquer avec ses visiteurs ou les infirmières ».
Ses autres capacités s’amenuisaient de jour en jour
Il commença à avoir des difficultés à mastiquer au point où il ne put plus se nourrir convenablement. Le personnel soignant craignait qu’il s’étrangle en avalant. Les cas de personnes âgées décédant à la suite d’une pneumonie par aspiration sont en effet nombreux. Il fut dès lors alimenté trois fois par jour en nutriments à l’aide d’une sonde placée dans le cou.
Lorsqu’on ne peut plus manger par voie orale, on maigrit rapidement. Par rapport aux photos que vous connaissez, Sensei a perdu plus de dix kilos. Il n’est plus rien de ce qu’il était lorsqu’il était en bonne santé. L’éclat de son visage a disparu et ses joues sont creuses ».
Pour quelle raison, Madame A, membre fervente de la Soka Gakkai a-t-elle décidé de révéler l’état de santé de Daisaku Ikeda ?
« Je suis devenue membre de la Soka Gakkai par affection pour Ikeda Sensei. Mon respect pour lui n’a pas varié.
Lorsque j’ai commencé mon service de soins à son chevet, il était encore en forme. Pour moi, c’était un « Dieu ». Or, à force de m’occuper de lui, je me suis rendu compte que même lui était un homme qui un jour allait mourir.
A nous, les membres qui nous inquiétons de sa santé, les dirigeants ne font que dire « Sensei va bien ». Cependant, cette attitude ressemble à de la tromperie vis-à-vis des membres et à un sacrilège vis-à-vis de Sensei.
Je pense qu’il est temps d’informer les membres de base de l’état de santé de Sensei afin que tous puissent pratiquer pour lui. Telle est la raison pour laquelle j’ai décidé de parler ».
Tout en soignant un Daisaku Ikeda s’affaiblissant de jour en jour, des jours d’amertume se suivirent pour madame A.
« Près de la chambre, il y avait une salle de bain en marbre dans laquelle il entrait souvent auparavant. Quand il ne fut plus en capacité de l’utiliser, on utilisa alors une baignoire pour les soins dans laquelle on pouvait pénétrer avec le fauteuil roulant, située à côté de la baignoire en marbre. Quatre ou cinq personnes étaient nécessaires pour lui faire prendre son bain. Lorsque j’étais en fonction, c’était deux fois par semaine.
Les infirmières changeaient les couches et les personnes de grade plus élevé lavaient le visage de Sensei vêtu d’une chemise d’hôpital ».
Le personnel soignant travaillant à l’étage de Daisaku Ikeda étaient au nombre de trois dans la journée et de deux la nuit, se relayant vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Il y avait également trois gardes dans la salle des gardes, un devant l’ascenseur et un devant la chambre de Daisaku Ikeda. Dans cette dernière, une caméra de surveillance vérifiable depuis la salle des infirmières était placée non loin du secrétaire.
L’escalier est doté d’une porte coupe-feu normalement fermée à clef. Pour cette raison, on ne peut monter à l’étage ou en descendre que par l’ascenseur. A la sortie de l’ascenseur, les gardes en faction surveillent les entrées et les sorties.
« Ce qui m’a d’abord surprise, c’est l’atmosphère à la fois lourde et pompeuse qui régnait au dernier étage. Les gardes étaient membres de la garde rapprochée, très athlétiques, maitrisant certainement un ou plusieurs sports de combat à mains nues. Leur regard était glaçant et ils ne nous quittaient pas des yeux, même nous qui travaillions au quotidien. Les étages inférieurs étaient gardés par des membres de Kinjôkai ».
A quoi correspondent la garde rapprochée ou Kinjôkai ? Selon les familiers de la Soka Gakkai :
« La garde rapprochée est le corps formé de l’élite des gardes et protège directement le président Ikeda. Kinjôkai est constitué de ceintures noires de Judo ou d’Aikido venus de tout le pays. Leur principale activité est également la protection de Daisaku Ikeda ».
Non seulement l’organisation des gardes du corps était tenue secrète, la construction de la chambre avait aussi ses secrets.
« La chambre de Sensei mesure environ 7 mètres de longs sur 5 mètres de large. Le mur de couleur blanche est en acier. On m’a expliqué que « même à une mitrailleuse n’en viendrait pas à bout ». On m’a également dit que la fenêtre de la chambre est à l’épreuve des balles ».
Il s’agit d’une solidité digne d’installations militaires. Par contre, dès qu’on pénètre dans la chambre, on se trouve devant une pièce de style occidental très élégante.
Dans sa chambre, Sensei dispose d’un grand lit. Les draps, le dessus de lit, l’oreiller ont tous des motifs de dessin cachemire couleur or. A côté du lit, il y a une chaise et une table. Lorsqu’il se sentait bien, il s’y installait souvent et composait des poèmes.
Il y avait également un ameublement composé d’une table, d’un sofa et de deux chaises pour recevoir les visiteurs.
Un tapis était étalé dans la chambre. On m’a dit « c’est le même que celui du palais de Buckingham ». C’est complètement différent des chambres d’hôpital habituelles. On dirait tout-à-fait la chambre d’une maison de style occidental comme on en trouve à l’étranger ».
Une imposante télévision, ses écrits et ses photos étaient alignés sur une étagère. Des fleurs de toutes sortes étaient disposées dans un vase.
Madame Kaneko (son épouse) venait plusieurs fois par semaine et changeait les fleurs. Lorsqu’elle montait au dernier étage par l’ascenseur, les gardes et le personnel médical l’accueillaient au garde à vous. En général, elle ne restait pas longtemps. Une heure tout au plus avent de rentrer chez elle ».
Une règle importante était imposée dans la chambre de Daisaku Ikeda
« La première chose qu’on m’a dite est de ne pas éteindre la lumière de la chambre. Si la lumière est éteinte, Sensei ne peut pas dormir. Il inversait souvent le jour et la nuit et dormait la journée. Plusieurs dizaines de lampes fluorescentes ont été installées ».
Les journaux et revues de Soka Gakkai publient des messages de Daisaku Ikeda et font état de rencontres et de discussions avec des personnages importants. D’après Madame A, son état ne lui permet absolument pas de faire de telles activités.
Fin de citation (traduit d'après un article de l'hebdomadaire "Shukan Bunshun" paru le 27/10/2011)
https://ecolefuji.jimdo.com/2015/06/22/ ... aku-ikeda/
Le président d’honneur de la Soka Gakkai internationale n’est pas réapparu en public depuis le mois de mai 2010. Alors que courent des rumeurs d’une grave maladie, Madame A, infirmière de son métier, qui s’occupait du patient Ikeda jusqu’en 2014 parle.
Fauteuil roulant, difficultés d’élocution, difficultés de communication… Que ce passe-t-il dans cet hôpital sous haute sécurité ?
« Selon les journaux et les revues de la Soka Gakkai, Ikeda « sensei » est en pleine forme et débordant d’activités. Or, alors que j’étais à son chevet il y a quelques mois, il ne pouvait pas marcher sans difficultés et avait du mal à lire, à écrire et à converser. Des équipes de médecins et d’infirmières se relayaient vingt-quatre heures sur vingt-quatre et un secrétaire posté dans la chambre surveillait son état qui laissait à penser qu’il pouvait se passer quelque chose à tout moment ».
Celle qui parle ainsi en s’exprimant d’une manière tendue est madame A, une infirmière travaillant au Nangen Center, un établissement médical lié à la Soka Gakkai, situé dans le quartier de Shinanomachi à Tokyo.
D’après Madame A, le président Ikeda (84) est toujours hospitalisé dans une chambre spéciale au 4ème et dernier étage de cet établissement. Seules quelques personnes concernées sont au courant de l’état de santé du président d’honneur. Elle-même a été affectée à ses soins pendant plusieurs mois.
« Sensei souffre d’infarctus cérébraux en deux endroits. Dans la mesure où il souffre déjà de diabète, des complications peuvent se produire. Ne pouvant se déplacer par ses propres moyens, il utilise un fauteuil roulant ».
C’est en 2013 que Madame A fut affectée aux soins de Daisaku Ikeda. A l’origine, le Nangen Center est un établissement médical où les employés de la Soka Gakkai affiliés à l’assurance maladie de la Soka Gakkai vont se faire ausculter. Du rez-de-chaussée au 3ème étage, il ne diffère en rien d’un autre hôpital.
« Il est certain que les employés du Nangen Center ignorent la présence au 4ème étage de Sensei. Moi-même, qui travaillait dans les étages inférieures ne pouvait pas l’imaginer, même en rêve ».
Sur ordre de l’infirmière en chef, Madame A se rendit au dernier étage de l’hôpital. A sa sortie de l’ascenseur, elle fut braquée de leur regard perçant par des gardes en uniforme. Tout en ressentant la lourdeur de l’atmosphère de l’étage tout entier, elle ouvrit la porte de la chambre et son odorat fut immédiatement envahi par une odeur d’Ikebana. Et puis, elle vit un vieillard amaigri allongé dans un grand lit.
« C’était Ikeda Sensei. Quelle ne fut pas ma surprise de voir devant moi l’homme que je respecte le plus. J’étais tellement heureuse de l’honneur qui m’était fait que mes larmes furent sur le point de couler.
A l’époque où je pris mon service à ses soins, il était encore en forme. Une fois ou deux par semaine, il sortait de sa chambre pour respirer l’air extérieur ».
Par la suite, l’état de santé de Daisaku Ikeda s’est aggravé au point où il ne fut même plus en mesure de sortir de sa chambre. Madame A raconte.
« Au début, en raison de son état de santé, Sensei avait des problèmes d’élocution. Il était parfois difficile de comprendre ce qu’il disait. Pour autant, il pouvait tenir une conversation. Lorsque des dirigeants venaient lui rendre visite, il leur parlait de diverses choses. Il pouvait également manger seul. Il regardait la grande télévision installée dans la chambre ou lisait.
Je pense qu’il a été capable de monter sur la terrasse ou de lire et écrire jusqu’en janvier de l’année dernière (2013). En raison de son grand âge et de ses infarctus cérébraux, des symptômes de démence se sont développés ».
Un incident s’est produit dans la chambre de Daisaku Ikeda avant le grand séisme de l’est du Japon.
« La chambre était décorée des écrits de Sensei et des photos prises avec les célébrités de ce monde. Au début du mois de février, alors qu’il était assis sur son fauteuil roulant, il se mit à crier d’une voix étrange et a commencé à jeter ses écrits et ses photos. Affolés, le secrétaire et les infirmières l’ont maîtrisé.
Par la suite, il s’avéra dangereux de laisser des choses à sa portée et tous les objets de décoration furent évités. Risquant de briser ses propres lunettes, elles lui furent confisquées ».
Au mois de mars, l’état de santé de Daisaku Ikeda s’aggravait
« Il y avait des jours où il ne reconnaissait plus son entourage. Il avait parfois du mal à communiquer avec ses visiteurs ou les infirmières ».
Ses autres capacités s’amenuisaient de jour en jour
Il commença à avoir des difficultés à mastiquer au point où il ne put plus se nourrir convenablement. Le personnel soignant craignait qu’il s’étrangle en avalant. Les cas de personnes âgées décédant à la suite d’une pneumonie par aspiration sont en effet nombreux. Il fut dès lors alimenté trois fois par jour en nutriments à l’aide d’une sonde placée dans le cou.
Lorsqu’on ne peut plus manger par voie orale, on maigrit rapidement. Par rapport aux photos que vous connaissez, Sensei a perdu plus de dix kilos. Il n’est plus rien de ce qu’il était lorsqu’il était en bonne santé. L’éclat de son visage a disparu et ses joues sont creuses ».
Pour quelle raison, Madame A, membre fervente de la Soka Gakkai a-t-elle décidé de révéler l’état de santé de Daisaku Ikeda ?
« Je suis devenue membre de la Soka Gakkai par affection pour Ikeda Sensei. Mon respect pour lui n’a pas varié.
Lorsque j’ai commencé mon service de soins à son chevet, il était encore en forme. Pour moi, c’était un « Dieu ». Or, à force de m’occuper de lui, je me suis rendu compte que même lui était un homme qui un jour allait mourir.
A nous, les membres qui nous inquiétons de sa santé, les dirigeants ne font que dire « Sensei va bien ». Cependant, cette attitude ressemble à de la tromperie vis-à-vis des membres et à un sacrilège vis-à-vis de Sensei.
Je pense qu’il est temps d’informer les membres de base de l’état de santé de Sensei afin que tous puissent pratiquer pour lui. Telle est la raison pour laquelle j’ai décidé de parler ».
Tout en soignant un Daisaku Ikeda s’affaiblissant de jour en jour, des jours d’amertume se suivirent pour madame A.
« Près de la chambre, il y avait une salle de bain en marbre dans laquelle il entrait souvent auparavant. Quand il ne fut plus en capacité de l’utiliser, on utilisa alors une baignoire pour les soins dans laquelle on pouvait pénétrer avec le fauteuil roulant, située à côté de la baignoire en marbre. Quatre ou cinq personnes étaient nécessaires pour lui faire prendre son bain. Lorsque j’étais en fonction, c’était deux fois par semaine.
Les infirmières changeaient les couches et les personnes de grade plus élevé lavaient le visage de Sensei vêtu d’une chemise d’hôpital ».
Le personnel soignant travaillant à l’étage de Daisaku Ikeda étaient au nombre de trois dans la journée et de deux la nuit, se relayant vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Il y avait également trois gardes dans la salle des gardes, un devant l’ascenseur et un devant la chambre de Daisaku Ikeda. Dans cette dernière, une caméra de surveillance vérifiable depuis la salle des infirmières était placée non loin du secrétaire.
L’escalier est doté d’une porte coupe-feu normalement fermée à clef. Pour cette raison, on ne peut monter à l’étage ou en descendre que par l’ascenseur. A la sortie de l’ascenseur, les gardes en faction surveillent les entrées et les sorties.
« Ce qui m’a d’abord surprise, c’est l’atmosphère à la fois lourde et pompeuse qui régnait au dernier étage. Les gardes étaient membres de la garde rapprochée, très athlétiques, maitrisant certainement un ou plusieurs sports de combat à mains nues. Leur regard était glaçant et ils ne nous quittaient pas des yeux, même nous qui travaillions au quotidien. Les étages inférieurs étaient gardés par des membres de Kinjôkai ».
A quoi correspondent la garde rapprochée ou Kinjôkai ? Selon les familiers de la Soka Gakkai :
« La garde rapprochée est le corps formé de l’élite des gardes et protège directement le président Ikeda. Kinjôkai est constitué de ceintures noires de Judo ou d’Aikido venus de tout le pays. Leur principale activité est également la protection de Daisaku Ikeda ».
Non seulement l’organisation des gardes du corps était tenue secrète, la construction de la chambre avait aussi ses secrets.
« La chambre de Sensei mesure environ 7 mètres de longs sur 5 mètres de large. Le mur de couleur blanche est en acier. On m’a expliqué que « même à une mitrailleuse n’en viendrait pas à bout ». On m’a également dit que la fenêtre de la chambre est à l’épreuve des balles ».
Il s’agit d’une solidité digne d’installations militaires. Par contre, dès qu’on pénètre dans la chambre, on se trouve devant une pièce de style occidental très élégante.
Dans sa chambre, Sensei dispose d’un grand lit. Les draps, le dessus de lit, l’oreiller ont tous des motifs de dessin cachemire couleur or. A côté du lit, il y a une chaise et une table. Lorsqu’il se sentait bien, il s’y installait souvent et composait des poèmes.
Il y avait également un ameublement composé d’une table, d’un sofa et de deux chaises pour recevoir les visiteurs.
Un tapis était étalé dans la chambre. On m’a dit « c’est le même que celui du palais de Buckingham ». C’est complètement différent des chambres d’hôpital habituelles. On dirait tout-à-fait la chambre d’une maison de style occidental comme on en trouve à l’étranger ».
Une imposante télévision, ses écrits et ses photos étaient alignés sur une étagère. Des fleurs de toutes sortes étaient disposées dans un vase.
Madame Kaneko (son épouse) venait plusieurs fois par semaine et changeait les fleurs. Lorsqu’elle montait au dernier étage par l’ascenseur, les gardes et le personnel médical l’accueillaient au garde à vous. En général, elle ne restait pas longtemps. Une heure tout au plus avent de rentrer chez elle ».
Une règle importante était imposée dans la chambre de Daisaku Ikeda
« La première chose qu’on m’a dite est de ne pas éteindre la lumière de la chambre. Si la lumière est éteinte, Sensei ne peut pas dormir. Il inversait souvent le jour et la nuit et dormait la journée. Plusieurs dizaines de lampes fluorescentes ont été installées ».
Les journaux et revues de Soka Gakkai publient des messages de Daisaku Ikeda et font état de rencontres et de discussions avec des personnages importants. D’après Madame A, son état ne lui permet absolument pas de faire de telles activités.
Fin de citation (traduit d'après un article de l'hebdomadaire "Shukan Bunshun" paru le 27/10/2011)
https://ecolefuji.jimdo.com/2015/06/22/ ... aku-ikeda/
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 02:57On en a déjà parlé , ce n'est que mensonges , et venant de la Nichiren Shoshue ça ne m'étonne pas .
Vous ressassez toujours les même inepties .
" Le temps d'Algol est un temps d'éternelle répétition des mêmes actes et des mêmes émotions "
Vous ressassez toujours les même inepties .
" Le temps d'Algol est un temps d'éternelle répétition des mêmes actes et des mêmes émotions "
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 03:10Il aggrave son cas!...sic...Le président Ikeda rayonne et comme tout être humain mourra un jour, ce n'est pas un être surnaturel!..Nous sommes attachés et suivons la Loi et non à la personne et c'est le sens de sa transmission de Kosen Rufu à chaque pratiquant...
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 04:51Yvon a écrit :On en a déjà parlé , ce n'est que mensonges , et venant de la Nichiren Shoshue ça ne m'étonne pas .
Vous ressassez toujours les même inepties ." Le temps d'Algol est un temps d'éternelle répétition des mêmes actes et des mêmes émotions "
Merci à vous deux d’exhiber les effets de votre endoctrinement !Ichinen29 a écrit :Il aggrave son cas!...sic...Le président Ikeda rayonne et comme tout être humain mourra un jour, ce n'est pas un être surnaturel!..Nous sommes attachés et suivons la Loi et non à la personne et c'est le sens de sa transmission de Kosen Rufu à chaque pratiquant...
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 06:12Il est certain que tu le vérifieras pour ton propre bien,..."Une seule vérité aura raison de dix mille mensonges"...aussi vrai que le soleil se lève à l'Est...
Re: La tête brisée en sept morceaux
Ecrit le 31 mars18, 08:09Déjà répondu plus haut !Ichinen29 a écrit :Il est certain que tu le vérifieras pour ton propre bien,..."Une seule vérité aura raison de dix mille mensonges"...aussi vrai que le soleil se lève à l'Est...
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