Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Règles du forum
Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
Le courant bouddhisme mahāyāna, terme sanskrit signifiant « Grand Véhicule » apparaît vers le 1er siècle de notre ère dans le Nord de l’Inde. Actuellement le bouddhisme mahayana a une forte présence en Chine, au Tibet, au Japon au ve siècle, en Corée en 372, au Viêtnam, à Singapour et Taïwan. La tradition du Mahayana, met l’accent sur la pratique altruiste du bodhisattva comme moyen pour parvenir à l’éveil, à la fois pour soi-même et pour les autres.
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 09:29Daisaku Ikeda a donné des conférences dans une trentaine d’universités et instituts. Le 27 mai 1975, il donne une conférence à l'université d'État de Moscou et reçoit son premier doctorat honoraire. En 1983, il reçoit la médaille de la paix des Nations unies. À ce jour, en 2012, il a reçu plus de 300 titres honorifiques de nombreuses institutions universitaires ou académiques du monde entier.
En France, il a prononcé un discours en 1989 à l’Académie des Beaux-Arts de l’Institut de France, à Paris. Il a reçu en 1990 le prix de « la paix et l'humanité » des Éditions du Rocher. En 1992, il a été nommé Chevalier dans l'Ordre des Arts et Lettres de la République française, reconnaissance destinée à récompenser les personnes qui se sont distinguées par leurs créations dans le domaine artistique ou littéraire. Dans le discours de remise, M. Brunet, chef de Cabinet, a souligné la contribution de Daisaku Ikeda aux échanges culturels entre les deux pays, la France et le Japon. En mars 2005 il a reçu la médaille de la Chambre de commerce de Paris pour ses contributions dans le domaine des échanges internationaux d'étudiants entre l'Université Soka et l'école d'Advancia.
En 2010, il reçoit un 300e prix académique : l'Université du Massachusetts à Boston le fait docteur honoris causa ès Lettres
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 09:57Le 26 janvier 2012, le président honoraire de la Soka Gakkai Japon, Daisaku Ikeda, a interpelé les autorités du pays à abandonner l'énergie nucléaire : "A l'aune de l'accident de la centrale atomique de Fukushima, j'appelle le Japon à étudier rapidement des politiques énergétiques qui ne dépendent pas de l'énergie nucléaire."
C'est une revirement historique ! C'est la première fois qu'il s'exprime ainsi sur ce sujet depuis ces 50 dernières années. S'il a été un militant constant du désarmement nucléaire mondial, avec entre autre sa participation en 1998, par l'entremise du département de la jeunesse de la Soka Gakkai Japon, à "Abolition 2000" de la Nuclear Age Peace Foundation, il n'est jamais apparu comme un activiste prépondérant dans l'histoire de l'opposition à l'électricité nucléaire au Japon. Dans l'histoire sociale contemporaine japonaise, en 1954, ce sont les femmes des marins - de l'équipage du chalutier Daigo Fukury Maru (Le Dragon Chanceux) - irradiés par le tir de la bombe atomique du programme d'essais américain Castle Bravo au large de l'atool Bikini près des îles Marshall - accompagnées par des mouvements progressistes comme le parti communiste, des chrétiens, des bouddhistes du Nipponzan Myohoji (école de Nichiren) qui ont débuté les premiers mouvements sociaux anti-nucléaire militaire. Il semble qu'à l'époque certains pratiquants de la Soka Gakkai des villages avoisinants ce soient spontanément associés à la lutte de ces femmes.
De 1999 jusqu'à Fukushima le Komeito en fidèle allié du PLD a soutenu la nucléarisation civile du Japon. Ses électeurs sont essentiellement les membres de la Soka Gakkai sans lesquels le PLD n'aurait pu gagner les élections et gouverner le pays. Les électeurs du Komeito suivent les directives morales de la Soka Gakkai – donc de D. Ikeda qui n'a jamais réellement soutenu les alternatives sociales, économiques, politiques, culturelles, quand bien même il a fait d'innombrables discours pouvant y faire penser. Si D. Ikeda s'est prononcé de façon anecdotique et marginale sur des questions environnementales et écologiques ou encore si la Soka Gakkai a participé localement à des initiatives alternatives pour le bien-être social, elle s'est toujours positionnée dans le camp des mentalités traditionnelles et des conservateurs, celui d'un gouvernement central autoritaire allié aux combinats de la stricte économie capitaliste, du commerce international conquérant, de l'industrie lourde, de l'agro-alimentaire destructeurs de l'environnement...
À preuve du contraire, D. Ikeda, ce brillant défenseur de la vie, amoureux de la nature, pacifiste, trois cent fois décoré par toutes sortes d'institutions internationales a été le complice de la nucléarisation du Japon par son silence sur la question des dangers du nucléaire civil - malgré l'activisme anti-nucléaire, les déclarations alarmistes de spécialistes japonnais, les accidents nucléaires dans l'archipel comme dans le monde, les rapports des commissions d'enquêtes sur la sécurité nucléaire au Japon - ainsi que par ses alliances politiques et sa fonction d'ambassadeur culturel soutenu par le ministère japonnais des Affaires Étrangères lors de ses voyages internationaux, ainsi que par ses relations amicales avec le président de Mitsubichi, la banque qui gère les actifs de la Soka Gakkai mais qui est aussi le groupe industriel ayant participé à la construction du parc nucléaire (Mitsubichi Heavy Industries) et principal constructeur d'armement du pays.
D. Ikeda, fondateur d'une ONG humanitaire, ce promoteur d'une philosophie humaniste bouddhique, de la paix dans le monde, des droits de l'homme comme de ceux des enfants, et en tant que personnalité de premier plan de la société civile, a démontré sa responsabilité accablante dans le développement du programme nucléaire, aidé en cela par ses instruments : la Soka Gakkai et le Komeito, en restant en retrait des mouvements alternatifs anti-nucléaire civil minoritaires mais très actifs dès les années 1970, en consentant de facto à l'orientation économique et industrielle qui fut à l'origine de la construction des centrales nucléaires japonaises à partir de 1966 (Tsuruga 1) dont la visée ultime a été historiquement la fabrication de bombes atomiques. D. Ikeda dans ses actions militantes avec la Soka Gakkai contre les Armes Nucléaire en a complètement dissocié le Nucléaire Civil, ses discours pour la paix et le désarmement sont d'habiles forfanteries camouflant sa collusion occulte, contradictoire à l'idéal bouddhiste, avec les intérêts des pouvoirs politiques financiers industriels les plus opposés à la vie, à la paix, à l'harmonie entre les humains et la nature !
Une anecdote pour exemple.
Depuis 2003 Shingo Mimura (sans étiquette) a été élu et réélu gouverneur d'Aomori, avec l'aide infaillible du PLD et de ses partenaires : le Komeito et le Nouveau Parti Conservateur, là où se trouve le site nucléaire de Rokkaso-mura conçu par Mitsubichi pour pouvoir produire la matière première des armes nucléaires. Il a apporté son soutien à l'énergie nucléaire qui est devenue l'un des principaux secteurs économique et pourvoyeurs d'emploi de la préfecture. Depuis, soutenu en cela par ses alliés politiques, après une vérification de la sécurité des centrales existantes dans un contexte marqué par l 'accident de Fukushima, S. Mimura a été le seul à militer pour continuer la politique de développement de l'industrie nucléaire civile dans la préfecture.
En France l'actuelle Association Cultuelle Soka du Bouddhisme de Nichiren et avant elle la Soka Gakkai Française et encore avant la Nichiren Shoshu Française se sont toujours fait les relais de l'idéologie pacifiste de D. Ikeda sans jamais lui être déloyal ni désobéissant en quelques points que ce soit. Ce dévouement sans faille à empêché depuis toujours l'ensemble de leurs hauts dirigeants officiels de développer une intelligence critique propre à produire un discours innovant adapté aux réalités sociétales concrètes, et les a obligé à refuser d'émettre publiquement une pensée philosophique originale sur les problématiques et enjeux du monde, ce qui fait d'eux, jusqu'au 26 janvier 2012, les complices inconscients du désastre nucléaire japonais et international.
P.S : Conformément à la liberté d'expression accordée aux citoyens par la Constitution de la république française, ce texte est le fruit d'une analyse et d'une interprétation personnelle de documents disponibles en langue françaises, émanant de la Soka Gakkai et de chercheurs externes à cette organisation. S'il s'avérait qu'il existait des publications officielles en langue françaises de cette organisation prouvant son implication effective et récurrente dans le mouvement anti-nucléaire civile au Japon dès les débuts , nous apprécierions de les savoir publiés sur internet et de connaître l'adresse de ces sites.
Le 14-10-2013 à 19:31:05
C'est une revirement historique ! C'est la première fois qu'il s'exprime ainsi sur ce sujet depuis ces 50 dernières années. S'il a été un militant constant du désarmement nucléaire mondial, avec entre autre sa participation en 1998, par l'entremise du département de la jeunesse de la Soka Gakkai Japon, à "Abolition 2000" de la Nuclear Age Peace Foundation, il n'est jamais apparu comme un activiste prépondérant dans l'histoire de l'opposition à l'électricité nucléaire au Japon. Dans l'histoire sociale contemporaine japonaise, en 1954, ce sont les femmes des marins - de l'équipage du chalutier Daigo Fukury Maru (Le Dragon Chanceux) - irradiés par le tir de la bombe atomique du programme d'essais américain Castle Bravo au large de l'atool Bikini près des îles Marshall - accompagnées par des mouvements progressistes comme le parti communiste, des chrétiens, des bouddhistes du Nipponzan Myohoji (école de Nichiren) qui ont débuté les premiers mouvements sociaux anti-nucléaire militaire. Il semble qu'à l'époque certains pratiquants de la Soka Gakkai des villages avoisinants ce soient spontanément associés à la lutte de ces femmes.
De 1999 jusqu'à Fukushima le Komeito en fidèle allié du PLD a soutenu la nucléarisation civile du Japon. Ses électeurs sont essentiellement les membres de la Soka Gakkai sans lesquels le PLD n'aurait pu gagner les élections et gouverner le pays. Les électeurs du Komeito suivent les directives morales de la Soka Gakkai – donc de D. Ikeda qui n'a jamais réellement soutenu les alternatives sociales, économiques, politiques, culturelles, quand bien même il a fait d'innombrables discours pouvant y faire penser. Si D. Ikeda s'est prononcé de façon anecdotique et marginale sur des questions environnementales et écologiques ou encore si la Soka Gakkai a participé localement à des initiatives alternatives pour le bien-être social, elle s'est toujours positionnée dans le camp des mentalités traditionnelles et des conservateurs, celui d'un gouvernement central autoritaire allié aux combinats de la stricte économie capitaliste, du commerce international conquérant, de l'industrie lourde, de l'agro-alimentaire destructeurs de l'environnement...
À preuve du contraire, D. Ikeda, ce brillant défenseur de la vie, amoureux de la nature, pacifiste, trois cent fois décoré par toutes sortes d'institutions internationales a été le complice de la nucléarisation du Japon par son silence sur la question des dangers du nucléaire civil - malgré l'activisme anti-nucléaire, les déclarations alarmistes de spécialistes japonnais, les accidents nucléaires dans l'archipel comme dans le monde, les rapports des commissions d'enquêtes sur la sécurité nucléaire au Japon - ainsi que par ses alliances politiques et sa fonction d'ambassadeur culturel soutenu par le ministère japonnais des Affaires Étrangères lors de ses voyages internationaux, ainsi que par ses relations amicales avec le président de Mitsubichi, la banque qui gère les actifs de la Soka Gakkai mais qui est aussi le groupe industriel ayant participé à la construction du parc nucléaire (Mitsubichi Heavy Industries) et principal constructeur d'armement du pays.
D. Ikeda, fondateur d'une ONG humanitaire, ce promoteur d'une philosophie humaniste bouddhique, de la paix dans le monde, des droits de l'homme comme de ceux des enfants, et en tant que personnalité de premier plan de la société civile, a démontré sa responsabilité accablante dans le développement du programme nucléaire, aidé en cela par ses instruments : la Soka Gakkai et le Komeito, en restant en retrait des mouvements alternatifs anti-nucléaire civil minoritaires mais très actifs dès les années 1970, en consentant de facto à l'orientation économique et industrielle qui fut à l'origine de la construction des centrales nucléaires japonaises à partir de 1966 (Tsuruga 1) dont la visée ultime a été historiquement la fabrication de bombes atomiques. D. Ikeda dans ses actions militantes avec la Soka Gakkai contre les Armes Nucléaire en a complètement dissocié le Nucléaire Civil, ses discours pour la paix et le désarmement sont d'habiles forfanteries camouflant sa collusion occulte, contradictoire à l'idéal bouddhiste, avec les intérêts des pouvoirs politiques financiers industriels les plus opposés à la vie, à la paix, à l'harmonie entre les humains et la nature !
Une anecdote pour exemple.
Depuis 2003 Shingo Mimura (sans étiquette) a été élu et réélu gouverneur d'Aomori, avec l'aide infaillible du PLD et de ses partenaires : le Komeito et le Nouveau Parti Conservateur, là où se trouve le site nucléaire de Rokkaso-mura conçu par Mitsubichi pour pouvoir produire la matière première des armes nucléaires. Il a apporté son soutien à l'énergie nucléaire qui est devenue l'un des principaux secteurs économique et pourvoyeurs d'emploi de la préfecture. Depuis, soutenu en cela par ses alliés politiques, après une vérification de la sécurité des centrales existantes dans un contexte marqué par l 'accident de Fukushima, S. Mimura a été le seul à militer pour continuer la politique de développement de l'industrie nucléaire civile dans la préfecture.
En France l'actuelle Association Cultuelle Soka du Bouddhisme de Nichiren et avant elle la Soka Gakkai Française et encore avant la Nichiren Shoshu Française se sont toujours fait les relais de l'idéologie pacifiste de D. Ikeda sans jamais lui être déloyal ni désobéissant en quelques points que ce soit. Ce dévouement sans faille à empêché depuis toujours l'ensemble de leurs hauts dirigeants officiels de développer une intelligence critique propre à produire un discours innovant adapté aux réalités sociétales concrètes, et les a obligé à refuser d'émettre publiquement une pensée philosophique originale sur les problématiques et enjeux du monde, ce qui fait d'eux, jusqu'au 26 janvier 2012, les complices inconscients du désastre nucléaire japonais et international.
P.S : Conformément à la liberté d'expression accordée aux citoyens par la Constitution de la république française, ce texte est le fruit d'une analyse et d'une interprétation personnelle de documents disponibles en langue françaises, émanant de la Soka Gakkai et de chercheurs externes à cette organisation. S'il s'avérait qu'il existait des publications officielles en langue françaises de cette organisation prouvant son implication effective et récurrente dans le mouvement anti-nucléaire civile au Japon dès les débuts , nous apprécierions de les savoir publiés sur internet et de connaître l'adresse de ces sites.
Le 14-10-2013 à 19:31:05
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 10:24Et alors ?
Précision :
Comme tout citoyen au sein d’un système démocratique, les pratiquants du bouddhisme de
Nichiren reconnaissent pleinement le rôle légitime des autorités publiques et s’évertuent à promouvoir le
bien commun, l’intérêt général au sein de la société.
M. Aruga, politologue japonais, précise à cet égard que : « La croissance du nombre de
pratiquants (du culte du bouddhisme de Nichiren) au Japon a suscité une augmentation analogue de leur
capacité à exercer, en qualité de citoyens, une influence sociale et politique, en raison de leur nombre »,
à savoir, près de 12 millions de pratiquants1
.
Les pratiquants du culte du bouddhisme de Nichiren, s’exprimant comme tout un chacun selon les
voies et les garanties démocratiques, participent de la sorte à la vie politique et civile des pays
démocratiques où ils résident.
Si certains pratiquants sont appelés, en qualité de citoyens, à remplir des mandats politiques, c’est
à titre strictement personnel au terme d’une décision libre et individuelle. Par ailleurs, la Soka Gakkai
Internationale, association japonaise dont le siège est fixé à Tokyo, a toujours précisé que les associations
du mouvement hors du Japon « ne s’impliqueront dans aucune activité politique quelle qu’elle soit ».
En France, ni le mouvement religieux ni ses dirigeants, indépendants et apolitiques,
n’appellent à voter pour un parti politique, ni à prendre position pour tel ou tel élu. Aucune
formation politique en France n’est le fait du mouvement religieux, ni en est son émanation.
Chacun reste libre de ses choix politiques même lorsque des pratiquants exercent des mandats ou
des fonctions politiques ou sociales ; et si au sein de la démocratie japonaise, le parti politique
« Komeito » est composé de certains pratiquants de la Soka Gakkai, cela ne diffère en rien de la
situation en France où certains partis politiques d’inspiration démocrate chrétienne rassemblent des
chrétiens. Le mouvement s’interdit en outre de faire usage d’outils politiques pour propager ses
croyances bouddhistes et n’est en aucun cas financé par la Soka Gakkai, dont il est indépendant sur
le plan juridique et financier.
Par ailleurs, au Japon, est prohibé le cumul de responsabilités au sein de la Soka Gakkai et du
Komeito, qualifié improprement de « parti bouddhiste ». Mr Aruga compare la situation du Komeito au
Japon, à l’Union Démocratique Chrétienne dite CDU en Allemagne2
. Karel Dobbelaere, sociologue des
religions, évoque à titre comparatif la situation en Belgique du Parti Populaire Chrétien
Dans les 192 pays où est implanté la Sokka Gakkai , il n'y a aucune implication politique de celle ci .
Précision :
Comme tout citoyen au sein d’un système démocratique, les pratiquants du bouddhisme de
Nichiren reconnaissent pleinement le rôle légitime des autorités publiques et s’évertuent à promouvoir le
bien commun, l’intérêt général au sein de la société.
M. Aruga, politologue japonais, précise à cet égard que : « La croissance du nombre de
pratiquants (du culte du bouddhisme de Nichiren) au Japon a suscité une augmentation analogue de leur
capacité à exercer, en qualité de citoyens, une influence sociale et politique, en raison de leur nombre »,
à savoir, près de 12 millions de pratiquants1
.
Les pratiquants du culte du bouddhisme de Nichiren, s’exprimant comme tout un chacun selon les
voies et les garanties démocratiques, participent de la sorte à la vie politique et civile des pays
démocratiques où ils résident.
Si certains pratiquants sont appelés, en qualité de citoyens, à remplir des mandats politiques, c’est
à titre strictement personnel au terme d’une décision libre et individuelle. Par ailleurs, la Soka Gakkai
Internationale, association japonaise dont le siège est fixé à Tokyo, a toujours précisé que les associations
du mouvement hors du Japon « ne s’impliqueront dans aucune activité politique quelle qu’elle soit ».
En France, ni le mouvement religieux ni ses dirigeants, indépendants et apolitiques,
n’appellent à voter pour un parti politique, ni à prendre position pour tel ou tel élu. Aucune
formation politique en France n’est le fait du mouvement religieux, ni en est son émanation.
Chacun reste libre de ses choix politiques même lorsque des pratiquants exercent des mandats ou
des fonctions politiques ou sociales ; et si au sein de la démocratie japonaise, le parti politique
« Komeito » est composé de certains pratiquants de la Soka Gakkai, cela ne diffère en rien de la
situation en France où certains partis politiques d’inspiration démocrate chrétienne rassemblent des
chrétiens. Le mouvement s’interdit en outre de faire usage d’outils politiques pour propager ses
croyances bouddhistes et n’est en aucun cas financé par la Soka Gakkai, dont il est indépendant sur
le plan juridique et financier.
Par ailleurs, au Japon, est prohibé le cumul de responsabilités au sein de la Soka Gakkai et du
Komeito, qualifié improprement de « parti bouddhiste ». Mr Aruga compare la situation du Komeito au
Japon, à l’Union Démocratique Chrétienne dite CDU en Allemagne2
. Karel Dobbelaere, sociologue des
religions, évoque à titre comparatif la situation en Belgique du Parti Populaire Chrétien
Dans les 192 pays où est implanté la Sokka Gakkai , il n'y a aucune implication politique de celle ci .
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 14:37Si vous regardez sur le web, vous pouvez trouver de nombreux exemples où Ikeda décrit la confrontation entre Toda, les apprentis tyrans de la division jeunesse, et le prêtre âgé, Jimon Ogasawara avec "la bave à la bouche" et "hurlant comme un chien enragé". Je pense que cela doit avoir une source japonaise, parce qu'on ne peu trouver que des citations qui semblent toutes provenir de la même source telle qu'elle soit.
Eh bien, j'ai décidé de voir si ces détails scandaleux étaient inclus dans le roman d'Ikeda, "The Human Revolution". J'ai été très surprise de voir que le volume 3, qui est la traduction en anglais des livres 5 et 6, traite presque exclusivement de l'incident d'Ogasawara. Ce n'était pas une affaire unique ou mineure - Ikeda consacre DEUX LIVRES ENTIER à ce sujet! Ceci indique que cet incident était une crise sérieuse.
Mais nulle autre part que dans sa «novelization» ou le prêtre est appelé Kasawara, n'est décrit comme ayant « la bave à la bouche» ou « hurlant comme un chien enragé». Ikeda change certains détails - au lieu des voyous de la division de la jeunesse dépouillant un vieil homme de ses sous-vêtements et le portant presque nu sur leurs épaules par une nuit froide en hurlant et en utilisant un mégaphone pour l'humilier dans un cimetière, le forçant à signer une confession rédigée par la Soka Gakkai et à s'excuser auprès de la tombe de Makiguchi, Ikeda décrit le vieil homme démissionnant volontairement, sur sa propre initiative.
Les autorités ont finalement semblé prendre les choses en main et de sauver le pauvre vieil homme des voyous de la Soka Gakkai, mais le mal était fait. Dans leur zèle à humilier publiquement un vieil homme sans défense, le Gakkai a montré au public ses vraies couleurs. Ils n'auraient pas dû s'attendre à quelque chose de positif, du point de vue de l'opinion publique, mais Toda était tellement obsédé par la vengeance qu'il ne pouvait penser qu'à ça !
Quelques "éclaircissements": des poursuites ont été intentées contre la Soka Gakkai et cet incident a été la cause de beaucoup de dégoût et de méfiance des Japonais vis à vis de la Soka Gakkai.
Ikeda omet également le détail dans les propos de Murata: que Toda a reconnu avoir frappé le vieux prêtre «deux fois». Ikeda dit, cependant, que le vieil homme "soudainement et délibérément à frappé Toda dans le tibia." Il affirme que le "noble" Toda "plein de compassion" interdit aux voyous de Gakkai de "sauter" sur lui, alors que Toda s'en va, abandonnant délibérément le vieux prêtre à un groupe de 47 voyous, Ikéda dit que le prêtre a essayé de frapper à nouveau Toda.
Notez que l'organisation de cette attaque contre un prêtre âgé et sans défense a été l'une des premières tâches auxquelles Toda s'est attelé lorsqu'il a accédé au poste de président de la Soka Gakkai. Cela en dit beaucoup !
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ogasawara/
Eh bien, j'ai décidé de voir si ces détails scandaleux étaient inclus dans le roman d'Ikeda, "The Human Revolution". J'ai été très surprise de voir que le volume 3, qui est la traduction en anglais des livres 5 et 6, traite presque exclusivement de l'incident d'Ogasawara. Ce n'était pas une affaire unique ou mineure - Ikeda consacre DEUX LIVRES ENTIER à ce sujet! Ceci indique que cet incident était une crise sérieuse.
Mais nulle autre part que dans sa «novelization» ou le prêtre est appelé Kasawara, n'est décrit comme ayant « la bave à la bouche» ou « hurlant comme un chien enragé». Ikeda change certains détails - au lieu des voyous de la division de la jeunesse dépouillant un vieil homme de ses sous-vêtements et le portant presque nu sur leurs épaules par une nuit froide en hurlant et en utilisant un mégaphone pour l'humilier dans un cimetière, le forçant à signer une confession rédigée par la Soka Gakkai et à s'excuser auprès de la tombe de Makiguchi, Ikeda décrit le vieil homme démissionnant volontairement, sur sa propre initiative.
Les autorités ont finalement semblé prendre les choses en main et de sauver le pauvre vieil homme des voyous de la Soka Gakkai, mais le mal était fait. Dans leur zèle à humilier publiquement un vieil homme sans défense, le Gakkai a montré au public ses vraies couleurs. Ils n'auraient pas dû s'attendre à quelque chose de positif, du point de vue de l'opinion publique, mais Toda était tellement obsédé par la vengeance qu'il ne pouvait penser qu'à ça !
Quelques "éclaircissements": des poursuites ont été intentées contre la Soka Gakkai et cet incident a été la cause de beaucoup de dégoût et de méfiance des Japonais vis à vis de la Soka Gakkai.
Ikeda omet également le détail dans les propos de Murata: que Toda a reconnu avoir frappé le vieux prêtre «deux fois». Ikeda dit, cependant, que le vieil homme "soudainement et délibérément à frappé Toda dans le tibia." Il affirme que le "noble" Toda "plein de compassion" interdit aux voyous de Gakkai de "sauter" sur lui, alors que Toda s'en va, abandonnant délibérément le vieux prêtre à un groupe de 47 voyous, Ikéda dit que le prêtre a essayé de frapper à nouveau Toda.
Notez que l'organisation de cette attaque contre un prêtre âgé et sans défense a été l'une des premières tâches auxquelles Toda s'est attelé lorsqu'il a accédé au poste de président de la Soka Gakkai. Cela en dit beaucoup !
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ogasawara/
Modifié en dernier par algol-x le 02 avr.18, 14:59, modifié 1 fois.
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 14:58Ogasawara moine de la Nichiren Shoshu responsable de l'emprisonnement de Makiguchi , j'en parlerai en temps voulu dans :
http://www.forum-religion.org/mahayana/ ... 59645.html
Sinon :
Daisaku Ikeda est un intellectuel et philosophe japonais, pacifiste, antimilitariste. Il est président honoraire de la Sōka Gakkai, et président de la Sōka Gakkai Internationale.
Philosophe, romancier, critique, essayiste, poète, photographe, professeur et docteur honoraire de plusieurs universités, il est membre honoraire du Club de Rome.
Le Club de Rome est une association internationale et non politique réunissant des scientifiques, des humanistes, des économistes, des professeurs, des fonctionnaires nationaux et internationaux ainsi que des industriels de 53 pays, préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu'en développement.
Fondé le 8 avril 1968 à l'initiative d'Aurelio Peccei, un Italien membre du conseil d'administration de Fiat, et d'Alexander King, un scientifique et fonctionnaire écossais, ancien directeur scientifique de l'Organisation de coopération et de développement économiques, il doit son nom au lieu de sa première réunion à Rome, à l'Accademia dei Lincei.
Le rapport Meadows (1972), commandé par le Club de Rome, avait pour titre français Halte à la croissance ? et fut suivi en 1974 d'un deuxième rapport : Sortir de l'ère du gaspillage : demain. Depuis, il a produit plus de 20 publications dans une série appelée Rapports du Club de Rome.
Les notions de développement durable et d'empreinte écologique font du Club de Rome un précurseur. Si, au XXIe siècle, la majorité s'accorde à prendre en compte les problématiques environnementales, d'autres n'acceptent pas ces analyses qui impliquent beaucoup de remises en question. Ils s'en prennent parfois au Club de Rome, à l'origine de ce qu'ils pensent être du catastrophisme.
Le club de Rome déménagera son siège de Hambourg à Zurich comme annoncé en 2007[1]. La population du canton de Zurich a refusé en février 2008 (par référendum) la subvention escomptée[2], mais des fonds privés se sont portés au secours du groupe
http://www.forum-religion.org/mahayana/ ... 59645.html
Sinon :
Daisaku Ikeda est un intellectuel et philosophe japonais, pacifiste, antimilitariste. Il est président honoraire de la Sōka Gakkai, et président de la Sōka Gakkai Internationale.
Philosophe, romancier, critique, essayiste, poète, photographe, professeur et docteur honoraire de plusieurs universités, il est membre honoraire du Club de Rome.
Le Club de Rome est une association internationale et non politique réunissant des scientifiques, des humanistes, des économistes, des professeurs, des fonctionnaires nationaux et internationaux ainsi que des industriels de 53 pays, préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu'en développement.
Fondé le 8 avril 1968 à l'initiative d'Aurelio Peccei, un Italien membre du conseil d'administration de Fiat, et d'Alexander King, un scientifique et fonctionnaire écossais, ancien directeur scientifique de l'Organisation de coopération et de développement économiques, il doit son nom au lieu de sa première réunion à Rome, à l'Accademia dei Lincei.
Le rapport Meadows (1972), commandé par le Club de Rome, avait pour titre français Halte à la croissance ? et fut suivi en 1974 d'un deuxième rapport : Sortir de l'ère du gaspillage : demain. Depuis, il a produit plus de 20 publications dans une série appelée Rapports du Club de Rome.
Les notions de développement durable et d'empreinte écologique font du Club de Rome un précurseur. Si, au XXIe siècle, la majorité s'accorde à prendre en compte les problématiques environnementales, d'autres n'acceptent pas ces analyses qui impliquent beaucoup de remises en question. Ils s'en prennent parfois au Club de Rome, à l'origine de ce qu'ils pensent être du catastrophisme.
Le club de Rome déménagera son siège de Hambourg à Zurich comme annoncé en 2007[1]. La population du canton de Zurich a refusé en février 2008 (par référendum) la subvention escomptée[2], mais des fonds privés se sont portés au secours du groupe
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 15:42« Le Club de Rome est sans conteste un groupe de pression transnational qui cherche à influencer l’opinion publique mondiale et, à travers elle, les gouvernements en place afin de réaliser certains objectifs politiques. Aurelio Peccei le reconnaît d’ailleurs lui-même lorsqu’il assigne à ce groupement un double-objectif qui est : « de comprendre et de faire comprendre en profondeur à quel point les affaires humaines sont dans une situation critique, combien les perspectives d’avenir sont de plus en plus limitées et incertaines, et de créer ainsi, avec une opinion mondiale et des centres de décision plus réceptifs, un climat plus propice à l’action ; de dégager et de proposer de nouvelles lignes d’action et de nouveaux modèles d’organisation pour orienter plus intelligemment le sort de l’humanité. » […] Le Club de Rome ne serait-il pas ainsi la préfiguration d’une nouvelle élite, celle des gestionnaires, souples et efficaces, prétendant penser en termes globaux et organiser rationnellement l’interdépendance mondiale ? On a beau nous parler de nouvel humanisme, de révolution de solidarité mondiale, cette prétention à déterminer rationnellement le bien de l’ensemble de l’humanité et à gérer efficacement la future société mondiale ne peut qu’inquiéter ceux qui sentent ce que peut cacher un tel discours et qui savent où peut conduire la projection au monde entier d’une rationalité technocratique, close sur elle-même. »Yvon a écrit :"Le club de Rome déménagera son siège de Hambourg à Zurich comme annoncé en 2007. La population du canton de Zurich a refusé en février 2008 (par référendum) la subvention escomptée, mais des fonds privés se sont portés au secours du groupe"
https://explicithistoire.wordpress.com/ ... b-de-rome/
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 16:12La théorie du complot , ca marche toujours avec les esprits faibles comme le votre . La preuve .
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 16:15Je vous retourne le propos !Yvon a écrit :La théorie du complot , ca marche toujours avec les esprits faibles comme le votre . La preuve .
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 16:22La bienveillance du président Ikeda .
« Daisaku commenca cependant à remarquer une tendance qui l’inquiétait profondément : tandis que l’organisation grandissait et s’implantait solidement à travers tout le pays , certains responsables locaux devenaient de plus en plus autoritaires et formalistes .
C’est par le dialogue que la SG avait étendu son influence , les liens de cœur à cœur , tissés entre ses membres trouvant un écho plus large dans la société .
Le fonctionnement de la SG était donc à l’opposé d’un système autoritaire où le sommet donne des ordres à la base . Son grand développement n’était dû qu’aux efforts sincères de dialogue et d’encouragements prodigués auprés des simples membres .
Cependant , en y regardant de plus prés , quelques responsables à l’échelon national avaient l’illusion de leur propre grandeur . Plutôt que de rechercher l’avis des membres , ils se contentaient de décider de tout arbitrairement , croyant à tord , que les gens obéitraient au doigt et à l’œil à leur ordres.
La personne doit écouter les opinions des autres et promouvoir des activités qui emportent l’adhésion et la compréhension de tous .
Certains de ces responsables autoritaires entretenaient même des relations de types féodal avec leur membres , ne donnant des postes de responsabilité dans leur organisation locale qu’à ceux qui les flattaient et les admiraient . Parfois ils employaient même ces membres serviles à faire leur corvées ménagères ou à s’occuper d’autres affaires personnelles à leur place .
En fin de compte de tels responsables n’essayaient pas de relier les membres au courant de la SG , mais à eux même.
Il ne s’agit là que d’une exploitation de la croyance et de l’organisation. En outre certains responsables ne s’interressaient qu’aux résultats à l’exclusion de tout le reste . Sans rechercher la cohésion ni donner des encouragements attentif aux membres .
Le comportement de tels responsables cause des préjudices incalculables : il sème la méfiance vis-à-vis de la SG dans le cœur des gens .
Dans chacun de ces cas , le responsable oubliait de servir les membres succombant à la vanité et recherchant aveuglément la reconnaissance personnelle , témoignant par là d’une arrogance et d’un égoisme effrayant .
C’est parrceque les responsables les protègent et les soutiennent que les membres les respectent . La corruption des responsables commence lorsqu’ils confondent le respect dû à leur fonction avec un respect dû à leur propre personne . »
Histoire de la Soka gakkai la Nouvelle révolution humaine Volume 2
« Daisaku commenca cependant à remarquer une tendance qui l’inquiétait profondément : tandis que l’organisation grandissait et s’implantait solidement à travers tout le pays , certains responsables locaux devenaient de plus en plus autoritaires et formalistes .
C’est par le dialogue que la SG avait étendu son influence , les liens de cœur à cœur , tissés entre ses membres trouvant un écho plus large dans la société .
Le fonctionnement de la SG était donc à l’opposé d’un système autoritaire où le sommet donne des ordres à la base . Son grand développement n’était dû qu’aux efforts sincères de dialogue et d’encouragements prodigués auprés des simples membres .
Cependant , en y regardant de plus prés , quelques responsables à l’échelon national avaient l’illusion de leur propre grandeur . Plutôt que de rechercher l’avis des membres , ils se contentaient de décider de tout arbitrairement , croyant à tord , que les gens obéitraient au doigt et à l’œil à leur ordres.
La personne doit écouter les opinions des autres et promouvoir des activités qui emportent l’adhésion et la compréhension de tous .
Certains de ces responsables autoritaires entretenaient même des relations de types féodal avec leur membres , ne donnant des postes de responsabilité dans leur organisation locale qu’à ceux qui les flattaient et les admiraient . Parfois ils employaient même ces membres serviles à faire leur corvées ménagères ou à s’occuper d’autres affaires personnelles à leur place .
En fin de compte de tels responsables n’essayaient pas de relier les membres au courant de la SG , mais à eux même.
Il ne s’agit là que d’une exploitation de la croyance et de l’organisation. En outre certains responsables ne s’interressaient qu’aux résultats à l’exclusion de tout le reste . Sans rechercher la cohésion ni donner des encouragements attentif aux membres .
Le comportement de tels responsables cause des préjudices incalculables : il sème la méfiance vis-à-vis de la SG dans le cœur des gens .
Dans chacun de ces cas , le responsable oubliait de servir les membres succombant à la vanité et recherchant aveuglément la reconnaissance personnelle , témoignant par là d’une arrogance et d’un égoisme effrayant .
C’est parrceque les responsables les protègent et les soutiennent que les membres les respectent . La corruption des responsables commence lorsqu’ils confondent le respect dû à leur fonction avec un respect dû à leur propre personne . »
Histoire de la Soka gakkai la Nouvelle révolution humaine Volume 2
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 16:33Vos affirmations permettent d'appréhender les effets du conditionnement Gakkai ! plein d'interventions sur cette discussion contredisent vos dires ! il suffit de les lire, pas vraiment l’impression que vous le fassiez, cela n'est pas grave, je ne cherche pas à vous convaincre.Yvon a écrit :"La bienveillance du président Ikeda"
Modifié en dernier par algol-x le 08 avr.18, 18:01, modifié 4 fois.
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 19:28Durant mes 34 ans de pratique j'ai moi même rencontré des personnes se montrant autoritaires et dogmatiques .
Heureusement je fut pas troublé par cette attitude .
L' avantage d'avoir étudié c'est que je me rendis compte rapidement que ce comportement était en désaccord avec l'enseignement de Nichiren et des discours du président Ikeda et je ne me suis pas gèné de faire des remarques à ces personnes.
Finalement ces gens finirent tous par quitter l'organisation
Heureusement je fut pas troublé par cette attitude .
L' avantage d'avoir étudié c'est que je me rendis compte rapidement que ce comportement était en désaccord avec l'enseignement de Nichiren et des discours du président Ikeda et je ne me suis pas gèné de faire des remarques à ces personnes.
Finalement ces gens finirent tous par quitter l'organisation
"Le sage n’est pas celui qui pratique le bouddhisme en dehors des règles de la société mais plutôt celui qui, grâce à une compréhension profonde du monde, connaît la meilleure manière de s’y comporter."
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 02 avr.18, 23:58Phrase d'Or :
"Ne vous diminuez pas en vous comparant aux personnes de capacités supérieures. La véritable intention du Bouddha ne fut jamais de dénier à quiconque la possibilité d’atteindre l’illumination, même aux personnes de moindres capacités. A l’inverse, en vous comparant à des personnes dont les capacités sont inférieures aux vôtres, ne soyez ni arrogant ni exagérément fier. Même des personnes de capacités supérieures peuvent ne pas atteindre l’illumination si elles ne se consacrent pas de tout cœur à sa recherche. "
Nichiren, Questions et réponses sur la pratique du Sûtra du Lotus - Lettres et Traités vol.5
Bonne journée.
"Ne vous diminuez pas en vous comparant aux personnes de capacités supérieures. La véritable intention du Bouddha ne fut jamais de dénier à quiconque la possibilité d’atteindre l’illumination, même aux personnes de moindres capacités. A l’inverse, en vous comparant à des personnes dont les capacités sont inférieures aux vôtres, ne soyez ni arrogant ni exagérément fier. Même des personnes de capacités supérieures peuvent ne pas atteindre l’illumination si elles ne se consacrent pas de tout cœur à sa recherche. "
Nichiren, Questions et réponses sur la pratique du Sûtra du Lotus - Lettres et Traités vol.5
Bonne journée.
La religion est faite pour l'homme et non l'homme pour la religion.
https://www.facebook.com/brutofficiel/v ... 308655040/
Ne pas oublier que la guerre du Congo qui a fait plus de 8 millions de morts en 20 ans dans le Kivu est intimement liée a la richesse minière de la région et au silence de la communauté internationale
https://www.facebook.com/brutofficiel/v ... 308655040/
Ne pas oublier que la guerre du Congo qui a fait plus de 8 millions de morts en 20 ans dans le Kivu est intimement liée a la richesse minière de la région et au silence de la communauté internationale
- zeste de savoir
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 517
- Enregistré le : 18 déc.17, 21:13
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 03 avr.18, 02:47Daisaku Ikeda et le dialogue inter religieux !
Dont l'image est reproduite sur tous les sites, blogs, publications des adeptes les plus convaincus de la soka gakkai.
Dont les équipes de lobbying vantent les hautes qualités d'humanisme aux politiques et décideurs internationaux.
Dans un discours prononcé alors qu'il démarrait dans la foi. Nous éclaire ainsi sur sa détermination inflexible à répandre le vrai bouddhisme sur la planète :
Conformément à l'esprit du premier Président, Tsunesaburo Makiguchi, et du deuxième Président, notre maître Josei Toda, qui se sont loyalement dévoués pour le temple principal, moi, représentant tous les membres de notre organisation, je promets une plus grande loyauté encore à Son Excellence (Nikken). La Soka Gakkai est le plus grand allié des masses. Nos ennemis sont les mauvaises religions. Ce sont elles qui conduisent les hommes en enfer. Le Vrai Bouddhisme fait surgir le bouddha de tous les êtres. Nichiren Daishonin a dit que la source de tous les malheurs et de toutes les souffrances est la croyance erronée. Notre maître, Josei Toda, a repris ces paroles importantes. Avec l'esprit de notre maître prônant la destruction des mauvaises religions, nous, ses disciples devons, une fois encore, leur livrer un combat sans merci." (Murata, p. 118-119)
Dont l'image est reproduite sur tous les sites, blogs, publications des adeptes les plus convaincus de la soka gakkai.
Dont les équipes de lobbying vantent les hautes qualités d'humanisme aux politiques et décideurs internationaux.
Dans un discours prononcé alors qu'il démarrait dans la foi. Nous éclaire ainsi sur sa détermination inflexible à répandre le vrai bouddhisme sur la planète :
Conformément à l'esprit du premier Président, Tsunesaburo Makiguchi, et du deuxième Président, notre maître Josei Toda, qui se sont loyalement dévoués pour le temple principal, moi, représentant tous les membres de notre organisation, je promets une plus grande loyauté encore à Son Excellence (Nikken). La Soka Gakkai est le plus grand allié des masses. Nos ennemis sont les mauvaises religions. Ce sont elles qui conduisent les hommes en enfer. Le Vrai Bouddhisme fait surgir le bouddha de tous les êtres. Nichiren Daishonin a dit que la source de tous les malheurs et de toutes les souffrances est la croyance erronée. Notre maître, Josei Toda, a repris ces paroles importantes. Avec l'esprit de notre maître prônant la destruction des mauvaises religions, nous, ses disciples devons, une fois encore, leur livrer un combat sans merci." (Murata, p. 118-119)
Re: Daisaku Ikéda le "maitre" de la Soka Gakkai
Ecrit le 03 avr.18, 02:58Soka Gakkai utilise des célébrités pour sa «révolution secrète»
Japan Today / 23 mars 2005
Les émissions de variétés télévisées semblent parfois être un défilé sans fin de «talents», mais ce que la plupart des téléspectateurs ne réalisent probablement pas, c'est que l'organisation religieuse Soka Gakkai est impliquée dans l'industrie du divertissement.
Beaucoup de talents sont utilisés dans le cadre d'une stratégie du président de la Soka Gakkai, Daisaku Ikeda. Par exemple, des talents populaires tels que Masami Hisamoto, qui a classé dans le groupe supérieur de la recherche «talent favori» NHK pour trois années de suite, l'actrice Satomi Ishihara, qui joue une héroïne dans le drame basé sur le roman historique "Yoshitsune, "Les comédiens Hidekazu Nagai et Hanawa sont membres de la Soka Gakkai. Ils appartiennent au département des arts du quartier général de la culture Soka Gakkai.
Dans l'ancien temps, des célébrités comme l'actrice Tamaki Sawa, les chanteuses Izumi Yukimura et Linda Yamamoto se produisaient lors des grandes réunions de la Soka Gakkai, attirant entre 1 000 et 2 000 personnes. Cependant, les temps ont changé. La télévision est un moyen bien meilleur pour atteindre beaucoup plus de gens.
"Tant que ces célébrités sont présentes à la télévision tous les jours, la Soka Gakkai n'a plus besoin d'organiser de grands rassemblements", explique Hiroshi Kotani, ancien secrétaire en chef de la Soka Gakkai, qui quitte l'organisation en 1987. "Soka Gakkai et en faisant cela, ils brisent l'image négative que certaines personnes ont de la Soka Gakkai. "
La prédominance de la comédie rehausse l'image de Soka Gakkai. "Plus encore qu'un chanteur ou une actrice de classe A, les comédiens amis ont un effet plus fort", explique le journaliste Masao Otsukotsu. "Soka Gakkai a nommé Masami Hisamoto en tant que directeur adjoint de son département des arts en 2001. Cela montre combien ils attendent de lui."
Récemment, les médias contrôlés par Soka Gakkai utilisent également des célébrités extérieures. Cela fait également partie de leur stratégie, indique une source au sein du groupe. "Les managers des jeunes talents d'aujourd'hui ne connaissent pas l'âge sombre de la Soka Gakkai, aussi longtemps leurs besoins financiers sont couverts , ils n'ont aucun problème avec leurs talents apparaissant dans les médias de la Soka Gakkai, dans ses magazines . C'est est un autre moyen pour l'organisation d'améliorer son image. "
D'autre part, un certain nombre de célébrités ont quitté le groupe, parmi eux Cha Kato, Akira Hirao et Kaoru Sugita. Craignant des représailles, ils ne parlent pas beaucoup de la Soka Gakkai, mais refusent de paraître dans les médias ou les publications de la Soka Gakkai.
Otsukotsu a déclaré: «Ce que nous voyons, c'est que plus de jeunes adhèrent au mouvement, plus de croyants vétérans s'en vont, Soka Gakkai aimerait mener une « révolution ». Il aimerait prendre en charge des fonctions importantes au gouvernement et contrôler la société. L'utilisation des talents pour son image de marque est juste une partie de leur stratégie.Je pense que les talents plus âgés et plus expérimentés réalisent cela et c'est pourquoi ils partent.
La Soka Gakkai n'utilise pas que le monde du divertissement. Les diplômés de l'Université Soka Gakkai ont trouvé leur place dans les ministères de la Justice, des Affaires étrangères et autres. Soka Gakkai a également une énorme connexion réseau avec les médias, l'industrie informatique et de nombreuses grandes entreprises.
Un porte-parole de la Soka Gakkai réfute les propos d'une révolution. "Nous ne commandons pas aux entreprises de faire quoi que ce soit."
Cependant, Kotani dit: "Soka Gakkai est un groupe qui ne peut tolérer des opinions et des pensées dissidentes et qui fera de son mieux pour éliminer la concurrence. Si leur révolution réussit réellement, la société perdra beaucoup de libertés. Je me demande combien de célébrités sont au courant. Si elles ne pensent qu'à leur popularité, leur pensée est plutôt superficielle.
https://www.culteducation.com/group/940 ... ution.html
Japan Today / 23 mars 2005
Les émissions de variétés télévisées semblent parfois être un défilé sans fin de «talents», mais ce que la plupart des téléspectateurs ne réalisent probablement pas, c'est que l'organisation religieuse Soka Gakkai est impliquée dans l'industrie du divertissement.
Beaucoup de talents sont utilisés dans le cadre d'une stratégie du président de la Soka Gakkai, Daisaku Ikeda. Par exemple, des talents populaires tels que Masami Hisamoto, qui a classé dans le groupe supérieur de la recherche «talent favori» NHK pour trois années de suite, l'actrice Satomi Ishihara, qui joue une héroïne dans le drame basé sur le roman historique "Yoshitsune, "Les comédiens Hidekazu Nagai et Hanawa sont membres de la Soka Gakkai. Ils appartiennent au département des arts du quartier général de la culture Soka Gakkai.
Dans l'ancien temps, des célébrités comme l'actrice Tamaki Sawa, les chanteuses Izumi Yukimura et Linda Yamamoto se produisaient lors des grandes réunions de la Soka Gakkai, attirant entre 1 000 et 2 000 personnes. Cependant, les temps ont changé. La télévision est un moyen bien meilleur pour atteindre beaucoup plus de gens.
"Tant que ces célébrités sont présentes à la télévision tous les jours, la Soka Gakkai n'a plus besoin d'organiser de grands rassemblements", explique Hiroshi Kotani, ancien secrétaire en chef de la Soka Gakkai, qui quitte l'organisation en 1987. "Soka Gakkai et en faisant cela, ils brisent l'image négative que certaines personnes ont de la Soka Gakkai. "
La prédominance de la comédie rehausse l'image de Soka Gakkai. "Plus encore qu'un chanteur ou une actrice de classe A, les comédiens amis ont un effet plus fort", explique le journaliste Masao Otsukotsu. "Soka Gakkai a nommé Masami Hisamoto en tant que directeur adjoint de son département des arts en 2001. Cela montre combien ils attendent de lui."
Récemment, les médias contrôlés par Soka Gakkai utilisent également des célébrités extérieures. Cela fait également partie de leur stratégie, indique une source au sein du groupe. "Les managers des jeunes talents d'aujourd'hui ne connaissent pas l'âge sombre de la Soka Gakkai, aussi longtemps leurs besoins financiers sont couverts , ils n'ont aucun problème avec leurs talents apparaissant dans les médias de la Soka Gakkai, dans ses magazines . C'est est un autre moyen pour l'organisation d'améliorer son image. "
D'autre part, un certain nombre de célébrités ont quitté le groupe, parmi eux Cha Kato, Akira Hirao et Kaoru Sugita. Craignant des représailles, ils ne parlent pas beaucoup de la Soka Gakkai, mais refusent de paraître dans les médias ou les publications de la Soka Gakkai.
Otsukotsu a déclaré: «Ce que nous voyons, c'est que plus de jeunes adhèrent au mouvement, plus de croyants vétérans s'en vont, Soka Gakkai aimerait mener une « révolution ». Il aimerait prendre en charge des fonctions importantes au gouvernement et contrôler la société. L'utilisation des talents pour son image de marque est juste une partie de leur stratégie.Je pense que les talents plus âgés et plus expérimentés réalisent cela et c'est pourquoi ils partent.
La Soka Gakkai n'utilise pas que le monde du divertissement. Les diplômés de l'Université Soka Gakkai ont trouvé leur place dans les ministères de la Justice, des Affaires étrangères et autres. Soka Gakkai a également une énorme connexion réseau avec les médias, l'industrie informatique et de nombreuses grandes entreprises.
Un porte-parole de la Soka Gakkai réfute les propos d'une révolution. "Nous ne commandons pas aux entreprises de faire quoi que ce soit."
Cependant, Kotani dit: "Soka Gakkai est un groupe qui ne peut tolérer des opinions et des pensées dissidentes et qui fera de son mieux pour éliminer la concurrence. Si leur révolution réussit réellement, la société perdra beaucoup de libertés. Je me demande combien de célébrités sont au courant. Si elles ne pensent qu'à leur popularité, leur pensée est plutôt superficielle.
https://www.culteducation.com/group/940 ... ution.html
"Une carte n'est pas le territoire" Alfred Korzybski
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 7 invités