Le Pape tient la place que tint Joseph de Nazareth a tenu

[prisca]

A ce propos n'oubliez pas que Pierre a dit "QUO VADIS DOMINE" et Jésus lui a répondu « Romam eo iterum crucifigi (Je vais à Rome pour être de nouveau crucifié) »

Dans la mythologie catholique peut être, dans la Bible, non !

C'est dans la Bible justement Apocalypse 11:8
"Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Egypte, là même où leur Seigneur a été crucifié."

[Paulo]

Dans la mythologie catholique peut être, dans la Bible, non !

1 Corinthiens 4:8Déjà vous êtes rassasiés, déjà vous êtes riches, sans nous vous avez commencé à régner. Et puissiez-vous régner en effet, afin que nous aussi nous régnions avec vous! 9Car Dieu, ce me semble, a fait de nous, apôtres, les derniers des hommes, des condamnés à mort en quelque sorte, puisque nous avons été en spectacle au monde, aux anges et aux hommes.…"

Paul considérait donc son règne à venir, pas un règne sur Terre !

Paul n'étais pas l'un des 12 à qui Jésus a dit :

"Et il leur dit: " Les rois des nations leur commandent en maîtres, et ceux qui exercent empire sur elles se font appeler Bienfaiteurs. Vous, ne faites pas ainsi; mais que le plus grand parmi vous devienne comme le plus jeune, et celui qui gouverne comme celui qui sert. Qui, en effet, est le plus grand, celui qui est à table ou celui qui sert? N'est-ce pas celui qui est à table? Or moi, au milieu de vous, je suis comme celui qui sert. Vous, vous êtes ceux qui sont demeurés constamment avec moi dans mes épreuves; et moi, je vous attribue la royauté comme mon Père me l'a attribuée, afin que vous mangiez et buviez à ma table dans mon royaume; et vous siégerez sur des trônes, jugeant les douze tribus d'Israël. (Luc 22, 25-30)

Paul, a été fait Apôtre, comme le furent les 12, avant que Jésus ne fasse d'eux ses "vice-rois", ou "princes", qui jugeront les 12 nouvelles tribus qu'il a fondé en instituant les 12, les plaçant chacun à la tête des églises, que Lui Jésus, fondera, après avoir fondé lui-même, l'Eglise de Jérusalem, à la tête de laquelle, sera placé Jacques, Simon-Pierre, étant établi par Jésus, comme Prince des Apôtres et de tout le troupeau.

En disant au 12, qu'il leur attribuent la Royauté, à ses côtés, afin qu'ils mangent et boivent à sa table dans son Royaume, Jésus leur dit clairement, à qu'à la table où il venait de les faire asseoir le jeudi saint, en leur disant "vous ferez cela en mémoire de moi" (bénir le pain, le rompre et le donner à manger aux disciples) ils seront assis à la table de son Royaume, pour servir et juger avec lui les 12 tribus d'Israël :

"Mais Jésus les appela et dit: " Vous savez que les chefs des nations leur commandent en maîtres, et que les grands exercent leur empire sur elles. Il n'en sera pas ainsi parmi vous; au contraire, celui qui voudra devenir grand, parmi vous, se fera votre serviteur; et celui qui voudra, parmi vous, être premier, se fera votre esclave. 28 C'est ainsi que le Fils de l'homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour beaucoup. (Matthieu 20, 25-28)

Jésus ici, leur parlait de la place qu'ils tiendront à ses côtés et celui de Dieu son Père, vivant en Lui, à la table dans son Royaume, sa Sainte Eglise Catholique, la table de l'Eucharistie. Il les invitera à "gouverner", comme il a gouverné, à commander comme il a commandé, non pas en maître, mais en serviteur, car ils n'y a qu'un seul maître, c'est Lui, règnant par eux, gouvernant par eux ; comme il n'y a qu'un seul Père, Dieu son Père, dont il est lui-même le serviteur, tout en étant son Fils ; comme ses Apôtres qui vont servirent avec Lui dans son Eglise, seront fils de Dieu et serviteurs de leurs fils et filles, ceux qu'ils vont engendrés en les baptisant au Nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, prenant soin d'eux avec le Père, le Vigneron, celui qui prend soin de l'Eglise, son Fils, la Vigne Véritable.

Le Royaume dont parlait Jésus, c'est son Eglise, son Corps, que ses 12 vice-rois éduqueront et nourriront avec Lui vivant avec son Père, en eux, jusqu'à la fin des temps. Le Pape successeur de Pierre et les successeurs des autres Apôtres, sont bien les vices-roi du Vice-Roi des Cieux qu'Est le Fils, Lui-même Vice-Roi avec son Père vivant en Lui, sauf qu'eux, sont vice-roi, dans le Royaume présent sur la terre, quand Jésus est Vice-Roi dans le Royaume de Dieu, qui est au Ciel et dont l'Eglise est le signe visible, sur la terre, pour ceux qui vivent encore sur la terre, n'étant pas encore entrés dans les Cieux, bien qu'il y soient déjà, portés dans le Corps du Christ.

Jésus a établis son Royaume, sur la terre, comme au Ciel, comme il le dit dans le Notre Père : "que ton règne vienne sur la terre, comme au Ciel".

[Estrabolio]

Paul, a été fait Apôtre, comme le furent les 12, avant que Jésus ne fasse d'eux ses "vice-rois", ou "princes", qui jugeront les 12 nouvelles tribus qu'il a fondé en instituant les 12, les plaçant chacun à la tête des églises, que Lui Jésus, fondera, après avoir fondé lui-même, l'Eglise de Jérusalem, à la tête de laquelle, sera placé Jacques, Simon-Pierre, étant établi par Jésus, comme Prince des Apôtres et de tout le troupeau. .....

"Mais Jésus les appela et dit: " Vous savez que les chefs des nations leur commandent en maîtres, et que les grands exercent leur empire sur elles. Il n'en sera pas ainsi parmi vous; au contraire, celui qui voudra devenir grand, parmi vous, se fera votre serviteur; et celui qui voudra, parmi vous, être premier, se fera votre esclave. 28 C'est ainsi que le Fils de l'homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour beaucoup. (Matthieu 20, 25-28)

Voyez cher lecteur, je ne fais que citer Paulo qui nous démontre lui même que Jésus ne pouvait instituer un "Prince des Apôtres" puisque Matthieu 20:25 montre qu'il n'y a pas de supériorité entre les apôtres.
D'autre part, admettons que Paul ne soit pas admis, même apôtre, dans cela, comment se fait il dés lors qu'il juge et demande aux autres de juger dans l'Eglise alors que, si le règne est sur terre, seuls les 12 auraient dû avoir le droit de juger !
La promesse concerne le fait de régner ET de juger !

[prisca]

Il ne faut pas confondre les 12 apôtres avec les 12 enfants de Jacob fondateurs des tribus et révélateurs des 144 000.

Ce sont deux choses différentes, et d'ailleurs nous n'avons aucune information quant à quelle tribu font partie les 12 apôtres hormis le 13ème apôtre en Paul dont on sait de lui qu'il est un "Benjamin".

Et puis Paulo parmi les 12 apôtres tu oublies Juda.

La morale que l'on peut tirer justement en ayant parmi les 12 "un Juda" c'est que Jésus n'a pas choisi les apôtres selon leur propension à faire le bien, et d'ailleurs aucun des 12 n'est narrateur de l'Evangile, donc doit on considérer Luc Matthieu Marc comme apôtres aussi ? Oui bien évidemment puisqu'ils ont accompli cette mission apostolique d'enseignement de l'Evangile par la parole.

12 + 1 (Paul) - 1 (Juda) + 1 Matthias + 3 (Luc Matthieu Marc) = 16 apôtres Paulo.

Les apôtres ne se comptent pas, mais tu inondes la toile de 12 12 12 donc il faut revoir cette question là.

[Estrabolio]

C'est dans la Bible justement Apocalypse 11:8
"Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Egypte, là même où leur Seigneur a été crucifié."

Je parlais de ça : "QUO VADIS DOMINE" et Jésus lui a répondu « Romam eo iterum crucifigi (Je vais à Rome pour être de nouveau crucifié)

[Paulo]

Voyez cher lecteur, je ne fais que citer Paulo qui nous démontre lui même que Jésus ne pouvait instituer un "Prince des Apôtres" puisque Matthieu 20:25 montre qu'il n'y a pas de supériorité entre les apôtres.

D'autre part, admettons que Paul ne soit pas admis, même apôtre, dans cela, comment se fait il dés lors qu'il juge et demande aux autres de juger dans l'Eglise alors que, si le règne est sur terre, seuls les 12 auraient dû avoir le droit de juger !
La promesse concerne le fait de régner ET de juger !

Jésus est venu accomplir cette prophétie :

"15 Moi je paîtrai mes brebis, moi, je les ferai reposer, --oracle du Seigneur Yahweh. Je chercherai celle qui était perdue, je ramènerai celle qui était égarée, je panserai celle qui est blessée, et je fortifierai celle qui est malade; .... je sauverai mes brebis, et elles ne seront plus au pillage, et je jugerai entre brebis et brebis. Je leur susciterai un seul pasteur, -- et il les fera paître,-- mon serviteur David; c'est lui qui les paîtra; et c'est lui qui sera pour elles un pasteur. Moi, Yahweh, (moi, JE SUIS) je serai leur Dieu, et mon serviteur David sera prince au milieu d'elles; moi, Yahweh, j'ai parlé. Je conclurai avec elles une alliance de paix; (Ezéchiel 34,15-25)

Ce que Jésus confirme ici :

"Car le Fils de l'homme est venu sauver ce qui était perdu. (Matthieu (CP) 18, 11) Il répondit: " Je n'ai été envoyé qu'aux brebis perdues de la maison d'Israël. (Matthieu 15, 24)

Jésus dit à Simon-Pierre: " Simon, fils de Jean, m'aimes-tu plus que ceux-ci?" Il lui répondit: "Oui, Seigneur, vous savez que je vous aime." Jésus lui dit: "Pais mes agneaux." Il lui dit une seconde fois: "Simon, fils de Jean, m'aimes-tu?" Pierre lui répondit: " Oui, Seigneur, vous savez bien que je vous aime." Jésus lui dit: "Pais mes agneaux." Il lui dit pour la troisième fois: "M'aimes-tu?" et il lui répondit: "Seigneur, vous connaissez toutes choses, vous savez bien que je vous aime." Jésus lui dit: "Pais mes brebis." (Jean 21, 15-17)

Tout ce que Jésus, la Parole de Dieu qui a parlé par le prophète Ezéchiel, il l'a accomplit, confiant ses brebis perdues qu'il est venu sauver, leur promettant le repos, il les a confiées, comme il l'avait annoncé, A UN SEUL PASTEUR, son Apôtre Simon-Pierre, le seul à qui il a dit par 3 fois "Paîs mes brebis".

Il faut vraiment être aveugle, pour ne pas voir que Simon-Pierre est ce Prince, que Dieu avait dit qu'il susciterait, quand il viendrait Lui-même prendre soin de ses brebis.

Quand Jésus invite ses Apôtres, à ne pas commander en maître, mais en serviteur, comme Lui-même l'a fait, il invite Simon-Pierre, et ses Apôtres, à ne pas profiter de l'autorité qu'il va leur attribuer, pour dominer sur les brebis, où sur leurs frères Apôtres. Ce n'est pas parce que Jésus, s'est conduit en serviteur, qu'il n'en était pas moins le maître et le Seigneur. Le Pape, qui a reçu la mission de paîtres "toutes les brebis", y compris ses frères Apôtres, doit se conduire comme Jésus s'est conduit, comme un serviteur et pas comme un chef de ce monde, qui abuse de son autorité.

Quant à Paul, il n'a pas juger quand les chrétiens issus de la secte des pharisiens lui ont fait des reproches. Il a fait appel aux 12, qui se sont rassemblés à Jérusalem pour délibérer, et prendre, en communion avec Simon-Pierre qui a présidé ce Concile, la décision que nous savons.

Heureusement que Jésus a confié à UN SEUL PASTEUR, l'autorité pour paître tout le troupeau, car les divisions auraient été encore plus grande, si chaque Apôtres, avait eu autorité sur tout le troupeau.

N'écoutez pas ces athées qui viennent au milieu des brebis, pour les détourner du pasteur à que Jésus a confié ses brebis, Simon-Pierre et ses successeurs.

[prisca]

C'est dans la Bible justement Apocalypse 11:8
"Et leurs cadavres seront sur la place de la grande ville, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome et Egypte, là même où leur Seigneur a été crucifié."

Je parlais de ça : "QUO VADIS DOMINE" et Jésus lui a répondu « Romam eo iterum crucifigi (Je vais à Rome pour être de nouveau crucifié)

Oui et moi je t'ai répondu que comme Jésus l'a dit lui même à Pierre, Il est allé à Rome pour être de nouveau crucifié car les cadavres de la curie romaine, après que les deux témoins témoigneront, se trouveront à Rome, sur la place Saint Pierre, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome lieu de perversité, et Egypte lieu d'oppression et lieu d'adoration d'idoles et plus encore, cette place là où Jésus a été crucifié par les prêtres une seconde fois, comme Hébreux 6 les a prévenus, mais ils n'ont pas écouté.

[Paulo]

Oui et moi je t'ai répondu que comme Jésus l'a dit lui même à Pierre, Il est allé à Rome pour être de nouveau crucifié car les cadavres de la curie romaine, après que les deux témoins témoigneront, se trouveront à Rome, sur la place Saint Pierre, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome lieu de perversité, et Egypte lieu d'oppression et lieu d'adoration d'idoles et plus encore, cette place là où Jésus a été crucifié par les prêtres une seconde fois, comme Hébreux 6 les a prévenus, mais ils n'ont pas écouté.

Non, la place Saint Pierre n'a jamais été appelé "Sodome lieu de perversité ; cela c'est une invention des ennemis de l'Eglise Catholique, les fils et filles du diable, dont tu fais partie, et qui sont remplis de haine à l'égard de l'Eglise du Christ, l'Eglise bâtie sur Simon-Pierre et ses successeurs les papes.

[prisca]

Oui et moi je t'ai répondu que comme Jésus l'a dit lui même à Pierre, Il est allé à Rome pour être de nouveau crucifié car les cadavres de la curie romaine, après que les deux témoins témoigneront, se trouveront à Rome, sur la place Saint Pierre, qui est appelée, dans un sens spirituel, Sodome lieu de perversité, et Egypte lieu d'oppression et lieu d'adoration d'idoles et plus encore, cette place là où Jésus a été crucifié par les prêtres une seconde fois, comme Hébreux 6 les a prévenus, mais ils n'ont pas écouté.

Non, la place Saint Pierre n'a jamais été appelé "Sodome lieu de perversité ; cela c'est une invention des ennemis de l'Eglise Catholique, les fils et filles du diable, dont tu fais partie, et qui sont remplis de haine à l'égard de l'Eglise du Christ, l'Eglise bâtie sur Simon-Pierre et ses successeurs les papes.

Jésus s'est porté rançon pour déliver : 1/ Les catholiques pratiquants et 2/ Les athées parce que dès que le Christianisme s'est répandu, puisque Dieu par la Nouvelle Alliance a donné la foi dans chaque coeur désormais, les gens étaient pris d'enthousiasme pour Jésus et des chrétiens affluent. Cela n'est pas bien passé du côté des empereurs Romains qui, tour à tour, décidaient des les tuer de la pire des façons pour dissuader d'autres personnes à devenir chrétiens. Il faut comprendre que les empereurs Romains se sentent forts puisqu'ils se disent issus de dieux célestes, conçus par une humaine et un dieu, tous des demis dieux.

Devant la recrudescence des chrétiens, les empereurs désemparés par cet engouement, n'arrivaient plus à déjà se faire respecter, et n'avaient plus de place dans le Ciel puisque les chrétiens disaient que l'adoration d'idoles était un blasphème une fausseté du mensonge.

Un des empereurs Romains a une idée qui va renverser le monde chrétien, il va inventer une apparition dans le Ciel, celle de Jésus lui offrant la victoire.

Il va répandre cette nouvelle et va faire inscrire ce signe sur ses étendards ses monnaies ses casques etc....

Il va devenir aux yeux des chrétiens un "ami de Jésus" soudainement, et toi Paulo tu vas dire "oui comme Paul comme tu l'as dit une première fois déjà" et je te répondrais encore "non Jésus n'apparait à personne, Jésus a tout accompli, il n'était pas question que Jésus revienne pour apparaitre à quiconque, encore moins à un tortionnaire comme Constantin l'empereur".

Donc ce subterfuge lui a permis d'attirer à lui tous les chrétiens qui désormais ont vu chez Constantin "un sauveur de la Chrétienté" alors que jusqu'alors tous les empereurs les tuaient.

Il joue son rôle de Sauveur complètement, en réunissant le CONCILE DE NICEE EN 325 et tous les évêques se trouvent ainsi réunis sous sa coupole.

Il entâme des réformes et les premières sont LA TRINITE et l'abandon de l'idée de la REINCARNATION.

Tout dans la Bible nous pousse à comprendre que si des hommes subissent UNE RUINE ETERNELLE cela veut dire qu'ils sont sous l'effet d'une multitude de vies à ne pas en sortir s'ils ne montrent pas de bonne volonté pour vouloir en sortir.

Mais l'idée de la réincarnation déplait tellement à CONSTANTIN puisqu'il y a une perte identitaire, puisqu'un homme peut être Constantin et après être un homme appartenant à une autre nation avec moins de prestige que la place qu'il a élaborée avec mégalomanie, car de Rome il ne peut pas être porteur du Nom prestigieux, il jette son dévolu sur BIZANCE qui devient CONSTANTINOPLE car il a voulu y faire "la nouvelle Rome" là bas, pour avoir un autre fief après avoir été promu EMPEREUR DE ROME suite à la mort de Maxence qu'il a combattu et tué, donc il faut abandonner l'idée de revenir sur terre et l'idée de PURGATOIRE SOUS TERRE EST NEE.

Sauf que cette idée ne donne pas la profondeur à la souffrance terrestre que subissent les esprits, puisqu'il est avéré que les HOMMES les pires qui soient sont jetés dans l'étang de feu, lequel est la terre à sa création, c'est dire que l'éloignement d'avec Dieu est tel, qu'ils vont subir une éternité avant de sortir de cet enfer terrestre.

Tout a été dit SELON LES DESIDERATA DE CONSTANTIN en dépit de ce qu'a DIT JESUS donc il s'est mis à la PLACE DU CHRIST a pris le poste de fondateur du Catholicisme et si tu continues à prêcher pour Satan, même Diacre tu vas finir en Enfer toi aussi Paulo, car cela suffit le mensonge, il faut maintenant te faire à l'idée que la pédophihlie chez les prêtres vient de l'absence de l'ESPRIT SAINT chez tous les prêtres, certains abusent même des enfants c'est dire qu'ils sont les plus vils personnages que le monde ait vu.

[Paulo]

non Jésus n'apparait à personne, Jésus a tout accompli, il n'était pas question que Jésus revienne pour apparaitre à quiconque, encore moins à un tortionnaire comme Constantin l'empereur".

Donc ce subterfuge lui a permis d'attirer à lui tous les chrétiens qui désormais ont vu chez Constantin "un sauveur de la Chrétienté" alors que jusqu'alors tous les empereurs les tuaient.

Il joue son rôle de Sauveur complètement, en réunissant le CONCILE DE NICEE EN 325 et tous les évêques se trouvent ainsi réunis sous sa coupole.

Il entâme des réformes et les premières sont LA TRINITE et l'abandon de l'idée de la REINCARNATION.

Constantin n'a fait que convoquer le Concile, pour que les évêques se mettent d'accord entre eux ; il n'a rien fait d'autre, à ce Concile. Ce sont les évêques qui ont rappelés la foi reçu des Apôtres, pas Constantin. Constantin n'a fait aucune réforme théologique ; quand à la Trinité, c'est une Révélation qui vient de Jésus, du temps où il était avec ses Apôtres. C'est de sa bouche que les Apôtres ont appris qu'en Dieu il y avait un Père, avec auprès de Lui un Fils et un Saint Esprit. Seul l'expression "trinité" a été inventée pour parler de cette réalité révélée par Jésus.

[prisca]

non Jésus n'apparait à personne, Jésus a tout accompli, il n'était pas question que Jésus revienne pour apparaitre à quiconque, encore moins à un tortionnaire comme Constantin l'empereur".

Donc ce subterfuge lui a permis d'attirer à lui tous les chrétiens qui désormais ont vu chez Constantin "un sauveur de la Chrétienté" alors que jusqu'alors tous les empereurs les tuaient.

Il joue son rôle de Sauveur complètement, en réunissant le CONCILE DE NICEE EN 325 et tous les évêques se trouvent ainsi réunis sous sa coupole.

Il entâme des réformes et les premières sont LA TRINITE et l'abandon de l'idée de la REINCARNATION.

Constantin n'a fait que convoquer le Concile, pour que les évêques se mettent d'accord entre eux ; il n'a rien fait d'autre, à ce Concile. Ce sont les évêques qui ont rappelés la foi reçu des Apôtres, pas Constantin. Constantin n'a fait aucune réforme théologique ; quand à la Trinité, c'est une Révélation qui vient de Jésus, du temps où il était avec ses Apôtres. C'est de sa bouche que les Apôtres ont appris qu'en Dieu il y avait un Père, avec auprès de Lui un Fils et un Saint Esprit. Seul l'expression "trinité" a été inventée pour parler de cette réalité révélée par Jésus.

La Trinité ne figure pas dans la Bible. C'est un concept humain.

Constantin est le fondateur du catholicisme


Eusèbe de Césarée contemporain et ami de Constantin a dit :

Chapitre XXVII : Constantin se résout à n’adorer qu’un seul Dieu.
Comme il était persuadé qu’il avait besoin d’une puissance plus considérable et plus invincible que celle des armées, pour dissiper les illusions de la magie dans lesquelles Maxence mettait sa principale confiance,il eut recours à la protection de Dieu. Il délibéra d’abord sur le choix de celui qu’il devait reconnaître. Il considéra que la plupart de ses prédécesseurs, qui avaient adoré plusieurs Dieux et qui leur avaient offert de l’encens et des sacrifices, avaient été trompés par des prédictions pleines de flatterie ; et par des oracles, qui ne leur promettaient que d’heureux succès, et qu’ils étaient enfin péris misérablement, sans qu’aucun de leurs Dieux se fût mis en peine de les secourir. Que son père avait seul reconnu leur égarement, et seul pris le bon chemin, qu’il n’avait adoré que Dieu durant toute sa vie, et que Dieu avait été en récompense son protecteur, le conservateur de son Empire, et l’auteur de tous ses biens. Il fit une sérieuse réflexion sur la multitude des maux, dont avaient été accablés ceux qui avaient suivi une multitude de Dieux, et reconnut qu’aucun d’eux n’avait laissé de postérité, ni même la moindre mémoire de son nom, au lieu que le Dieu de son père lui avait donné d’illustres preuves de sa puissance. Il remarqua aussi que ceux qui en prenant les armes contre les tyrans avaient mis leur espérance dans la protection des Dieux n’en avaient tiré aucun avantage, l’un étant revenu avec ses troupes, sans avoir rien fait de considérable, et l’autre ayant été tué au milieu de son armée. Après avoir longtemps médité toutes ces raisons, il jugea que c’était la dernière de toutes les extravagances d’adorer des Idoles, de la faiblesse et du néant desquelles il avait des preuves si convaincantes, et il se résolut d’adorer le Dieu de Constance son père.

Chapitre XXVIII : Vision de Constantin.
Constantin implora la protection de ce Dieu, le pria de se faire connaître à lui, et de l’assister dans l’état où se trouvaient ses affaires. Pendant qu’il faisait cette prière, il eut une merveilleuse vision, et qui paraîtrait peut-être incroyable, si elle était rapportée par un autre. Mais personne ne doit faire difficulté de la croire, puisque ce Prince me l’a racontée lui-même longtemps depuis, lorsque j’ai eu l’honneur d’entrer dans ses bonnes grâces, et que l’évènement en a confirmé la vérité. Il assurait qu’il avait vu en plein midi une croix lumineuse avec cette inscription : « Vous vaincrez à la faveur de ce signe », et qu’il fut extrêmement étonné de ce spectacle, de même que ses soldats qui le suivaient.

Chapitre XXIX : Songe de Constantin.
Cette vision fit une si sorte impression dans l’esprit de Constantin qu’il en était encore tout occupé la nuit suivante. Durant son sommeil le Sauveur lui apparut avec le même signe qu’il lui avait montré en l’air durant le jour, et lui commanda de faire un étendard de la même forme, et de le porter dans les combats pour se garantir du danger.

Chapitre XXX : Constantin fait faire un étendard en forme de croix.
Constantin s’étant levé dès la pointe du jour raconta à ses amis le songe qu’il avait eu, et ayant envoyé quérir des Orfèvres, et des Lapidaires, il s’assit au milieu d’eux, leur proposa le dessein et la figure du signe qu’il avait vu, et leur commanda d’en faire un semblable, enrichi d’or, et de pierreries.

Chapitre XXXI : Description de l’étendard fait en forme de croix.
J’ai vu l’Etendard que les Orfèvres firent par l’ordre de ce Prince, et il m’est aisé d’en décrire ici la figure. C’est comme une pique, couverte de lames d’or, qui a un travers en forme d’Antenne qui fait la croix. Il y a au haut de la pique une couronne enrichie d’or et de pierreries. Le nom de notre Sauveur est marqué sur cette couronne par les deux premières lettres ; dont la seconde est un peu coupée. Les Empereurs ont porté depuis ces deux mêmes lettres sur leur casque. Il y a un voile de pourpre attaché au bois qui traverse la pique. Ce voile est de figure carrée, et couvert de perles, dont l’éclat donne de l’admiration. Comme la pique est fort haute elle a au bas du voile le portrait de l’Empereur et de ses enfants, fait en or jusques à demi-corps seulement. Constantin s’est toujours couvert dans la guerre, de cet étendard comme d’un rempart, et en a fait faire d’autres semblables pour les porter dans toutes ses armées.

Chapitre XXXII : Constantin lit l’Ecriture Sainte.
Constantin ayant l’esprit tout rempli de l’étonnement qu’une vision si extraordinaire lui avait causé, jugea qu’il n’y avait point d’autre Dieu qu’il dut reconnaître, que celui qui lui était apparu, et ayant envoyé quérir les Prêtres, et ses ministres, il leur demanda, qui était ce Dieu, et ce que signifiait la figure si lumineuse et si éclatante qu’il lui avait montrée. Les Prêtres lui répondirent que le Dieu qui lui était apparu était le fils unique de Dieu, que la figure qui lui avait été montrée, était la marque de l’immortalité, et le trophée de la victoire que le Fils de Dieu avait remportée sur la mort. Ils lui déduisirent les raisons pour lesquelles il est descendu du Ciel en terre, et lui expliquèrent le mystère de son Incarnation. L’Empereur les écouta avec une merveilleuse attention. Il compara leurs discours avec la vision qu’il avait eue, et ne douta point qu’ils ne lui enseignassent la vérité par l’ordre de Dieu. II s’appliqua ensuite à la lecture des livres sacrés, retint toujours les Prêtres auprès de lui, et se résolut d’adorer le Dieu dont ils lui avaient découvert les mystères. L’espérance qu’il avait mise en sa protection, l’excita bientôt après à entreprendre d’éteindre l’embrasement qui avait été allumé par la rage des Tyrans.

Chapitre XXXIII : Adultères commis à Rome par Maxence.
Le Tyran qui s’était emparé de la ville Impériale était monté à cet excès d’impudence, et d’impiété que de se plonger publiquement dans les plus sales débauches. Il arrachait les femmes d’entre les bras de leurs maris, et les leur renvoyait après les avoir violées. Il fit cet outrage aux personnes de la première qualité, et aux plus considérables du Sénat. Il jouit d’un grand nombre de femmes de condition, sans pouvoir rassasier son incontinence. Mais il ne put jamais jouir d’aucune femme Chrétienne. Il n’y en eut point qui n’aimât mieux perdre la vie que l’honneur.

Chapitre XXXIV : La femme d’un Préfet se procure la mort pour conserver sa pudicité.
La femme d’un des principaux du Sénat, et qui avait la dignité de Préfet, ayant appris que les Ministres des débauches de Maxence étaient à la porte de son logis, et que son mari avait consenti qu’ils l’emmenassent, de peur d’être maltraitée, elle leur demanda un peu de temps pour se parer, et étant entrée dans son cabinet, s’enfonça un poignard dans le sein, et publia par une action si éclatante non seulement à tous les peuples de son siècle, mais aussi à tous les siècles à venir, qu’il n’y a que parmi les Chrétiens où l’on trouve une pudicité invincible, et exempte de la mort.

Chapitre XXXV : Massacre du peuple de Rome.
Les grands et les petits, les magistrats et le peuple étaient dans l’oppression, et redoutaient la violence avec laquelle le Tyran commettait les crimes les plus horribles. La patience qu’ils conservaient au milieu des plus injustes traitements ne les mettait en aucune sûreté. Il commanda un jour, pour un fort léger sujet, aux soldats de sa Garde de faire main-basse sur le peuple, qui fut à l’heure-même massacré par les armes non des Scythes et des Barbares, mais de ses propres citoyens. Il n’est pas aisé de faire le dénombrement des Sénateurs qu’il condamna sur de fausses accusations, à dessein d’enlever leur bien.

Chapitre XXXVI : Maxence s’adonne à la magie.
Maxence couronna ses autres crimes par les cruautés et les sacrilèges de la magie tantôt en ouvrant le ventre des enceintes, et des enfants nés depuis peu de jours, tantôt en égorgeant des lions, et en offrant d’abominables sacrifices, pour évoquer les démons, et détourner la guerre dont il était menacé. Il espérait obtenir la victoire par ces artifices. Il traitait cependant ses sujets avec une dureté si extraordinaire qu’ils souffrirent sous son règne une disette dont il n’y avait point eu d’exemple dans les siècles précédents.

Chapitre XXXVII : Défaite de Maxence.
La compassion que Constantin eut de leur misère lui mit les armes entre les mains contre celui qui en était l’auteur. Ayant imploré la protection de Dieu, et du Sauveur son Fils unique. Il fit marcher son armée sous l’étendard de la Croix à dessein de rétablir les Romains en possession de leur ancienne liberté. Maxence mettant sa confiance dans les illusions de la magie plutôt que dans l’affection de ses sujets, n’osa sortir de Rome. Mais il mit des garnisons dans toutes les Villes dont il avait opprimé la liberté, et plaça des troupes en embuscade sur les passages. Constantin dont Dieu favorisait l’entreprise força aisément toutes ces troupes, et entra jusques au cœur de l’Italie.

Chapitre XXXVIII : Mort de Maxence.
Dieu qui ne voulait pas que Constantin fut obligé de mettre le siège devant Rome pour se rendre Maître de Maxence, le lui amena hors des murailles avec des chaînes invisibles. Il fit voir la vérité du miracle, qui passe pour une fable dans l’esprit des incrédules, bien qu’il ne soit point révoqué en doute par les Fidèles, et qu’il avait autrefois opéré contre Pharaon, ses chariots et son armée. Ce Tyran ayant été mis en fuite par les troupes de Constantin, qui était favorisé de la protection du ciel, il voulut passer un pont, où il avait préparé une machine pour surprendre son ennemi. Notre Religieux Prince fut assisté par le Dieu qu’il adorait, et l’impie périt dans le piège qu’il avait dressé, si bien qu’on lui peut appliquer ces paroles de l’Ecriture : Il a ouvert une fosse, et l’a creusée, et il tombera lui-même dans la fosse qu’il a faite, son iniquité retournera contre lui, et ses violences retomberont sur sa tête. La machine s’étant entr’ouverte au temps auquel on s’y attendait le moins, les vaisseaux coulèrent à fond. L’impie tomba le premier comme une masse de plomb avec les soldats qui l’environnaient. L’armée que Dieu avait rendue victorieuse, pouvait chanter alors les mêmes Cantiques que les Israélites avaient chantés autrefois contre Pharaon et dire comme eux : Publions les louanges du Seigneur, dont la gloire a éclaté. Il a jeté dans la mer le cheval, et celui qui était monté dessus. Il a été mon aide, mon protecteur et mon salut. Qui est semblable à vous entre les Dieux, Seigneur, qui est semblable à vous? Votre gloire a paru dans vos saints. Elle a attiré l’admiration, et vous avez fait des prodiges.

Chapitre XXXIX : Entrée de Constantin dans Rome.
Constantin ayant à l’imitation de Moise chanté ce Cantique, ou quelque autre semblable, en l’honneur de Dieu, qui avait conduit son armée, et qui lui avait accordé la victoire, entra en triomphe à Rome, où les Sénateurs, les Chevaliers, les Hommes, les Femmes, les Enfants et tout le peuple, délivrés de la servitude, accoururent au devant de lui avec toute sorte de témoignages de joie, le saluèrent comme leur libérateur, et leur conservateur, ne pouvant se lasser de faire des acclamations en son honneur. Mais sa piété ne lui permettant pas de s’enfler de ces louanges, il rendit à Dieu la gloire que l’on lui offrait, et protesta que c’était de sa main qu’il tenait la victoire, et que Rome avait reçu sa liberté.

[Paulo]

La Trinité ne figure pas dans la Bible. C'est un concept humain.

C'est uniquement l'expression "trinité qu'on ne trouve pas dans la Bible, car la Révélation d'un seul Dieu en 3 personnes, se trouve bien dans la Bible :

. dans la Genèse,
. dans la Révélation donnée par Jésus.

Le Dieu d'Abraham s'est manifesté à lui, dans 3 personnes :

"Abraham était âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans lorsqu'il fut circoncis .... Yahweh lui apparut aux chênes de Mambré, comme il était assis à l'entrée de la tente pendant la chaleur du jour, il leva les yeux et il regarda, et voici que trois hommes se tenaient debout devant lui. (Genèse 17, 24 ; 18, 1-2)

Yahweh lui apparut aux chênes de Mambré .. en 3 hommes se tenant devant lui

Abraham va alors s'adresser à ces 3 hommes comme s'il s'adressait à un seul :

s'étant prosterné en terre, il dit: 3 " Seigneur, si j'ai trouvé grâce à tes yeux, ne passe pas, je te prie, loin de ton serviteur. (Genèse 18, 2-3)


C'est alors que les 3 homme, vont poser ensemble cette question :

Alors ils lui dirent: " Où est Sara, ta femme? " (Genèse 18, 9)

Et c'est un seul qui répond :

"Et il dit: " je reviendrai chez toi à cette époque même, et voici, Sara, ta femme, aura un (Genèse 18, 10)

Et c'est bien Jésus Lui-même, qui nous révèlera l'identité de ces 3 personnes qui sont UN SEUL SEIGNEUR, UN SEUL DIEU en nous disant qu'en Dieu d'où il est sorti, il y a le Père, le Fils (lui-même) et le Saint Esprit.

La Trinité est bien une révélation qui figure dans la Bible.

Malheureusement tu es trop aveuglé pour la voir.

[prisca]

C'est un procédé fallacieux de ta part que de trouver dans la Bible quand 3 anges sont apparus pour dire que c'est une similitude avec la trinité en Dieu par Christ et le Saint Esprit.

La trinité est un mot composé de 3 (trine) or la chapelle sixtine à Rome fief du catholicisme nous montre sans l'ombre d'un doute que 3 s'applique bien en division puisque vous faites apparaitre DIEU comme un homme barbu complètement dissocié de Jésus qui aurait dû être visible à la place de cet homme barbu.


Vous vous êtes dénoncés tout seuls dans votre félonie Paulo, vous catholiques car vous avez créé un Dieu à part par Jésus que vous avez dissocié complètement de DIEU donc vous êtes POLYTHEISTES monsieur Paulo.

Donc la trinité est un piège à gogos, vous laissez planer le doute pour dire en fin de compte que JESUS remplace DIEU ETERNEL en fils ENGENDRE c'est à dire fruit de la procréation de DIEU avec une femme humaine, comme les empereurs faisaient, car il faut que JESUS soit un homme pour vous, afin de suivre la ligné impériale des DEMI DIEUX ROMAINS.

La fin du monde justement est engendrée par ces procédés complètement iniques, 1/ La trinité qui enlève toute autorité au Père pour la donner au Fils car vous la THORA vous la prenez du bout des doigts car vous en dites, contraints et forcés qu'elle existe mais qu'elle est plutôt le livre pour les Juifs, donc Dieu des Juifs c'est à dire DIEU ETERNEL vous ne voulez pas trop en parler en plus de dire que DIEU est assez autoritaire alors que JESUS EST AMOUR et vous préférez le FILS que vous avez élevé au rang d'un autre DIEU pour ne voir que par lui, parce que ça arrange bien vos petites affaires et 2/ La réincarnation qui existe et qui est la CLE DE VOUTE DE LA COMPREHENSION DE LA BIBLE mais en l'écartant il a fallu parer par le mensonge, et le mensonge vous perd.


Donc face à la félonie la fin du monde, c'est ce que vous avez récolté.

Je le dis en tant que 144000.

Que ce soit pris pour dit !


Je rappelle donc que JESUS EST DIEU LUI MEME.