Les écritures existent, ce ne sont pas les catholiques qui ont écrit la Bible, ils ont juste mis en forme la Bible.
Pour en venir aux Chrétiens, dès que la Nouvelle Alliance nait, Dieu donne gratuitement la grâce de la foi.
Les Chrétiens apparaissent, en Orient et Occident, les évêques s'organisent, c'est la balbutiement, les personnes se demandent qui est Jésus, l'arianisme le docétisme apparaissent, les gens commencent à se diviser par rapport à ce qu'ils croient, mais puisque l'empire Romain est maitre partout, les chrétiens sont partout chassés tués.
Il se trouve que Constantin est l'investigateur oui, qu'il passe pour tous un homme peut être intéressé par le pouvoir politico religieux, comme bon nombre le font aujourd'hui par l'Islam par exemple, mais du fait qu'il ait été défenseur des premiers chrétiens qui mourraient sous sa glève avant et puis sont mis sous sa sauvegarde après, on peut se demander à juste titre que c'est la manigance politique qui l'a poussé à le faire, et les historiens sont d'accord pour dire qu'il est un homme stratégique. Mais il ne s'agit que de suppositions, les gens sont face à un homme qui change soudainement de comportement parce qu'il est inspiré par Dieu disent ils, et les catholiques surenchérissent en disant qu'après tout Paul a été l'objet d'une attention particulière de Dieu donc pourquoi pas Constantin aussi.
Donc rien dans l'histoire ne nous permet d'affirmer qui est l'homme mais alors c'est la raison pour laquelle Dieu a noté un point de détail pour justement cet homme, il porte 666 sur son front.
Bien sûr les spéculations ont été bon train et les signes 666 par de savants calculs apparaissent à droite et à gauche car si l'on veut obtenir 666 il est facile de tourner le calcul pour toujours trouver une solution pour aboutir à ce nombre.
Pour Constantin le nombre est très facile à trouver car le signe effectivement il le porte sur le front déjà, il est empereur et a une légion alors que l'on sait que les démons sont légions, et il y a ce signe pour déterminer le nombre qui est coulant de source, car obtenir 700 facile et facile aussi de se dire qu'il est l'antichrist puisqu'il impose son point de vue dans la chrétienté par l'éviction de la réincarnation.
Or la réincarnation est le B-A BA de la croyance chrétienne malgré que tous les hommes la voient comme hérétique, païenne mais parce qu'il a bien travaillé en amont pour l'interdire tout simplement mais son interdiction ne repose sur rien, les arguments que les catholiques avancent sont nuls et non avenus, mais les arguments en faveur de la réincarnation sont nombreux par contre.
En écartant ce qui aurait pu donner à l'homme l'occasion de se dire que sa vie n'est pas la vie mais un moyen pour lui d'aller à la Vie Eternelle alors que le corps ne représente rien, seul l'esprit compte, ils ont éloigné l'humanité de Dieu.
Les catholiques privilégient un Paradis terrestre, tout comme les Témoins de Jéhovah qui ont pris leurs idées chez eux, alors que c'est faux, seul l'esprit compte et la vie spirituelle dans l'au delà.
Donc lorsque nous allons à l'église, et que le texte nous pousse à comprendre qu'il faut travailler pour être meilleur afin d'aller au Paradis, et que la mort est à éviter, au lieu de dire que "mort" veut dire "péché" les prêtres disent que "la mort" ou le décès est une tragédie, tout l'inverse de la vérité, je suis témoin puisque j'ai assisté à toutes les messes durant 4 ans tous les jours.
Par conséquent en donnant à la vie charnelle plus d'importance qu'à la vie dans l'au delà, les prêtres ont donné aux hommes l'envie de se tourner vers la chair et de ne même pas savoir que le but que Dieu fixe pour nous est que nous nous rendions parfaits pour aller justement dans l'au delà.
Une statistique énonce que 21 % des catholiques pratiquants ne croient pas en une vie après la mort (information du 5 novembre 2018
https://www.riposte-catholique.fr/archives/148190 )
Mais ces 21 % de catholiques ne sont même pas chrétiens car Jésus l'a dit, celui qui ne croit pas à la Résurrection ne peut pas se dire chrétien.
Ce chiffre n'est pas véritable en plus, parce que seuls 21 % des catholiques ont osé le dire, et alors que parmi les 79 % restant beaucoup se sont tus sur le sujet et pire encore 13 % ne se prononcent pas, donc 21+13 = 34 % de catholiques ne croient pas au Paradis mais alors ça sert à quoi d'être catholiques ?
Parce que pour remplacer la réincarnation, la curie romaine a inventé le purgatoire mais les gens n'y croient pas parce que voilà des saints qui vont au Paradis et voilà des criminels qui en allant au purgatoire vont aussi au Paradis ensuite.
Bien sûr il y a l'omerta, on ne dit pas qu'on y croit pas chez les catholiques, on fait semblant de croire mais on s'en occupe pas puisque la vie sur terre l'emporte.
Après tout nous ne sommes pas inquiets du purgatoire parce qu'au fond on y croit pas, car qui croirait à une telle stupidité qui n'est pas dans la Bible ?
Alors lorsque je dis que le purgatoire c'est sur la terre lorsque nous sommes vivants et que je met des images de Tahiti on me rit au nez. Mais c'est à la mesure de l'amour que Dieu a pour nous que de nous offrir un lieu où nous séjournons car nous ne faisons que passer puisque nous décédons, qui est propice à notre élévation spirituelle car vous croyez comme les catholiques que la meilleur des façons c'est d'être dans un endroit sombre et entourés de flammes effrayantes ? Après Vatican II a dit non, laissons les flammes de côté, disons que c'est "un état" mais quel état ? Où ? Entre le décès et où ?
Vous pensez que ces hommes vont se moquer de Dieu davantage ?
Bien sûr Constantin est contre la réincarnation même si les évêques lui ont dit de regarder de plus près, elle est inscrite dans la Bible dans bon nombres de versets, mais non, hors de question, Constantin ne peut pas se réincarner lui qui est "le sauveur" puisqu'ils sauvent les chrétiens il impose son point de vue, mais bien sûr que ce n'est écrit nulle part, mais mettez vous à la place du mégalomane à la statue colosse dont il reste la tête et les pieds, et qui donne le nom de Constantinople à une autre ville Byzance qu'il rebaptise pour faire, comme il l'a dit "la nouvelle Rome"