L'ignorance de l'islam est un gros problème
Vous devez apprendre avant de parler
Doit aller dans les centres islamiques
Tous ces miracles sont commandés par Dieu pour soutenir les prophètes
Toutes les traditions religieuses partagent le concept de miracles, c'est-à-dire quelque chose qui défie la logique, la nature ou la constitution établie et le cours des choses.
Nous limiterons notre discussion aux miracles légitimes d'Allah, qui sont par définition les seuls vrais miracles. Lorsque les forces de l'incrédulité sont fortes, les miracles prophétiques qui s'opposent à eux sont généralement plus forts.
Le prophète Moïse a reçu plusieurs miracles,
dont son bâton
qui s'est transformé en un serpent massif et a culminé dans son départ de la mer Rouge, comme une réponse divine à l'extrême infidélité de Pharaon.
De même, le Prophète Jésus a reçu même le pouvoir de ressusciter les morts, afin d'établir sa légitimité devant les Juifs qui finiraient par le condamner à mort pour blasphème. Néanmoins, ses miracles étaient indéniables par leur nature, et ce n'était que l'obstination et l'arrogance du peuple à qui il était envoyé qui leur permettait de le nier.
Ainsi, ce miracle prophétique particulier non seulement établi
du Prophète Muhammad pour les musulmans ,
mais il a également aidé à prouver sa prophétie aux non-croyants de son temps.
La Bible et le Coran face à la Science - Dr.Zakir Naik et Dr ...
https://www.youtube.com/watch?v=VdgK2S9eGvY
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La louange est à Dieu le Créateur du monde Celui Qui existe sans début, sans fin, sans endroit, sans comment et ne dépend pas du temps, rien n’est tel que Lui et Il est Celui Qui entend et Qui voit, quoi que tu puisses imaginer Dieu en est différent, et que l’élévation en degré et la préservation de sa communauté de ce qu’il craint pour elle soient accordées à notre maître MouHammad Al-‘Amîn, l’Honnête, celui qui a appelé à la religion de vérité, l’islam la religion de tous les Prophètes du premier ‘Adam au dernier MouHammad.
Allâh ta`âlâ dit dans le Qour’ân honoré :
{ يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا اتَّقُوا اللَّهَ وَلْتَنظُرْ نَفْسٌ مَّا قَدَّمَتْ لِغَدٍ وَاتَّقُوا اللَّهَ إِنَّ اللَّهَ خَبِيرٌ بِمَا تَعْمَلُونَ }
(yâ ‘ayyouha l-ladhîna ‘âmanou t-taqou l-Lâha wa l-tanDHour nafsoun mâ qaddamat lighad ; wa t-taqoul-Lâha ‘inna l-Lâha khabîroun bimâ ta`malôun )
ce qui signifie : « Ô vous qui êtes croyants, accomplissez les devoirs et gardez-vous des interdits, et que chacun considère ce qu’il prépare pour l’au-delà. Faites preuve de piété à l’égard de Allâh. Certes Allâh sait tout ce que vous faites » [sourat Al-Hachr ‘Ayah 18].
Allâh dit aussi dans la révélation explicite :
{ كُلُّ نَفْسٍ ذَآئِقَةُ الْمَوْتِ وَإِنَّمَا تُوَفَّوْنَ أُجُورَكُمْ يَوْمَ الْقِيَامَةِ فَمَن زُحْزِحَ عَنِ النَّارِ وَأُدْخِلَ الْجَنَّةَ فَقَدْ فَازَ وَما الْحَيَاةُ الدُّنْيَا إِلاَّ مَتَاعُ الْغُرُورِ }
(koullou nafsin dhâ’iqatou l-mawti wa ‘innamâ touwaffawna ‘oujôurakoum yawma lqiyâmati faman zouĥziĥa `ani n-nâri wa ‘oudkhila l-jannata faqad fâza wa ma l-Hayatou ddounyâ ‘il-lâ matâ`ou l-ghourôur )
ce qui signifie : « Chaque personne va mourir et vous recevrez vos rétributions au jour de la résurrection. Celui qui a été éloigné de l’enfer pour entrer au paradis aura réussi, certes la vie du bas monde n’est que éphémère et dupe celui qui est insouciant » [sôurat ‘Ali `ImrAn ‘Ayah 185].
Allâh tabâraka wa ta`âlâ dit en s’adressant à Son Prophète Élu dans le Qour’ân honoré :
{ إِنَّكَ مَيِّتٌ وَإِنَّهٌمْ مَيِّتُونَ }
(‘innaka mayyitoun wa ‘innahoum mayyitôun )
ce qui signifie : « Tu vas certes mourir et eux aussi mourront » [Az-Zoumar ‘Ayah 30].
La mort est une porte que tous franchiront
Si seulement je savais quelle résidence j’aurai après l’avoir franchie
Mes frères de foi, nous parlerons aujourd’hui, par la volonté de Allâh le Seigneur des mondes, au sujet du décès du maître des gens, notre maître MouHammad . Nous parlerons de la mort du Guide éminent, notre maître MouHammad. Il y a dans le récit de sa mort de nombreuses moralités et leçons à tirer.
Le Prophète était sorti de chez son épouse Maymounah. Il est arrivé chez `A’ichah et la maladie l’a fortement éprouvé. Il a dit alors :
« مُرُوا أَبَا بَكْرٍ فَلْيُصَلِّ باِلنَّاسِ إِمَامًا »
(mourôu ‘Abâ Bakrin, fa l-youSalli bi n-nâci ‘imâmâ )
ce qui signifie : « Donnez l’ordre à Abôu Bakr de diriger les gens dans la prière ».
Les gens l’avait attendu jusque-là pour faire la prière de al-`icha’ avec lui. Il se leva alors pour faire le wouDôu’ mais il perdit conscience et s’évanouit tant la maladie était éprouvante. Après son évanouissement il reprit conscience et il a dit :
« أَصُلِّيَ باِلنَّاسِ يَاعَائِشَة ؟ »
(‘aSoulliya bi n-naci ya `A’ichah ?)
ce que signifie : « Est-ce que les gens ont bien été dirigés dans leur prière, ô `A’ichah ? ». Elle répondait :
« لا يا رسول الله هم ينتظرونك »
(lâ yâ Raçôula l-Lâhi, houm yantaDHirôunaka )
ce qui signifie : « Non, ô Messager de Allâh, ils t’attendent », de sorte qu’il a dit :
« مُرُوا أَبَا بَكْرٍ فَلْيُصَلِّ باِلنَّاسِ إِمَامًا »
(mourôu ‘Abâ Bakrin, fa l-youSalli bi n-nâci ‘imâmâ )
ce qui signifie : « Donnez l’ordre à Abôu Bakr de diriger les gens dans la prière ».
Abôu Bakr était celui des compagnons qui était le plus tendre et qui avait le cœur le plus ferme. Puis le Guide éminent ressentit une amélioration de son état de santé. Il sortit alors vers la mosquée, soutenu par deux hommes dont l’un des deux était Al-`Abbâs. Les gens le regardaient. Il s’assit sur une des marches du minbar. Ils se rassemblèrent à ses côtés. Il dit, après avoir loué Allâh, L’avoir remercié et Lui avoir demandé le pardon en faveur des gens de Badr et de ‘Ouĥoud :
« أوصي المهاجرين بالأنصار خيرا وأوصي الأنصار بالمهاجرين خيرا »
(‘ousi l-mouhâjirîna bi l-‘anSâri khayran wa ‘ousi l-‘anSâra bi l-mouhâjirîna khayrâ)
ce qui signifie : « Je recommande aux émigrants le bien envers les partisans et je recommande aux partisans le bien envers les émigrants ». Puis il dit :
« إنّ عبدا خيره الله بين زهرة الدنيا وبين ما عنده فاختار ما عند ربه »
(‘inna `abdan khayyarahou l-Lâhou bayna zahrati d-dounyâ wa bayna mâ `indahou fa-khtâra mâ `inda Rabbih ).
ce qui signifie : « Certes, un esclave à qui Allâh a permis de choisir entre la parure du bas monde ou ce qu’Il lui réserve dans l’au-delà, a choisi ce qu’Il lui réserve dans l’au-delà ». C’est alors que Abôu Bakr a dit :
« نفديك بآبائنا وأمهاتنا يا رسول الله »
(nafdîka bi’âbâ’inâ wa oummahâtina yâ Raçôula l-Lâh )
ce qui signifie : « Nous sacrifierions pour toi nos pères et mères ô Messager de Allâh ». AS-Siddiq, que Allâh l’agrée, avait ainsi compris qu’il les informait de son terme imminent. Le Prophète leur dit ensuite :
« بلغني أنكم تخافون من موت نبيكم وهل خَلَدَ نبي قبلي فأَخْلُدَ فيكم ؟ قال الله تعالى : إنك ميت وإنّهم ميتون »
(balaghanî ‘annakoum takhâfôuna min mawti nabiyyikoum wa hal khalada nabiyyoun qabli fa’akhlouda fîkoum ? Qala l-Lâhou ta`âlâ : ‘innaka mayyitoun wa ‘innahoum mayyitôun )
ce qui signifie : « Il m’est parvenu que vous craignez que votre Prophète ne meurt. Est-ce qu’il y a eu un prophète avant moi qui soit resté toujours en vie pour qu’à mon tour je reste toujours en vie avec vous ?! Allâh ta`âlâ dit : « Tu vas certes mourir et eux aussi mourront » [Az-Zoumar / 30] ».
Il retourna ensuite à la maison de `A’ichah, que Allâh l’agrée. La maladie l’éprouva encore davantage. Jibrîl vint à lui et lui dit :
« السلام عليك يا رسول الله إن ربك يقرئك السلام ويسألك عما هو أعلم به منك كيف تجدك ؟ »
(as salâmou `alayka yâ Raçôula l-Lâh ; ‘inna Rabbaka youqri’ouka s-salâma ; yas’alouka `amma houwa ‘a`lamou bihi minka ; kayfa tajidouka )
ce qui signifie : « Le salâm à toi ô Messager de Allâh ; certes ton Seigneur te demande au sujet de ce qu’Il sait plus que toi : Comment vas-tu ? ». Il lui répondit :
« أجدني وجعا يا أمين الله »
(‘ajidounî waji`an yâ ‘âmîna l-Lâh )
ce qui signifie : « J’ai mal, ô toi celui à qui Allâh a confié la tâche de la révélation ».
Il vint le voir le troisième jour et cette fois-ci il était venu accompagné. Il lui dit :
« يَا مُحَمَّدُ إِنَّ رَبَّكَ يُقْرئُكَ السَّلاَمُ وَيَسْأَلُكَ كَيْفَ تَجِدُكَ ؟ »
(Yâ MouHammad, ‘inna Rabbaka youqri’ouka s-salâma wa yaqôulou kayfa tajidouka )
ce qui signifie : « Ô MouHammad, certes ton Seigneur te demande comment tu vas ? ». Il lui répondit :
« أَجِدُنِي وَجِعًا يَا أَمِينَ اللهَ وَمَنْ هَذَا الَّذِي مَعَكَ »
(‘ajidounî waji`an yâ ‘âmîna l-Lâh wa man hâdha l-ladhî ma`ak )
ce qui signifie : « J’ai mal, ô toi celui à qui Allâh a confié la tâche de la révélation et qui est donc celui qui est avec toi ? ». Il lui répondit :
« هذا ملك الموت عزرائيل »
(hadha malakou l-mawti `Azrâ’îl )
ce qui signifie : « C’est l’ange de la mort, `Azrâ’îl ».
`A’ichah, que Allâh l’agrée, a dit :
« رأيت رسول الله صلى الله عليه وسلم وهو يموت وعنده قدح فيه ماء فيدخل يده في القدح ثم يمسح وجهه بالماء ويقول : اللهم أعني على سكرات الموت »
(ra’aytou Raçôula l-Lâhi Salla l-Lâhou `alayhi wa sallam wa houwa yamôutou wa `indahou qadaHoun fihi mâ’oun fayoudkhilou yadahou fi l-qadaHi thoumma yamsaHou wajhahou bi l-mâ’i wa yaqôulou : Allâhoumma ‘a`innî `alâ sakarâti l-mawt )
ce qui signifie : « J’ai vu le Messager de Allâh en train de mourir. Il avait près de lui un récipient rempli d’eau dans lequel il plongeait sa main, il la passait sur son visage en disant : Ô Allâh, aide moi à supporter les douleurs de la mort », `A’ichah a dit :
« فَرَأَيْتُ وَجْهَهُ يَحْمَرُّ وَيَعْرَقُ وَلَمْ أَكُنْ رَأَيْتُ مَيِّتًا قَطُّ »
(fara’aytou wajhahou yaĥmarrou wa ya`raqou wa lam ‘akoun ra’aytou mayyitan qatt )
ce qui signifie : « J’ai vu son visage rougir et transpirer et je n’avais pas vu quelqu’un mourir auparavant ». Le Prophète lui dit :
« أقعديني »
(‘aq`idînî )
ce qui signifie : « Fais-moi asseoir ». `A’ichah a dit : « Je l’ai adossé à moi et j’ai posé ma main sur lui. J’ai embrassé sa tête. J’ai enlevé ma main et j’ai cru qu’il voulait toucher ma tête. Une goutte froide est tombée de sa bouche sur ma poitrine. Il s’est ensuite penché et est retombé sur le lit. Je l’ai recouvert d’un drap. Je n’avais pas vu auparavant de mort.
`Oumar est venu demander l’autorisation d’entrer. Il était accompagné de Al-Moughîrah Ibnou Chou`bah. Je leur ai donné la permission à tous deux. J’ai tiré le rideau. `Oumar m’a dit : `A’ichah, qu’a donc le Messager de Allâh ? Je lui ai dit : Il a perdu connaissance depuis un moment. Il écarta la couverture de son visage et dit : Ô mon tourment. C’est cela le vrai tourment. Il le recouvrit. Al-Moughîrah n’avait pas dit un seul mot. Lorsqu’il arriva au niveau de la porte, Al-Moughîrah dit : le Messager de Allâh est mort. Mais `Oumar lui répondit : tu mens, le Messager de Allâh n’est pas mort. Abôu Bakr est alors arrivé et a dit : Qu’a donc le Messager de Allâh, ô `A’ichah ? J’ai répondu : Il a perdu connaissance depuis un moment. AS-Siddiq a relevé le drap du visage du Messager de Allâh, du visage de son compagnon et de son bien-aimé puis l’a embrassé de ses lèvres entre ses yeux tout en posant ses mains sur ses tempes et en disant : ô toi mon Prophète, toi mon ami, toi mon compagnon. Allâh a dit vrai ainsi que Son Messager :
{ إِنَّكَ مَيِّتٌ وَإِنَّهٌمْ مَيِّتُونَ }
(‘innaka mayyitoun wa ‘innahoum mayyitôun )
ce qui signifie : « Tu vas certes mourir et eux aussi mourront » [Az-Zoumar ‘Ayah 30].
Ainsi, mes frères de foi, le guide éminent est mort. MouHammad fils de `Abdou l-Lâh est mort. Il est mort celui au sujet de qui son Seigneur a dit :
{ وَمَا أَرْسَلْنَاكَ إِلاَّ رَحْمَةً لِّلْعَالمَينَ }
(wa mâ ‘arsalnâka ‘il-lâ raĥmatan li l-`âlamin )
ce qui signifie : « Et Nous ne t’avons envoyé que miséricorde pour les humains et les jinn » [Al-‘Anbiya’ / 107].
Ô Allâh réunis-nous avec lui au paradis ô Toi le Seigneur des mondes, ô Allâh, Toi le plus miséricordieux des miséricordieux, ô Allâh.
الحمد لله رب العالمين
La louange est à Allâh, le Créateur du monde.