Affirmation gratuite et sans fondement.a écrit :Les évangiles peut-être mais dans les synagogues juives, lus par des juifs, les textes étaient en hébreu. Logique non ?
Et là, le YHWH s'y trouvaient.
Ce n'est plus à prouver..
Un jour, dans une synagogue, le Christ s’est levé pour lire un passage du rouleau d’Ésaïe. Nous ne savons pas si ce rouleau contenait le nom divin et sous quelle forme. (Luc 4,16-21). Dans l'affirmative, pouvons affirmer que Jésus a prononcé le nom divin ?
Luc cite (à peu près) d'après la Septante; ce qui nous vaut, par exemple, et malgré le parallélisme (avec les "captifs"), d'avoir des "aveugles" au lieu des "prisonniers" du texte hébreu. A ce point la confiance pourrait vaciller: le récit sur lequel on se fonde pour affirmer que Jésus a lu un texte en hébreu ne suit précisément pas ce texte en hébreu.
Dans le récit de Luc, la réaction immédiate est enthousiaste (v. 22), ce qui laisse à supposer que Jésus n'a pas prononcé le tétragramme, ce qui aurait provoqué un tollé: il faut que Jésus provoque ensuite la controverse sur un tout autre sujet (la préférence accordée aux "païens" en matière de miracles) pour réussir enfin à se faire virer.
Dans le NT , on n'y trouve pas la moindre trace d'une controverse, d'un débat, d'une réflexion, d'une pensée quelconque concernant une pratique effective de prononciation du nom Yhwh en milieu chrétien.