Comme Jean-Paul II, comme Saint Louisprisca a écrit :Le pape François appartient à l'Eglise Catholique à Rome.
Mais de quelle Eglise est le pape François ?
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Le pape actuellement régnant est François, élu le 13 mars 2013, à la suite de la renonciation de Benoît XVI le 28 février de la même année.
Le pape actuellement régnant est François, élu le 13 mars 2013, à la suite de la renonciation de Benoît XVI le 28 février de la même année.
Re: Mais de quelle Eglise est le pape François ?
Ecrit le 25 nov.17, 06:12Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Mais de quelle Eglise est le pape François ?
Ecrit le 02 déc.17, 02:49Pape François : "la branletta cosi, la pédérastie caca"
François, un pape absurde dans ses réformes et de plus en plus impopulaire au sein de l'Église et des fidèles
Beaucoup commencent à se demander si le pape ne serait pas prisonnier de ses propres réformes. Comment ce pape argentin, élu pour réformer l’Eglise et la Curie met-il sa confiance dans des hommes dont la réputation est parfois sulfureuse ? Lui, le pape jésuite, censé savoir discerner, serait-il mal conseillé ? Le pape aurait pu laisser Georges Pell prendre sa retraite à 75 ans, l’an dernier, mais lui a toujours maintenu sa confiance, malgré les accusations déjà anciennes qui pesaient sur lui.
Vatican papers, l'argent roi.,. pour les riches seulement
La polémique qui concerne l’Eglise malienne avec à sa tête l’archevêque de Bamako, accusé de posséder des comptes en Suisse et d’y avoir déposé 12 millions d’euros, n’améliore pas la situation.
Un temps annoncé absent à Rome, Mgr Zerbo a pourtant bien reçu la barrette cardinalice des mains du pape, mais on a senti le Vatican gêné : au dernier moment, Jean Zerbo, qui devait remercier le pape au nom des nouveaux cardinaux a été remplacé par son homologue de Barcelone, comme si on ne souhaitait pas trop le mettre en avant.
Le pape a fermé les yeux malgré tout sur ces accusations, préférant honorer un homme reconnu pour son dialogue avec les autres religions.
Un pape détonnant, ou une soupape fêtée ?
Une chose étonne : François est populaire à l’extérieur et l’est de moins en moins à l’intérieur, derrière les hauts murs du Vatican.
Faites ce que je vous semble, ne dites pas ce que je cautionne
Il prône la tolérance zéro envers les comportements inadmissibles de certains ecclésiastiques et appelle sans cesse à l’exemplarité, mais peine à faire le ménage chez lui.
François au clairon : tata râta tata
Il y a quelques jours, la gendarmerie vaticane a arrêté un haut prélat, le cardinal Pell, lors d’une soirée gay où circulait de la drogue, soirée organisée dans un appartement du Vatican à un jet de pierre de la résidence du pape !
Vati-cancan 2 : un lupanar ?
Le pape semble impuissant à endiguer ce qui a pourtant poussé son successeur à démissionner.
Par ici la sortie, Bergoglio !
François, un pape absurde dans ses réformes et de plus en plus impopulaire au sein de l'Église et des fidèles
Beaucoup commencent à se demander si le pape ne serait pas prisonnier de ses propres réformes. Comment ce pape argentin, élu pour réformer l’Eglise et la Curie met-il sa confiance dans des hommes dont la réputation est parfois sulfureuse ? Lui, le pape jésuite, censé savoir discerner, serait-il mal conseillé ? Le pape aurait pu laisser Georges Pell prendre sa retraite à 75 ans, l’an dernier, mais lui a toujours maintenu sa confiance, malgré les accusations déjà anciennes qui pesaient sur lui.
Vatican papers, l'argent roi.,. pour les riches seulement
La polémique qui concerne l’Eglise malienne avec à sa tête l’archevêque de Bamako, accusé de posséder des comptes en Suisse et d’y avoir déposé 12 millions d’euros, n’améliore pas la situation.
Un temps annoncé absent à Rome, Mgr Zerbo a pourtant bien reçu la barrette cardinalice des mains du pape, mais on a senti le Vatican gêné : au dernier moment, Jean Zerbo, qui devait remercier le pape au nom des nouveaux cardinaux a été remplacé par son homologue de Barcelone, comme si on ne souhaitait pas trop le mettre en avant.
Le pape a fermé les yeux malgré tout sur ces accusations, préférant honorer un homme reconnu pour son dialogue avec les autres religions.
Un pape détonnant, ou une soupape fêtée ?
Une chose étonne : François est populaire à l’extérieur et l’est de moins en moins à l’intérieur, derrière les hauts murs du Vatican.
Faites ce que je vous semble, ne dites pas ce que je cautionne
Il prône la tolérance zéro envers les comportements inadmissibles de certains ecclésiastiques et appelle sans cesse à l’exemplarité, mais peine à faire le ménage chez lui.
François au clairon : tata râta tata
Il y a quelques jours, la gendarmerie vaticane a arrêté un haut prélat, le cardinal Pell, lors d’une soirée gay où circulait de la drogue, soirée organisée dans un appartement du Vatican à un jet de pierre de la résidence du pape !
Vati-cancan 2 : un lupanar ?
Le pape semble impuissant à endiguer ce qui a pourtant poussé son successeur à démissionner.
Par ici la sortie, Bergoglio !
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Re: Mais de quelle Eglise est le pape François ?
Ecrit le 05 déc.17, 09:11La médisance n'est plus un péché ?
Re: Mais de quelle Eglise est le pape François ?
Ecrit le 27 déc.17, 05:35Chère L'hirondelle,
Loin de moi, loin de moi, Seigneur, de blasphémer contre notre Pape.
Je rapporte intra muros ce que des cardinaux m'ont faient l'insigne honneur de me confier des graves problèmes autour de François.
Après la mort, peut-être trop longue dans son calvaire et ces images terribles de St Jean Paul II, le Préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, le cardinal Ratzinger, a fait l'état des lieux, catastrophique de l'Église. Les cardinaux ont pris peur avec raison et nommé finalement le meilleur connaisseur de tous ces problèmes invraissemblables, le pape Benoît XVI (Ratzinger).
Or Benoît XVI a échoué pour remettre l'Église Sainte sur les réalités, et a offert par deux fois sa démission aux cardinaux qui n'ont rien voulu entendre. Alors par surprise il a démissionné devant le peuple.
Et qui maintenant, dans la plus grave crise de l'Histoire de la Sainte Église en 2000, pourrait succéder à St Jean-Paul II et à ce génie universel en théologie dogmatique, Benoît XVI ?
Alors, comme cet argentin bien âgé Bergoglio reposait sa candidature, toujours refusée, ils se sont dits, il est trop vieux (3 mois de différence avecle Dalaï Lama qui a démissionné pour son grand âge), donc il fera transition en attendant ces quelques années, pour nous trouver un grand pape. Bergoglio dit toujours qu'il n'en aura pas pour 5 ans, et il devient de plus en plus tyrannique, incohérent, avec des absences. Il est incapable d'écrire un texte, un livre. Ses "nègres" sont bien connus et François leur fait une confiance aveugle. Alors qui est le pape ?
Avec l'humpur des cardinaux, j'ai crée ce sujet très rare et difficile, sur l'âge trop avancé de ce pape qui sombre. C'est tout.
Fallait-il mentir ? Non, c'est un péché. Le cacher ? Non, c'est un mensonge par omission.
Alors mon directeur de conscience m'a invité aux grâces qui me sont données d'exposer avec humour une catastrophe.
Et tout le monde m'en veut ! Les œcuménistes, les modernistes, la FSSPX, les sédévacantistes, tout le monde ! Trop, pas assez, ol faut les entendre parler de notre pape !
Et je n'en dis pas 1% des propos terribles contre notre pape.
Non, jouer les pudibondes effarouchées par le monstreux Marmhonie, non ! Regardez-vous d'abord, votre poste en l'Église Sainte.
On ne peut que constater l'unicité de ce sujet, copié et recopié, et la non information de la crise interne contre Bergoglio qui ne s'est plus voulu ce pape de transition accepté, mais devenant psycho-rigide, violent, terrorisant et s'accrochant pour le restant de ses jours à la chaire de St Pierre.
On a un gros soucis.
Au lieu, lamentablement, de chasser des catholiques, de banir des islamologues savants en suivant les misères d'âge de notre pape, il serait temps de cesser de sombrer, et d'abord dans le ridicule.
Que Dieu vous vienne en aide.
Loin de moi, loin de moi, Seigneur, de blasphémer contre notre Pape.
Je rapporte intra muros ce que des cardinaux m'ont faient l'insigne honneur de me confier des graves problèmes autour de François.
Après la mort, peut-être trop longue dans son calvaire et ces images terribles de St Jean Paul II, le Préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, le cardinal Ratzinger, a fait l'état des lieux, catastrophique de l'Église. Les cardinaux ont pris peur avec raison et nommé finalement le meilleur connaisseur de tous ces problèmes invraissemblables, le pape Benoît XVI (Ratzinger).
Or Benoît XVI a échoué pour remettre l'Église Sainte sur les réalités, et a offert par deux fois sa démission aux cardinaux qui n'ont rien voulu entendre. Alors par surprise il a démissionné devant le peuple.
Et qui maintenant, dans la plus grave crise de l'Histoire de la Sainte Église en 2000, pourrait succéder à St Jean-Paul II et à ce génie universel en théologie dogmatique, Benoît XVI ?
Alors, comme cet argentin bien âgé Bergoglio reposait sa candidature, toujours refusée, ils se sont dits, il est trop vieux (3 mois de différence avecle Dalaï Lama qui a démissionné pour son grand âge), donc il fera transition en attendant ces quelques années, pour nous trouver un grand pape. Bergoglio dit toujours qu'il n'en aura pas pour 5 ans, et il devient de plus en plus tyrannique, incohérent, avec des absences. Il est incapable d'écrire un texte, un livre. Ses "nègres" sont bien connus et François leur fait une confiance aveugle. Alors qui est le pape ?
Avec l'humpur des cardinaux, j'ai crée ce sujet très rare et difficile, sur l'âge trop avancé de ce pape qui sombre. C'est tout.
Fallait-il mentir ? Non, c'est un péché. Le cacher ? Non, c'est un mensonge par omission.
Alors mon directeur de conscience m'a invité aux grâces qui me sont données d'exposer avec humour une catastrophe.
Et tout le monde m'en veut ! Les œcuménistes, les modernistes, la FSSPX, les sédévacantistes, tout le monde ! Trop, pas assez, ol faut les entendre parler de notre pape !
Et je n'en dis pas 1% des propos terribles contre notre pape.
Non, jouer les pudibondes effarouchées par le monstreux Marmhonie, non ! Regardez-vous d'abord, votre poste en l'Église Sainte.
On ne peut que constater l'unicité de ce sujet, copié et recopié, et la non information de la crise interne contre Bergoglio qui ne s'est plus voulu ce pape de transition accepté, mais devenant psycho-rigide, violent, terrorisant et s'accrochant pour le restant de ses jours à la chaire de St Pierre.
On a un gros soucis.
Au lieu, lamentablement, de chasser des catholiques, de banir des islamologues savants en suivant les misères d'âge de notre pape, il serait temps de cesser de sombrer, et d'abord dans le ridicule.
Que Dieu vous vienne en aide.
Re: Mais de quelle Eglise est le pape François ?
Ecrit le 29 déc.17, 03:00Elle déteste qu'on défende le père Samuel accusé faussement de harcèlement sexuel par des belges musulmans ou islamophilesAu lieu, lamentablement, de chasser des catholiques, de bannir des islamologues savants en suivant les misères d'âge de notre pape, il serait temps de cesser de sombrer, et d'abord dans le ridicule.
Que Dieu vous vienne en aide.
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Mais de quelle Eglise est le pape François ?
Ecrit le 02 janv.18, 03:05Le Pape François le confirme : on ne peut être chrétien et patriote
Publié le 30 décembre 2017 - par Nicolas Kirkitadze
Lors de la traditionnelle homélie de Noël, le pape François a lancé un vibrant appel à ses ouailles pour les inciter à « ouvrir leurs cœurs » aux migrants et à les accueillir. « Joseph et Marie étaient des migrants« , a déclaré le pontife. Ce qui premièrement est faux : lorsque le couple quitte la Judée avec le divin enfant pour aller en Égypte, c’est dans une autre province romaine qu’ils vont et non dans un pays étranger. On devine bien le message que le pontife a voulu faire passer : le Bon Dieu lui-même est un migrant, accueillir un migrant signifie donc accueillir Dieu à travers lui. De quoi faire bondir nos amis tradis comme des cabris. Quoi ? Accueillir l’étranger ? Quelle idée ! Certains accusent même d’hérésie l’héritier de Saint Pierre.
On ne peut reprocher à un peuple son refus d’être submergé, et on ne saurait blâmer ceux qui regardent estomaqués le Saint Père prêcher le métissage généralisé et la dissolution des identités. Or, quand on va dans un restaurant chinois, on s’attend à manger chinois. Si on veut un kebab, on va dans un restaurant turc. Vous me suivez ? A partir du moment où l’on se dit chrétien, on se doit de respecter les principes chrétiens. Si on les rejette, on peut toujours s’orienter vers une autre religion. Il est tout aussi stupide de se dire chrétien et de refuser l’immigration que d’aller commander un kebab dans un restaurant chinois.
Car, loin d’être hérétique, le pape François est l’un des papes les plus chrétiens depuis Saint-Pierre. Voilà un homme qui déteste le luxe, qui visite les détenus et qui nous dit de prier pour nos ennemis, fussent-ils des égorgeurs daechiens. Je ne sais pas vous mais moi, ça m’évoque les sermons d’un certain Jésus de Nazareth. Celui-ci ne disait-il pas : « Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire; j’étais étranger, et vous m’avez recueilli » en Matthieu 25 : 35 ? Et d’ajouter au verset 40 : « Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites… » L’hérésie, c’est dans les éructations des tradis de Civitas ou de l’AF et non dans la bouche du pape François qu’elle se trouve. Ces tradis pratiquants mais peu croyants qui, à grand renfort d’exégèse et de pirouettes théologiques, tentent de subvertir le message évangélique pour en faire un livre nationaliste et identitaire. On leur rappellera ce que dit Jésus à propos de ceux qui essaieraient de falsifier la parole de Dieu : « Il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer. » (Mt. 18 : 6).
En vérité, je vous le dis, on ne peut être chrétien et patriote. Entre la fraternité de foi et la fraternité nationale, il faut choisir. C’est encore plus flagrant dans le catholicisme qui est la version la plus universaliste du christianisme, contrairement à l’orthodoxie où chaque pays a sa propre Église et conserve par conséquent une religion à dimension nationale. Nos amis dextrogyres préféreraient un Urbain II ou un Innocent III comme pape, car « ça a plus de gueule » disent-ils. Certes, le bon vieux temps des moines soldats et des Croisades peut sembler reluisant et héroïque mais n’était-ce pas en totale contradiction avec le message du Christ ? Urbain II et le mal-nommé Innocent III étaient-ils meilleurs chrétiens que François, eux qui ont usé de leur prétendue infaillibilité pour prêcher la guerre et la mort de milliers de gens ?
De plus, il n’y a rien de nouveau dans la bouche du pape François. Benoît XVI et Jean-Paul II ont eux aussi prôné l’ouverture aux étrangers, même si leurs sermons étaient nuancés de formules appelant les étrangers à respecter leur pays d’accueil. « Jean-Paul et Benoit, c’est aussi Vatican II, c’étaient des antipapes« , me rétorqueront les Jean-Catho. Soit. Alors, remontons dans le temps.
Dès les premiers siècles, le christianisme s’est montré soucieux d’universalité. Ainsi, les unions mixtes gréco-romaines ou romano-barbares étaient plus courantes chez les Chrétiens que chez les adeptes de la religion romaine traditionnelle. Entre la fraternité romaine et la fraternité chrétienne, les premiers Chrétiens avaient choisi. C’est grâce (ou à cause…) des minorités ethniques que le christianisme s’est répandu à Rome (par la communauté hébraïque) et en Gaule (par la communauté grecque).
Face aux migrations barbares, la réaction des Pères de l’Église ne fut pas celle que les Jean-Tradi voudraient croire. La quasi-totalité des clercs étaient ravis de voir s’installer dans l’Empire ces peuples qu’ils imaginaient non-civilisés et par conséquent facilement manipulables… euh… christianisables. Le but étant d’affaiblir la majorité païenne de l’Empire. C’est poussé par l’idéal chrétien et par l’insistance du clergé que l’empereur Valens autorisa les Goths à traverser le Danube en 375 et à s’installer sur le territoire romain. Mal lui en prit car ces migrants se révoltèrent et tuèrent l’empereur trois ans plus tard, à la bataille d’Andrinople. Un siècle plus tard, l’Empire Romain n’existerait plus. A ce propos, nous recommandons la lecture de Les invasions barbares : l’Évangile et les Pères face aux migrations de l’historien Philippe Henne qui balaie les préjugés que l’on pourrait avoir sur l’attitude des Docteurs de l’Église face aux flux migratoires. Certains vont déchanter, c’est sûr. Car même le grand Augustin (totem des milieux réacs) passerait aujourd’hui pour un « sal gosho 2 merde » tant ses vues sur l’immigration étaient aux antipodes de national-catholiques du XXIe siècle.
Il est tout aussi drôle de voir les Chrétiens d’aujourd’hui miauler après une « Tradition » (avec un grand « T », je vous prie) qui serait en train d’être détruite par l’islam, la mondialisation ou les franc-maçons unijambistes de Korriban. Eux dont la religion exclusive signa la mort de traditions multimillénaires, eux dont la religion fut une catastrophe pour la science, la philosophie et l’art antiques. Eux qui mirent un point d’honneur à détruire les « idoles » et les temples (tiens, tiens, ça ne vous rappelle rien ?). Eux qui massacrèrent la pauvre Hypatie, parce qu’elle était femme, philosophe et païenne. Saint Martin, patron des militaires et de la France était un Pannonien venu en Gaule à l’âge de quarante ans pour y finir évêque de Tours. « Belle intégration ! » direz-vous. Sauf que son épiscopat a été marqué par une évangélisation agressive des campagnes gauloises où il fit arracher les anciens arbres sacrés et raser la barbe des druides contraints à se faire baptiser comme l’ensemble de la population. Si je voulais être vachard, je dirais que l’Occident chrétien subit aujourd’hui ce qu’il a jadis infligé à l’Europe païenne.
Non, il n’est pas hérétique, le père Fanfan. Il ne fait qu’appliquer ce que lui dit son boss. Et si, comme l’affirme cette pseudo prophétie médiévale, il était le dernier pape ? Peut-être qu’on pourrait enfin passer à autre chose et revenir aux dieux poliades qui firent jadis la grandeur de l’Europe.
Nicolas Kirkitadze
Publié le 30 décembre 2017 - par Nicolas Kirkitadze
Lors de la traditionnelle homélie de Noël, le pape François a lancé un vibrant appel à ses ouailles pour les inciter à « ouvrir leurs cœurs » aux migrants et à les accueillir. « Joseph et Marie étaient des migrants« , a déclaré le pontife. Ce qui premièrement est faux : lorsque le couple quitte la Judée avec le divin enfant pour aller en Égypte, c’est dans une autre province romaine qu’ils vont et non dans un pays étranger. On devine bien le message que le pontife a voulu faire passer : le Bon Dieu lui-même est un migrant, accueillir un migrant signifie donc accueillir Dieu à travers lui. De quoi faire bondir nos amis tradis comme des cabris. Quoi ? Accueillir l’étranger ? Quelle idée ! Certains accusent même d’hérésie l’héritier de Saint Pierre.
On ne peut reprocher à un peuple son refus d’être submergé, et on ne saurait blâmer ceux qui regardent estomaqués le Saint Père prêcher le métissage généralisé et la dissolution des identités. Or, quand on va dans un restaurant chinois, on s’attend à manger chinois. Si on veut un kebab, on va dans un restaurant turc. Vous me suivez ? A partir du moment où l’on se dit chrétien, on se doit de respecter les principes chrétiens. Si on les rejette, on peut toujours s’orienter vers une autre religion. Il est tout aussi stupide de se dire chrétien et de refuser l’immigration que d’aller commander un kebab dans un restaurant chinois.
Car, loin d’être hérétique, le pape François est l’un des papes les plus chrétiens depuis Saint-Pierre. Voilà un homme qui déteste le luxe, qui visite les détenus et qui nous dit de prier pour nos ennemis, fussent-ils des égorgeurs daechiens. Je ne sais pas vous mais moi, ça m’évoque les sermons d’un certain Jésus de Nazareth. Celui-ci ne disait-il pas : « Car j’ai eu faim, et vous m’avez donné à manger; j’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire; j’étais étranger, et vous m’avez recueilli » en Matthieu 25 : 35 ? Et d’ajouter au verset 40 : « Je vous le dis en vérité, toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites… » L’hérésie, c’est dans les éructations des tradis de Civitas ou de l’AF et non dans la bouche du pape François qu’elle se trouve. Ces tradis pratiquants mais peu croyants qui, à grand renfort d’exégèse et de pirouettes théologiques, tentent de subvertir le message évangélique pour en faire un livre nationaliste et identitaire. On leur rappellera ce que dit Jésus à propos de ceux qui essaieraient de falsifier la parole de Dieu : « Il vaudrait mieux pour lui qu’on suspendît à son cou une meule de moulin, et qu’on le jetât au fond de la mer. » (Mt. 18 : 6).
En vérité, je vous le dis, on ne peut être chrétien et patriote. Entre la fraternité de foi et la fraternité nationale, il faut choisir. C’est encore plus flagrant dans le catholicisme qui est la version la plus universaliste du christianisme, contrairement à l’orthodoxie où chaque pays a sa propre Église et conserve par conséquent une religion à dimension nationale. Nos amis dextrogyres préféreraient un Urbain II ou un Innocent III comme pape, car « ça a plus de gueule » disent-ils. Certes, le bon vieux temps des moines soldats et des Croisades peut sembler reluisant et héroïque mais n’était-ce pas en totale contradiction avec le message du Christ ? Urbain II et le mal-nommé Innocent III étaient-ils meilleurs chrétiens que François, eux qui ont usé de leur prétendue infaillibilité pour prêcher la guerre et la mort de milliers de gens ?
De plus, il n’y a rien de nouveau dans la bouche du pape François. Benoît XVI et Jean-Paul II ont eux aussi prôné l’ouverture aux étrangers, même si leurs sermons étaient nuancés de formules appelant les étrangers à respecter leur pays d’accueil. « Jean-Paul et Benoit, c’est aussi Vatican II, c’étaient des antipapes« , me rétorqueront les Jean-Catho. Soit. Alors, remontons dans le temps.
Dès les premiers siècles, le christianisme s’est montré soucieux d’universalité. Ainsi, les unions mixtes gréco-romaines ou romano-barbares étaient plus courantes chez les Chrétiens que chez les adeptes de la religion romaine traditionnelle. Entre la fraternité romaine et la fraternité chrétienne, les premiers Chrétiens avaient choisi. C’est grâce (ou à cause…) des minorités ethniques que le christianisme s’est répandu à Rome (par la communauté hébraïque) et en Gaule (par la communauté grecque).
Face aux migrations barbares, la réaction des Pères de l’Église ne fut pas celle que les Jean-Tradi voudraient croire. La quasi-totalité des clercs étaient ravis de voir s’installer dans l’Empire ces peuples qu’ils imaginaient non-civilisés et par conséquent facilement manipulables… euh… christianisables. Le but étant d’affaiblir la majorité païenne de l’Empire. C’est poussé par l’idéal chrétien et par l’insistance du clergé que l’empereur Valens autorisa les Goths à traverser le Danube en 375 et à s’installer sur le territoire romain. Mal lui en prit car ces migrants se révoltèrent et tuèrent l’empereur trois ans plus tard, à la bataille d’Andrinople. Un siècle plus tard, l’Empire Romain n’existerait plus. A ce propos, nous recommandons la lecture de Les invasions barbares : l’Évangile et les Pères face aux migrations de l’historien Philippe Henne qui balaie les préjugés que l’on pourrait avoir sur l’attitude des Docteurs de l’Église face aux flux migratoires. Certains vont déchanter, c’est sûr. Car même le grand Augustin (totem des milieux réacs) passerait aujourd’hui pour un « sal gosho 2 merde » tant ses vues sur l’immigration étaient aux antipodes de national-catholiques du XXIe siècle.
Il est tout aussi drôle de voir les Chrétiens d’aujourd’hui miauler après une « Tradition » (avec un grand « T », je vous prie) qui serait en train d’être détruite par l’islam, la mondialisation ou les franc-maçons unijambistes de Korriban. Eux dont la religion exclusive signa la mort de traditions multimillénaires, eux dont la religion fut une catastrophe pour la science, la philosophie et l’art antiques. Eux qui mirent un point d’honneur à détruire les « idoles » et les temples (tiens, tiens, ça ne vous rappelle rien ?). Eux qui massacrèrent la pauvre Hypatie, parce qu’elle était femme, philosophe et païenne. Saint Martin, patron des militaires et de la France était un Pannonien venu en Gaule à l’âge de quarante ans pour y finir évêque de Tours. « Belle intégration ! » direz-vous. Sauf que son épiscopat a été marqué par une évangélisation agressive des campagnes gauloises où il fit arracher les anciens arbres sacrés et raser la barbe des druides contraints à se faire baptiser comme l’ensemble de la population. Si je voulais être vachard, je dirais que l’Occident chrétien subit aujourd’hui ce qu’il a jadis infligé à l’Europe païenne.
Non, il n’est pas hérétique, le père Fanfan. Il ne fait qu’appliquer ce que lui dit son boss. Et si, comme l’affirme cette pseudo prophétie médiévale, il était le dernier pape ? Peut-être qu’on pourrait enfin passer à autre chose et revenir aux dieux poliades qui firent jadis la grandeur de l’Europe.
Nicolas Kirkitadze
Le premier forum tunisien qui a inspiré les forums de religion Recherche "les religions font peu de bien et beaucoup de mal" Voltaire
Re: Mais de quelle Eglise est le pape François ?
Ecrit le 18 oct.18, 20:37Que devient notre pape ?
Monsieur l’abbé Pierpaolo Petrucci, vous êtes depuis le 6 août dernier Prieur-doyen du Prieuré Sainte-Geneviève de Paris et donc curé de l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet que d’aucuns appellent le « phare de la Tradition ».
Que pensez-vous des prises de position du Pape François ? Croyez-vous, comme certains le disent, qu’il est en permanence dans le paradoxe ou, qu’en fin jésuite, il a un plan bien arrêté pour tout bouleverser dans l’Eglise ?
Il me semble que la façon d’agir du Pape est entièrement conforme à sa formation et s’inscrit, avec les particularités de sa personnalité, dans la droite ligne des principes déjà présents dans le concile Vatican II et appliqués par les papes ces dernières années. Ce n’est que le fruit le plus mûr de cet arbre mauvais.
Il ne faut pas oublier que le Pape Benoit XVI, à qui beaucoup font référence aujourd’hui en réaction au pontife actuel, a toujours été lui aussi, malgré sa sympathie pour la liturgie traditionnelle, fortement engagé dans l’œcuménisme, comme avant lui Paul VI et Jean Paul II. Il faut absolument détruire le germe de ce virus inoculé à l’Église, résumé par la trilogie révolutionnaire : œcuménisme, liberté religieuse, collégialité épiscopale, synonymes de Liberté, Egalité, Fraternité. Un retour à un pontificat plus conservateur, qui ferait bloc autour de ces mauvais principes, ne pourrait que canaliser les réactions légitimes dans le processus révolutionnaire — et donc les neutraliser.
La Révolution, quant à elle, continuerait à avancer selon sa technique bien connue du pas Tango argentin : deux pas en avant et un pas en arrière.
Peut-on dire que ce Pape nous oblige, dans la Tradition en général et dans la Fraternité en particulier, à plus de rigueur doctrinale et qu’il nous pousse, malgré ou grâce à lui, à nous maintenir plus que jamais sur la ligne de crête ?
Je crois que la situation extraordinaire que l’Église vit aujourd’hui nous oblige premièrement à approfondir constamment la bonne doctrine pour fournir des réponses théologiques conformes à la Tradition, sans tomber toutefois dans des excès dictés par la passion. Cette étude doit ensuite nous porter à donner un enseignement clair et argumenté, à transmettre la foi mais aussi à nous opposer franchement, constamment et publiquement aux erreurs enseignées par les autorités romaines, qui causent de graves scandales parmi les fidèles. Je suis persuadé que c’est le plus grand service qu’on puisse rendre à l’Eglise.
Source catholique
Monsieur l’abbé Pierpaolo Petrucci, vous êtes depuis le 6 août dernier Prieur-doyen du Prieuré Sainte-Geneviève de Paris et donc curé de l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet que d’aucuns appellent le « phare de la Tradition ».
Que pensez-vous des prises de position du Pape François ? Croyez-vous, comme certains le disent, qu’il est en permanence dans le paradoxe ou, qu’en fin jésuite, il a un plan bien arrêté pour tout bouleverser dans l’Eglise ?
Il me semble que la façon d’agir du Pape est entièrement conforme à sa formation et s’inscrit, avec les particularités de sa personnalité, dans la droite ligne des principes déjà présents dans le concile Vatican II et appliqués par les papes ces dernières années. Ce n’est que le fruit le plus mûr de cet arbre mauvais.
Il ne faut pas oublier que le Pape Benoit XVI, à qui beaucoup font référence aujourd’hui en réaction au pontife actuel, a toujours été lui aussi, malgré sa sympathie pour la liturgie traditionnelle, fortement engagé dans l’œcuménisme, comme avant lui Paul VI et Jean Paul II. Il faut absolument détruire le germe de ce virus inoculé à l’Église, résumé par la trilogie révolutionnaire : œcuménisme, liberté religieuse, collégialité épiscopale, synonymes de Liberté, Egalité, Fraternité. Un retour à un pontificat plus conservateur, qui ferait bloc autour de ces mauvais principes, ne pourrait que canaliser les réactions légitimes dans le processus révolutionnaire — et donc les neutraliser.
La Révolution, quant à elle, continuerait à avancer selon sa technique bien connue du pas Tango argentin : deux pas en avant et un pas en arrière.
Peut-on dire que ce Pape nous oblige, dans la Tradition en général et dans la Fraternité en particulier, à plus de rigueur doctrinale et qu’il nous pousse, malgré ou grâce à lui, à nous maintenir plus que jamais sur la ligne de crête ?
Je crois que la situation extraordinaire que l’Église vit aujourd’hui nous oblige premièrement à approfondir constamment la bonne doctrine pour fournir des réponses théologiques conformes à la Tradition, sans tomber toutefois dans des excès dictés par la passion. Cette étude doit ensuite nous porter à donner un enseignement clair et argumenté, à transmettre la foi mais aussi à nous opposer franchement, constamment et publiquement aux erreurs enseignées par les autorités romaines, qui causent de graves scandales parmi les fidèles. Je suis persuadé que c’est le plus grand service qu’on puisse rendre à l’Eglise.
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Re: Mais de quelle Eglise est le pape François ?
Ecrit le 18 août19, 06:00Marmhonie a écrit : ↑18 oct.18, 20:37 Que devient notre pape ?
Il me semble que la façon d’agir du Pape est entièrement conforme à sa formation et s’inscrit, avec les particularités "DE SA PERSONNALITÉ dans la droite ligne des principes déjà présents dans le concile Vatican II et appliqués par les papes ces dernières années. Ce n’est que le fruit des levres
Pourquoi autant de HAINE envers les gens de VOTRE PROPRE RELIGIONS???
Qu'est ce quelle a sa PERSONNALITÉ?
Re: Mais de quelle Eglise est le pape François ?
Ecrit le 18 août19, 06:13Si on applique la logique, le pape devrait être le plus pieux et le plus intelligent de toute la Curie non seulement parce qu'ils l'ont choisi mais parce que s'ils l'ont choisi c'est qu'il règne et un régnant est au dessus de ses sujets par une foi plus forte que les autres.
C'est dans la logique catholique, pas dans la logique chrétienne puisque la Bible ne demande pas de pape, de plus "pape" voulant dire "père" Dieu ne veut pas doublement d'un pape puisque nous connaissons tous le versets disant qu'il n'y a que Dieu qu'il faut appeler Père.
Mais le pape qui est donc intelligent est donc un filou puisque le pape a osé dire que Jésus, par sa crufixion a échoué devant des hommes se révélant plus forts car pour le pape la Crucifixion est signe de faiblesse devant la méchanceté des hommes.
De plus de plus, conscient que le monde est pervers, le pape ose dire que puisque Jésus a échoué devant les méchants alors que Jésus est le Maitre, comment les disciples dont fait partie le pape pourrait réussir là où le Maitre a échoué.
Quelle mauvaise foi, c'est cacher son propre échec en prenant comme coupable Jésus même.
C'est vraiment déplorable Marmhonnie a raison, cet homme est le diable.
C'est dans la logique catholique, pas dans la logique chrétienne puisque la Bible ne demande pas de pape, de plus "pape" voulant dire "père" Dieu ne veut pas doublement d'un pape puisque nous connaissons tous le versets disant qu'il n'y a que Dieu qu'il faut appeler Père.
Mais le pape qui est donc intelligent est donc un filou puisque le pape a osé dire que Jésus, par sa crufixion a échoué devant des hommes se révélant plus forts car pour le pape la Crucifixion est signe de faiblesse devant la méchanceté des hommes.
De plus de plus, conscient que le monde est pervers, le pape ose dire que puisque Jésus a échoué devant les méchants alors que Jésus est le Maitre, comment les disciples dont fait partie le pape pourrait réussir là où le Maitre a échoué.
Quelle mauvaise foi, c'est cacher son propre échec en prenant comme coupable Jésus même.
C'est vraiment déplorable Marmhonnie a raison, cet homme est le diable.
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
Re: Mais de quelle Eglise est le pape François ?
Ecrit le 05 nov.20, 08:04Quand j'ai créé ce sujet en 2016, j'ai reçu des MP de haine effrayants. Derrière de gentils pseudos se cache une haine épouvantable. J'ai fini par en avoir assez & j'ai créé mon propre forum sans modérateur ni censure ni contingent, pour avoir la paix.
Le sujet ne jette pas la pierre au pontife actuel, nullement. Il interroge sur l'étrange personnalité du cardinal argentin Bergoglio, notamment sous le régime fasciste argentin des colonels. Les documents historiques étaient vraiment inquiétants pour ce nouveau pape qui nous était proposé. Sa foi en elle-même est troublante.
En quoi, en ayant démontré cela, ai-je mal agi ? J'ai juste fait preuve d'historiques avérés.
Aujourd'hui, quatre ans plus tard, les catholiques œcuménistes eux-mêmes, se désolent de ce pape. Il est paru un livre "Le pape dictateur" qui est un best seller historique. Les messages continuent ailleurs d'alimenter les catastrophes qu'accumulent François. La dernière en date est sa condamnation de l'Europe qui avait peur dans l'immigration musulmane, de terroristes cachés. Hier encore, Eliya (un inscrit) a exposé un fait grave : "Le terroriste de Nice est un migrant tunisien entré illégalement en France via Lampedusa." En appuyant le silence du pape lors de la Toussaint, fait inouï dans l'Eglise Catholique romaine, "le pape argentin a fait de l’île italienne de Lampedusa, point important d’entrée en Europe de nombreux migrants venus d’Afrique du Nord, le lieu symbolique de son message en faveur de l’accueil inconditionnel de tous les migrants."
Pourquoi aucun message du pape lors de cette Toussaint en plein covid-19 ? Pourquoi ce pape n'a pas constaté son erreur politique en faveur de l'islamisme non contrôlé ?
Les questions ne sont jamais mauvaises. Quelle est la foi de François ?
Le sujet ne jette pas la pierre au pontife actuel, nullement. Il interroge sur l'étrange personnalité du cardinal argentin Bergoglio, notamment sous le régime fasciste argentin des colonels. Les documents historiques étaient vraiment inquiétants pour ce nouveau pape qui nous était proposé. Sa foi en elle-même est troublante.
En quoi, en ayant démontré cela, ai-je mal agi ? J'ai juste fait preuve d'historiques avérés.
Aujourd'hui, quatre ans plus tard, les catholiques œcuménistes eux-mêmes, se désolent de ce pape. Il est paru un livre "Le pape dictateur" qui est un best seller historique. Les messages continuent ailleurs d'alimenter les catastrophes qu'accumulent François. La dernière en date est sa condamnation de l'Europe qui avait peur dans l'immigration musulmane, de terroristes cachés. Hier encore, Eliya (un inscrit) a exposé un fait grave : "Le terroriste de Nice est un migrant tunisien entré illégalement en France via Lampedusa." En appuyant le silence du pape lors de la Toussaint, fait inouï dans l'Eglise Catholique romaine, "le pape argentin a fait de l’île italienne de Lampedusa, point important d’entrée en Europe de nombreux migrants venus d’Afrique du Nord, le lieu symbolique de son message en faveur de l’accueil inconditionnel de tous les migrants."
Pourquoi aucun message du pape lors de cette Toussaint en plein covid-19 ? Pourquoi ce pape n'a pas constaté son erreur politique en faveur de l'islamisme non contrôlé ?
Les questions ne sont jamais mauvaises. Quelle est la foi de François ?
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