a écrit :Cependant, les nations n'ont pas disparu entièrement, seuls ceux qui se battaient avec leurs rois ont été jetés dans le lac de feu. •Et j’ai vu descendre du ciel un ange tenant à la main la clé de l’abîme et une grande chaîne. 2 Il a saisi le dragon, le serpent originel, qui est le Diable et Satan, et il l’a enchaîné pour 1 000 ans. 3 Et il l’a jeté dans l’abîme, qu’il a fermé et scellé au-dessus de lui, afin qu’il n’égare plus les nations jusqu’à la fin des 1 000 ans. Après cela, il doit être libéré pour un peu de temps.
Vous inventez ENCORE un récit qui n'existe pas. Quand vous lisez le chapitre 19, ou trouvez vous un texte qui indique qu'il y aurait eu des "survivants" parmi les "nations" qui ont subi la destruction :
"De sa bouche sort une épée acérée avec laquelle il doit frapper
les nations ; c'est lui qui les fera paître avec un sceptre de fer ; c'est lui qui foule la cuve du vin de la colère ardente de Dieu, le Tout-Puissant. Il a sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs. Je vis un ange debout dans le soleil. Il cria à tous les oiseaux qui volaient au milieu du ciel : Venez, rassemblez-vous pour le grand dîner de Dieu, afin
de manger les chairs des rois, les chairs des chefs militaires, les chairs des puissants, les chairs des chevaux et de ceux qui les montent, les chairs de tous, hommes libres et esclaves, petits et grands" (19,15-18).
Le récit du chapitre 19 souligne une destruction totale des "nations" ("
les chairs de tous, hommes libres et esclaves, petits et grands"), ainsi il y a un "hiatus" dans le récit (Coupure, discontinuité, interruption) qui fait réapparaitre, sans explication ces "nations" au chapitre 20.
a écrit :On peut aussi raisonner sur l'appellation "camps des saints" qui ne signifie pas forcément qu'ils s'agissait d'un camps contenant des saints, lesquels sont plutôt dans la ville, mais possiblement un camps dirigé par les saints puisque n'oublions pas qu'ils sont les rois de la terre à ce moment là.
Quelle imagination débordante ... Vous faites dire au texte ce qu'il ne dit pas, vous inventez et vous réécrivez le texte. Les Saints ne sont pas rois de la terre mais SUR la terre. Les "âmes" des fidèles martyrs étaient au ciel sous l'autel (6,9ss) en attende de la résurrection SUR la terre. Arriverez-vous un jour à respecter le texte biblique sans le dénaturer
a écrit :Attention à ne pas nous laisser non plus tromper par l'expression " comme le sable de la mer ".
Le texte ne se contente pas de cette formule, il indique clairement que LES NATIONS se sont rassemblées pour la guerre, le texte ne fait pas d'exception, toutes les "nations" sont rassemblées ... Sauf à réécrire et dénaturer le texte. ("il sortira pour égarer
les nations qui sont aux quatre coins de la terre, Gog et Magog, afin de les rassembler pour la guerre" - 20,8).
a écrit :La meilleure des preuves se trouve en Rév 21 et 22.
Et les nations marcheront guidées par sa lumière, et les rois de la terre y apporteront leur gloire.
RIDICULE ... Dans l'Apocalypse la formule "les rois de la terre" n'a JAMAIS désignée les élus mais TOUJOURS les rois opposés à Dieu ("
Je vis la bête, les rois de la terre et leurs armées, rassemblés pour faire la guerre à celui qui monte le cheval et à son armée" - 19,19 ; "
La femme que tu as vue, c'est la grande ville qui a la royauté sur les rois de la terre" - 17,18 ; "
les rois de toute la terre habitée afin de les rassembler pour la guerre du grand jour de Dieu" - 16,14 ...).
Vous INVENTEZ des significations qui trahissent le texte. Dans le chapitre 20, les mille ans se déroulent dans l'ancienne terre qui disparait au v 11. Le chapitre 21 décrit ce qui se passe dans la nouvelle terre. Entre les deux mondes, il y a la résurrection générale (les autres morts) qui ramène à la vie les "nations" et les rois de la terre.
En résumé, vous mélangez tout, vous ne respectez pas le sens des mots de l'Apocalypse, vous inventez des récits absents du texte, vous ne respectez pas la chronologie des évènements et vous passez sous silence certains textes ... Un vrai travail d'apologiste.