relis moi attentivement STP, si tu connaissais la religion Égyptienne de l'époque tu aurais vu , que cette religion était un panthéon de dieu , dont l'un a été elevé au dessus des autres . C'est akhénaton qui est passé à la vitesse supérieure en eliminant les autres dieu, au profit d'un seul .a écrit :"Energie vitale!" a dit
Dan 26, en haut, tu parles d'hénothéisme et plus bas, tu affirmes qu'Akhénaton a imaginé en 1400 avant Jésus Christ la notion de Dieu unique.
Je crois que tu sais qu'Akhenaton était de fait hénothéiste et non strictement monothéiste!
Erreur monumentale les juifs avant la 1er déportation étaient polythéistes , confirmés par des découvertes archéologiques .a écrit :Les juifs, descendant des hébreux ayant fuit l'esclavage d'Egypte, étaient strictement monothéiste.
Il faut faire le distingo entre les anciens mythes de l'histoire de la religiona écrit :Les autres divinités que la leur étaient considérée comme des idoles à rejeter. De plus, on situe Abraham, le père de la foi monothéiste, en 1800 avant Jésus Christ, donc, bien avant Akhenaton!
pour preuve : Historicité d'Abraham
Le livre de la Bible dans lequel l'histoire d'Abraham est racontée a vraisemblablement été rédigé entre les VIIe et Ve siècles av. J.-C., combinant des récits de provenances diverses réunies par plusieurs rédacteurs61. Cela semble traduire une origine tardive par rapport à d'autres figures patriarcales plus anciennes comme celle de Jacob72.
Si la question de l’historicité du personnage biblique Abraham a fait, au cours du XXe siècle, l’objet d’un important travail scientifique par les archéologues, au début du XXIe siècle, les chercheurs ont depuis longtemps73 renoncé à tenter de faire de la figure d'Abraham74 — pas plus que de celles d'Isaac ou de Jacob — un personnage historique75 et la « quête d'un Abraham historique », propre à l'archéologie biblique, a été abandonnée76.
Néanmoins, jusque dans les années 1980, les biblistes tels que Roland de Vaux77 défendaient l'historicité de l'époque patriarcale (en) même s'ils n’étaient pas d’accord sur l’époque précise, proposant des dates entre 2000 et 1300 avant notre ère. Ils se fondaient sur quatre arguments traditionnels infondés : « les histoires des Patriarches seraient le reflet des grandes migrations amorrites du début du deuxième millénaire ; les coutumes et les modes de vie des Patriarches s’expliqueraient dans le contexte socio-historique attesté par des documents de l’époque du Bronze moyen ou récent78 ; les noms divins et les concepts religieux de Gn 12-50 garderaient les traces d’une religion pré-yahwiste ; les noms des Patriarches sont attestés au deuxième millénaire »71.
L’existence d’archives extraordinairement abondantes (tablettes d’argile) a permis de conclure depuis que le nom « Abraham » se retrouve à différentes époques et en différents lieux de Mésopotamie, sans qu’aucune utilisation particulière à Ur puisse être notée79. De plus, les migrations en Mésopotamie sont désormais assez bien connues80 et il n'existe aucune trace archéologique d'une quelconque migration entre la Mésopotamie et Canaan ou qu'une figure historique comme Abraham ait pu exister à l'Âge du bronze76. Les archéologues constatent également que la géographie de la Palestine à l'époque supposée d'Abraham ne correspond pas au récit biblique (la ville de Beer Sheva ou le nom d'Ur-Casdim n'existaient par exemple pas au XIXe siècle av. J.-C.) : la Terre Promise du récit biblique ne saurait se trouver sur aucune carte dans la mesure où elle est à comprendre comme un lieu symbolique et non géographique76.
La conclusion des études scientifiques81 est ainsi la non-historicité d’Abraham qui n'en demeure pas moins un personnage biblique82 : la Bible propose, en effet, une lecture théologique de l'histoire, aussi est-il probable que l'auteur sacerdotal des récits d'Abraham ait donné une origine mésopotamienne au patriarche pour en faire un modèle pour le retour d'exil de la Golah (en) babylonienne, qu'il ait décrit sa transmigration en guise de reconstruction identitaire du passé juif et qu'un autre auteur biblique ait élaboré une rédaction universaliste dont le but théologique est de faire entendre la voix du « Patriarche de tous les hommes », visionnaire d'une humanité réconciliée. La légende abrahamique n'est donc pas purement hagiographique et mythique, elle a un caractère patriotique et universaliste, ce qui n'exclut pas la possibilité que cette figure légendaire et que les traditions abrahamiques gardent des « traces de mémoire » de constellations socio-historiques du deuxième et premier millénaire avant notre ère83,84. La question de l'existence d'un personnage réel derrière ces légendes reste ainsi sans réponse85.
non désolé le récit de babel est un emprunt (encore un), aux anciens cultes babylonniensa écrit :Les récit de babel et du déluge sont encore plus ancien et parle déjà du Dieu un (Yahvé dans la bible de Jérusalem, CELUI QUI EST)! A réfléchir donc!
amicalement