dan26 a écrit : ↑07 janv.21, 05:08
simple voir la TMN qui est la seule bible à utiliser le bon mot "pendu au bois "
Donnez une illustration ou décrivez "pendu au bois" pour qu'on comprenne bien ce que vous imaginez.
a écrit :Pour la 1000000000 fois , le mot crucifier n'existait pas à l'époque de JC ni en grec ni en hébreux .
En le supposant cela ne change rien au supplice. Il existait par contre en latin.
Si vous ne croyez pas à la mort par supplice de Jésus, il ne faut pas discuter sur le terme même du supplice sur une croix ou pas qu'elle soit en T ou pas et me suggérer que la bonne traduction est celle de la TMN qui elle admet
la mort de Jésus cloué sur un poteau vertical malgré sa traduction qui ne donne pas "crucifixion".
a écrit :
Je me repete au regard des élements que je t'ai donnés , (en, espérant que tu les ais lus) , prouvent que la crucifixion telle que pas décrite dans les évangiles , mais que l'on retrouve dans l'art chrétien , n'existait pas à l'époque , pour les nombreuses raisons que je t'ai données .
Je vous renvoie à la traduction de la TMN..
Le supplice d'un homme attaché ou fixé à un bois ou a un arbre a traversé les siècles et on trouve sa trace chez Hérodote (voir message précédent).
Il a évolué au fil du temps et s'est "modernisé" avec 2 poutres..
a écrit :tu oublies le principal quant il parle des chrétiens il fait mention "d'une exécrable superstition " il faut le savoir
Quel est lien avec "aut crucibus adfixi" ? Aucun.
La croyance païenne romaine de Tacite conforte au contraire dans sa description péjorative et moqueuse qu'il avait des chrétiens.
a écrit :
où vois tu des clous
De quoi parlez- vous ?
a écrit :, et où etait mis le titulus décrit dans les évangiles
Exposez votre hypothèse et les contradictions.
a écrit :pour moi toute cette histoire est une invention écrite sur 4 siècles , mais c'est un autre sujet
J'ai bien compris
a écrit :
je ne comprends pas ta question désolé . On n'a jamais parlés de poteau , mais de patibulum à savoir une poutre verticale qui viendrait se poser sur un pieu.
Le patibulum désigne une poutre horizontale.
La question s'adressait à vic qui semblait admettre un supplice.
Je posais donc la question : si elle admet un supplice, qu'elle le décrive ou l'illustre (comme vous), et dans ce cas, quel problème pose le suaire ?
a écrit : Et oui car tardivement les chrétiens scientifiques se sont rendus compte qu'il était totalement impossible à un homme seul de porter une croix capable d’être plantée dans le sol pouvant supporter le poids d'un homme . La croix étant évaluée à plus de 150 KG .
Jésus a porté la poutre transversale (patibulum) qui a ensuite été fixé sur la poutre verticale.
Ce supplice était écrit en grec par σ
ταυρός.
Tau..
Que pouvait bien décrire les évangiles en conjuguant σ
ταυρός..
Je fais la remarque une troisième fois : illustrez σταυρός sans prononcer le mot ô combien tabou de
croix ou
forme en croix ou
crucifixion ou
crucifiement..
Je suppose également que les graffitis des catacombes romaines
(1) (2) (3) (4) du 2ème siècle sont le début de l'immense supercherie.
Idem pour le
staurogramme
Je suppose que Tertullien n'est pas non plus une référence neutre :
Ipsa est enim littera Graecorum Tau, nostra autem T, species crucis
Et tout le monde ignore ce que j'ai écrit sur le suaire et son prétendu faussaire du moyen âge :
Le faussaire a également pris soin de :
- prendre le sang d'un supplicié qui est resté rouge et n'a pas tourné au marron avec le temps à cause de la bilirubine (marque d'un stress et d'une souffrance extrême)
- mettre des marques de flagellations correspondant au fouet utilisé à l'époque romaine (2 bouts/billes de métal) orientées dans 2 sens sur le corps (2 soldats romains qui se trouvaient opposés l'un de l'autre)
- ne pas représenter les pouces signe de leur rétractation lors de l'enfoncement des clous dans le poignet
- d'inventer un "procédé inconnu" qui n'aura servi qu'une seule fois
- déposer du pollen de la palestine qui ne se trouve qu'à proximité de Jérusalem au moment de la pâque des juifs
- déposer de la poussière/des cristaux d'aragonite, une pierre calcaire de Jérusalem au niveau du nez, des pieds et d'un genou du corps du linceul
- laisser des traces de sueur et de sérum mais il n'y a aucune trace de putréfaction ni de tissu organique qui vient en général après 30 heures de décès
- mettre du sang du groupe AB, le même que l'on retrouve sur la tunique d'Oviedo et la tunique d'Argenteuil
- de faire en sorte que l'image du linge soit orthogonale, c'est-à-dire pour qu'au 20ème siècle on puisse en produire une image informatique tri-dimensionnelle uniquement à partir du linge (c'est-à-dire que le faussaire a procédé à une oxydation graduée sur une épaisseur de 40 microns sur 0,3 millimètre, épaisseur du linge)
- de n'utiliser aucun pigment ou peinture ou collagène