L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
- agecanonix
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 16435
- Enregistré le : 25 déc.09, 10:55
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 13 févr.21, 05:59Retour au sujet
Si nous suivons la chronologie de la théorie évolutionniste, l'homme moderne, dit homo sapiens, existe depuis au moins 200 000 années.
Auparavant, un homme un peu moins "sapiens" l'aurait précédé. Cependant, son niveau d'intelligence n'en faisait pas un "handicapé " par rapport à l'homme moderne.
En effet, l'évolution humaine ne peut pas se passer d'une montée en capacité très lente de l'intelligence des primates qui aurait abouti à l'homo-sapiens que nous sommes.
Or, je suis persuadé que si nous mettions dans un endroit très isolé de notre planète des humains absolument ignorants de toutes les avancées technologiques que nous avons accumulées, de toutes les sciences que nous avons appliquées, avec des cerveaux absolument vierges de toute expérience à quelque niveau que ce soit, il ne faudrait pas 200000 années pour qu'ils découvrent la roue, l'écriture, la lance, la flèche et toutes ces premières découvertes .
Et la raison est tout simplement qu'un cerveau de ce niveau ne peut pas stagner aussi longtemps sans découvrir des choses.
Or, la théorie évolutionniste prétend que l'homo-sapiens mettra 200 000 années pour découvrir la roue !! Et qu'à partir de là, il lui faudra 6000 années seulement pour marcher sur Mars.
C'est nous affirmer qu'il serait normal qu'une Ferrari roule 200 000 kms à 20 km/h avant que son pilote n'ait l'idée qu'il pourrait rouler plus vite.
Le cerveau humain est une machine absolument parfaite pour inventer les choses, pour découvrir , pour améliorer la vie. L'homo-sapiens d'il y a 200 000 ans aurait obtenu sa maîtrise de mathématiques aussi facilement qu'un de nos enfants s'ils avaient été mis dans les mêmes conditions.
Et on veut nous faire croire que cette machine extraordinaire, ce prodige de complexité qui nous emmène vers les étoiles, aurait disjoncté 200 000 années avant de découvrir la roue ?
Le cerveau humain est trop sophistiqué, trop inventif, trop adapté à l'innovation, c'est une machine à inventer absolument incontrôlable qui ne peut pas avoir végété aussi longtemps.
Il y un trou dans la raquette de cette théorie.
Si tu mets des humains sur une planète et que tu les laisses un temps assez long comme plusieurs millénaires, quand tu reviens, soit ils auront disparu car ils se seront fait la guerre, soit ils auront créer une société viable et organisée avec une certaine technologie. En aucun cas, personne n'imagine qu'ils auront végété ces quelques milliers d'années en peau de bête avec des gourdins sans une once de progrès.
Car ils sont sapiens... justement...
Si nous suivons la chronologie de la théorie évolutionniste, l'homme moderne, dit homo sapiens, existe depuis au moins 200 000 années.
Auparavant, un homme un peu moins "sapiens" l'aurait précédé. Cependant, son niveau d'intelligence n'en faisait pas un "handicapé " par rapport à l'homme moderne.
En effet, l'évolution humaine ne peut pas se passer d'une montée en capacité très lente de l'intelligence des primates qui aurait abouti à l'homo-sapiens que nous sommes.
Or, je suis persuadé que si nous mettions dans un endroit très isolé de notre planète des humains absolument ignorants de toutes les avancées technologiques que nous avons accumulées, de toutes les sciences que nous avons appliquées, avec des cerveaux absolument vierges de toute expérience à quelque niveau que ce soit, il ne faudrait pas 200000 années pour qu'ils découvrent la roue, l'écriture, la lance, la flèche et toutes ces premières découvertes .
Et la raison est tout simplement qu'un cerveau de ce niveau ne peut pas stagner aussi longtemps sans découvrir des choses.
Or, la théorie évolutionniste prétend que l'homo-sapiens mettra 200 000 années pour découvrir la roue !! Et qu'à partir de là, il lui faudra 6000 années seulement pour marcher sur Mars.
C'est nous affirmer qu'il serait normal qu'une Ferrari roule 200 000 kms à 20 km/h avant que son pilote n'ait l'idée qu'il pourrait rouler plus vite.
Le cerveau humain est une machine absolument parfaite pour inventer les choses, pour découvrir , pour améliorer la vie. L'homo-sapiens d'il y a 200 000 ans aurait obtenu sa maîtrise de mathématiques aussi facilement qu'un de nos enfants s'ils avaient été mis dans les mêmes conditions.
Et on veut nous faire croire que cette machine extraordinaire, ce prodige de complexité qui nous emmène vers les étoiles, aurait disjoncté 200 000 années avant de découvrir la roue ?
Le cerveau humain est trop sophistiqué, trop inventif, trop adapté à l'innovation, c'est une machine à inventer absolument incontrôlable qui ne peut pas avoir végété aussi longtemps.
Il y un trou dans la raquette de cette théorie.
Si tu mets des humains sur une planète et que tu les laisses un temps assez long comme plusieurs millénaires, quand tu reviens, soit ils auront disparu car ils se seront fait la guerre, soit ils auront créer une société viable et organisée avec une certaine technologie. En aucun cas, personne n'imagine qu'ils auront végété ces quelques milliers d'années en peau de bête avec des gourdins sans une once de progrès.
Car ils sont sapiens... justement...
- MonstreLePuissant
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 29770
- Enregistré le : 20 févr.04, 06:29
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 13 févr.21, 06:09Quand Raël a vu les Elohim, crois moi, il avait en face de lui une réalité.agecanonix a écrit :Quand Paul, Jean ou des centaines d'autres ont vu Jésus ressuscité, croyez moi, ils avaient en face de leurs yeux une réalité.
Quand Joseph Smith a vu l'ange Moroni, crois moi, il avait en face de lui une réalité.
En fait, faisons comme agecanonix ! Puisqu'ils le disent, c'est que c'est vrai !!!!
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
- Saint Glinglin
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 25868
- Enregistré le : 11 févr.13, 22:07
-
Contact :
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 13 févr.21, 07:41On t'a déjà répondu : quand un niveau technique suffit, on n'a pas de raisons d'en changer.agecanonix a écrit : ↑13 févr.21, 05:59
Or, je suis persuadé que si nous mettions dans un endroit très isolé de notre planète des humains absolument ignorants de toutes les avancées technologiques que nous avons accumulées, de toutes les sciences que nous avons appliquées, avec des cerveaux absolument vierges de toute expérience à quelque niveau que ce soit, il ne faudrait pas 200000 années pour qu'ils découvrent la roue, l'écriture, la lance, la flèche et toutes ces premières découvertes .
Et la raison est tout simplement qu'un cerveau de ce niveau ne peut pas stagner aussi longtemps sans découvrir des choses.
Voir les peuplades de chasseurs cueilleurs arpentant la planète depuis la nuit des temps.
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 13 févr.21, 07:48Avant
Après l'étang de feu qui a tué le corps et l'âme, et lorsqu'il est parti à la seconde mort. (voir ci dessous)
2 Thessaloniciens 1:9
Ils auront pour châtiment une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de sa force,
Après l'étang de feu qui a tué le corps et l'âme, et lorsqu'il est parti à la seconde mort. (voir ci dessous)
2 Thessaloniciens 1:9
Ils auront pour châtiment une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de sa force,
"Quiconque demeure en lui ne pèche point quiconque pèche ne l'a pas vu et ne l'a pas connu"
- Saint Glinglin
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 25868
- Enregistré le : 11 févr.13, 22:07
-
Contact :
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 13 févr.21, 07:55Ah oui. C'est Jésus. On le reconnaît.
- Estrabolio
- [ Incroyant ]
- [ Incroyant ]
- Messages : 11775
- Enregistré le : 01 mai14, 20:20
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 13 févr.21, 09:15Et de nombreuses personnes ont recueilli son témoignage direct alors que concernant les apôtres, il n'y a aucun manuscrit original, aucune preuve que des contemporains de Jésus aient écrit quoi que ce soit.... tout ce que nous avons ce sont des copies de copies de manuscrits qui auraient été écrits (pour les originaux)des dizaines d'années après les faits rapportés !Saint Glinglin a écrit : ↑13 févr.21, 05:50 Et Bernadette Soubirous a vu la Sainte Vierge, mon bon monsieur.
Donc cela n'a aucune valeur de preuve.
C'est quand même assez énorme de mettre en parallèle des données scientifiques et ces éléments hautement sujets à caution.
Libre à chacun de croire ou ne pas croire mais il faut être honnête et reconnaître ce qui tient de la foi et ce qui tient du concret, vérifiable, démontrable.
D'ailleurs, au passage, les musulmans diront qu'il y a eu des témoins des miracles lors de la vie de Mahomet, par exemple quand Allah a partagé la lune en deux puis l'a recollée. Selon les musulmans il y a même eu des témoins non musulmans dont le roi de Malabar !
Mais bon, Agécanonix a raison, nous sommes partis loin du sujet initial.
Concernant l'évolution spectaculaire de ces derniers millénaires, une seule question : que se serait-il passé sans la découverte du travail des métaux ?
Cette question juste pour montrer une chose c'est qu'une invention est quasiment tout le temps rendue possible grâce à une invention précédente et une idée en entraîne une autre.
D'autre part, comme déjà dit, un grand nombre d'inventions sont dues à des concours de circonstances, le lait qu'on oublie et qui devient fromage, le grain qui fermente dans de l'eau après une averse et qui permet d'inventer la bière etc.
Or, des concours de circonstances, ça n'arrive pas sur commande et il peut se passer un très long moment avant que l'évènement arrive.
Ce fil part donc sur une base fausse en posant comme préalable que l'intelligence seule suffit à inventer !
Il part ensuite d'une autre base fausse, le fait que les conditions climatiques etc. aient toujours été les mêmes.
Enfin, j'ajoute que pour qu'un cerveau soit inventif il faut qu'il soit suffisamment bien nourri, qu'il bénéficie d'une certaine liberté (pas enfermé dans des préoccupations multiples)qu'il bénéficie de repos suffisant.
- MonstreLePuissant
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 29770
- Enregistré le : 20 févr.04, 06:29
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 13 févr.21, 09:43On avait bien compris qu'Agecanonix se faisait son propre film à propos de l'intelligence et de l'inventivité humaine. Il ne se fonde de toute façon sur aucune étude. Il décréte de façon péremptoire, qu'un cerveau, n'importe lequel, est capable de produire X inventions par année. Ainsi, il calcule qu'en 300000 ans, le cerveau aurait dû produire plus que ce qu'il a produit à ce jour. Son raisonnement est complètement absurde.
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 13 févr.21, 10:40Effectivement ! Cependant, je ne pense pas qu'il le calcule mais qu'il en a fait un simple postulat.MonstreLePuissant a écrit : ↑13 févr.21, 09:43 On avait bien compris qu'Agecanonix se faisait son propre film à propos de l'intelligence et de l'inventivité humaine. Il ne se fonde de toute façon sur aucune étude. Il décréte de façon péremptoire, qu'un cerveau, n'importe lequel, est capable de produire X inventions par année. Ainsi, il calcule qu'en 300000 ans, le cerveau aurait dû produire plus que ce qu'il a produit à ce jour. Son raisonnement est complètement absurde.
D'ailleurs, il faudrait déjà qu'il prouve que le nombre des inventions suit une croissance linéaire ; qui plus est indépendante de la croissance démographique. Bon courage à lui.
- Estrabolio
- [ Incroyant ]
- [ Incroyant ]
- Messages : 11775
- Enregistré le : 01 mai14, 20:20
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 13 févr.21, 18:07Cette seule phrase résume tout, nous avons là l'image d'Epinal qu'a imposée l'obscurantisme religieux au début de la paléontologie !a écrit : En aucun cas, personne n'imagine qu'ils auront végété ces quelques milliers d'années en peau de bête avec des gourdins sans une once de progrès.
Bref....
Ce qui est amusant c'est que s'il y avait eu une évolution constante observée, les croyants diraient "voila la preuve que tout cela était prévu et organisé".
Justement, le propre de l'évolution, c'est qu'elle n'est pas linéaire, qu'elle peut connaître des bonds au gré des évènements, des circonstances.
- Saint Glinglin
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 25868
- Enregistré le : 11 févr.13, 22:07
-
Contact :
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 13 févr.21, 20:51Exemple d'évolution non linéaire : l'essor du christianisme provoque l'effondrement de l'empire romain.
- agecanonix
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 16435
- Enregistré le : 25 déc.09, 10:55
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 14 févr.21, 02:19Nous sommes enfin revenu au sujet.
Ce qui cloche dans le scénario que nous propose certains scientifiques, c'est la notion de temps.
L'hypothèse évolutionniste a absolument besoin, c'est même vital pour elle, que l'évolution de l'homme, comme du reste des formes de vie, dispose de très longues périodes de temps pour être crédible.
En effet, ne serait ce que l'évolution qui se serait passée entre l'homo habilis, avec son cerveau de 600 cc et l'homo sapiens mieux doté (1300 cc), tout cela ne peut se concevoir en quelques générations seulement.
2,3 millions d'années ont donc été accordées à ce processus.
La question est : comment a été décidé cette durée de temps ?
Deux hypothèses .
1) soit on a pu dater les restes fossiles , mais autrement qu'avec le C14 dont la demie vie est trop courte et ne peut aller au delà que quelques milliers d'années.
2) soit on a appliqué la période de temps que l'on a jugé nécessaire à la chose, mais de façon toute théorique.
Rappelons que cette notion de temps a déjà permis l'invention de quelques curiosités scientifiques comme la théorie des équilibres ponctués.
Bien qu'il s'en défendent énergiquement, cette théorie est venue curieusement au bon moment pour palier à l'absence de chaînons manquants introuvables et expliquer pour quelles raisons non seulement on ne les trouvait pas, mais en plus pour quelles raisons on risquait de ne jamais les trouver.
Ainsi, l'évolution se serait faite par bonds successifs mais tellement rapides qu'ils auraient surpris le fonctionnaire qui a pour charge de fabriquer les fossiles depuis des milliards d'années..
Le plus beau est que l'on a aucune raison biologique fiable pour nous dire quel phénomène aurait permis de tels bonds évolutifs et aussi l'absence bizarre de chaînons manquants vraiment fiables.
En effet, sur des milliards d'années, l'évolution des espèces a produit des milliards de mutants dont la constitution les rendait tout aussi fossilisables les uns que les autres.
Il n'y a et ne peut pas y avoir une explication scientifique qui expliquerait qu'un mutant a moins de chance de se fossiliser qu'un non mutant, d'autant que le non mutant est par définition, selon la théorie, un mutant lui aussi par rapport à un autre mutant qui l'aurait précédé. Cette phrase peut donc se décliner les millions de fois..
Quelle chance avions nous que le hasard ait décidé qu'entre les grandes espèces, nous ne trouvions aucun mutant fossilisé ? La logique et les probabilités nous enseignent même que les mutants devraient être infiniment plus nombreux que les individus parvenu à un stade qui correspond aux espèces bien différenciées que nous connaissons aujourd'hui.
Un exemple. L'évolution des espèces est constituée de millions de petites mutations qui se sont ajoutées les unes aux autres, les unes après les autres, pour faire qu'une espèce a réalisée une transformation progressive qui était invisible sur un nombre n de mutations, mais parfaitement contrôlables dès lors où beaucoup de temps se serait passé.
Imaginons que nous prenions une photo lors de chaque mutation. Nous disposerions, selon la théorie, de millions, voir plus, de photos qui nous permettraient de vérifier et même de prouver que cette évolution a bien eu lieu.
Ces photos pourraient, avec le temps, se dégrader et beaucoup pourraient se perdre.
Disons que ces photos sont les fossiles possibles de ces animaux. Cependant, n'oublions pas que nous en avons prise des millions et peut être plus.
Si donc nous sommes capables de retrouver quelques unes des premières photos, la preuve sera faite qu'il est tout à fait possible qu'une telle photo nous parvienne malgré le temps passé.
Il y a des millions de fossiles déjà découverts depuis Darwin.
Est il possible d'imaginer un processus qui ferait que toutes les photos prises et sauvegardées ne soient toujours que des photos représentant des animaux déjà bien identifiés dans leur espèce.
C'est absolument impossible si nous voulons que ce processus soit aléatoire et donc sans intention liée à une quelconque volonté, mais au contraire purement hasardeux.
Imaginons donc mélanger ces innombrables photos, en retirer des millions au hasard, les yeux fermés, les brûler complètement et ensuite récupérer celles que nous avons laissées pour étudier ce qu'elles ont à nous apprendre.
Quelle chance aurions nous de ne jamais trouver une photo (un fossile) qui nous montre clairement qu'il se situe entre deux espèces bien différenciées... Aucune .
Dès lors où tous les mutants pouvaient fossiliser, affirmer que le hasard aurait fait qu'aucun de ceux pouvant prouver l'évolution entre deux espèces ne l'a fait, c'est nous prendre pour des billes.
Et nous dire qu'on les a trouvés est un mensonge puisqu'on nous a inventé une théorie qui nous expliquerait que l'évolution s'étant faite exclusivement par des bons très rapides, suivis de période très longues sans mutations visibles, il serait normal que le registre fossile n'ait aucune trace de chaînon dit manquant.
Je rappelle que les espèces sont bien différenciées à notre époque, mais que la théorie de l'évolution des espèces n'en a rien à faire. Elle constitue une longue suite de mutations les unes derrière les autres, ininterrompues et sans autre moteur que le hasard.
Illustrons cela. Imaginons l'arbre généalogique des espèces, selon la théorie, depuis les poissons jusqu'à l'humain.
On trouve sur cet arbre un certain nombre de branches qui correspondent aux espèces vivantes que nous connaissons à notre époque.
Aux intersections se trouvent les poissons, les batraciens, les crocodiles, les rampants, les reptiles, les mammifères bien différenciés, les oiseaux, etc...
Quand nous regardons un tel arbre généalogique, nous avons tendance à penser qu'on est passé de l'une à l'autre des espèces rapidement pour ensuite stagner quelques temps en attendant un bond évolutif vers l'espèce suivante, tout en conservant en vie toutes les espèces, ou leurs représentants qui n'ont pas disparus.
Et bien la théorie des équilibres ponctués est là pour nous dire qu'entre ces espèces bien repérées sur l'arbre, les choses ont été trop vite pour qu'on retrouve des fossiles.
Alors jugeons de la pertinence de cette hypothèse.
Elle suppose déjà un curieux hasard. A chaque fois qu'un fossile se conservait, c'était toujours un représentant des espèces bien différenciées. Avouez que c'est pas de chance.
N'oublions pas non plus que lorsque la théorie nous parle de bonds évolutifs, elle est quand même obligée de parler en millions d'années. Eh oui ! Ce sont des millions de mutations qui sont nécessaire pour passer d'une espèce à une autre.
N'oublions pas également que l'animal qui se situe entre deux espèces bien différenciés, n'est pas un handicapé, il est même réputé plus apte à survivre que l'espèce d'où il aurait muté et ainsi, si quelqu'un aurait du disparaître, ce n'est pas le mutant, plus favorisé, mais l'espèce d'où il venait, qui, elle, existe toujours aujourd'hui pour beaucoup d'entre elles.
En fait, s'il y avait eu évolution, le dernier mutant qui survivait à sa mutation, devait, pour l'avoir fait, profiter de cette mutation et donc, par sélection naturelle, remplacer les mutants précédents. Seulement, dans cette logique, sur la longue lignée des mutants, chaque élément était donc provisoire et devait attendre la mutation suivante pour être supplanté.
Or, nos espèces actuelles constituent, puisqu'elles existent encore pour beaucoup d'entre elles, des sortes de plateaux qui ont survécu jusqu'à nos jours alors même que la logique évolutionniste enseigne qu'elles n'étaient que des étapes vers les espèces suivantes.
L'évolution des espèces étant une longue succession de mutations vers le plus adapté, les étapes entre le poisson et le mammifère ne sont que des paliers comme ceux qui les ont précédés ou suivis, et le hasard aura du mal à expliquer que ces mêmes étapes sont à la fois celles qui existent encore de nos jours et celles que le hasard de la fossilisation a bien voulu conserver.
Il était impossible, alors que l'évolution était en pleine phase de réalisation, que le hasard vienne nous proposer comme éléments de preuves que les seules étapes qui correspondent exactement à la classification des animaux que nous connaissons aujourd'hui.
Alors même qu'entre ces espèces, la théorie est obligée de concéder qu'il y a eu des milliards de mutations indispensables qui ne pouvaient pas passer inaperçues à travers les fossiles sauf à imaginer qu'une main invisible, le dieu "évolution", agissait pour ne fossiliser que des représentants des espèces dont il savait qu'elles existeraient encore à notre époque..
a lire calmement et en essayant de comprendre SVP...
De vrais arguments, et non pas des citations hors sujet faisant office de cache misère, seraient souhaitables.
Merci..
Ce qui cloche dans le scénario que nous propose certains scientifiques, c'est la notion de temps.
L'hypothèse évolutionniste a absolument besoin, c'est même vital pour elle, que l'évolution de l'homme, comme du reste des formes de vie, dispose de très longues périodes de temps pour être crédible.
En effet, ne serait ce que l'évolution qui se serait passée entre l'homo habilis, avec son cerveau de 600 cc et l'homo sapiens mieux doté (1300 cc), tout cela ne peut se concevoir en quelques générations seulement.
2,3 millions d'années ont donc été accordées à ce processus.
La question est : comment a été décidé cette durée de temps ?
Deux hypothèses .
1) soit on a pu dater les restes fossiles , mais autrement qu'avec le C14 dont la demie vie est trop courte et ne peut aller au delà que quelques milliers d'années.
2) soit on a appliqué la période de temps que l'on a jugé nécessaire à la chose, mais de façon toute théorique.
Rappelons que cette notion de temps a déjà permis l'invention de quelques curiosités scientifiques comme la théorie des équilibres ponctués.
Bien qu'il s'en défendent énergiquement, cette théorie est venue curieusement au bon moment pour palier à l'absence de chaînons manquants introuvables et expliquer pour quelles raisons non seulement on ne les trouvait pas, mais en plus pour quelles raisons on risquait de ne jamais les trouver.
Ainsi, l'évolution se serait faite par bonds successifs mais tellement rapides qu'ils auraient surpris le fonctionnaire qui a pour charge de fabriquer les fossiles depuis des milliards d'années..
Le plus beau est que l'on a aucune raison biologique fiable pour nous dire quel phénomène aurait permis de tels bonds évolutifs et aussi l'absence bizarre de chaînons manquants vraiment fiables.
En effet, sur des milliards d'années, l'évolution des espèces a produit des milliards de mutants dont la constitution les rendait tout aussi fossilisables les uns que les autres.
Il n'y a et ne peut pas y avoir une explication scientifique qui expliquerait qu'un mutant a moins de chance de se fossiliser qu'un non mutant, d'autant que le non mutant est par définition, selon la théorie, un mutant lui aussi par rapport à un autre mutant qui l'aurait précédé. Cette phrase peut donc se décliner les millions de fois..
Quelle chance avions nous que le hasard ait décidé qu'entre les grandes espèces, nous ne trouvions aucun mutant fossilisé ? La logique et les probabilités nous enseignent même que les mutants devraient être infiniment plus nombreux que les individus parvenu à un stade qui correspond aux espèces bien différenciées que nous connaissons aujourd'hui.
Un exemple. L'évolution des espèces est constituée de millions de petites mutations qui se sont ajoutées les unes aux autres, les unes après les autres, pour faire qu'une espèce a réalisée une transformation progressive qui était invisible sur un nombre n de mutations, mais parfaitement contrôlables dès lors où beaucoup de temps se serait passé.
Imaginons que nous prenions une photo lors de chaque mutation. Nous disposerions, selon la théorie, de millions, voir plus, de photos qui nous permettraient de vérifier et même de prouver que cette évolution a bien eu lieu.
Ces photos pourraient, avec le temps, se dégrader et beaucoup pourraient se perdre.
Disons que ces photos sont les fossiles possibles de ces animaux. Cependant, n'oublions pas que nous en avons prise des millions et peut être plus.
Si donc nous sommes capables de retrouver quelques unes des premières photos, la preuve sera faite qu'il est tout à fait possible qu'une telle photo nous parvienne malgré le temps passé.
Il y a des millions de fossiles déjà découverts depuis Darwin.
Est il possible d'imaginer un processus qui ferait que toutes les photos prises et sauvegardées ne soient toujours que des photos représentant des animaux déjà bien identifiés dans leur espèce.
C'est absolument impossible si nous voulons que ce processus soit aléatoire et donc sans intention liée à une quelconque volonté, mais au contraire purement hasardeux.
Imaginons donc mélanger ces innombrables photos, en retirer des millions au hasard, les yeux fermés, les brûler complètement et ensuite récupérer celles que nous avons laissées pour étudier ce qu'elles ont à nous apprendre.
Quelle chance aurions nous de ne jamais trouver une photo (un fossile) qui nous montre clairement qu'il se situe entre deux espèces bien différenciées... Aucune .
Dès lors où tous les mutants pouvaient fossiliser, affirmer que le hasard aurait fait qu'aucun de ceux pouvant prouver l'évolution entre deux espèces ne l'a fait, c'est nous prendre pour des billes.
Et nous dire qu'on les a trouvés est un mensonge puisqu'on nous a inventé une théorie qui nous expliquerait que l'évolution s'étant faite exclusivement par des bons très rapides, suivis de période très longues sans mutations visibles, il serait normal que le registre fossile n'ait aucune trace de chaînon dit manquant.
Je rappelle que les espèces sont bien différenciées à notre époque, mais que la théorie de l'évolution des espèces n'en a rien à faire. Elle constitue une longue suite de mutations les unes derrière les autres, ininterrompues et sans autre moteur que le hasard.
Illustrons cela. Imaginons l'arbre généalogique des espèces, selon la théorie, depuis les poissons jusqu'à l'humain.
On trouve sur cet arbre un certain nombre de branches qui correspondent aux espèces vivantes que nous connaissons à notre époque.
Aux intersections se trouvent les poissons, les batraciens, les crocodiles, les rampants, les reptiles, les mammifères bien différenciés, les oiseaux, etc...
Quand nous regardons un tel arbre généalogique, nous avons tendance à penser qu'on est passé de l'une à l'autre des espèces rapidement pour ensuite stagner quelques temps en attendant un bond évolutif vers l'espèce suivante, tout en conservant en vie toutes les espèces, ou leurs représentants qui n'ont pas disparus.
Et bien la théorie des équilibres ponctués est là pour nous dire qu'entre ces espèces bien repérées sur l'arbre, les choses ont été trop vite pour qu'on retrouve des fossiles.
Alors jugeons de la pertinence de cette hypothèse.
Elle suppose déjà un curieux hasard. A chaque fois qu'un fossile se conservait, c'était toujours un représentant des espèces bien différenciées. Avouez que c'est pas de chance.
N'oublions pas non plus que lorsque la théorie nous parle de bonds évolutifs, elle est quand même obligée de parler en millions d'années. Eh oui ! Ce sont des millions de mutations qui sont nécessaire pour passer d'une espèce à une autre.
N'oublions pas également que l'animal qui se situe entre deux espèces bien différenciés, n'est pas un handicapé, il est même réputé plus apte à survivre que l'espèce d'où il aurait muté et ainsi, si quelqu'un aurait du disparaître, ce n'est pas le mutant, plus favorisé, mais l'espèce d'où il venait, qui, elle, existe toujours aujourd'hui pour beaucoup d'entre elles.
En fait, s'il y avait eu évolution, le dernier mutant qui survivait à sa mutation, devait, pour l'avoir fait, profiter de cette mutation et donc, par sélection naturelle, remplacer les mutants précédents. Seulement, dans cette logique, sur la longue lignée des mutants, chaque élément était donc provisoire et devait attendre la mutation suivante pour être supplanté.
Or, nos espèces actuelles constituent, puisqu'elles existent encore pour beaucoup d'entre elles, des sortes de plateaux qui ont survécu jusqu'à nos jours alors même que la logique évolutionniste enseigne qu'elles n'étaient que des étapes vers les espèces suivantes.
L'évolution des espèces étant une longue succession de mutations vers le plus adapté, les étapes entre le poisson et le mammifère ne sont que des paliers comme ceux qui les ont précédés ou suivis, et le hasard aura du mal à expliquer que ces mêmes étapes sont à la fois celles qui existent encore de nos jours et celles que le hasard de la fossilisation a bien voulu conserver.
Il était impossible, alors que l'évolution était en pleine phase de réalisation, que le hasard vienne nous proposer comme éléments de preuves que les seules étapes qui correspondent exactement à la classification des animaux que nous connaissons aujourd'hui.
Alors même qu'entre ces espèces, la théorie est obligée de concéder qu'il y a eu des milliards de mutations indispensables qui ne pouvaient pas passer inaperçues à travers les fossiles sauf à imaginer qu'une main invisible, le dieu "évolution", agissait pour ne fossiliser que des représentants des espèces dont il savait qu'elles existeraient encore à notre époque..
a lire calmement et en essayant de comprendre SVP...
De vrais arguments, et non pas des citations hors sujet faisant office de cache misère, seraient souhaitables.
Merci..
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 14 févr.21, 03:47Avant d'examiner comment on en est arrivé à ces 2,3 millions d'années dont tu parles, il faut déjà reculer à petits pas dans le temps.agecanonix a écrit : ↑14 févr.21, 02:19 Nous sommes enfin revenu au sujet.
Ce qui cloche dans le scénario que nous propose certains scientifiques, c'est la notion de temps.
L'hypothèse évolutionniste a absolument besoin, c'est même vital pour elle, que l'évolution de l'homme, comme du reste des formes de vie, dispose de très longues périodes de temps pour être crédible.
En effet, ne serait ce que l'évolution qui se serait passée entre l'homo habilis, avec son cerveau de 600 cc et l'homo sapiens mieux doté (1300 cc), tout cela ne peut se concevoir en quelques générations seulement.
2,3 millions d'années ont donc été accordées à ce processus.
La question est : comment a été décidé cette durée de temps ?
Deux hypothèses .
1) soit on a pu dater les restes fossiles , mais autrement qu'avec le C14 dont la demie vie est trop courte et ne peut aller au delà que quelques milliers d'années.
2) soit on a appliqué la période de temps que l'on a jugé nécessaire à la chose, mais de façon toute théorique.
Rappelons que cette notion de temps a déjà permis l'invention de quelques curiosités scientifiques comme la théorie des équilibres ponctués.
Bien qu'il s'en défendent énergiquement, cette théorie est venue curieusement au bon moment pour palier à l'absence de chaînons manquants introuvables et expliquer pour quelles raisons non seulement on ne les trouvait pas, mais en plus pour quelles raisons on risquait de ne jamais les trouver.
Ainsi, l'évolution se serait faite par bonds successifs mais tellement rapides qu'ils auraient surpris le fonctionnaire qui a pour charge de fabriquer les fossiles depuis des milliards d'années..
Le plus beau est que l'on a aucune raison biologique fiable pour nous dire quel phénomène aurait permis de tels bonds évolutifs et aussi l'absence bizarre de chaînons manquants vraiment fiables.
En effet, sur des milliards d'années, l'évolution des espèces a produit des milliards de mutants dont la constitution les rendait tout aussi fossilisables les uns que les autres.
Il n'y a et ne peut pas y avoir une explication scientifique qui expliquerait qu'un mutant a moins de chance de se fossiliser qu'un non mutant, d'autant que le non mutant est par définition, selon la théorie, un mutant lui aussi par rapport à un autre mutant qui l'aurait précédé. Cette phrase peut donc se décliner les millions de fois..
Quelle chance avions nous que le hasard ait décidé qu'entre les grandes espèces, nous ne trouvions aucun mutant fossilisé ? La logique et les probabilités nous enseignent même que les mutants devraient être infiniment plus nombreux que les individus parvenu à un stade qui correspond aux espèces bien différenciées que nous connaissons aujourd'hui.
Un exemple. L'évolution des espèces est constituée de millions de petites mutations qui se sont ajoutées les unes aux autres, les unes après les autres, pour faire qu'une espèce a réalisée une transformation progressive qui était invisible sur un nombre n de mutations, mais parfaitement contrôlables dès lors où beaucoup de temps se serait passé.
Imaginons que nous prenions une photo lors de chaque mutation. Nous disposerions, selon la théorie, de millions, voir plus, de photos qui nous permettraient de vérifier et même de prouver que cette évolution a bien eu lieu.
Ces photos pourraient, avec le temps, se dégrader et beaucoup pourraient se perdre.
Disons que ces photos sont les fossiles possibles de ces animaux. Cependant, n'oublions pas que nous en avons prise des millions et peut être plus.
Si donc nous sommes capables de retrouver quelques unes des premières photos, la preuve sera faite qu'il est tout à fait possible qu'une telle photo nous parvienne malgré le temps passé.
Il y a des millions de fossiles déjà découverts depuis Darwin.
Est il possible d'imaginer un processus qui ferait que toutes les photos prises et sauvegardées ne soient toujours que des photos représentant des animaux déjà bien identifiés dans leur espèce.
C'est absolument impossible si nous voulons que ce processus soit aléatoire et donc sans intention liée à une quelconque volonté, mais au contraire purement hasardeux.
Imaginons donc mélanger ces innombrables photos, en retirer des millions au hasard, les yeux fermés, les brûler complètement et ensuite récupérer celles que nous avons laissées pour étudier ce qu'elles ont à nous apprendre.
Quelle chance aurions nous de ne jamais trouver une photo (un fossile) qui nous montre clairement qu'il se situe entre deux espèces bien différenciées... Aucune .
Dès lors où tous les mutants pouvaient fossiliser, affirmer que le hasard aurait fait qu'aucun de ceux pouvant prouver l'évolution entre deux espèces ne l'a fait, c'est nous prendre pour des billes.
Et nous dire qu'on les a trouvés est un mensonge puisqu'on nous a inventé une théorie qui nous expliquerait que l'évolution s'étant faite exclusivement par des bons très rapides, suivis de période très longues sans mutations visibles, il serait normal que le registre fossile n'ait aucune trace de chaînon dit manquant.
Je rappelle que les espèces sont bien différenciées à notre époque, mais que la théorie de l'évolution des espèces n'en a rien à faire. Elle constitue une longue suite de mutations les unes derrière les autres, ininterrompues et sans autre moteur que le hasard.
Illustrons cela. Imaginons l'arbre généalogique des espèces, selon la théorie, depuis les poissons jusqu'à l'humain.
On trouve sur cet arbre un certain nombre de branches qui correspondent aux espèces vivantes que nous connaissons à notre époque.
Aux intersections se trouvent les poissons, les batraciens, les crocodiles, les rampants, les reptiles, les mammifères bien différenciés, les oiseaux, etc...
Quand nous regardons un tel arbre généalogique, nous avons tendance à penser qu'on est passé de l'une à l'autre des espèces rapidement pour ensuite stagner quelques temps en attendant un bond évolutif vers l'espèce suivante, tout en conservant en vie toutes les espèces, ou leurs représentants qui n'ont pas disparus.
Et bien la théorie des équilibres ponctués est là pour nous dire qu'entre ces espèces bien repérées sur l'arbre, les choses ont été trop vite pour qu'on retrouve des fossiles.
Alors jugeons de la pertinence de cette hypothèse.
Elle suppose déjà un curieux hasard. A chaque fois qu'un fossile se conservait, c'était toujours un représentant des espèces bien différenciées. Avouez que c'est pas de chance.
N'oublions pas non plus que lorsque la théorie nous parle de bonds évolutifs, elle est quand même obligée de parler en millions d'années. Eh oui ! Ce sont des millions de mutations qui sont nécessaire pour passer d'une espèce à une autre.
N'oublions pas également que l'animal qui se situe entre deux espèces bien différenciés, n'est pas un handicapé, il est même réputé plus apte à survivre que l'espèce d'où il aurait muté et ainsi, si quelqu'un aurait du disparaître, ce n'est pas le mutant, plus favorisé, mais l'espèce d'où il venait, qui, elle, existe toujours aujourd'hui pour beaucoup d'entre elles.
En fait, s'il y avait eu évolution, le dernier mutant qui survivait à sa mutation, devait, pour l'avoir fait, profiter de cette mutation et donc, par sélection naturelle, remplacer les mutants précédents. Seulement, dans cette logique, sur la longue lignée des mutants, chaque élément était donc provisoire et devait attendre la mutation suivante pour être supplanté.
Or, nos espèces actuelles constituent, puisqu'elles existent encore pour beaucoup d'entre elles, des sortes de plateaux qui ont survécu jusqu'à nos jours alors même que la logique évolutionniste enseigne qu'elles n'étaient que des étapes vers les espèces suivantes.
L'évolution des espèces étant une longue succession de mutations vers le plus adapté, les étapes entre le poisson et le mammifère ne sont que des paliers comme ceux qui les ont précédés ou suivis, et le hasard aura du mal à expliquer que ces mêmes étapes sont à la fois celles qui existent encore de nos jours et celles que le hasard de la fossilisation a bien voulu conserver.
Il était impossible, alors que l'évolution était en pleine phase de réalisation, que le hasard vienne nous proposer comme éléments de preuves que les seules étapes qui correspondent exactement à la classification des animaux que nous connaissons aujourd'hui.
Alors même qu'entre ces espèces, la théorie est obligée de concéder qu'il y a eu des milliards de mutations indispensables qui ne pouvaient pas passer inaperçues à travers les fossiles sauf à imaginer qu'une main invisible, le dieu "évolution", agissait pour ne fossiliser que des représentants des espèces dont il savait qu'elles existeraient encore à notre époque..
a lire calmement et en essayant de comprendre SVP...
De vrais arguments, et non pas des citations hors sujet faisant office de cache misère, seraient souhaitables.
Merci..
En effet, si tu ne veux déjà pas reconnaître que des sapiens existaient au moins 30 000 ans avant la date biblique de 6000 ans, d'Adam & Eve, à quoi bon aller plus loin ?
On en a déjà parlé, mais tu fais comme si les découvertes scientifiques de ces dernières décennies en rapport avec le C14, n'existaient pas.
On peut très bien critiquer le darwinisme en tant que mécanisme de l'évolution. Mais dans un premier temps ce n'est pas très important non plus. Ce qui est important, est que les scientifiques ont découvert durant ces dernières décennies, que notre ADN contenait des séquences présentes dans l'ADN du chimpanzé et de Neandertal par ex.
Que ces séquences aient été obtenues par la sélection naturelle ou par le doigt de Dieu peut être discuté, mais pas le fait scientifique lui-même.
En fait, tu rejettes tout d’emblée en préférant nier des pans entiers de la science plutôt que de réexaminer ta théorie créationniste.
- agecanonix
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 16435
- Enregistré le : 25 déc.09, 10:55
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 14 févr.21, 05:08J'ai trop lu de commentaires ou d'articles mettant en doute l'honnêteté de beaucoup de scientifiques avec des fraudes et des résultats manipulés, que je n'ai aucune confiance dans ce monde là.
Des professeurs, comme le fameux expert marseillais qui a fait la une de l'actualité au début du covid ne m'incitent vraiment pas à accepter aussi facilement des résultats dont les conditions d'exécution nous sont inconnues.
Je sais que le C14 est directement lié à l'intensité du rayonnement cosmique.
Très bel article qui nous apprend 2 choses.
Pas de précision suffisante et démontrable avant 20000 années par rapport à aujourd'hui et donc - 18000 av JC.
Le calcul part d'une supposition : le rapport l4C/I2C atmosphérique n’a pas varié dans le passé.
Parlons de la courbe de calibrage.
Tout d'abord la comparaison de l'âge C14 avec l'âge calendaire. On compare l'âge C14 à l'âge connu d'un objet, comme une momie par exemple.
Puis au delà, la datation va jusque - 12000 BA soit -10000 av JC par comparaison avec une autre méthode.
Et enfin, toujours selon le même procédé, on arrive au bout du bout, -18000 av JC.
Seulement, tout cela part de l'hypothèse que le rapport 14C/12C n'a pas varié dans le temps.
Qu'est ce qui pourrait le faire varier ?
Ainsi, il est établi que le taux de production du I4C était environ le double du taux actuel vers -400000 BP.
Si nous avions donc à dater un échantillon, comme la demie vie est de 5700 ans, et si nous ne savions pas que le taux était doublée, nous commettrions une erreur de cet ordre.
Nous remarquons donc que la production du carbone-14 se fait dans la haute atmosphère pour ensuite se répartir dans l'atmosphère, l'océan, etc...
Que se passerait il si, pour une raison ou pour une autre, le rayonnement galactique, l'activité solaire ou toute autre facteur de production de c14 venaient à être moins puissants au point de diviser par 2, comme c'est arrivé, ou par 3 ou 4 la production de c14 aux époques comprises entre -20000 et 6000 av JC.
Alors la marge d'erreur dans les calculs seraient de l'ordre d'une ou deux demies vies, soit plus de 11000 années.
C'est pour cette raison que je ne crois pas comme étant une vérité vraiment démontrée tous les calcul c14 datant d'époques ou la comparaison calendaire est impossible.
Des professeurs, comme le fameux expert marseillais qui a fait la une de l'actualité au début du covid ne m'incitent vraiment pas à accepter aussi facilement des résultats dont les conditions d'exécution nous sont inconnues.
Je sais que le C14 est directement lié à l'intensité du rayonnement cosmique.
- Depuis sa découverte par Libby en 1947 (qui lui valut le prix Nobel en 1960), le carbone-14 est devenu un outil de datation irremplaçable tant pour les sciences de la Terre que pour l’archéologie. La datation par le carbone-14 est applicable à des échantillons organiques (restes biologiques divers) ou inorganiques (eaux marines, eaux souterraines, concrétions calcaires, etc.). Dans tous les cas, l’événement daté est la rupture de l’équilibre isotopique entre l’échantillon et l’atmosphère (plongée des eaux océaniques, isolement des eaux de recharge des nappes souterraines, mort des organismes vivants, . . .). À partir de cet événement, le rapport isotopique
I4C/l2C de l’échantillon décroît au rythme de la période radioactive du I4C. Si l’on suppose que le rapport l4C/I2C atmosphérique n’a pas varié dans le passé, une datation se ramène donc à la mesure d’un rapport isotopique I4C/I2C. Très rapidement cependant, la découverte de différences entre l’âge I4C et l’âge calendaire de différents objets archéologiques d’âges connus comme par exemple certaines momies égyptiennes, a conduit à remettre en cause l’hypothèse initiale de Libby selon laquelle la teneur naturelle en carbone-14 dans l’atmosphère et la
biosphère était constante dans le temps. L’utilisation du carbone-14 pour la datation a donc nécessité de construire une courbe de calibrage reliant les âges I4C aux âges calendaires (Fig. 1). Les résultats les plus nombreux et les plus précis ont été fournis par la dendrochronologie, méthode qui consiste à compter les cernes
d’arbres (un cerne correspond à une année) et 2 comparer cet âge calendaire et l’âge I4C. Au-delà de 12 000 ans BP (&fore Present), vu la rareté des spécimens disponibles, la courbe de calibrage a dû être prolongée par d’autres moyens.
L’étude des coraux fossiles, datables par le I4C et également, de manière absolue, par la méthode du déséquilibre 234U/230Th (Bard et al., 1990), a permis de prolonger le calibrage avec une précision satisfaisante jusqu’à environ 20 O00 ans BP. Au-delà de cette période, date du dernier maximum glaciaire, les échantillons se font rares et les résultats sont actuellement en nombre insuffisant pour définir une véritable courbe de calibrage.
Très bel article qui nous apprend 2 choses.
Pas de précision suffisante et démontrable avant 20000 années par rapport à aujourd'hui et donc - 18000 av JC.
Le calcul part d'une supposition : le rapport l4C/I2C atmosphérique n’a pas varié dans le passé.
Parlons de la courbe de calibrage.
Tout d'abord la comparaison de l'âge C14 avec l'âge calendaire. On compare l'âge C14 à l'âge connu d'un objet, comme une momie par exemple.
Puis au delà, la datation va jusque - 12000 BA soit -10000 av JC par comparaison avec une autre méthode.
Et enfin, toujours selon le même procédé, on arrive au bout du bout, -18000 av JC.
Seulement, tout cela part de l'hypothèse que le rapport 14C/12C n'a pas varié dans le temps.
Qu'est ce qui pourrait le faire varier ?
- Ce taux de production est modulé dans le temps par les variations de plusieurs paramètres :
- l’intensité du champ magnétique terrestre : le champ géomagnétique agit comme un bouclier contre les particules chargées en provenance de notre galaxie (protons et particules alpha principalement). Si son intensité augmente, le taux de production du I4C diminue, et vice verm. Quand le champ magnétique s'annule, ce qui se produit en particulier lors d'une inversion de polarité, le taux de production est maximum. Le dernier événement connu, qui semble correspondre à une inversion de polarité avortée (excursion magnétique), est l'événement du Laschamp, daté à 40 O00 ans BP (Laj et ul., 2000). À cette époque, qui correspond d'un point de vue de l'histoire humaine au début du paléolithique supérieur, le taux de production du I4C était environ le double du taux actuel
Ainsi, il est établi que le taux de production du I4C était environ le double du taux actuel vers -400000 BP.
Si nous avions donc à dater un échantillon, comme la demie vie est de 5700 ans, et si nous ne savions pas que le taux était doublée, nous commettrions une erreur de cet ordre.
- l'activité solaire : les vents solaires créent également un champ électromagnétique qui s'oppose à la pénétration du rayonnement galactique dans l'héliosphère. En période de faible activité solaire, comme par exemple lors du minimum de Maunder, qui coïncide avec le petit age glaciaire, on observe que le taux de production du I4C et des autres cosmonucléides tels le béryllium-10, augmente d'environ 25 % (Bard et al., 2000) ;
- l'intensité du rayonnement galactique, qui peut être affectée par des événements comme par exemple l'explosion de supernovæ (Sonett et al., 1987).
Le carbone-14 créé dans la haute atmosphère entre rapidement dans le cycle naturel du carbone sous forme de I4CO2 et se répartit entre l'atmosphère, l'océan, et la biosphère continentale, qui sont les trois principaux réservoirs terrestres échangeant du carbone sur des échelles de temps courtes.
Nous remarquons donc que la production du carbone-14 se fait dans la haute atmosphère pour ensuite se répartir dans l'atmosphère, l'océan, etc...
Que se passerait il si, pour une raison ou pour une autre, le rayonnement galactique, l'activité solaire ou toute autre facteur de production de c14 venaient à être moins puissants au point de diviser par 2, comme c'est arrivé, ou par 3 ou 4 la production de c14 aux époques comprises entre -20000 et 6000 av JC.
Alors la marge d'erreur dans les calculs seraient de l'ordre d'une ou deux demies vies, soit plus de 11000 années.
C'est pour cette raison que je ne crois pas comme étant une vérité vraiment démontrée tous les calcul c14 datant d'époques ou la comparaison calendaire est impossible.
Modifié en dernier par agecanonix le 14 févr.21, 06:39, modifié 1 fois.
- MonstreLePuissant
- [ Aucun rang ]
- [ Aucun rang ]
- Messages : 29770
- Enregistré le : 20 févr.04, 06:29
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 14 févr.21, 05:14C'est vrai qu'il vaut mieux mettre sa confiance dans des hommes ni inspirés, ni infaillibles et qui commettent des erreurs doctrinales. Ou encore, mettre sa confiance dans un type inspiré par des anges dont toutes les prédictions se sont révélées fausses. Là, on peut avoir une confiance aveugle en effet.agecanonix a écrit :J'ai trop lu de commentaires ou d'articles mettant en doute l'honnêteté de beaucoup de scientifiques avec des fraudes et des résultats manipulés, que je n'ai aucune confiance dans ce monde là.
« La Bible se laisse pas faire, dès lors où vous introduisez un enseignement non conforme, la bible vous rattrape toujours quelque part. » - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
Ainsi, recréer un corps de chair à la résurrection, ce n'est pas ressusciter le bon corps, c'est créer un clone. Ca ne sert à rien. - Agecanonix
- Estrabolio
- [ Incroyant ]
- [ Incroyant ]
- Messages : 11775
- Enregistré le : 01 mai14, 20:20
Re: L'intelligence humaine, une épine pour l'évolution.
Ecrit le 14 févr.21, 07:24Eh oui, 25 pages à louer les extraordinaires capacités du cerveau humain à qui rien ne résiste et là, d'un seul coup, le drame, ce cerveau génial est totalement incapable de dater correctement et ne fait qu'imaginer des choses fausses en ce qui concerne une évolution du vivant.
Eh oui, 25 pages pour louer les progrès techniques de notre civilisation, d'un engin posé sur Mars et là, d'un seul coup on oublie tout un pan de la science moderne en nous resservant le carbone 14 et les chainons manquants.
Alors, tout d'abord les chainons dits "manquants" on ose ici comparer les fossiles à une série de photos prises régulièrement mais tout le monde sait très bien que la fossilisation ne se produit que dans des cas très particuliers et qu'il ne s'agit donc en aucun cas d'une suite ininterrompue de "clichés" mais quelques photos prises ici ou là.
Ce qui est certain c'est que justement et contrairement à ce qui a été dit, on retrouve des fossiles d'animaux disparus et étant des intermédiaires entre des animaux encore plus anciens disparus et les animaux actuels.
Alors évidemment, comme dit plus haut, il ne s'agit que de quelques "clichés" correspondants à des intervalles de temps longs.
Heureusement, comme cela a été dit par BenFis, il y a beaucoup mieux que les "clichés" fossiles, il y a le diaporama de l'ADN qui permet de remonter l'histoire d'un animal mais nous en avons déjà parlé.
Un mot sur le professeur Raoult, justement, s'il a trouvé des gogos pour l'écouter et le croire, le monde scientifique lui a tout de suite dénoncé l'absence de méthode scientifique preuve que le monde scientifique n'est pas un monde pourris de farfelus comme nous le présentent les créationnistes.
Eh oui, 25 pages pour louer les progrès techniques de notre civilisation, d'un engin posé sur Mars et là, d'un seul coup on oublie tout un pan de la science moderne en nous resservant le carbone 14 et les chainons manquants.
Alors, tout d'abord les chainons dits "manquants" on ose ici comparer les fossiles à une série de photos prises régulièrement mais tout le monde sait très bien que la fossilisation ne se produit que dans des cas très particuliers et qu'il ne s'agit donc en aucun cas d'une suite ininterrompue de "clichés" mais quelques photos prises ici ou là.
Ce qui est certain c'est que justement et contrairement à ce qui a été dit, on retrouve des fossiles d'animaux disparus et étant des intermédiaires entre des animaux encore plus anciens disparus et les animaux actuels.
Alors évidemment, comme dit plus haut, il ne s'agit que de quelques "clichés" correspondants à des intervalles de temps longs.
Heureusement, comme cela a été dit par BenFis, il y a beaucoup mieux que les "clichés" fossiles, il y a le diaporama de l'ADN qui permet de remonter l'histoire d'un animal mais nous en avons déjà parlé.
Un mot sur le professeur Raoult, justement, s'il a trouvé des gogos pour l'écouter et le croire, le monde scientifique lui a tout de suite dénoncé l'absence de méthode scientifique preuve que le monde scientifique n'est pas un monde pourris de farfelus comme nous le présentent les créationnistes.
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message
-
- 12 Réponses
- 2620 Vues
-
Dernier message par pourtour
-
- 32 Réponses
- 3790 Vues
-
Dernier message par Absenthéiste
Qui est en ligne
Utilisateurs parcourant ce forum : BenFis et 8 invités