Mieux vaudrait que tu ne parles pas de ce dont tu n'as que des notions fort vagues et plus qu'incertaines.
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Mieux vaudrait que tu ne parles pas de ce dont tu n'as que des notions fort vagues et plus qu'incertaines.
Je ne veux pas vaincre ni convaincre. Juste dire pour dire que j'ai raison.J'm'interroge a écrit : ↑15 juin21, 11:56 Mieux vaudrait que tu ne parles pas de ce dont tu n'as que des notions fort vagues et plus qu'incertaines.
Pour moi la notion de matière et d'esprit sont des clichés , des sophismes, des caricatures de langage . Probablement que la réalité ne s'enferme pas dans des concepts ou des vocabulaires de langage .a écrit :Inti a dit : En rester au dualisme physique et métaphysique c'est continuer d'opposer matière et esprit dans leur dualité.
Les notions sont des représentations (mentales) personnelles et donc subjectives de ce qu'un ensemble de situations évoquent à un individu ou de ce que lui évoque des termes langagiers dont il n'a pas la compréhension. C'est la grande différence entre une notion et un concept. Un concept c'est toujours une définition, une mise relations logiques (énoncés, formules) d'autres concepts. Autrement dit : à la différence d'une notion, un concept est précis, général, abstrait, non subjectif. C'est un énoncé (ou une formule) qui ne peut être que cohérent ou bien contradictoire, pertinent ou creux et sans objet, sachant qu'une définition mal formulée (ambiguë ou paradoxale) ou indécidable (incomplétude des propositions de base du système logique à partir duquel repose sa compréhension) n'est pas un concept, mais au mieux simplement : la formulation langagière d'une notion.
Ce n'est le cas ni en mathématique, ni en science (normalement), ni en logique, ni en dialectique, ni en philosophie (je ne parle pas ici de pseudos-philosophies machin-truc).
On peut le savoir, mais pour cela il faut être physicien, épistémologue et philosophe, ce qui n'est pas donné à tout le monde.
Je pense que tu parles de ton propre étourdissement avec ton mélange personnalisé de sciences et philosophie orientale vaporeuse sur l'être et le non être et la vacuité de tout ce qui est etc... Comme le tao que l'on peut nommer n'est pas le tao....
La chose est le mot ?a écrit :Inti a dit : La chose et le mot.
L'indéfini n'est pas ou non une forme de confusion .a écrit :Inti a dit : Je pense que tu parles de ton propre étourdissement avec ton mélange personnalisé de sciences et philosophie orientale vaporeuse sur l'être et le non être et la vacuité de tout ce qui est etc...
Attention vic, de ne pas tirer de l'assertion bouddhique selon laquelle rien n'est permanent, que tout dans l'univers se transformerait ou changerait, cette assertion ne permettant en rien de l'inférer logiquement. Non seulement c'est faux d'un point de vue réaliste éclairé, mais c'est également faux du point de vue de la "vision pénétrante" bouddhique elle-même, si l'on se réfère également à son autre assertion selon quoi rien n'a d'identité propre.vic répondant à Inti a écrit : ↑16 juin21, 04:50 Dis toi bien que dans l'univers tout est mouvement et transformation à chaque instant , et que dans l'instant de transformation l'objet "est sans être" en quelque sortes , parce qu'il est ni vraiment ce qu'il a été , ni vraiment un autre .
Je ne vois pas en quoi le fait que deux états se confondent seraient en soi équivalents à une contradiction , ou même à un superposition .a écrit :J'minterroge a dit : En effet, pour parler de transformation ou de changement, il faudrait qu'une même chose puisse être différente à un autre moment ou que deux états ou dispositions différentes en deux moments différents puissent être une même chose, ce qui dans un cas comme dans l'autre est contradictoire.
Deux états qui se confondent n'ont pas d'identité propre oui , où est le problème ?a écrit :J'minterroge a dit : Non seulement c'est faux d'un point de vue réaliste éclairé, mais c'est également faux du point de vue de la "vision pénétrante" bouddhique elle-même, si l'on se réfère également à son autre assertion selon quoi rien n'a d'identité propre.
J'm'interroge a écrit :En effet, pour parler de transformation ou de changement, il faudrait qu'une même chose puisse être différente à un autre moment ou que deux états ou dispositions différentes en deux moments différents puissent être une même chose, ce qui dans un cas comme dans l'autre est contradictoire.
Hein ?
J'm'interroge a écrit :Non seulement c'est faux d'un point de vue réaliste éclairé, mais c'est également faux du point de vue de la "vision pénétrante" bouddhique elle-même, si l'on se réfère également à son autre assertion selon quoi rien n'a d'identité propre.
Même remarque et questions.
Tu ne sais vraiment pas lire ou alors tu comprend tout de travers...
Non, c'est toi qui ne comprends pas le français.vic a écrit : ↑16 juin21, 07:38 Les théories du bouddhisme de l'impermanence des phénomènes et de la non identité propre vont dans la même direction , dire qu'elles sont contradictoires prouve que tu n'as rien compris au schmilblick .Pourquoi Bouddha aurait il imaginé des théories contradictoires entre elles ?
Ca n'est pas de ma faute si tes phrases ne veulent rien dire , tu t'exprimes très mal , c'est du charabia . On ne peut donc que mal interpréter du charabia .a écrit :J'minterroge a dit : Dire que quelque chose se transformerait ou se changerait en une autre, suppose une identité propre laquelle serait d'une certaine manière là même dans différents états ou dispositions, ce qui est contradictoire si un état donné ou une disposition donnée n'a pas d'identité autre que l'état donné ou la disposition donnée laquelle est unique.
Je comprends les phrases qui ont un sens en français oui , sinon non je ne comprends pas .a écrit :JM a dit : Non, c'est toi qui ne comprends pas le français.
Désolé , ce que tu dis est incompréhensible . Tu dois te comprendre toi même , et en être persuadé , rien de plus .J'm'interroge a écrit : ↑16 juin21, 08:49 C'est ce qu'on dit quand on ne sait pas lire. Ce que j'ai écrit est en français.
Tu veux peut-être que je te fasse un commentaire de texte ?
Non, ce n'est pas parce que tu comprends pas ce que j'énonce que c'est incompréhensible. Le fait que tu ne le comprennes pas n'implique que le fait que tu ne le comprends pas. Ça t'est peut-être incompréhensible, mais cela ne signifie pas que ça ne puisse pas être parfaitement compréhensible pour d'autres.
Et tu dis "On". Qui est ce "on" ? Toi ?
Je ne pense pas que les mots ont un sens ou pas en soi en dehors de celui qui les interprète . C'est indéfini .a écrit :J'minterroge a dit : Non, ce n'est pas parce que tu comprends pas ce que j'énonce que c'est incompréhensible. Le fait que tu ne le comprennes pas n'implique que le fait que tu ne le comprends pas. Ça t'est peut-être incompréhensible, mais cela ne signifie pas que ça ne puisse pas être parfaitement compréhensible pour d'autres.
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