La théorie de l'évolution est incompatible avec le christianisme, lequel renvoit...
1) Au postulat d'une création parfaite et immortelle impliquant que son caractère mortel n'est pas fortuit.
2) A une vie antérieure justifiant le choix personnel de l'homme d'être ici-bas sous cette forme anthropologique aboutie dans un but probatoire avec en corollaire un Jugement.
3) Au libre arbitre moral qui implique la notion du bien et du mal, et la liberté de choisir, avec l'absence d'une révélation génétique instinctuelle.
4) A la connaissance de l'Evangile pour obtenir une révélation compensatrice et une espérance vitale post-mortem.
La théorie de l'évolution est incompatible avec le christianisme, lequel renvoit...
1) Au postulat d'une création parfaite et immortelle impliquant que son caractère mortel n'est pas fortuit.
2) A une vie antérieure justifiant le choix personnel de l'homme d'être ici-bas sous cette forme anthropologique aboutie dans un but probatoire avec en corollaire un Jugement.
3) Au libre arbitre moral qui implique la notion du bien et du mal (libre arbitre), avec absence d'une révélation génétique instinctuelle.
4) A la connaissance de l'Evangile pour obtenir une révélation compensatrice choisie, et une espérance vitale post-mortem cohérente.
La théorie de l'évolution est incompatible avec le christianisme, lequel renvoit...
1) Au postulat d'une création parfaite et immortelle impliquant que son caractère mortel n'est pas fortuit.
2) A une vie antérieure justifiant le choix personnel de l'homme d'être ici-bas sous cette forme anthropologique aboutie dans un but probatoire, avec en corollaire, un Jugement et l'espérance d'un mieux éternel.
3) Au libre arbitre moral qui implique la notion du bien et du mal et une guidance prophétique choisie, avec, en corollaire, l'absence d'un déterminisme génétique (instinct).
4) A la connaissance de l'Evangile pour discerner le sens de la vie et une espérance vitale post-mortem cohérente.
La théorie de l'évolution est incompatible avec le christianisme, lequel renvoie :
1) Au postulat d'une création, au départ, parfaite et incorruptible impliquant que son caractère mortel actuel n'est pas fortuit.
2) A une vie antérieure justifiant le choix personnel de l'homme d'être ici-bas sous cette forme anthropologique aboutie dans un but probatoire, avec en corollaire, un Jugement dans la perspective d'un mieux éternel.
3) Au libre arbitre moral qui implique la notion du bien et du mal et une guidance prophétique authentifiable, avec, en corollaire, l'absence d'un déterminisme génétique qui s'opposerait.
4) A la connaissance de l'Evangile pour discerner le sens de la vie ici-bas par à une espérance post-mortem cohérente.
La théorie de l'évolution est incompatible avec le christianisme, lequel renvoit...
1) Au postulat d'une création, au départ, parfaite et incorruptible impliquant que son caractère mortel actuel n'est pas fortuit.
2) A une vie antérieure justifiant le choix personnel de l'homme d'être ici-bas sous cette forme anthropologique aboutie dans un but probatoire, avec, en corollaire, un Jugement dans la perspective d'un mieux éternel.
3) Au libre arbitre moral qui implique la notion du bien et "du mal par la tentation".
4) A une guidance prophétique identifiable et acceptée librement avec l'absence d'un pré-requis génétique significatif qui s'y opposerait.
5) A la connaissance de l'Evangile pour discerner le sens de la vie ici-bas pour une espérance post-mortem cohérente, stimulante et parfaite.
6) A l'amour parfait d'un Etre supérieur pour nous consoler dans notre quotidien par la foi en lui et par ses interventions.
La théorie de l'évolution est incompatible avec le christianisme, lequel renvoie :
1) Au postulat d'une création, au départ, parfaite et incorruptible impliquant que son caractère mortel ajouté n'est pas fortuit ; introduisant dès le début l'idée de justice et de jugement.
2) A une existence antérieure justifiant le choix personnel de l'homme d'être ici-bas sous cette forme anthropologique aboutie dans la perspective d'un mieux éternel.
3) Au libre arbitre moral qui implique la notion du bien et du mal et une guidance prophétique authentifiable ; avec, en corollaire, l'absence d'un déterminisme génétique qui s'y opposerait.
4) A la connaissance de l'Evangile pour discerner le sens de la vie ici-bas par une espérance post-mortem cohérente.