RT2 a écrit : ↑01 févr.22, 03:18
C'est le texte mais sur terrain, la chanson est toute autre, demande aux afghans. Que font les Talibans contre la prostitution des enfants de 6 à 8 ans disons parce que ils n'ont plus rien ? Les parents en sont réduits pour leurs subsistances à envoyer les enfants à la prostitution ou à les vendre ?
Elle est où la bénédiction de ton Dieu vu que les Talibans seraient la crême de la crême en matière de foi ? Donc Dieu devrait bénir non ? Tu vois une quelconque bénédiction là ?
Les talibans sont plutôt des satanistes
Car qui aime vient de Dieu
Je ne vois pas trop d’Amour à interdire les filles d’aller à l’école
À interdire aux musiciens de jouer de la musique
A exiger la burqa pour toutes
À promouvoir une société totalitaire
Comme Calvin d’ailleurs en son temps
Ajouté 2 minutes 9 secondes après :
« A n'importe quel moment, de nuit comme de jour, le marteau de votre porte peut retentir et un membre de la police ecclésiastique apparaître pour une visite sans qu'il soit possible de s'y opposer. Pendant des heures, - car il est dit dans les ordonnances qu'il faut prendre le temps nécessaire, pour procéder à loisir à l'inspection - il faut répondre à une foule de questions, si vous savez bien vos prières ou pourquoi vous étiez absent au dernier prêche de Calvin.... Cette Gestapo des mœurs fourre son nez partout, elle s’assure que les robes des femmes ne sont ni trop longues, ni trop courtes, compte les bagues et les chaussures dans l'armoire. .. Elle passe ensuite à la salle à manger pour vérifier que l'on n'a pas ajouté au seul plat autorisé une petite soupe ou un morceau de viande, ou si l'on n'a pas caché quelque part des friandises ou de la confiture. Et le pieux policier poursuit son inspection dans la bibliothèque pour savoir si ne s'y trouvent pas des livres n'ayant pas le sceau de la censure ecclésiastique...Il va interroger les domestiques pour leur soutirer des renseignements sur leurs maîtres et n'hésite pas à questionner les enfants sur leurs parents... »
« Au cours des cinq premières années de la domination de Calvin, il y eut à Genève treize condamnations à la pendaison, dix à la décapitation, trente-cinq à la mort sur le bûcher. Sans compter les condamnations à des peines de prison, au point que le directeur de la prison se voit contraint de faire savoir au Conseil ecclésiastique qu'il ne peut plus loger aucun prisonnier ! »
Stefan Zweig, Conscience contre violence