Je ne vois pas trop de difficulté à considérer dieu comme indolore, en le comparant, par exemple au soleil... En d'autres mots, il n'a aucun besoin et ne souffre de rien...Kapdehendel a écrit : ↑14 janv.22, 04:51 L'inexistence de la douleur n'est douloureuse qu'avec la douleur et pas avec les autres.
Car quand la douleur n'existe pas pour les autres, elle n'est douloureuse que pour elle-même.
La douleur considérée comme concept, dans l'abstrait, i.e. en dehors d'un existant qui souffre, n'a aucune consistance et je ne vois pas très bien comment on peut en parler comme un existant...
Ça se contredit... Si en effet l'indolore est dans l'existence, il ne peut être au-delà du début et de la fin de chaque existence...L'indolore est éternel car il est dans l'existence et dans l'inexistence qui est au-delà du début et de la fin de chaque existence indolore qui provient de sa propre inexistence.
Je verrais plutôt que le début et la fin n'existent pas pour les remplacer par l'idée de continuum (sans début ni fin)...
Je suis curieux... Où est-ce que tu as pris cette idée?