vic a écrit : ↑24 juin22, 04:51
Encore un demi dieu qui parle dès sa naissance qui n'arrive pas à penser à tout .
Il lui aurait suffit de le dire en une seule phrase .Ca devrait même faire parti des commandements principaux .
Il y a déjà le « aime ton prochain comme toi même »
Et puis la Règle d’or
Tu n’as pas envie d’être exploité sexuellement
D’être esclave
D’être maltraité
De faire à autrui ce que tu aimerais pas qu’on te fasse
Et cette règle existe partout
Judaïsme : « Tu ne te vengeras pas, ou tu ne porteras aucun grief contre les enfants de ton peuple, tu aimeras ton prochain comme toi-même : Je suis le Seigneur. » – Torah, Lévitique 19M18. (v. 538 av. J.-C.) ;
« Christianisme : « Toutes les choses donc que vous voulez que les hommes vous fassent, faites-les-leur, vous aussi, de même ; car cʼest là la loi et les prophètes.
» (Matthieu 7M12[1]), et aussi Matthieu 22M39, Luc 6M31, Luc 10M27 - Jésus de Nazareth (environ 5 av. J.- C./32) »
*Islam
« Aucun d'entre vous ne croit vraiment tant qu'il n'aime pas pour son frère ce qu'il aime pour lui-même. », Hadîth 13 de al-Nawawi - Muhammad
* Bouddhisme : « Ne blesse pas les autres de manière que tu trouverais toi-même blessante. » – Udana-Varga 5M18 (environ 500 av. J.-C.) ; * Confucianisme : « Ce que tu ne souhaites pas pour toi, ne l'étends pas aux autres. » – Confucius (environ 551 - 479 av. J.-C.) ;
* Hindouisme : « Ceci est la somme du devoir ; ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'ils te fassent. » – Mahabharata (5M15M17) (environ 500 av. J.-
C.)
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* Philosophie en Grèce antique : « Ne fais pas à ton voisin ce que tu prendrais mal de lui » – Pittacos de Mytilène[4] (640 - 568 av. J.-C.) et « Évite de faire ce que tu blâmerais les autres de faire » – Thalès[5] (624 - 546 av. J.-C.)
* Taoïsme : « Regarde le gain de ton voisin comme ton propre gain, et la perte de ton voisin comme ta propre perte » T'ai Shang Kan Ying P'ien, « Le sage n'a pas d'intérêt propre mais prend les intérêts de son peuple comme les siens. Il est bon avec le bon ; il est également bon avec le méchant, car la vertu est bonne. Il est croyant avec le croyant ; il est aussi croyant avec l'incroyant, car la vertu est croyante. » – Dao de jing (environ Années 600 av. J.- C.), Chapitre 49 ;
* Zoroastrisme : « La nature est bonne seulement quand elle ne fait pas aux autres quoi que ce soit qui n'est pas bon pour soi-même. » – Dadistan-i-Dinik 94M5 (environ Années 700 av. J.- C.).