Dans le pas de l'éternité

[dragon blanc]

Quand tu te sentais seul, une chanson se formait dans ta tête.
Et quand tu regardais en arrière de toi, hier s'évanouissait.
Maintenant qu'il te reste ce jour, une autre chanson te poursuit.
Et quand bien même tu l'ignoreras, demain tu danseras sur celle qui s'éveillera.
Écoute-là, chérit-là, embrasse-là, car je te la donne comme toutes ces chansons qui te borderont.
Tu pensais que je n'existais pas, et tu me demandais, à la fois, où j'étais.
Un pas, un tour sur toi-même, regarde-moi car je suis là.
Tu as le coeur à la fête, résistant au sage du haut de la tribune.
Libères-toi de tes chaînes car tu es une pupille parmi les pupilles.
Danse danse, petit ange, car tes ailes ne demandent qu'à te montrer où nous sommes.
D'un pas timide, d'un coeur somptueux, d'une intelligence menée, rêve comme l'oiseau.
Quand tu te sentais seul, une chanson se formait dans ta tête.
Quand tu te regardes d'antan, tu t'évanouissais pour demain.
Prend la main de celui qui te la tend, car celui-là aussi l'attend.
Maintenant que tu entends, le jour se lève et se poursuit la danse.
Garde le rythme de ton coeur, écoute-le, chérit-le, embrasse-le, car il est devenu nous deux dans un temps grandissant.
Danse petit être, toi qui est ange, danse petit oiseau, et chante ton nom.
Sur la plume de tes mains, se hisse le firmament qui te sourit et s'enflamme dans ton regard.
Danse et danse petite musique, ouvre grand les bras car je t'attend depuis si longtemps.
Une musique se joue dans tes rêves les plus fous et cette mélodie n'est que pour toi que j'aime tant.
Il y aura cent mille chansons dans un temps où cent mille raisons se réjouiront sur le sable bleu.
Danse petit ange, chante la vie que tu es car le ciel t'est ouvert.
Vole petit oiseau, ouvrant tes ailes à ce qu'il y a de plus beau et c'est toi dans l'amour.
Quand viendra le temps du rythme de tes ailes, s'ouvrira le temps, le temps de dire je t'aime.
Danse danse, tu es le printemps où l'abeille réuni le pollen de ton coeur.
Une chanson s'invite dans ta fête, elle te demande le pas de danse; ouvre-lui grand ton coeur.
Nuptial est la nuit, dans la danse sur le rythme de ton coeur, allant à jamais virevolter dans les étoiles.
Danse petit ange, danse....

[d6p7]

dragon blanc, tu vis sur un petit nuage ?

[dragon blanc]

dragon blanc, tu vis sur un petit nuage ?

Vous trouvez cela ?
Suis-je à ce point incompréhensible ?

[d6p7]

Vous trouvez cela ?
Suis-je à ce point incompréhensible ?

Non, mais je veux pas paraître désobligeant mais tes propos à mon sens manque de réalité, pour ne pas dire de réalisme. Ce n'est pas concret, il ne te manquerait pas un peu de pragmatisme ?

[dragon blanc]

Non, mais je veux pas paraître désobligeant mais tes propos à mon sens manque de réalité, pour ne pas dire de réalisme. Ce n'est pas concret, il ne te manquerait pas un peu de pragmatisme ?

Oh grand maître qui s'avance devant petit, je suis démasqué !
Je vous pris, grand maître de l'intelligence et du sentiment pur et parfait, jugez comme bon vous sent.
Pour moi vous êtes pâle et ne pourriez me suivre dans mon élan.
Poursuivez donc grand maître des maîtres, votre chemin, car le mien est à l'opposé du votre...

[d6p7]

Poursuivez donc grand maître des maîtres, votre chemin, car le mien est à l'opposé du votre...

Non, pas tant opposé que cela ; mais vous me semblez ne pas trop vivre dans la réalité, ce qui peut être un leurre et un piège, il faut pouvoir embrasser entière toute la réalité. Je ne vous fais pas la leçon, je ne vous connais pas, mais se bercer d'illusion ainsi dans un monde qui n'existe pas, ce n'est pas bon. Redescendez sur terre, car vos propos, pour l'instant, n'ont pas de consistance. Ils l'ont pas la consistance du réel, il est bon d'avoir des propos abscons qui se ne prêtent pas bien à l'examen par la réalité mais il faut qu'ils aient tout de même un point d'ancrage non abstrait et qui emprunte au réel.

[dragon blanc]

Non, pas tant opposé que cela ; mais vous me semblez ne pas trop vivre dans la réalité, ce qui peut être un leurre et un piège, il faut pouvoir embrasser entière toute la réalité. Je ne vous fais pas la leçon, je ne vous connais pas, mais se bercer d'illusion ainsi dans un monde qui n'existe pas, ce n'est pas bon. Redescendez sur terre, car vos propos, pour l'instant, n'ont pas de consistance. Ils l'ont pas la consistance du réel, il est bon d'avoir des propos abscons qui se ne prêtent pas bien à l'examen par la réalité mais il faut qu'ils aient tout de même un point d'ancrage non abstrait et qui emprunte au réel.

Donc, pour vous est sans consistance de vivre et de se laisser bercer sur le rythme d'une danse ou d'une chanson ?
Trop drôle...
C'est comme si vous disiez à tous que vous avez l'obligation envers eux de les instruire, ce que personnellement ne me dérange en rien, et que seul votre jugement, est à prendre en concept !
Vous parlez de coeur...maître d6p7, mais lisez avec l'intellect...
À cela, les mots qui sortent de ma plume ne peuvent vous toucher derrière votre sagesse immensément grande...

[Mic]

Non, pas tant opposé que cela ; mais vous me semblez ne pas trop vivre dans la réalité

Ce qui est certain c est que Dragon a un joli talent poetique. Pourquoi vouloir chercher du pragmatisme dans la poésie ?

[d6p7]

Il n'est pas bon de vivre sur son petit nuage non, il faut vivre dans la réalité.

C'est comme si vous disiez à tous que vous avez l'obligation envers eux de les instruire, ce que personnellement ne me dérange en rien, et que seul votre jugement, est à prendre en concept !

Non, du tout. Je ne fais que dire ce que je pense de vous.

Vous parlez de coeur...maître d6p7, mais lisez avec l'intellect...

Oh mais le coeur ce n'est pas cela, ce sont les bons sentiments, les bons instincts aussi parfois, mais en fait, en réalité, le coeur est là où il y a prise en soi, là où l'on se dirige car on n'y voit son intérêt.

À cela, les mots qui sortent de ma plume ne peuvent vous toucher derrière votre sagesse immensément grande...

Pas si grande que ça, j'ai encore à apprendre. Et si vous pensez que je fais montre d'un grand savoir vous reprennant de la sorte, vous vous trompez. Ne vous regardez vous pas qu'au travers le miroir des apparences ?

Ajouté 3 minutes 32 secondes après :

Ce qui est certain c est que Dragon a un joli talent poetique. Pourquoi vouloir chercher du pragmatisme dans la poésie ?

La poésie il faut qu'elle veuille dire quelque chose, comme j'ai dit il faut qu'elle ait un ancrage dans la réalité. Sinon elle ne veut rien dire, et il ne suffit pas d'aligner des vers pour être poète.

[dragon blanc]

Il n'est pas bon de vivre sur son petit nuage non, il faut vivre dans la réalité.

Non, du tout. Je ne fais que dire ce que je pense de vous.

Oh mais le coeur ce n'est pas cela, ce sont les bons sentiments, les bons instincts aussi parfois, mais en fait, en réalité, le coeur est là où il y a prise en soi, là où l'on se dirige car on n'y voit son intérêt.

Pas si grande que ça, j'ai encore à apprendre. Et si vous pensez que je fais montre d'un grand savoir vous reprennant de la sorte, vous vous trompez. Ne vous regardez vous pas qu'au travers le miroir des apparences ?

Justement, me regardez j'ai fais...et on m'a aussi remis dans ce miroir pour faire sur que je sache ce que je suis, ne vous en inquiétez guerre !
Et oui, comme vous le dites, on a que ce que l'autre veux démontrer dans une situation X.
Pour mieux comprendre la relation d'échange entre nous, ne faut-il pas d'abord en tisser les prismes qui interviennent en arrière chacune des pensées qui élève les mots et même avant que sorte l'envi de les dire ?
Je ne vous vois pas comme un être malhonnête loin de là.
Je vous lis et comme vous le faîtes, je vous éprouve de la même façon que vous tendez à m'éprouver.
Un jeu ? NON !
Un passage ? qui sait !
Un ajustement de longueur d'onde... pourquoi pas !

[d6p7]

ne faut-il pas d'abord en tisser les prismes qui interviennent en arrière chacune des pensées qui élève les mots et même avant que sorte l'envi de les dire ?

Regardez cette phrase ... Je ne vous fais pas le leçon comme s'il y aurait une façon correct de penser.

Mais "les prismes qui interviennent en arrière chacune des pensées", c'est très imprécis, et surtout hors contexte. Mais ce n'est pas ça le plus important, comment peut-on connaître l'autre s'il ne dit rien, il faut la confrontation des mots qui sont la confrontation des idées.

[dragon blanc]

Regardez cette phrase ... Je ne vous fais pas le leçon comme s'il y aurait une façon correct de penser.

Mais "les prismes qui interviennent en arrière chacune des pensées", c'est très imprécis, et surtout hors contexte. Mais ce n'est pas ça le plus important, comment peut-on connaître l'autre s'il ne dit rien, il faut la confrontation des mots qui sont la confrontation des idées.

Vous parlez de confrontation et moi je parle d'échange et d'établir la pensée.
Vous voyez quand je présume qu'on ne part pas de la même tangente de pensée de départ ?
Si pour vous cela est imprécis... Alors c'est en cela qu'on ne se rejoint pas.
Ce n'est pas une gravité en soi ceci dit !
C'est un processus de conversation à établir avant qu'on puisse se comprendre.
Non pas dans le jugement de ce que l'on ne comprend pas ou de ce qui pourrait nous paraître incompréhensible.
Si je ne comprend pas quelque chose, je poserai donc plus amplement de questions afin d'établir la pensée derrière les mots avant même de vouloir m'en faire raison.
C'est ainsi que je préfère établir le dialogue.
Pour ce qui est du ressenti envers autrui, cela je le garde perso pour ne pas provoquer le dissonance entre les deux.
Je reviendrai plus tard, afin de répondre, et sur ce... je recueillerai toujours votre perception et raisonnement sans jugement.