C'est très très indélicat de parler de la sorte des Juifs.
Est ce que tu l'as fait à escient ou c'est juste une erreur d'inadvertance ?
En plus de la maladresse il s'avère que c'est faux.
C'est très très indélicat de parler de la sorte des Juifs.
Jésus créait du désordre dans l'ordre romain. Les juifs avant Jésus étaient "à leur place" et les chevaux étaient bien gardés.Stop ! a écrit : ↑19 août22, 20:01 Précisément, en faisant une étude de caractère de quelque peuple que ce soit on arriverait aisément à découvrir qu'aucun d'entre eux n'irait éliminer quelqu'un qui sait ressusciter des morts et changer l'eau en très bon vin. Il est facile de dédouaner les Romains en leur prêtant la compréhension à priori de l'insoumission prévisible de Jésus mais ça ne cadre pas du tout avec les caractères que vous soulignez chez eux, puissance, orgueil, domination. Pilate n'aurait alors eu aucune confiance en ses moyens de persuasion ? Il n'aurait même pas eu envie d'essayer ? Imaginant la gloire qu'il aurait pu en tirer à Rome auprès de Tibère ? Aïe aïe aïe !
Alors je ne suis peut-être pas un homme, mais je suis loin d'être le seul dans ce cas.
Il est certain qu'en faisant appel au comportementalisme on entre dans une approche scientifique qui peut nous garantir contre d'archaïques spéculations superstitieuses. Ce faisant, posons au moins les bases justes :prisca a écrit : ↑19 août22, 21:53 Il est crucial de s'appuyer sur le comportementalisme pour comprendre la décision de Pilate.
Déjà Pilate s'en réfère à Tibère car il n'est que préfet de Judée donc la décision n'appartient pas à Pilate de laisser vivre Jésus pour mettre à profit ses pouvoirs afin que la Rome antique se sente forte.
De plus, le climat est hostile au Christianisme puisque les Chrétiens sont pourchassés dès leur apparition et d'une manière forte dès les deux premiers siècles d'autant que l'époque de la séparation du judaïsme et du christianisme est mal définie car les apôtres sont Juifs et Rome considère que ce sont les Juifs qui font preuve d'insurrection en voulant étaler au delà des frontières de la Judée la religion dont ils sont les meneurs, par conséquent c'est une question politique et Rome veut tuer dans l'oeuf cette nouvelle religion que les Juifs ont établie eux mêmes : le Christianisme.
Il y a une concurrence farouche qui s'instaure entre leurs croyances qui compte des centaines de dieux qui leur donnent le sentiment de domination et entre D.IEU des Juifs qui, par l'intermédiaire des Juifs, s'immisce et Rome ne veut rien savoir de Jésus car Jésus pour elle est un Juif qui va concurrencer leurs croyances pour les ridiculiser.
Peu leur importe ce qu'il se dit sur Jésus, Il représente une menace contre l'intégrité Romaine par son discours de vénération à D.IEU UNIQUE des Juifs et une menace par le changement de comportement que Lui Jésus veut opérer parmi tous les humains en leur demandant d'aimer leur prochain quel qu'il soit et de suivre pas à pas les Lois lesquelles énoncent beaucoup de privations au sujet de l'agir, puisqu'il ne faut plus tromper ni convoiter ni tuer ni voler ni forniquer et tout cela n'est pas bien reçu chez les Romains qui justement aiment avoir de multiples maitresses, et les femmes plusieurs amants, convoiter c'est leur quotidien, tuer ne représente pas une sinécure pour eux, voler ils le font à tire larigot, et forniquer, n'en parlons pas, les orgies Romaines sont bien connues pour cela.
De toutes les manières les persécutions des Chrétiens est une preuve de leur aversion de cette religion dont Jésus est le meneur et je conseille l'excellent livre d'Anne Bernet, --les Chrétiens dans l'empire Romain--
Non non, Jésus n'a pas été cloué parce qu'il inquiétait Rome, ou seulement Pilate. Hérode, lui, s'était déjà débarrassé du nouveau roi annoncé des Juifs en massacrant les nouveau-nés et il n'a coupé la tête de Jean-Baptiste qu'à la demande de sa belle-fille. Le Christ ne les inquiétait pas du tout, il gênait seulement par son aura l'autorité des membres du Sanhédrin, même si, je suis bien d'accord avec cela, il n'était pas un prestidigitateur cinglant puisqu'il n'a jamais fait de miracle.Gorgonzola a écrit : ↑19 août22, 23:11 Jésus créait du désordre dans l'ordre romain. Les juifs avant Jésus étaient "à leur place" et les chevaux étaient bien gardés.
On peut aisément comprendre que l'ordre romain ne souhait en aucune manière se faire torpiller par de la charité et de l'humilité.
Rappelons que Jésus n'était en rien un guerrier (excepté avec son épée à deux tranchants..), au contraire sa sagesse et sa paix n'auraient été qu'un frein aux ambitions de Rome. Pour exemple Hérode se demandait qui était ce personnage et qui était également ce Jean-Baptiste qui venait avec une loi juive lui interdire d'avoir sa belle-sœur pour femme !
Rome ne souhait avoir dans ses rangs un quelconque juif même appelé Roi des juifs.. Jésus avec son attitude humble malgré ses miracles n'attirait pas les hauts fonctionnaires romains qui se méfiaient de lui.. Il s'attirait par contre les foudres du sanhédrin qui ne souhait pas du Fils héritier de la moisson à venir. Pilate s'en lavait les mains : "Punissez-le selon votre loi".
Rappelons également que les soldats romains se sont tirés aux dés les habits du Jésus avant sa crucifixion et se moquaient de lui en le frappant "salut à toi roi des juifs". Il faut se placer dans ce contexte : un homme qui se laisse amener à l'abattoir sans contester perd toute sa crédibilité aux yeux de tous.
Vous voyez Jésus comme cela ne s'est pas passé : comme un prestidigitateur clinquant qui avait du succès devant un auditoire à essayer de faire prendre la mayonnaise pour le spectacle. Hors Jésus agissait en faisait justement l'inverse : "le Royaume des cieux est comme une graine de sénevé qui, lorsqu'on le sème en terre, est la plus petite de toutes les semences qui sont sur la terre".
Je ne l'ai jamais écrit.. J'ai dit que Jésus mettait la pagaille chez les siens dans une province romaine..
Ce que je peux lire de vous daté d'aujourd'hui à 12h 11 est ceci :Gorgonzola a écrit : ↑20 août22, 02:22 Je ne l'ai jamais écrit.. J'ai dit que Jésus mettait la pagaille chez les siens dans une province romaine..
Revenez au début de mon intervention, à son objet, c'est à dire vos propos qui remontent à 2 ou 3 jours.
Nous lisons dans le livre de d'Anne Bernet :Stop ! a écrit : ↑20 août22, 02:16
Il est certain qu'en faisant appel au comportementalisme on entre dans une approche scientifique qui peut nous garantir contre d'archaïques spéculations superstitieuses. Ce faisant, posons au moins les bases justes :
Pilate ne se réfère aucunement à Tibère, il prend seul la décision d'envoyer Jésus à la croix et il aurait tout aussi bien pu décider seul d'exploiter ses divins dons. Personne ne l'en aurait empêché sauf, mais ultérieurement, une éventuelle et fort possible jalousie impériale.
Ce ne sont pas les Romains qui ont voulu traduire Jésus devant la justice mais des Juifs. Ces derniers sont d'ailleurs en ce sens les premiers intervenants dignes d'avoir intéressé Goscinny. Pilate n'avait aucune idée préconçue sur lui, il semblait même ne pas le connaître et son sort lui indifférait au plus haut point. Ce sont des paroles d'évangiles qui nous l'apprennent.
Ce n'est pas ce que dit la Bible.
Il me semble comprendre que tu cites Anne Bernet pour faire entendre que ce sont les membres du Sanhédrin qui veulent l'élimination de Jésus et que seuls les Romains ont le pouvoir de prononcer une condamnation à mort. Mais c'est entendu, bien sûr, et ça ne change rien à ce que, tant les Juifs que les Romains se comportent comme des abrutis si le Jésus a bien le pouvoir de ressusciter des morts et de changer l'eau en très bon vin.prisca a écrit : ↑20 août22, 03:09 Nous lisons dans le livre de d'Anne Bernet :
Les ennemis du genre humain
La foule, hurlante, déferlait a travers les ruelles étroites de la vieille
ville, masse compacte et pressée. L'on ne savait trop si elle criait de
haine, de colère ou de joie. Peu importait d'ailleurs. Seule comptait
l'aubaine, trop rare pour etre négligée, qui s'offrait ce jour-là et
rassemblait jeunes et vieux, lettres et artisans, hommes de Judée et de
la diaspora : une mise a mort.
Illégale de surcroit, ce qui lui conférait un sel supplémentaire,
Rome avait retiré aux Juifs, comme a tous les autres peuples soumis
au pouvoir de la Louve, le jus gladii , le droit de prononcer une
sentence capitale et de l'exécuter. En toutes occasions, il fallait en
référer au prefet, qui soulevait par principe mille difficultés et ergotait
a l'infini sur le bien-fondé des sentences du Sanhedrin.
Ce magistrat se nommait
Pilatus, et occupait la place depuis
bientot dix ans. II n'avait jamais fait preuve, dans l'exercice de ses
fonctions, d'une grande souplesse envers ses administres. Ses décisions
autoritaires, qui heurtaient les traditions locales, avaient plusieurs fois
entrainé des violences, des émeutes même. Une ou deux centuries de la
Tertia Gallica, la legion cantonnee en Syrie et en Judée, avaient
toujours suffi a ramener l'ordre. Des courriers furibonds adresses a
Rome n'avaient pas obtenu le rappel du gouvemeur, preuve que celui-
ci avait la confiance de Tibere Cesar . Rumeur que confirmait le
changement d'attitude de Pilate depuis la chute, survenue quatre ans
plus tot, du veritable maitre de l'empire, le redoutable et ambitieux
prefet du pretoire, Lucius /Elius Sejanus, disgracie en un instant et
assassine sur les marches de la Curie. Tant que Sejan avait ete aux
affaires, Pontius Pilatus avait fait preuve d'une reserve et d'une
prudence extremes, conscient que sa survie et celle des siens
dependaient exclusivement du relatif oubli et du silence entourant sa
personne dans les bureaux de l'administration imperiale, au Palatin.
Sejan mort, et dissipees les angoisses d'une aristocratie romaine
qu'il avait decimee, Pontius Pilatus avait retrouve toute la morgue et
I'arrogance que lui conferait sa fonction. La brutalite aussi.
Cela n'avait fait qu'accroltre l'inimitie des Juifs envers lui. II n'en
avait cure.
Dans cette ambiance tendue ou la violence semblait toujours prete a
eclater, la possibilite, denice au Sanhedrin, d'executer les sentences de
mort qu'il avait juge bon de prononcer, etait un sujet des plus sensible.
En principe, s'agissant des questions religieuses, et pourvu que le
prevenu ne beneficiat point des droits que lui garantissait une
eventuelle citoyennete romaine, la procedure etait relativement
simple : incompetent sur le fond, qu'il n'avait pas a connaitre, le prefet
se bornait a ratifier la decision et a accorder son exequatur,
I'autorisation de proceder a l'execution. Encore devait-il, pour ce faire,
mettre a la disposition des autorites locales la force publique romaine.
Ce systeme, garanti par le grand Pompee lorsqu'il avait annexe la Judee
a l'empire, fonctionnait cahin-caha, l'occupant n'entendant rien a ces
affaires juives. Longtemps, le desagrement s'etait borne a l'humiliation
repetce de devoir en referer aux Gentils.
Cependant, avec Pilate, ce dispositif tendait, ces derniers temps, a
se compliquer. N'avait-il pas pretendu, cing ans plus tot, infirmer la
sentence que le Grand Pretre venait de porter, pour blaspheme, contre
un agitateur, I'un de ces rabbis illumines comme il en surgissait parfois
dans les campagnes et les cites ? Celui-la etait galileen, charpentier du
bourg de Nazareth. II s'appelait Jesus, fils de Joseph. II affirmait, il
n'etait pas le premier, etre le Messie qu'avaient annonce les prophetes.
Sa predication et une serie de miracles lui avaient valu la faveur du
peuple. Le Sanhedrin n'aimait pas ce genre d'activites, propres a
ebranler une situation tres fragile, qu'il gerait au mieux de ses interets,
tentant de tenir la balance egale entre l'autorite romaine et les
nouvements insurrectionnels qui s'imaginaient capables de retablir la
royaute d'Israel.
L'Homme de Nazareth devait fatalement, un jour ou l'autre, faire les
frais de cette politique, car il derangeait trop de gens. Au demeurant, il
fournissait a ses ennemis tous les arguments necessaires a sa perte. Ne
s'affirmait-il pas, non seulement le Messie, le Christ, l'Oint du Seigneur
annonce, mais le propre fils de Dieu ?
Blaspheme insensé qui avait souleve d'horreur les pretres et les
princes du peuple.
* Il merite la mort ! *
En convaincre le prefet Pontius Pilatus avait ete une autre affaire...
Une matinee entiere, de l'aube a midi, ce Gentil ignorant avait, pied
a pied, tente de sauver la vie du Galileen. < II n'a rien fait. Je ne trouve
en lui aucun motif de condamnation >>, n'avait-il cesse de repeter.
Romain stupide, incapable de reconnaitre le crime des crimes, le
blaspheme contre Yahve ! De quoi se melait-il ?
A la fin, en desespoir de cause, il avait fallu parler un langage que
cet Occidental a la cervelle epaisse fut susceptible de comprendre. L'on
avait requalifies le delit. Puisque Pontius Pilatus n'imputait pas a crime
l'effroyable pretention consistant a se dire fils de Dieu, I'on avait accuse
le Nazareen de s'etre dit roi des Juifs. En verite, c'etait autrement moins
grave, d'autant que, descendant de David, il pouvait y pretendre aussi
bien qu'un autre.
* Nous n'avons d'autre roi que Cesar. Qui se fait roi s'oppose a
Cesar. Et toi, si tu le relaches, tu n'es pas l'ami de Cesar ! >
A cet instant, les sanhedrites avaient eu la satisfaction de voir le
prefet blemir. L'on n'invoquait pas a la legere la lex Julia majestatis,
censee garantir le Senat et le peuple romain de tout affront, de toute
subversion. Datant des dernieres annees de la Republique, la loi de
majeste defendait desormais toute atteinte a la grandeur du prince,
garant de celle de Rome. En se proclamant roi des Juifs, le Galileen
s'etait pose en rival de Tibere et des divins Cesars ; en s'obstinant a
prendre sa defense, Pilate devenait son complice. Pour l'un et pour
I'autre, le droit romain prevoyait une sentence de mort. Chatiment que
Sejan, informe, aurait, selon son habitude, etendu a toute la famille du
prefet. Heureux moyen de faire main basse sur les fortunes des
supplicies".
Pris entre son sens de la justice, son intime conviction concernant
I'innocence du prevenu, et les vies de ses proches, le malheureux prefet
avait renonce a defendre, au peril de sa tete, un parfait inconnu. 11
avait laisse crucifier le Galileen ; mais pas de gaiete de cour.
Mais pourquoi diable ce dieu solitaire n'a-t-il pas informé les Aztèques, les Mayas et tous les autres que Quetzalcóatl et Tezcatlipoca n'étaient que des usurpateurs ? Ne savait-il pas comment traverser l'Atlantique ? Il a laissé filer beaucoup de potentielles louanges à sa gloire.
Le Sanhédrin a su se montrer convainquant car comme nous le lisons dans le texte déjà les Juifs n'ont pas l'autorisation de mise à mort (Rome avait retiré aux Juifs, comme a tous les autres peuples soumis au pouvoir de la Louve, le jus gladii , le droit de prononcer une sentence capitale et de l'exécuter) et le Sanhédrin a déployé toute son énergie pour obtenir l'autorisation de la mort de Jésus.Stop ! a écrit : ↑20 août22, 03:50 Il me semble comprendre que tu cites Anne Bernet pour faire entendre que ce sont les membres du Sanhédrin qui veulent l'élimination de Jésus et que seuls les Romains ont le pouvoir de prononcer une condamnation à mort. Mais c'est entendu, bien sûr, et ça ne change rien à ce que, tant les Juifs que les Romains se comportent comme des abrutis si le Jésus a bien le pouvoir de ressusciter des morts et de changer l'eau en très bon vin.
Très bonne remarque, idem pour les aborigènes d'Australie et tant d'autres peuples.Stop ! a écrit : ↑20 août22, 04:08Mais pourquoi diable ce dieu solitaire n'a-t-il pas informé les Aztèques, les Mayas et tous les autres que Quetzalcóatl et Tezcatlipoca n'étaient que des usurpateurs ? Ne savait-il pas comment traverser l'Atlantique ? Il a laissé filer beaucoup de potentielles louanges à sa gloire.
psaume 115
Et donc ?Stop ! a écrit : ↑20 août22, 02:35 Ce que je peux lire de vous daté d'aujourd'hui à 12h 11 est ceci :
« Jésus créait du désordre dans l'ordre romain. Les juifs avant Jésus étaient "à leur place" et les chevaux étaient bien gardés.
On peut aisément comprendre que l'ordre romain ne souhait en aucune manière se faire torpiller par de la charité et de l'humilité. »
Pour plus de compréhension, pouvez-vous développez le fond de votre pensée ? Y a t'il eu selon vous falsification de l'histoire ? Quelle aurait été dans ce cas la vraie version ? Ou si vous, vous aviez simplement été à la place d'un haut fonctionnaire romain, vous auriez proposé à Jésus un deal pour faire ressusciter les soldats romains morts au combat ?Stop ! a écrit :Alors quoi ? Un peuple guerrier qui vient de s'installer par la force en Judée, au prix d'actions militaires avec de nombreux morts, ne trouve rien de mieux à faire que d'aller clouer un quidam qui peut faire revivre des disparus si bon lui chante ? N'importe quelle armée au monde, et encore aujourd'hui, se saisirait du bougre et l'inviterait fermement à travailler pour elle.
C'est cela oui....Gorgonzola a écrit : ↑19 août22, 23:11 Jésus créait du désordre dans l'ordre romain. Les juifs avant Jésus étaient "à leur place" et les chevaux étaient bien gardés.
On peut aisément comprendre que l'ordre romain ne souhait en aucune manière se faire torpiller par de la charité et de l'humilité.
Rappelons que Jésus n'était en rien un guerrier (excepté avec son épée à deux tranchants..), au contraire sa sagesse et sa paix n'auraient été qu'un frein aux ambitions de Rome. Pour exemple Hérode se demandait qui était ce personnage et qui était également ce Jean-Baptiste qui venait avec une loi juive lui interdire d'avoir sa belle-sœur pour femme !
Rome ne souhait avoir dans ses rangs un quelconque juif même appelé Roi des juifs.
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